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LUCADEffiE IMPERIALE DES SCIENCES
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TOME TRENTE-UN.
(Avec 4 planches.)
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ST.-PETERSBOURG, 1887.
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Commissionaires de TAcademie Imperiale dcs sciences:
A ST.-P&TERSBOURG:
Eggers & Cic et J. Glasounof ;
A RIGA:
X. Kvrame);
A LEIPZIG:
Voss Sortiment (Gr Haessel
Prix du volume: 3 Roub. arg. pour la Russie, 10 marks allemands pour Petranger
Imprime par Pordre de PAcademie Imperiale des sciences.
Avril 1887.
C. Vesselofski, Secretaire perpetuel.
Imprimerie de PAcademie Imp6riale des sciences.
(Vass.-Ostr., 9e ligne, JNS 12.)
\
TABLES DES MATIERES.
A. TABLE SYSTEMATISE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
SCIENCES MATHEMATIQUES , PHYSIQUES ET B10L0GIQUES
MATHEMATIQUES.
B. Imebenetsky. Sur la transformation d'une Equation diffSrentielle
de Tordre pair a la forme d'une equation isoperimetrique.
283—292.
et V. Bmmiakowsky. Sur un nouveau nombre premier, annonce
par le pere Pervouchine. Extrait d'un rapport a l'Academie.
532—533.
ASTRONOMIE.
0. Backlund. Rapport sur le memoire de M. Harzer: Recberches
sur un cas special du probleme des trois corps. 125 — 138.
0. Strove. La nebuleuse pres de c Orionis. (Avec une plancbe).
540—544.
PHYSIQUE ET PHYSIQUE DU GLOBE.
0. Cbwolson. Recherches photometriques sur la diffusion interieure
de la lumiere. 213—261.
Dr. Carl Sehmidt. Recbercbes bydrologiques XLV— XLVIII. XLIX.
262—283. 508—533.
CHIME.
B. Rizza et A. Boutleroff. Sur l'asarone. 496—508.
MINEMLOGIE.
31. de Rokeharoff. Mursinskit, nouveau mineral. 450 — 464.
GEOLOGIE.
A. Karpiosky. Sur quelques roches metamorphoriques de l'Oural
contenant le graphit et le grenat. (Avec une planche). 484—496.
Contributions a la connaissance geologique du gouvernement
de Pskow. (Avec une planche). 473—484.
•
C. Zahalka. Sur les Phymatelles des couches cretacees en Boheme.
(Avec une planche). 464—473.
B0TM1QUE ET PHYSIOLOGIE VEGETALE.
C, J. )la\iuiowicz. Diagnoses de nouvelles plantes de l'Asie. VI.
12—121.
Z00L0GIE.
V.
fications occidentales de Pamyr et de l'Alai'. 337 — 396.
rami
flf. Warpacbowsky. Notice sur les espSces du genre Phoxinus qui se
rencontrent en Russie. 533—536.
PHILOLOGIE.
N. Katanoff. Nouvelle transcription des mots de la langue Koibale
notes parCastr6n. Avec une preface de M.Radloff. 138— 213.
A, \auck, A propos de Pouvrage Claudii Galeni Pergameni scripta
minora. Vol. I. (Lipsiae, 1884). 396—414.
W, Radloff, Rapport sur une nouvelle publication des materiaux pour
la linguistique contenus dans le Codex Comanicus. 121—124,
Rapport prealable sur un voyage en Crim6e en 1886. 544 — 550.
Rapport sur deux notices de M. N. Katanoff contenant des
materiaux pour l'etude du Sagai. 550—554.
C. Salemann. Etudes sur Je moyen-persan. I. 417 — 450.
Rapport sur les materiaux pour la dialectologie persane re-
cueillis par M. V. 2oukovski. 537 — 540.
F. J. Wiedemann. Additions et rectifications au dictionnaire syren-
allemand et votiak-allemand de 1880. 293—337.
Etat du personel de l'Academie au 1 mars 1886. 1—12.
/
B. TABLE ALPDABETIQIJE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume,)
Backiund, 0, Rapport sur le memoire de M. Harzer: Recherches
sur an cas special du probl&me des trois corps. 125—138.
Bianchi, V, Contributions k la connaissance ornithologique des rami-
fications occidentales de Pamyr et de l'Alai. 337—396.
Boutleroff, A* voyez Rizza, B.
Chwolson, 0. Recherches photometriques sur la diffusion interieure
de la lumiere. 213—261.
Etat du personel de PAcademie au 1 mars 1886. 1 — 12.
Imchenetsky, B. Sur la transformation d'une equation differentielle
de Pordre pair k la forme d'une equation isoperimetrique.
283—292.
et Bouniakowsky, V. Sur un nouveau nombre premier, annonc6
par le p&re Pervouchine. Extrait d'un rapport k PAca-
demie. 532—533.
Karpinskv. A. Contributions k la connaissance geologique du gou-
vernement de Pskow. (Avec une planche). 473—484.
Sur quelques roches metamorphiques de l'Oural contenant le
graphite et le grenat. (Avec une planche). 484 — 496.
Kokcharoff, I., de. Mursinskit, nouveau mineral. 450—464.
Katanoff, S. Nouvelle transcription des mots de la langue Koibale
notes par Castren. Avec une preface deM. Radl off. 138— 213.
Maximowicz, C. J. Diagnoses de nouvelles plantes de PAsie. VI.
12-121.
Kauck, A, A propos de Pouvrage Claudii Galeni Pergameni scripta
minora, Vol. I. (Lipsiae, 1884). 396—414.
Radloff, W. Rapport sur une nouvelle publication des materiaux pour
la linguistique contenus dans le Codex Comanicus. 121 — 124.
Rapport prealable sur un voyage en Crimee en 1886. 544—550.
Rapport sur deux notices.de M. N. Katanoff contenant des
materiaux pour Petude du Sagai. 550—554.
Rizzk, B, et Bonder off. A. Sur Pasarone. 496—508.
Salemann, C. Etudes sur le moyeu-persan. I. 417—450.
Rapport sur les materiaux pour la dialectologie persane
recueillis par M. V. 2ukowski. 537—450.
Schmidt, Dr. Carl. Recherches hydrologiques. XLV— XLVIII. XLIX.
262—283. 508—533.
Strove, 0. La nebuleuse pr&s de c Orionis. -(Avec une planche).
540—544.
Warpachowski, K. Notice sur les especes du genre Phoxinus qui se
rencontrent en Russie. 533 — 536.
Wiedemann, F. J. Additions et rectifications au dictionnaire syren-
allemand et votiak-allemnnd de 1880. 293—337.
Zahalka. C. Sur les PhymateUes des couches cretacees en Boheme.
(Avec une planche). 464—473. - .
4
T. XXXI, %° 1.
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BULLETIN
I1HPERIALE
ST.-PETERSBOURG.
TOME XXXI.
(FeuiOes 1—*U8.)
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COHEJU.
Page.
£tat du personnel cle l'Academie au 1 Mars 1886 1 — 12
C. J. Maiimowicz, Diagnoses de nouvelles plantes de l'Asie. VI. 12 — 121
W. Radloff, Rapport sur une "nouvelle publication des materiaux pour la liguistique
contenus dans la Codex Comanicus 121 — 124
Mo. B I Garden',
Avril 1886
Imprim6 par ordre de l'Academie Imperial e des sciences.
C. Vessel of ski, Secretaire perpetuel
Imprimerie de PAcademie Imp6riale des sciences.
(Vass.-Ostr., 9e ligne, J6 12.)
BULLETIN
ST.-PETERSBOURG.
ETAT DU PERSONEL.
(AU 1 MARS 1886.)
A. CONFERENCE ACADEMIQUE.
President, conseiller prive actuel, comte Dm. Tolstoi.
1882.
Vice-President, »
1863.
Secretaire Perpetuel, conseiller prive, C. Vesselof-
sky. 1857.
»
»
V. Bouniakovsky.
MEMBRES EFFECTIFS DE LACADEMIE
I. CLASSE PHYSICO-MATHEMATIQUE.
Mathematiques pures: Academicien Ordinaire, cons.
priv.act.V.Bouniakovsky (Vice-President) 1828.
Academ. Ord., cons, d'etat act. G. Imche-
netzky. 1881.
Mathematiques appliquees: Academ. Ord., cons, priv.,
P. Tchebychef. 1853.
Astronomie: Academ. Ord., cons, priv., 0. Struve.1852.
Academ. Ord., cons, de college, 0. Bacfclund.
1883.
Physique: Academ. Ord., cons, d'etat act., H. Wild.
1868.
Academ. Extraord., general-lieutenant, A. Ga-
doline. 1875.
Ohimie: Academ. Ord., cons, d'etat act., A. Boutlerof.
1875.
Mineralogie: Academ. Ord., cons, priv., N. Kokcharof.
1855.
Geognosie et Paleontologie : Academ. Ord., cons, d'etat
Zoologie: Academ. Ord., cons, d'etat act., L.Schrenck.
1862.
Academ. Ord., cons, d'etat act., A. Strauch.
1867.
Anatomie comparee et physiologie: Academ. Ord., cons
d'etat act., Ph. Ovsiannikof. 1862.
II. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITERATURE
RUSSES.
Academ. Ord., cons, priv., J. Grot, President de
■ la Classe. 1855.
Academ. Ord., cons, priv., Th. Bouslaef, a Moscou,
1860.
Academ. Ord., cons, priv., A. Bytchkof. 1866.
Academ. Ord., cons, priv., M. Soukhomlinof. 1872.
Academ. Ord., cons, d'etat act., A. Vesselof sky. 1877.
Academ. Ord., cons, d'etat act., J. JagiS. 1880.
III. CLASSE HISTORICO PHILOLOGIQUE.
Statistique et ficonomie Politique: Academ. Ord., cons,
priv., C.Vesselofsky (Secretaire Perpetuel). 1852.
act., Fr. Schmidt. 1872.
/
Botanique: Academ. Ord., cons, d'etat act., Ch.Maxi-
movicz. 1865.
Acad. Extraord., cons, d'etat act.,Famintzine.
- Academ. Extraord., cons, priv., W.Bezobrazof.
1864.
Histoire et Antiquites russes: Academ. Extraord., cons,
d'etat act., Kunik. 1844.
Philologie et Archeologie classiques : Academ. Ord., cons.
priv., Stephani. 1850.
Academ. Ord., cons, priv., A. Nauck. 1858.
Litterature et Histoire des peuples asiatiques: Academ.
Ord., cons, priv., 0. Bothlingk. 1842.
Academ. Ord., cons, d'etat, Kadloff. 1884.
Academ. Ord., cons, priv., B.Wassilieff. 1886.
Langues et ethnographie des races fimioises: Academ.
Ord., cons, priv., F. Wiedemann. 1857.
1878.
Tome XXXI.
1
3
Bulletin de l'Academie Imperiale
1
B. MEMBRES HONORAIRES
Sa Majeste l'Empereur Alexandre III. 1865.
Son Altesse Imperiale, le Cesarevitch Grand-Due He-
ritier Nicolas. 1876.
Son Altesse Imperiale Monseigneur le Grand -Due
Wladimir. 1875.
Son Altesse Imperiale Monseigneur le Grand- Due
Alexis. 1875.
Son Altesse Imperiale Monseigneur le Grand- Due
Serge. 1876.
Son Altesse Imperiale Monseigneur le Grand -Due
Constantin. 1844.
Son Altesse Imperiale Monseigneur le Grand -Due
Nicolas pere. 1855.
Son Altesse Imperiale Monseigneur le Grand -Due
Michel. 1855.
Son Altesse Imperiale Monseigneur le Prince Ro-
manovsky Due Nicolas de Leuchtenberg.
1865.
Sa Majeste Guillaume I, Empereur d'Allemagne et
Roi de Prusse. 1876.
Sa Majeste Don Pedro II, Empereur du Bresil. 1876.
Son Altesse l'Archiduc Rodolphe, d'Autriche. 1885.
MM. le conseiller d'etat actuel Kotchoubey. 1876.
P. A. Tchikhatchef. 1876.
le conseiller prive actuel baron Buhler. 1878.
le general-major Przewalsky. 1878.
le general aide-de-camp Possiet. 1879.
le comte Loris-Melikof. 1880.
le conseiller prive actuel Pobedonostsef. 1880.
le conseiller prive Sab.ourof. 1880.
le cons, prive actuel baron Nicolai. 1881.
le conseiller prive actuel Nicolas Bunge. 1881.
le conseiller prive Rovinsky. 1883.
le general-lieutenant du genie Paucker. 1883.
le general-lieutenant Ves61ago. 1884.
le conseiller d'etat actuel Bidder, a Dorpat,
1884.
le conseiller prive actuel Polovtzof. 1884.
le general aide-de-camp M. deKaufmann.1885.
le cons, prive Zdekauer. 1885.
le conseiller prive Zakharine. 1885.
le marquis de Pietra Catella, a Naples. 1846.
le prince Louis Lucien Bonaparte. 1858.
le comte Moltke, a Berlin, 1871.
de Lesseps, membre de l'lnstitut, a Paris. 1876.
Mrg. le
MM. le
le
le
le
le
le
le
politain Isid
1857.
•
prive actuel Hub
185
prive actuel Kerbedz.
prive actuel Delianof.
1858
1859
nine. 1861
rn. 1863.
prive actuel Goloi
prive actuel Reutei
prive Middendorf.
d'etat actuel Abich. 1866.
865
le comte Milutine. 1866.
le comte Valouef. 1867.
l'admiral Zelenoi. 1873.
le conseiller prive Semenof. 1873.
le conseiller d'etat actuel AlexandreBunge. 1875.
le general aide de camp comte Ad lerb erg. 1876.
le conseiller prive actuel Abaza. 1876.
le general aide-de-camp Greigh. 1876.
le conseiller prive actuel deGiers. 1876.
le conseiller prive prince Lobanof-Rostofsky.
1876.
C. MEMBRES -CORRESPOND ANTS
I. CLASSE PHYSICO-MATHEMATIQUE
1. SECTION MATHEMATIQUE.
MM. Lorentz-Leo Lindelflf, a Helsingfors. 1868.
le conseiller d'etat actuel Dollen, a Poulkova.
1871.
le conseiller d'etat actuel Bredikhine, a Mos-
cou. 1877.
le general - lieutenant Maievsky, a St.-Peters-
bourg. 1878.
le general-major Stebnitzky, a St. Petersbourg.
1878.
le conseiller d'etat actuel Letnikof, a Kharkof.
1884.
5
des Sciences de Saint • Peiersbourg
6
MM. le conseiller de college Yermakof, a Kief. 1884.
le conseiller de college Andreief, a Kharkof.
1884.
MM. Airy, a Greenwich, 1840.
Hermite, a Paris. 1857.
Bertrand, a Paris. 1859.
Kuramer, a Berlin. 1862.
Winnecke, a Strasbourg. 1864.
Weierstrass, a Berlin. 1864.
Adams, a Cambridge. 1864.
Warren De la Rue, a Londres. 1864.
Ross- Clarke, a Southhampton. 1867.
Cay ley, a Cambridge. 1870.
Kronecker, a Berlin. 1872.
Sylvester, a Londres. 1872.
Auwers, a Berlin. 1873.
Schiaparelli, a Milan. 1874.
Newcomb, a Washington. 1875.
Gould, a Cordoba (Rep. Argent.), 1875.
Hind, a Londres. 1878.
Asaph Hall, a Washington. 1880.
Catalan, a Liege. 1881.
Gylden, a Stockholm. 1882.
Tisserand, a Paris. 1883.
Brioschi, a Rome. 1884.
Repsold, a Hambourg. 1885.
D. Gill, au Cap de Bonne Esperance. 1885
MM. le conseiller d'etat actuel Beilstein, a St.-Pe-
tersbourg. 1883.
le conseiller d'etat actuel M oiler, a Tiflis. 1883.
le conseiller d'etat actuel Zaitzof, a Kazan. 1885
Neumann, a Konigsberg. 1838.
Chevreuil, a Paris. 1853.
Weber, a Goettingue. 1853.
Fremy, a Paris. 1856.
Hofmann, a Berlin. 1857.
Dana, a New-Haven. 1858.
Daubree, a Paris. 1861.
Kirchhof, a Berlin. 1862.
Bunsen, a Heidelberg. 1862.
Edlund, a Stockholm. 1870.
Des Cloiseaux, a Paris. 1871.
Cahours, a Paris. 1873.
Romer, a Breslau. 1874.
Berthelot, a Paris. 1876.
Frankland, a Londres. 1876.
Bey rich, a Berlin. 1876.
Damour, a Paris, 1876.
Sir William Thomson, a Glasgow. 1877.
R. Clausius, a Bonn. 1878.
le baron Nordenskjbld, a Stockholm. 1879.
Gerhard vom Rath, a Bonn. 1880.
Chr. Websky, a Berlin. 1882.
Werner Siemens, a Berlin. 1882.
I
2. SECTION PHYSIQUE.
MM. le comtede Keyserling, a Reval. 1858.
le conseiller d'etat actuel Schmidt, a Dorpat.
1873.
le conseiller d'etat actuel Jeremeief, a St.-P6-
tersbourg. 1875.
le conseiller d'etat actuel Mendele'ief, a St.-Pe-
tersbourg. 1876. .
le conseiller d'etat actuel Oettingen, a Dorpat.
1876.
le conseiller d'etat Avenarius, a Kief. 1876.
le conseiller d'etat actuel Lenz, a St.-Peters-
bourg. 1876.
le conseiller d'etat actuel Henri Struve, a Tiflis.
1876.
le conseiller d'Stat actuel Beketof, a Kharkof.
1877.
Gustave Wiedemann, a Leipzig. 1883.
P. Groth, a Munich. 1883.
G. Kenngott, a Zurich. 1884.
3. SECTION BIOLOGIQUE.
MM. le conseiller prive Trautvetter, a St.-Peters-
bourg. 1837.
le conseiller prive Mercklin , a St.-Petersbourg.
1864.
le conseiller prive Gruber, a St. - PGtersbourg.
1866.
le conseiller d'etat actuel Setchenof, a St.-P6-
tersbourg. 1869.
le conseiller d'etat actuel Reg el, a St.-Peters-
bourg. 1875.
le conseiller d'etat actuel Cenkovsky, a Khar-
kof. 1881.
le conseiller d' etat actuel Kovalevsky,a Odessa.
1883.
l*
7
Bulletin de rAcademie Imperiale
S
MM. le conseiller d'etat actuel Metchnikof, a Odessa. I MM. A. Ostrovsky, a Moscou. 1863.
1883.
le conseiller d'etat Voronine, & St.-Petersbourg
1884.
le conseiller d'etat actuel Radde, aTiflis. 1884.
le conseiller d'etat actuel Ed. Russow, a Dorpat.
1885.
Gaimard, a Paris. 1839.
Owen, a Londres. 1839.
Kollicker, a Wiirzburg. 1858.
Alf. Decandolle, a Geneve. 1858.
Jos. Dalton Hooker, a Londres. 1859.
Hyrtl, a Vienne. 1859.
Loven, a Stockholm. 1860.
Leuckart, a Leipzig. 1861.
Steenstrup, a Copenhague. 1861.
Asa Gray, a Boston. 1862.
Henle, aGottingue. 1863.
Huxley, a Londres. 1864.
Naegeli, a Munich. 1865.
Helmholtz, a Berlin. 1868.
Van Beneden, a Louvain. 1869.
E. Weber, a Leipzig. 1869.
Ludwig, a Leipzig. 1871.
Vulpian, a Paris. 1878.
De Bary, a Strasbourg. 1880.
Virchow, a Berlin. 1881.
Ludw. Ruetimeyer, a Bale. 1882.
Alb. Guenther, a Londres. 1882.
L. Ranvier, a Paris. 1882.
L. Pasteur, a Paris. 1884.
R. Koch, a Berlin. 1884.
A Milne-Edwards, a Paris. 1885.
Ch. Gegenbaur, a Heidelberg. 1885.
G. His, a Leipzig. 1885.
II. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITERATURE
RUSSES.
MM. le conseiller d'Stat actuel Apollon Maikof, a St.-
P&ersbourg. 1853.
le conseiller d'etat actuel Gontcharof, a St.-Pe-
tersbourg. 1860.
le conseiller d'etat actuel Tikhonr a vof, a Moscou.
1863.
le conseiller prive Galakhof, a St.-Petersbourg.
1868.
l'Archimandrite Amphilochius, a Moscou.
1868.
le conseiller d'etat actuel Bestoujef-Rumine,
a St. Petersb. 1872.
le conseiller d'etat actuel Savvaitof, a St. Pe-
tersbourg. 1872.
le comte Leon Tolstoi. 1873.
le conseiller d'etat actuel Pavlof, a Moscou.
1873.
le conseiller d'etat actuel Porfirief, a Kazan.
1873.
le conseiller d'etat actuel Smirnof, a Moscou.
1874.
le conseiller prive Tchistovitch, a St. Peters-
bourg. 1874.
le conseiller d'Mat Potebnia, a Kharkof. 1875.
le conseiller prive Nicolas Lavrovsky,aNejine.
1878.
l'Archimandrite Leonide, a la Laure de la S
Trinite pres Moscou. 1882.
le conseiller d'etat Boudilovitch, a Varsovie.
1882.
le conseiller prive Boulitch, a Kazan. 1883.
le conseiller d'etat actuel Leonide Maikof, a St.-
Petersbourg. 1883.
te
KukuleviS-Sackzinsky, a Agram. 1855
Miklosich, a Vienne. 1856.
Hattala, a Prague. 1862.
Racki, a Agram. 1869.
Emler, a Prague. 1876.
Novakovid, a Belgrade. 1876.
Leskien, a Leipzig. 1876.
Rambaud, a Paris. 1876.
Milan Mili6evi6, a Belgrade. 1877.
Patera, a Prague. 1877.
Tomek, a Prague. 1878.
Nehring, a Breslau. 1881.
Matkovi6, a Agram. 1882.
Tomasek, a Gratz. 1883.
HaSdeu, a Bucarest. 1883.
L. Leger, a Paris. 1884.
Ralston, a Londres. 1885.
9
des Sciences do Saint -Pe^ersfoourj*.
lO
III. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE.
1. SECTIOM HISTORICO - POLITIQUE.
MM. le conseiller d'etat actuel Koutorga. 1848.
le conseiller d'etat actuel Skalkovsky, a Odessa.
1856.
le conseiller prive Eugene Lamansky, a St.-
Petersbourg. 1859.
le conseiller d'etat Vassilievsky, a St.-Peters-
bourg. 1876.
le general -major Doubrovine, a St.-Peters-
bourg. 1877.
le conseiller de college Goloubinsky, a Moscou.
1882.
| MM. H. Sauppe, a Gottingue. 1874.
le baron de "Witte, a Paris. 1875.
Ad. Kirchhoff, a Berlin. 1876.
Helbig, a Rome. 1876.
Newton, a Londres. 1876.
Fiorelli, a Naples. 1876.
Chr. Frohner, a Paris. 1877.
Henr. Keil, a Halle. 1877.
A. Rangabe, a Berliu. 1878.
M. Schmidt, a Jena. 1878.
H. Weil, a Paris. 1882.
Th. Gomperz, a Vienne. 1883.
3. SECTION DES LETTRES ORIENTALES
1883.
le conseiller d'etat actuel Zabeline, a Moscou.
1884.
le conseiller d'etat actuel NilusPopof,aMoscou. | MM.le conseiller d'etat actuel Chwolson, a St.-Pe-
tersbourg, 1858.
le conseiller d'etat actuel Ilminski, a Kazan.
1870.
le conseiller d'etat actuel Gottwald, a Kazan.
1870.
le conseiller d'etat actuel Bakradze, a Tiflis.
1879.
MM. Zachariae von Lingenthal, pres Mersebourg
1856.
Hildebrand, a Stockholm. 1859.
Renan, a Paris. 1860.
Ranke, a Berlin. 1860.
Schirren, a Kiel. 1864.
Thomas, a Munich. 1866.
Michaelis, a Berlin. 1868.
A. Maury, a Paris. 1872.
M. Amari, a Rome. 1873.
L. Stein, a Vienne. 1874.
E. Freemann, a Oxford, 1875.
Ferd. Hirsch, a Berlin. 1877.
A. von Gutschmid, a Tubingue. 1878.
H. Jireeek, a Vienne. 1882.
F. Loeher, a Munich. 1884.
S. Mueller, a Copenhague. 1885.
Fleischer, a Leipzig. 1849.
Roth, a Tubingue. 1855.
Weber, a Berlin. 1860.
Stenzler, a Breslau. 1867.
Spiegel, a Erlangen. 1870.
Wuestenfeld, a Gottingue. 1874.
F. Neve, a Louvain. 1875.
Wright, a Cambridge. 1876.
Kern, a Leyde. 1876.
Edw. Thomas, a Londres. 187$.
Noeldeke, a Strasbourg. 1885.
Schaefer, a Paris. 1885.
2. SECTION DE PHILOLOGIE CLASSIQUE ET D'ARCHEOLOGIE.
MM. le conseiller d'etat actuel Fr. Neue, a Stuttgart.
1848.
Wieseler, a Gottingue. 1856.
Cobet, a Leyde. 1857.
Henzen, a Rome. 1860.
Brunn, a Munich. 1861.
Mueller, a Copenhague. 1867.
Madvig, a Copenhague. 1871.
MM.
Aug
4. SECTION DE UNGUISTIQUE.
Ahlquist, a Helsingfors. 1875.
Pott, a Halle. 1855.
W. Whitney, a New-Haven. 1875.
Ascoli, a Milan. 1876.
Budenz, a Buda-Pest. 1876.
Jules Oppert, a Paris. 1883.
11
Bulletin de 1'Academie Impe>iale
13
D. Appartenances scientifiques.
1. Bibliotheque.
1 Section. Livres en langue russe et dialectes
slaves. Bibliothecaire: M. Pacadernicien Kunik.
Sous-bibliothecaire: M. Lambine. Aides: MM.
J. Gonsiorovsky et P. Syrku.
2'° Section. Livres en langues etrangeres. Biblio-
thecaire: M. Pacademicien Strauch. Sous-biblio-
thecaire: M. Fuss. Aides: MM. Oenmann et
et Peters.
2. Cabinet de physique. Directeur: M. Pacademicien
Wild. Aide: Chwol son. Mecanicien: M.Peter-
mann.
r
3. Laboratoire chimique. Directeur: M. Pacad&nicien
Boutlerof. Aides: MM. Zagoumenny et Kra-
kau.
4 . Cabinet mineralogique . Directeur i M. Pacademicien
Schmidt. Conservateur : M. Gobel.
5. Musee botanique. Directeur: M. Pacademicien
Maximovicz. Conservateur: M. Meinshausen.
6. Musee zoologique. Directeur: M. Pacademicien
Strauch. Conservateurs : MM. Poliakof, Mo-
ravitz, Herzenstein, Biichner et Pleske.
Preparateurs : MM. Ananof, P. Dessiatof,
Th. Dessiatof et Fizley.
7. Laboratoire physiologique . Directeur: M. Pacade-
micien Ovsiannikof. Preparateur: M. P. Per-
stchetzky. Aide: M. Veliky.
8. Musee asiatique. Directeur: M. Pacademicien W.
Radloff. Conservateur: M. Lemm.
9. Musee d' 'archeologie classique. Directeur: M. Paca-
demicien Stephani. Conservateur: M. Kiese-
rizky.
10. Cabinet de numismatique russe. Directeur: M. Pa-
cademicien Kunik.
1 1 . Musee ethnographique et anthropologique . Directeur:
M. Pacademicien Schrenck. Conservateur: M.
Russow.
12. Observatoire physique central. Directeur: M. Pa-
cademicien Wild. Aides: MM. Rykatchef 3e et
Belikof. Inspecteur des stations metSorologiques
M. Schonrock. Premiers observateurs : MM.
Bergmann et Rosenthal. Second observateur:
M. Mouratof. Calculateur: M. Chelkovnikof.
Mecanicien: Freiberg. — Section de MSteoro-
logie maritime: Aide M. Rykatchef 3e. Adjoint:
M. Neander. Physiciens: M. Sreznevsky et
Rensch. Calculateur: M. Zimikhof.
13. Observatoire magnetique et meteor ologique a Pav-
lovsh. Premier observateur: M. Leist. Seconds
observateurs: MM. Metz, Laurenty et Fride-
rich. Mecanicien: Dohring.
14. Observatoire physique de Tiflis. Directeur: M.
Miihlberg. Aide: M. Assafrey.
1 5 . Observatoire magnetique et meteorologique & Jeka-
terinbourg. Directeur: M. Abels.
16. Observatoire magnetique et meteorologique & Irkutsk.
Directeur: M. Stelling.
17. Archives de V Academic Archiviste: M. Chemiot.
Commissionnaires de PAcad&nie pour le d6bit de
ses editions, les libraires:
J. Glazounof, Eggers & C°, a St.-P6tersbourg.
M. N. Kymmel, a Riga.
Voss's Sortiment (G. Haessel), a Leipzig.
Diagnoses plantarum novarum asiaticarum. VI.
In-
sunt stirpes quaedam nuper in Japonia detec-
tae.
Scripsit C. J. Maximowicz. (Lu le 4 fe-
vrier 1886.)
Clematis ovatifolia Ito1) (Sect. Flammula DC. Div.
2. Maxim, in Mel. biol. IX, 588). Glabra pe-
tiolis scandens, caulibus striatis; foliis bipinnatisectis
jugis primariis 2 terminalique trisectis: foliolis petio-
lulatis tenue coriaceis trinerviis subtus pallidis lanceo-
latoovatis acuminatis integerrimis opacis; alabastris
oblongis acutis, sepalis 4 albis oblongolinearibus pa-
tentibus margine tomentellis, filamentis linearibus an-
theras lineares breve apiculatas superantibus ; carpellis
circa 8 glabris oblongis apice attenuatis , cauda rufes-
cente plumosa.
In Japoniae insula Nippon, prov. Kii, in montanis
1) CI. Ito Tokutaro,venerabilis ItoKeiske nepos, mihi nuper
plantas nonnullas misit, quibus passim nomina nova dedit.
13
des Sciences de Saint - Pelersbourg.
14
atra, numerosa abortiva inaequimagna angulata c<»c-
cmea.
Podophyllum japonicum I to.
In Japoniae montanis Togakushi (I to Tokutaro
folium 1 . et adumbrationem plantae florcntis cum figg.
analyticis misit).
Ex hisce figuris incertum manet, an sit anthera lon-
itudinaliter aperta DiphylleMe, an valvatim dehiscens
Podophylli. A Podophjlli speciebus omnibus differt
foliis ternatis, a P. peltato L. calyculo deficiente (?)
calyceque ante petalorum expansionem caducis, a
to
caducis, a P.
Emodi Wall, sepalis non 3, antheris aeque ac in planta
americana anguste oblongis, a P. pleiantho Hce et
P. vers/ petti Hce (in Journ. of bot. XXI, 175, 362)
floribus singulis albis, neque pluribus sordide rubris.
Florens pal
pennam corvinam crasso
Kumano, init. Augusti flor., Septembri fructif. (ltd
Tokutaro).
Similis CI. chinensi Retz., quae tamen differt foliis
semel pinnatisectis , segmentis concoloribus basi tan-
tum trinerviis et carpellis ovatis pilosis. Reliquae par-
tes conveniunt atque mensurae fere eaedem.
CI. terniflora Benth. Fl. Hongk. 7. in adnot. (lapsu
calami ternifolia) — nee DC.
Japonia (lib. Siebold), Liukiu (Tashiro subdefl.,
mis. Tanaka). China: Amoy (Fortune: A. 89),
Ningpo et ins. Putu (fide Forbes).
CI. Forbes in Journ. of bot. 1884, Septbr., spec,
authentica in herb. mus. Britann. examinans, Gl. ter-
nifloram DC. synonymam esse invenit CI. rectae L.
var. mandshuricae , Gl. ternifloram Benth. vero bene
distinguendam a Gl. chinensi Retz. segmentis latiori-
bus basi 5 — 7-nerviis, carpellis ellipticis. Quae igitur
de CI. terniflora DC. dixi in Mel. biol. IX, 596. ad
duas species spectant: Gl. ternifloram Benth. et (X
chinensem R e t z . , ad posteriorem autem pertinent specc.
omnia, praeter supra citata.
Paeonia obovata Maxim. Prim. fl. Amur. 29. Rgl.
Fl. TJssur. n. 41. F. Schmidt, Fl. Sachal. n. 29. P.
albiflora Miq.Prol. 197 etFr. Savat.Enum.1, 14 p.p.
Ito Keiske, Nipon San buts shi. Musashi, II, 3.
(fig. bona).
In Mandshuria orientali sylvatica ab Amur boreali
usque ad Usuri superiorem et ejus affluentes, nee non
circa Wladiwostok, sylvis frondosis atque mixtis hu-
mosis, ubique parce, fine Maji flor., Septembri fruc-
tif.; China boreali, ditione fl. Pekinensis (Tatarinow,
Bretschneider); Japonia (herb. Lugd. Bat. s. n. jap.
anishiariari P. albiflorae admixta): montibus Hakone,
init. Novbris. frf. (ipse, flor., Tschonoski, Savatier
n. 31. fl. s. n. P. albifl. fl. roseo), princip. Nambu
(Tschonoski, flor.); in graminosis circa Hakodate
rarius, med. Novbri frf., Kumagatake silva frondosa,
medio Julio fr. immat. (ipse).
A P. albiflora, quacum commutatur, differt folio-
rum teneriorum laciniis latioribus obtusis, flore duplo
minore subclauso et seminibus baccatis. Sepala alba I Podophyllum peltatum L. :
v. pallide rosea, filamenta rosea basi stigmataque pur- Nippon in alpibus (Tanaka, japonice Sankayo).
purea. Flos inodorus. Capsula matura intus rugosa Summitas speciminis florentis inissa dubia est ob
lilacinorosea. Semina perfecta azureonigra baccata, stamina tantum 6. Cetera: foliorum indoles, floris
came tenui aquosa, succo atramentario , testa laevi | insertio, stamina, stigma fungosum — omnino identica;
basi squamis 2 (?) membranaceis fulto, apice diphyllo,
foliis suboppositis , flore inter folia 1 quasi terminali.
E foliis duobus inferum tenuius petiolatum serius
evolutum videtur, petiolo primum quam limbus duplo
breviore, postea (flore subdeflorato) limbum fere duplo
superante. Limbus 3 - foliolatus : foliola petiolulata,
medium longius petiolulatum, omnia petiolulis longiora.
Foliol
terminale cordatoorbiculatum leviter sub
quinquelobum lobo terminali passim trilobulato
vium, sub anthesi pollicare, plene evolutum
12 cm.
totidemque fere latum, lateralia non v. vix
obliq
cordatorotundata
rotundatoovata
lobata cum lobulis 2 accessoriis versus basin
*
branacea subtus
lm lobis obt
Pedunculus
lyce brevior. Flos erectus 6-sepalus, (?), 6-
bus, diam. 2 cm. Sepala ovata trinervia pe
tentia rotundata duplo breviora basi «necta
ovalibu
Stamina 6 petalis opposita
et breviora, filamento crasso inter nectaria locato flavo,
anthera grisea lata .... Stigma germini brevi late tur-
binato impositum amplum peltatum area terminali
rotundata margine radiatim in lobos 6 contiguos di-
viso. — Reliqua ignota.
?
15
Bulletin de rAeadenile Imperiale
16
pubes tamen paginae folii inferioris ad basin nervorum
parcissima.
Macropodium pterospermum F. Schm. Fl. Sachal.
113 t. 2.
Nippon: prov. Senano in alpe Kumaga-take , flor.
(prof. Yatabe; japonice Hakusen nadzuna).
Species nunc florens lecta figurae plantae fructiferae
supra citatae simillima. Kacemus sub anthesi fere
aequilongus. Pedicelli sepala aequantes, utraque cum
rhachi dense breve puberula. Sepala basi aequalia li-
nearia obtusa viridia anguste albomarginata erecto-
patula. Petala vix longiora alba, erecta, lamina utrin-
que attenuata sepalis duplo angustiore, unguem filifor-
mem vix superante. Filamenta filiformia, longiora pe-
talis fere 2-lo longiora. Antherae lineares ochraceae.
%
Glandulae 4 crassae amplae inter stamina. Stipes
germine utrinque attenuato linearioblongo stigmate
truncato sessili longior.
Senebiera pinnatifida DC.
Bonin-Sima (prof. Yatabe).
Jam prius (Engl. Bot. Jahrb. VI. 58) innotuit S.
integrifolia DC. in ins. Liukiu a Tashiro dctecta.
Polanisia viscosa DC.
Liukiu: ins. Miyako juxta Formosam (Tashiro,
1880 fl. c. fr.).
Silene foliosa Maxim., a Franch. et Savat. I, 47.
sub S. tatarica § foliosa Rgl. enumerata sine loco
natali speciali, nunc accepta e Yezo, prope Otaru,
Julio 78 fl. s. nom. Yezo mantema (mis. prof. Yatabe).
Stellaria yezoensis. Ultrapedalis caesioglauca, caule
debili tetragono flexuoso atque panicula glaberrimis,
foliis chartaceis ad bases costamque subtus pilosis
margine parcius ciliatis, basi rotundata sessilibus cum
opposito margine membranaceo junctis, sensim atte-
nuatis acutissimis oblongolanceolatis margine undu-
latis; cyma terminali pluriflora membranaceobracteata
bracteis lanceolatolinearibus passim ore parce pilosis;
pedunculis pedicellisque elongatis patulis fructiferis
deflexis, sepalis lanceolatis acutis 1-nerviis late albo-
marginatis, petalis nanis bipartitis laciniis linearilance-
olatis subfalcatis, staminibus 10 inclusis, sty lis 3 (4,
imo 5); capsula oblongoovali calycem fere duplo super-
ante ad basin 6 ( — 10)-valvi; seminibus circiter 20
late ovalibus compressis laevibus cinnamomeis.
Yezo , ad Shiraoi , unde japonice Shiraoi hakobe , 2
Aug. 78 fructif. (mis. prof. Yatabe).
Proxima & discolori Turcz., quae glabritie, foliis
obtuse acuminatis cet. differt , affinis etiam S. chinensi
Rgl., a qua tamen foliis haud acuminatoovatis, inflo-
rescentia non alari, semine laevi atque pube distat.
Folia 60:11 mm. magna. Sepala sub anthesi 2,5
mm., in fructu 3,5 mm. longa. Capsula matura 6 mm.,
semina 0,5 mm. longa.
Hypericum senanense.(Sect##pencwm Spach) Simplex
flaccidum glabrum , caule tereti inani tenui , foliis
tenuibus subtus glaucis pellucide punctatis e basi ses-
sili subcordata ovalioblongis obtusis; inflorescentia
foliata 2 — 3-flora, pedicellis flore brevioribus, sepalis
lanceolatolinearibus acutis petalisque triente longiori-
bus obovatis nigrolineatis , staminibus 3-adelphis se-
pala stylosque paulo superantibus , anthera cum glan-
dula innata nigra, ovario ovoideo 3-loculari sty lis
sesquibreviori stigmate capitellato.
Nippon: prov. Senano alpe Kumaga-take, 27 Juli
80 flor. (prof. Yatabe).
Affine H. Seniawini m., sed oliganthum et sectione
distinctum.
Hypericum yezoense. (Brathys Spach.) Humile sub-
simplex glabrum, caule lineis decurrentibus subqua-
drangulo, foliis approximatis crebre et majuscule pel-
lucide punctatis ellipticolanceolatis, ex axilla minute
foliigeris, inflorescentia foliata terminali oligantha,
pedicellis flore brevioribus, sepalis inaequalibus lan-
ceolatis v. oblongolanceolatis corollaque duplo longiore
parce nigropunctatis , petalis oblique obovatooblongis;
staminibus circa 50 3-adelphis, anthera cum glandula
nigra innata petala fere stylosque 3 aequantibus,
stigmate punctiformi, ovario trisulco late ovoideo 1-
loculari.
Yezo, circa Hakodate, 20 Juli 78 flor. (prof. Yatabe).
Affine H. Kamtschatico Ledeb., quod nuper et ex
Nippon in Togakushi-yama lectum s. n. Iwa otogiriso"
a cl. Tanaka accepimus.
Calophyllum Inophyttum L. Hook. Arn. Bot. Beech.
60, 160.
A Hookero et Arnott ex ins. Societatis et Bonin
enumeratur, ante oculos habeo z Bonin-Sima a Wright
fl. et fructif. lectum, arbuscula ramosa succo lacteo
17
den Sciences de Saint- Pet crsbours
19
dictum, nee non frf. s. n. Yarabo a Yatabe missum,
et e Liukiu, ad oppidura Napa-Kiang, in luco, fruticem
modicum trunco recto formans (Dr. Weyrich, fl.,
Tashiro frf).
Adinandra Milletti Benth. et Hook. Gen. pi. I,
183. Cleyera Millettii Hook. Am. Bot. Beech. 171,
t. 33.
Archip. Liukiu ins. O-sima (Tashiro, cum alab.),
Formosa (Oldh.! n. 37 fr. mat., sine nom.), prov. Can-
toniensi, montibus Pakwan (Ha nee! fl.).
Fructus maturus indehiscens loculis 1 — 2-spermis.
Semina 2 mm. longa angulatoovoidea, basi affixa, nigra,
testa seriatim fossulis rotundatis sculpta. Ovula in lo-
culis ovarii placentae convexae dense inserta, numerosa.
Sepala interiora dorso margineque dense sericeopilosa,
in fructu fere glabrata , praeterea margine fimbriis
parcis carnosis breve subulatis instructa.
Actinidia Lindl.
Hujus generis apud autores e Japonic species 6
enumerantur, e China 2, quibus noper addidit subdu-
biam tertiam {A. Davidi) cl. Franchet, et ex India
2, e quibus fide Anglorum A. cattosa Lindl. usque
in Mandshuriam et Japoniam occurreret et A. Kolo-
miktae synonyma esset. Omnes has species, sola A.
JJavidi Franch. excepta, examinare potui. Constituunt
series duas: alteram chinensem foliis subtus ovarioque
dense tomentosis, alteram indicojaponicam foliis subtus
viridibus glaucisve haud tomentosis.
Seriei chinensis species 2 :
1. A. Championi Benth. Fl. Hongk. 26. Foliis
ovatis acuminatis, peduncnlis elongatis multifloris, flore
semipollicari.
/
Hongkong!
2. A. chinensis PI. in Hook. Lond. journ. bot. VI,
303. Fol. rotundatis apice truncato subito breve mu-
cronatis, pedunculis brevibus paucifloris, flore pollicari.
China media (Fort.!).
Huic ex diagnosi valde similis videtur A. Davidi
Franch. PI. David. I, 57, e Kiangsi orientali. Calyx
in fructu maximo lato ovali maximus persistens dicitur,
in A. Championi hucusque indescriptus.
Series indicoj < t ponicu ex mea investigatione species
liabet 5:
Tome XXXI.
3
a. Folia lucida chart a < < a.
3. A. callosa Lindl. Nat. syst. ed. 2, 439. Glabra,
foliis chartaceis lucidulis ellipticis basi acutis, cymis
plurifloris, flore albo semipollicari, ovario conico dense
rufotomentoso stylo 0 stigmatibus brevibus acutiu-
sculis, «fructu ovoideo sparse verrucoso». Dyer in
Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 286.
Himalaya temperata, a Garhwal ad Bhotan, fide
Dyer. Ipse vidi e Nipalia a Rudge et e Sikkim a
T. Anderson lectam, utramque florentem.
4. A. strigosa Hook. f. et Thorns, in Journ. linn.
soc. V, 55. Strigosohispida, pednnculo paucifloro, flore
/4 poll. diam. Dyer 1. c.
Hiwalaya: Sikkim (Hook. f. Th.), Khasia (Griffith!
n. 57).
Praeter characteres datos praecedenti similis, mihi
non satis nota; equidem tantuni ramorura corticem
dense strigosohispidum video.
5. A. argida PI. in herb. Lugd. Bat. Glabra v. sub-
tus ad axillas rufobarbata v. simul ad costam setoso-
pilosa, foliis late ellipticis subito acuminatis basi subito
acutis v. vulgo truncatis subcordatisve argute setoso-
serrulatis; cymis plurifloris, flore viridialbo inodoro
semipollicari; ovario fertili globoso glabro stylo crasso
brevi cum stigmatibus stellatopatentibus in fructu de-
mum deciduo, fructu subgloboso laevi dulcissimo. Fr.
Sav. Enum. I, 58. Miq. Prol. 203. F. Schm. Fl.
Sachal. n. 90. A. cordifolia Miq. 1. c. Trochostigma
arguta Sieb. Zucc. Abh. Munch. Acad. Ill, 727.
Per totam Japonia-m, Sachalin australi, in Man-
dshuria australi circa "Wladiwostok et Portum Bruce,
nee non in Schin-king(Ross!); China boreali. in mon-
tibus a Pekino ad occidentem (Bretschneider). Japo-
nice: Shira-kutschi vel Saru nashi.
Quura in omnibus Actinidiis japonicis folia quam
maxime variabilia sint, A. cordifolia Miq. vix varietas
dicenda est: folia latiora leviter cordata, subtus ad
axillas venarum omnium rufobarbata, serraturae den-
siores. Talia exempla latifolia et simul macrophylla
praesertim silvis umbrosioribus propria sunt, maxim*
macrophylla e Mandshuria vidi, ubi simul serraturae
latiores minusque argutae. Pubes in nonnullis secus
costam subtus densa setosa primo obtutu valde pecu-
liaris videtur, sed possideo ramos innovantes ubi adest
in foliis inferioribus , in superioribus autem deest.
barbulis axillaribus solis evolutis.
2
19
Bulletin de l'Academie Imperial**
*o
ufo
Ludit foliis subtus glaucis (ad axillas eximie :
barbatis). Talem ex prov. Idzu misit Yatabe.
Var.?rnfa. A. rufa Miq. T. rufa Sieb. Zucc.
Foliis minus argute serrulatis, sepalis rufotomentosis
(in typo dorso glabris v. pilosis, margine ciliatis).
Archipel. Koreanus (Oldh.! n. 94, $), Japonia au-
stralis: Osima (Wright! $).
Fructu in lioc genere optimas differentias praebente
Horeque $ ignotis, planta dubia raanet, ex charac-
teribus datis specie nondum sejungenda.
b. Folia membranacea opaca.
6. A. Kolomikta Maxim. Fl. Amur. 63. Foliis sub-
i secus nervos pubescentivillosis argute mucronato-
ratis e basi cordata oblongis v. ellipticis subito cus-
pidatis; ped
3-floris
inferioribus
pproximatis ramorum postea apice valde elongando
rum; fiore albo odoro
labro stigraatibus 12
ipolli
ovario globoso
b
6 inordinate patentibus
silibus turn caducis, fructu cylindricooblongo obtusis-
■
simo dulcissimo. F. Schm. Fl. Sachal. n. 89. Prunus?
Kolomikta Maxim, in Bull. phys. math. acad. Petersb,
XV, 129. Kolomikta mandshurica Egl. ibid. 219.
7'roc/iostigma Kol. Rupr. ibid. 261. Actinidia platy-
phyllaA. Gray! in Miq. Prol. 203. Fr. Sav. 1. c. 58.
Mandshmd orientalis sylvatica, ab Amur infer.
e ad limites Koreae sylvis acerosis frondosisque
umbrosis frequens; Sachalin a Dui versus meridiem;
ins. Yezo frequens (Small!, ipse); Nippon media
iTschonoski).
Planta circa Hakodate a Wilford lecta, a herb.
Kew. s. o. A. ccdlosae distributa, componitur e ramulis
florentibus A. argutae et A. polygamae, ilia ab eodem
collectore in littore Mandshuriae lecta ad A. Kolo-
mikta pertinet.
7. A. polygama Miq. 1. c. Foliis subtus ad costam
puberulis ad reticulum utrinque parce crasse setosis
ellipticis acuminatis basi acutis mucronato-serrulatis;
pedum ulis vulgo 1- rarius usque 3-floris secus ramos
elongatos novellos axillaribus; flore albo pollicari sua-
veolente: fructu calyce persistente fulto e cylindrica basi
conico in stylum persistentem stigmata brevia erecta
ferentem attenuato, acri. Fr. Sav. Enum. I, 59. F.
Schm. Fl. Sachalin. n. 91. Trochostigma polygama
Sieb. Zucc. 1. c. tab. II. f. 2. T. volubilis et T. re-
panda Sieb. Zucc. 1. c. (haec, forma foliis latioribus,
est simul A. polyg. p. latifolia Miq.). A. volub. (quae
forma foliis angustioribus) Miq. 1. c. 204. Fr. Sav.
En. I, 59.
Per totam Japoniam in sylvis fruticetisque subal-
pinis frequens; etiam in Tsusima (Wilford steril.);
in Sachalin australi; in Mandshuria australi: insula
Russki, sinu Possiet cet. — Japonice Matatabi.
Fructus maturus a reliquis japonicis quum forma,
turn colore flavescente nee viridi et gustu diversissi-
mus. Sapor primum mucilaginosus, turn vero cito
omnes ductus glandularum salivalium in ore inflam-
mantur et saliva vehementissime diuque movetur. Fri-
gore captus fructus innocuus fieri dicitur.
Haec atque praecedens folia in apice surculorum
innovantium media aestate passim tota v. partim alba
(v. tempore frigidiore autumnali demum rosea) format.
Apud nos utraque frequenter colitur, Petropoli tamen
semper tantum flores masculos profert.
Schima Noronhae Reinw. Benth. Fl. Hongk. 29.
Bonin-Sima (frf. s. n. Hime tsubaki misit prof. Ya-
tabe), Liukiu s. n. J-dshiyn mis. Tanaka); in China:
Hongkong (Hance!), prov. Anwhei (Heude!). Prae-
terea in Malacca (ex Benth.) et Java (Reinw.!).
Abutilon indicum Don. Benth. Fl. Hongk. 32.
Mast, in Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 326.
Bonin-Sima ( W r i g h t ! , Ya t a b e ! ) ; Hongko ng ( H a n c e
ex Bentham), Formosa ad Tamsuy (Oldh.! n. 49 frf.).
Hibiscus Manihot L. H. japonipus Miq. Prol. 207.
Fr. Sav. En. I, 64 et 65.
In Japonia certe tantum cultus, e China, ut ajunt,
introductus.
*
• __
Species a Miquel proposita,plantae tantum sesqui-
pedali, foliorum laciniis basin versus attenuatis latiori-
bus superstructa, ne minime quidem a pi. indica differt,
ubi folia similia in planta magis juvenili semper evo-
luta ^veniuntur, v. gr. spec. Wallich! n. 1926.
Hibiscus tiliaceus L. Cod. 5082. Bth. Fl. Hong. 35.
Bonin-Sima (Wright!, Yatabe! s. n. Yama asa);
Formosa, Hongkong (Fort. n. 87, Wright!) et late
distributus in tropicis omnibus.
Var. H. HamaboSieb. Zucc. Fl. Jap.1, 176.t.93.
Foliis basi attenuata leviter cordatis v. truncatis bre-
vius petiolatis, inferioribus latioribus quam longis,
«I
«les Sciences de Saint - Petcrftbourg.
**
omnibus totoque frutice minoribus. Miq. Prol. 207. I acutis v. breve obtuse attenuatis ineque caudatoacu-
Fr. Sav. Enum. I, 63. Grotonfoliis subtus tomentosis. minatis), petiolo haud v. anguste alato, aculeis magi>
Thunb. Fl. Jap. 353. pi. obsc. n. 22.
compressis saepe multo latioribus. Tale, semper sibi
Kiusiu: in littore circa Nagasaki, frutex tripedalis, simile, occurrit sponte in Japonia au strali et media, et
medio Julio fl., Septbri frf. (ipse) et ibid, ita ac per eandem plantam nuper accepi e Chinae prov. Kiang-su
totam Japoniam cultus.
(Feng-wang-shan, Majo 79 fl.) et in hortis Shanghai
Flores, fructus et semina omnino ut in typo, ita ut cultam Novbri 80 frf. (Forbes!),
supersit statura minor et foliorum inferiorum forma. In China australiore vero, jam prope Amoy, verum
Sed vidi specc. Sand vice nsia aeque breve petiolata, fo- Z. alatum Roxb. crescere videtur, a Hance in Ann.
lia basi attenuata etiam vix cordata, longiora tamen sc. nat. 5 ser. V, 209 sub nom. Z. Bungei (non Plan-
quam lata, omnino igitur transitum ad typum efficien-
tia. «Pori lineares» supra basin nervorum folii trium
subtus, quorum mentio facta apud DC. Prodr. I, 454.
interdum adsunt tantum in nervo medio, interdum
obsoleti sunt. In H. Hamabo nervo medio in foliis non-
nullis etiam observantur, potius autem rimae videntur,
interdum minus profunde sursum et deorsum conti-
nuatae et in sulcum petioli abeuntes.
rens.
Hibiscus mutabilis L. Cod. 5087. DC. Prodr. I, 452.
Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 344. Thunb. Fl. Jap. 272.
Miq. 1. c. Fr. Sav. Enum. I, 64.
China (Fort.! A. 119): Formosa ad Tamsuy (Oldh.!
n. 48), Liukiu (Wright! flore minore, foliis superio-
ribus trilobis distincte regulariter crenatis); Japonia:
ad Nagasaki et Yokohama cultus, fine Septembris flo-
Ex De Candolle originis indicae, ex Mas-
ters in FL Ind. e China ortus arborescens dictus, for-
tasse in Liukiu spontaneus. In Japonia herbaceus est,
quotannis e radice truncos plures usque orgyales erait-
tens, floribus tectos innumeris pallide roseis fundo pur-
pureis.
Corchorus acuta ngulus Lam. Bent h. Fl. Hongk. 4 0 .
Liukiu, ins. Miyako (Tashiro! sub nom. jap. Tuiiaso
raodoki): China: Hongkong (Benth.), ad lacum prope
Kiu-kiang (Shearer!), nee non in tropicis.
Euodia Lamarckiana Benth. Fl. Hongk. 5 9 . cum synn.
Liukiu (Wright!): ubique ad ostium aestuarii Napa,
arbor 3 — 4-raetralis, Junio 82 fl. (Tashiro! s. n.jap.
Awadan); China: Formosa ad Tamsuy (Oldh.! n. 61),
Hongkong (Hance!, Wright!, Forbes!), Canton
(Wawra! n. 501).
Zanthoxylon planispinum S i e b . Z u c c .
chon) descriptum.
Murray a exotica L. Benth. Fl. Hongk. 50.
Liukiu (Tanaka!).
Aglaia odorata Lour. Fl. Coch. I, 173. Hook. Am.
Bot. Beech. 171, t. 34. Hiern in Hook. f. Fl. Brit.
Ind. I, 554. C.DC.inA.DC.Monogr.Phanerog.1.602.
Liukiu (Tanaka, fl. $ s. n. jap. Moran); China
australis!; India (Royle!) horto Calcutt. culta (Wal-
lich! n. 1235), Malacca, Ceylon, Java.
Nostra specc. foliis 1-jugis gaudent, figg. vero
coraparatae bijuga ostendunt, in descriptione autem
et 1-juga occurrere dicuntur.
Euonymus Tanakae. Arbuscula sempervirens glabra,
foliis chartaceis petiolatis ellipticis utrinque pi. m.
(apice interdum subito brevissimeque) attenuatis subtus
pallidioribus obsolete usque 8-costatis opacis, basi
excepta serrulatocrenulatis cum mucrone adusto ap-
presso turn deciduo in quavis crena; cymis multifloris
folia subaequantibus v. superantibus, pedicellis longi-
tudine florum, flore majusculo 4-mero albido, sepalis
depresse semiorbicularibus purpureo denticulatis, pe-
talis carnosis rotundatis, filamentis ipsi disco impositis
antheram superantibus, stylo conico distincto, cap-
sula
Kiusiu, japonice Kokutengi (Tanaka!, Tashiro'
Huic proxima E. japonica Thunb. differt foliis
saepissime obtusis v. acutis distinctius crenatis 4 — 6-
costatis, cymis magis multifloris ramis divaricatis nee
patulis, flore duplo minore, sed structura floris fere
eadem. Fructus hucusque ignotus fortasse alias diffe-
rentias ostendet. E. crenulata Wall, diftert pedun-
culis trifloris et foliis subintegris.
Folia in specc. 2 suppetentibus in altero fere ob-
Bene distinguendum a Z. alato Roxb foliis 1 — 3- tusa subito acutata, petiolo 8 — 10 mm., lamina 60 : 40
jugis (neque 3 — 6-jugis), foliolis latioribus obtusis | usque 75 : 35 mm. magna, in altero acuminata petiolo
2*
33
Bulletin cle 1'Acadeniie Imperlale
24
8
15 mm., lamina 35 : 15 usque 75 : 35 mm. Pe-
dunculus communis secundariis sesquilongior et turn
cyma divitior et flores pedicellis 5-i ordinis insidentes,
vel pedunculis secundariis multo longior et cyma turn
abortu 3 — 7-flora pedicellis 3-i ordinis jam florigeris.
Calyx diam. 5 mm. Petala 5 mm. Anthera lutea di-
ilyma connectivo atropurpureo cum filamento crasso
articulata et facile caduca. Ovulain loculo 2 — 3 hori-
zontalia.
Euonymus Tashiroi. Arbuscula glabra sempervirens,
foliis chartaceis brevissime petiolatis ellipticis ovato-v.
lanceolato-ellipticis obtusis v. breve obtuse attenuatis
v. rarius acutiusculis tenuiter venosis subiDtegris v.
basi excepta obsolete distanter crenulatis; pedunculis
axillaribus solitariis v. geminis abortu 1-floris florem
duplo superantibus; flore 4-mero albido, sepalis de-
presse semiorbicularibus minute dense denticulatis,
petalis orbiculatis integris v. denticulatis, filamentis
styloque nullis ; capsula ...
Liukiu (Tashiro 1882 for.)
Ex affinitate E.javanicae Bl. et E. indicae Heyne.
Prior abhorret foliis maximis oblongis, secunda petiolis
elongatis, foliis acuminatis, pedunculis saepius 3-flo-
ris, utraque flore 5-mero, petalis fimbriatis, filamen-
tis styloque distinctissimis.
Petioli 2 — 3 mm., lamina 48 : 20 usque 85 : 50 mm.,
costis primariis circiter 5 et inter illas totidem minus
distinctis. Calyx 5 mm., petala 3 mm.
Microrhamnus franguloides Maxim. Rhamn. or.
asiat. 4, fig. 15 — 23. Ehamnella j aponica Miq. Prol.
218. Franch. Sav. Enum. I, 81. Berchemia congesta
S. Moore in Journ. bot. XIII, 226 (ex descript. et
loco natali).
Stationibus adde: Kiusiu prov. Hiuga ad Miyako-
nojo, Augusto 82 frf. s. n. japon. Nekonoshishi mis.
Yatabe. China: Shanghai (Maingay ex Moore,
Siebold! 1859, Forbes! flor.)
Genus Microrhamni A. Gray a Baillon, Hist, d
pi. VI, 82, quoad speciem americanam ad Gondaliam
Cav. ducitur, quoad speciem asiaticam vero non sine
dubio ad Ehamnum ipsam (p. 52), verosimiliter ob
solum habitum, qui Miquelium induxit generice
sejungere sub nomine Bhamnellae. Habitus diffe-
rentia tamen inter utramque Microrhamni speciem
non major quam inter Ehamnos occurrit, characteres 10
vero in utraque iidem et quum a Ehamno, turn a Gon-
dalia diversissirai, scil. sepala intus cristata, petala
evoluta, discus crassissimus, putamen osseum crassum
1-spermura. In Condalia vero sepala membranacea
ecristata, petala nulla, folia integerritna, in Rhamno
sepala ecristata, discus tenuis, drupa 2 — 4-pyrena
pyrenis cartilagineis saepe dehiscentibus. Etiam nunc
igitur censeo, Microrhamni genus cum ejus speciebus
2 servandum esse. — Exempla Forbesi e Shanghai
cristara sepalorum media longitudine dente distinctis-
simo auctam habent.
Acer Tschonoskii. Foliis A. micranthi S. Z., racemo
erecto 6 — 10-floro, pedicellis flore duplo v. triplo
longioribus, petalis sepala parum superantibus utri-
busque subobovatis, starainibus intra discum positis
hypogynis, samarae loculis horizontaliter patentibus,
alis triplo longioribus pi. m. incurvis oblique oblongis.
Nippon: ex alpe Nikko (fructif. s. n. jap. Isanoha-
kaide et e Senano s. n. Ogarabana (cum A. spicato
confuso) fructif. et fl. £ commun. Tanaka. E prov.
Nambu olim fr. immat. misit Tschonoski.
In enumeratione mea in Mel. biol. X, 594. locum
tenet in Divis. 2. florib. racemosis foliis lobatis et
serratis, et juxta A, micranihum S. Z. 1. c. 598. po-
nendum est. In Aceris monographia nuper inchoata
a Pax in Engl. Botan. Jahrb. VI, 328. locum tenere
videtur inter IV. Perigyna, sect. 12. Macrantha. Sta-
mina perigyna tamen, saltern in Macranthis, in solis
floribus J1 adesse videntur, ubi vero flores $ noti hypo-
gyna sunt. Sectionis nomen Macrantha infeliciter se-
lectum, dum duae ejus species A. micranthum, et
A. parviflorum nominantur et nulla e speciebus hue
pertinentibus re vera flores magnos habet.
Species proposita arete A. micrantho affinis, a qua
sterilis non distinguenda. Imo pubes rufa in axillis
costarum principalium subtus in utroque eadem, sed
fortasse adest differentia in eo quod exempla pube
copiosiore donata A. micranthi barbulas ad axillas ve-
narum secundariarum
pubes aucta secus tot
formant
Tschonoskii vero
petiolum
princi
Flores in racemo A. micranthi
dupl
saltern numerosiores
usqu
20) et minores
4,5 mm. neque 5,5 mm.), petala oblonga sepala
rotundata plus duplo superantia. Samara A. micranthi
quilat
25
des Sciences de Saint - Petersboiiry.
36
latiore, ad 4 mm. lata, loculi cum alis angulo obtu-
sissimo patentes. Samara A. Tschonoskii 18 — 22 mm.
longa, ala ubi latissima 6 — 8 mm. lata.
Acer Sieboldianwn Miq.
Acceptis nuper exemplis floriferis e Mandshun a ,
supellectilem meam denuo examinavi et speciei sat
polymorphae varietates sequentes distinguo:
a. typicum: pedunculis petiolis foliisque juvenilibus
cinereotomentosis, lamina foliorum majuscula (7 —
9 cm.) vulgo 11-loba v.-partita laciniis inaequaliter
argute v. rarius incumbenter incisoserratis, pedunculis
corymbum densiusculum multiflorum 2-lo v. plus 2-lo
superantibus, flore Havescente, antheris virgineis pul-
vereoscabris, samarae ala latiuscula versus nuculam
3-lo breviorem valde angulatam ceterum laevem parum
attenuata .
Spontanea in alpibus Kiusiu interioris, culta in
hortis Yedo.
(J. mandshuricum : pedunculis petiolis foliisque pi.
m. villosis tomentosisve, lamina majuscula (8 — 10 cm.)
9—
—11-loba v.-fida laciniis patule incisoserratis, pe-
dunculis corymbum laxiusculum aequantibus v. usque
2-lo superantibus, sepalis purpureis, petalis flavidis,
antheris virgineis laevibus, samarae ala nuculam 4-lo
superante ceterum ut in a.
In Mandshuria austroorientali.
Y- micropliyllum : pedunculis petiolis foliisque villo-
sis, lamina parvula (5 — 6 cm.) 7 — 9-fida laciniis ut
in (3., pedunculis corymbo laxo plurifloro brevioribus
v. aequilongis, flore var. a., samarae ala basi duplo
angustiore nuculam angulatam opacorugulosam pilo-
samque 5-lo usque superante.
Nippon montibus Hakone (Tschonoski fl. et frf.).
S. torluosum: tortuosoramosissimum, pedunculis pe-
tiolis foliisque pilosis adultis glabris, lamina parvula
cm.) 9 — 11-fida patule incisoserrata , pedunculo
quam corymbus pauciflorus breviore, antheris virgineis
laevibus, flore ceterum ut in a., samara. . .
Hakone (Tschonoski fl. incip. cum folio 1 superstite
vetusto). Hue fortasse Savat. n. 186 e Yokoska, fructu
delapso, s. n. A.japonici, ob ramos tortuosos et nodo-
sos, nisi melius ad x. ob folia lobata.
Characterem igitur e scabritie antherarum petitura
in omnibus varr. non tarn constantem inveni. Scabri-
ties ilia e eranulis flavis acutiusculis constans in an-
thera dehissa vulgo obsoleta tit (granulis caducis?),
sed non in omnibus floribus ejusdem cory mbi observatur.
Forma sepalorum (oblonga) et petalorum (rotundata
undulata passim apice obsolete subtri lobata) atque ra-
tio eorum in omnibus varr. eadem.
Acer mandslmricum Maxim.
Mandshuria austroorien talis: jugo inter ditionem
rossicam et sinicam finitimo, circa fontes fl. Sedemi,
non procul a limite Koreano, Juuio 84 subdefl. $
(M. Jankowski). Ligno incolae lignarii utunturv.gr.
in curris conticiendis. ex collectore.
Ramuli 2 brevissimi nunc missi ex parte lignosa
5 mm. et innovante 2 mm. longa constant, perulis jam
delapsis, foliis 2 subtus pallidioribus et secus costam
villosulis, reticulo utrinque prominente. Corymbus
terminalis 3-florus pedunculo communi 4 vel 10 mm.,
bracteis 2 hyalinis oblongis oppositis, pedicello termi-
nali nudo praecociore 30 mm., lateralibus e bracteae
axilla ortis 25 mm. erectis firmis. Flores viridiflavi
omnes fertiles, diam. 1 4 mm. Sepala oblonga obtusa
7 mm., petala late obovata 8 mm., utraque reticulato-
venosa. Discus crassus lobulatus extrastaF leus et
inter filaraenta intrusus. Stamina 8 petala ; .uantia
filamentis subulatis firmis antheris anguste oblongis
laevibus ochraceis, dehiscentibus quidem sed utvidetur
vacuis. Samara juvenilis petala jam fere 2-lo superans
atropurpurea alis erectopatulis. Stylus stigmata 2 re-
voluta subsuperans validus, nunc dimidiam alam exce-
dens. Loculi ovarii rite axi approximate angulo supe-
riore interno ovulum appensum suborbiculatum foven-
tes, excavatione basali nunc ne indicata quidem.
raara basi demum excavata evadit post fecundationem
igitur, unde character hie non magni aestimandus vi-
detur, et species haec locum prope A, nikoinse, quern
in Mel. biol. X, 609 assignavi servare potest, in syste-
raate Paxiano sect. 4. Trifoliatis (1. c. 326) inserenda.
Dodonaea riscosa L. Hiern in Hook. f. Fl. Brit.
Ind. I, 697.
Bonin-sima (Yatabe steril.), Liukiu (Tashiro, la-
tifolia frequens, angustifolia tantum in ins. Miyako
observata, utraque frf.). China: Formosa (Old h.! frf.),
Fu-tschau (Dr. Augustinowicz frf.), ex adverso
Amoy, in ins. Ku-lung-su (Hance! flor.). In India et
per tropicos.
27
Bulletin de l'Acad^mie Imperiale
38
Turpinia pomifera DC. Prodr. II, 3. (3. nepalensis
Hiern in Hook. f. Fl. Brit. Ind. I, 699.
Kiusiu: Satsuma, 23 Mai 79 fl. incip. s. n. Shoben-
noki(Yatabe!), U-sima (Wright! flor.); China australi:
Hongkong
o
(Hance!, Wright, Forbes!), Yunnan Desv.)6.
Suffrutices caulibus 0 saepe basi lignes-
ceatibus. 9.
4. Folia 1-foliolata {Sect. Pterdoma Desv.)...D. triquetrum DC.
Folia 3-foliolata. 5.
5. Bracteae orbiculatae amplae persistentes im-
bricatae flores tegentes (Sect. PhyUodium
(Hiern), India orientali !
Oxytropis japonica. (Sect. Caeciabia Bge.). Subacau-
lis elongatocaudiculosa viridis, stipulis alte petiolari-
bus obtusis 1-nerviis, foliolis 3 — 5-jugis linearioblon- 1 ^A-)8,
gis subattenuatis planis supra glabris subtus pilosis;
scapis folia aequantibus bifloris ; calycis tubulosi nigro-
alboque pilosi dentibus tubo V, brevioribus, corolla coe-
Bracteae elongatae parvae deciduae. 7.
6. Legumen sericeovillosum articulis vulgo 3. . .D. elegans Bth.
Legumen glabriusculum v. ciliatum articulis
1 — 2.. . .D. ptdchelium Bth.
7. Inflorescentia axillaris (Sect. Dendrolobium
rulea subduplo longiore, vexilli lamina orbiculari emar-
ginata alas obovatas truncatas aequante carinam breve
apiculatain superante; legumine obcompresso anguste
oblongo utrinque subito acuminato membranaceo bre-
viter inclusostipitato dependente dorso piano ventre
medio bicostato 2-loculari sub 20-spermo.
Nippon: Senano, alpe Komaga-take, 2 Aug. 80 flor.
fr. immat. s. n. Oyama yendd mis. Yatabe 1884.
Inter 0. revolutam Ledeb. kamtschaticam et 0.
nigrescentem Fisch. orientalisibiricam. Prior differt
legumine stipitem aequante breve oblongo basi rotun-
dato, stipulis reticulatovenosis, posterior stipulis con-
huj
>/ovario sessili, sed 1
Omnes oartes in his
bus sat similes et subaequimagnae, ita ut descriptione
fusiore vix egeant.
Zornia diphylla Pers. Benth. FL Hongk. 80. et in
Mart. FL BrasiL XV, 80, t 21, 22. Hook. f. FL
Brit. Ind. II, 147.
Sikoku: prov. Tosa, japonice Sunashi mame (legit
Makino , misit fructif. Y. Matsumura); GJiina: Hong-
kong (Be nth am), circa Macao (Vachell!), Amoy (For-
tune! n. 96). Late distrib. per tropicos.
Desmodium DC.
Species sinico-japonicae.
Clavis specierum.
Leguraen altero margine integrum altero
leviter crenatum. Frutex ereetus orgyalis
foliis 3-foliolatis foliolo terminali
maximo
Fteurolob
Legumen utroque v. uno margine sinuatum
et distincte articulatum, 2.
2. Herba foliis pinnatis floribus roseis D. Oidhami 01.
Folia ternata vel 1-foliolata. 3.
3. Frutices erecti. 4.
Inflorescentia terminalis, folia viscidula(£ectf.
Catenaria Bth.) DJaburnifoliwmD.C.
8. Rami teretes, foliola obtusa late elliptica sub-
tus aequaliter serieeopubescentia, articuli
fere duplo longiores quam lati D. umbellatum DC.
Rami triquetri, foliola acuminata lanceolato-
elliptica costis subtus griseosericeis, articuli
aeque longi ac lati D. Cephalotes Wall.
9. Folia 1-foliolata. 10.
Folia 3-foliolata. 11.
10. Foliola rotundata D. retroflexum DC.
Foliola oblonga D. gangeticum DC.
11. Inflorescentia ramulos brevissimos terminans
axillaris, caules procumbentes (Sect Sagotia
Wall.) 12.
Inflorescentia terminalis [Sect Desmodium
propr. Bak.) 14.
12. Leguminis sutura superior recta. 13.
Leguminis sutura utraque strangulata D. micr ophyUum D C .
13. Pedunculi mere axillares 3-flori jD. triflorum DC.
Pedunculi alii 3-flori alii racemosi D.heterophyUum DC.
14. Mierophylla foliolis obtusis, racemi brevius-
culi. 15.
Grandifolia foliolis attenuates, racemi longis-
simi. 16.
15. Foliola membranacea D. pdlycarpum DC,
Foliola coriacea D.reticvAatum Champ.
16. Legumen vix strangulatum pluriarticulatum
articulis oblongis, caules foliati D. laxiflorum DC.
Legumen usque fere ad suturam superiorem
in articulos 2—3 partitum. 17.
17. Caulis foliatus D.podocarpum DC.
Folia apice caulis in pseudoverticillum ap-
proximate D. Gardneri Benth.
1. Desmodium gyroidesDC. Prodr. II, 326. Baker
in Hook. f. Fl. Brit. Ind. II, 175.
China australi : prov. Canton ad Lo-fau-shan (Ford!
fl.). Turn Himalaya: Nipal (Wallich!), Khasia (Grif-
fith!), Sikkim (King!, Treutler!, Clarke!), Chota
Nagpur (Clarke!), India occ.bor.(Royle!); Sumatra
(Korthais!).
2. 2>.Cfe^a/o^Wall. Cat. Baker I.e. 161. Hance
in Jonrn. bot. XVIII, 260. Dendrolobium Cephalotes
Benth. PI. Jungh. I, 218.
China australis: prov. Canton (Hance!). India!,
Java!, Moluccae!, Madagascar! cet.
39
des Sciences de ^aint- I*efer.**bours>
30
3. D. umbellatum DC. Prodr. II, 325. Baker 1. c. 5717 (1828). Hedys
recurvatunt Roxb. Ho
II, 161.
Liukiu, ubique in maritimis, frutex 3 — 4-metralis,
Junio 82 fructif. (Tashiro!). Philip pinae, India trans-
gangetica, Polynesia cet.
4. I), pulchellum Benth. Fl. Hongk. 83. Baker 1.
c. 162. Phyllodium pulchellum Desv. in Journ. bot.
III, 123, t. 5. fig. 24.
Liukiu (Tashiro! fl.); China australis: Formosa
(Oldh.! n. 164), Hongkong (Forbes!, Augustino-
wicz), Whampoa et Canton (Hance!). Philippinae,
archip. Malaicus, India cis et trans Gangem.
5. D. elegans Benth. 1. c. Dicerma el. DC. Prodr.
II, 339. Phyllodium el. Desv. Benth. PI. Jungh. I,
217.
China australi (W. J. Hooker!): Whampoa (Han-
ce!). Philippinis ad Manilam (Eschscholtz!), Java
(Bentham).
6. D. lahurnifolium DC. 1. c. 337. Baker 1. c. 163.
Miquel Prol. fl. Jap. 234. Fr. Sav. Enum. I, 100.
S. Moore in Journ. bot. XIII, 230. Hance ibid. XVI.
9. Catenaria laburnifolia Benth. PI. Jungh. I, 220.
Hedysarum racemosum Thunb. Fl. Jap. 285 et Icon
ined.! Miso na oshi, miso kusa, Soo bokf XIV, 27.
Kiusiu: circa Nagasaki in fruticetis frequens aliis-
que locis, Mjppow: prov.Owari(Keiske!); China: prov.
Canton (Hance), Kiu-kiang (S.Moore). Turn in Hima-
laya: Nipal!, Khasia!, Sikkim! alibique, Ceylon ! Java!
Thunbergii synonymon jam ob caulem frutescen-
tem hue pertinere debet et icon inedita omnia dubia
solvit. Obstant quidem verba: «leguminibus glabris»
et «calyx pedicellique glabri», at serius legumina
«laevia» cum illis H. viridiflori comparantur, ubi
«aspera» dicuntur, ita ut «glabra» tantum lapsus
calami considerandus sit.
7. I), triquetrum DC. I.e. 326. Benth. Fl. Hongk.
83. Baker 1. c. 163. Pteroloma triquetrum Benth. in
PI. Jungh. I, 220.
China australis (W. J. Hook. !): Macao (Vachell!),
Hongkong (Hinds!, Wright!, Forbes!); praeterea
in tota India cis! et trans! Gangem, Java!, Ceylon!,
Mauritio!, Philippinis.
8. D. laxiflorum DC. 1. c. 335. c. synn. (1825).
Baker 1. c. 164. D. recurvatum Grab, in Wall. Cat.
Bengal. 57 (nomen), 18
(1832
Roxb
Ind. Ill
Formosa ad Tamsuy (Oldh.! n. 161). Turn in Ph
lippinis (Cuming
Bo,
Ja
Pegu et
India or. a Nipal! ad Kumaon! et in Deccan
9. B. podocarpum DC. 1. c. 336. Bak. 1. c. 165.
a. indicum: caule paucifolio, racemis paucis, foliolis
rotundatis.
I
China australi: prov. Canton ad Lo-fau-shan (Ford!
fl.) et centrali: Kiukiang (Dr. Shearer! frf.); Hima-
laya: Nipal! Khasia!, Sikkim (Treutler!), Gurhwal
(Falcon!. 444), parte occid. (Royle!).
Ludit foliolis elongatis acuminatis: var. lam Bak.
D. laxum DC— Vidi e Nipal, Khasia (Griff. ! 1 624,i),
Sikkim (Clarke), Kumaon (Jameson).
(3. mandshuricum: caule paucifolio, racemis paucis,
foliolis quam in D. laxo minoribus obtuse attenuatis.
Mandshuria ^uftroorientali : Wladiwostok, ad syl va-
rum margines rar us, ins. Russki sylva graminosa fre-
quens, Aug. fl., 9feptbri frf. (ipse).
Flos roseus, vexilli basi alarumque apicibus satura-
tioribus, unguibus albidis.
y. japonicutn: caule elongato polyphyllo, foliolis
parvulis longioribus quam latis, racemis axillaribus et
tertninali numerosis paniculam amplam constituenti-
bus. D.japonicum Miq. Prol. 234. Fr. Sav. Enum. 1,
100. Hedys. caudatum Thunb. Fl. Jap. 286 et icon.
ined.! (legumen ex descr. sublineare ferrugineotomen-
tosum, in spec. Thunb. florente tamen ovarium tantum
adest). Soo bokf. XIV, 25.
Per totam Japoniam et valde ludens.
Exempla magis oligophylla et simul grandifolia, ad
indica appropinquantia, in australioribus frequentiora :
Kiusiu: prope oppidum Karatsu (Buerger!), ad pedem
vulcani Wunzen ad fontes fervidas (ipse), Simabara
(ipse), circa Nagasaki (Oldh.! n. 351, Wawra! n.
1334, ipse); Nippon: Yokoska (Savat.! n. 268),
Yokohama (ipse).
Typica polyphylla et parvifolia: Nagasaki, Aug. fl.,
Octobri frf. (ipSe, Wawra! JVtcit.), Yokoska (Savat.!),
Yokohama in lucis frequens, Aug. fl., Septbri frf.
(ipse), Tokio s. n. Nusubito hagi (Tanaka!), Hakone
(Tschonoski!), Hakodate in fruticetis vulgare, init.
Aug. flor., med. Aug. frf., Arigawa cet. (ipse).
31
Bulletin de 1* Academic ImpeViale
3«
Flos albidus apicibus alarum et interdum carina
roseis.
Foliolis pi. m. rotundatis: Nagasaki et Yokohama
(ipse), Yokoska (Savat.!).
10. D. Gar (Inert Benth. in PI. Jungh.
226.
torium Vieill. ex Neo- Caledonia, fide Hancei. Haec
species (Vieill. n. 367! fl. frf.) tamen valde differt
caule fruticoso foliato, inflorescentia densa breviuscula
illam D. polycarpi fere aemulante, foliolis obtusis et
articulis leguminis semirotundis.
Baker 1. c. 165. D. podocarpum Miq. Prol. 234, 12. D. gang eticum DC 1, c. 327. Baker 1. c. 168.
nee DC. Fr. Sav.Enum.I, 101. | Benth. Fl. Hongk. 84.
China australi: Hongkong (Forbes!), Canton
In Fl. of Brit. Ind. adducitur tantum e Deccan
(Wight) et e Ceylona (Gardner). Equidem vidispec. (Hance!); turn in Mariannis (Guahan!), Philippinis
Wight (n. 719 distr. Kew. s. n. D. podocarpi), Sikkim
(Clarke! sub eod. nom.), Ceylon (Thwaites sub eod.
nom. et ita in ejus enum., ubi D. Gardneri omittitur).
Japonia: circa Nagasaki in sylvis lucisque variis locis
frequens, Julio fl. incip. Septbri frf. (ipse, Oldh.!
n. 349); Yokoska in fruticetis (Savat.! n. 267),
Yokohama (ipse).
Hue fortasse spec. nond. flor. e Formosa (Oldh J
n. 160), foliis solito multo brevius petiolatis foliolisque
angustioribus (lanceolatis), racemo simplici, pediceliis
calyce paulo longioribus.
A praecedente optime distinctum foliis apice caulis
aggregatis paucioribus amplioribus, racemo terminali
longissimo subsolitario, pediceliis elongatis, flore fere
(Cuming! n. 437), Celebes!, Timor!, Java!, Tenasse-
rim!, Deccan!, Sikkim!, India bor. occid.!, Africa trop.!
13. D. retroflexum DC. 1. c. 336. Baker 1. c. 170.
Hance in Journ. bot. XVIII, 260. D. orbiculatum et
D. rotundifolium Wall. Cat. Hedys. retroflexum L.
China australi: in collinis circa Canton (Sampson!)
f
et Whampoa non rarum (H
(Wallich!).
Himalaya: Silhet
duplo majore et legumine longe stipitato.
Obviam
fiunt quidem rarius individua quasi transitoria: ob
pedicellos breviores floresve minores seu folia sparsa
stipitemque leguminis breviorem, at talia multo melius
pro hybridis quam pro formis intermediis sumenda.
Proxime affine D. nudifloro DC. americano, quod
praesertim differt flore majore fructusque articulis
apice breve acuminatis. D. acuminatum DC. forma
articulorum leguminis adhuc similins, sed pedicelli et
stipes breviores potius D. podocarpi, a quo flore magno
foliolisque subito acuminatis discrepat. Omnia quatuor
calycibus obiter dentatis excellunt.
11. D. Oldhami Oliv. in Journ. linn. soc. IX, 165.
Miq. Prol. 234. Fr. Sav. Enum. I, 101. Hance in
Journ. bot. XII, 259.
Kiusiii: circa Nagasaki (Oldh.! n. 356); Nippon:
Sagami, ad rivulos (Savat.! n. 270), Yokohama in
umbrosis ad syl varum margines, Julio fl., Septbri frf.
(ipse, Wawra n. 1564), Nambu (Tschonoski).
China centrali: Kiukiang (Mollendorff ex Hance,
qui tamen pi. japon. non vidit).
Unicum foliis pinnatis praeditum, praeter 1). tinc-
14. D. polycarpum DC. I. c. 334. Baker 1. c. 171.
Benth. Fl. Hongk. 84. D. Buergeri Miq. Prol. 233.
Fr. Sav. Enum. I, 100.
Kiusiu: circa Nagasaki (Oldh.! n. 353, ipse), cacu-
mine graminoso montis Kawara (ipse); China australi
(W. J. Hook.! s. n. D. purpurei), Hongkong (Wright!,
Forbes!), Formosa (Oldh.! n. 163). Turn vidi e Phi-
lippinis (Cum in g! n. 845), Java, Sumatra, Banka,
Tenasserim, Ceylon, Deccan. Khasia et Sikkim, ins.
Otaheiti et Fidshi.
Specc. japonica exoticis vulgo magis microphylla.
Species affinis ex indicis D. concinno DC. et D. ru-
fescenti DC, ex americanis D. lineato DC, D. gla-
hello DC et D. ciliari DC
Var. trichocaulon Baker 1. c. 172: caule patentim
piloso, bracteis majoribus. D. trichocaulon DC. I. c.
335. Hance in Journ. bot. XVIII, 260.
China: prov. Canton (Parry ex Hance), Amoy
(Hance!). India!
15. D. reticulatum Champ. iniKew journ. bot. IV,
46. Benth. Fl. Hongk. 84. H
XVII. 10.
Journ. bot
(H
China australi (Benth.): Hongkong (id.), Whampoa
Praecedenti
phyll
sed paulo magis micro-
5 &
labrius, foliis
foliolis subtus glaucis. Fructum
33
des Sciences de Saint - Pe>ersl>ourg.
34
non vidi, nee Benthara bonum vidisse videtur, ita
differentiae adsint quaedara in fruct
B
1. c. in herb. Z
specimen 1 e
Japonia vidisse asserit, anne errore, pro praecedente?
Formam foliis omnibus 1-foliolatis vidit cl. Ha nee
ex ins. Hainan a Bullock lectam. Ex Hanceo folia
inferiora
foliolata
16. D. triflorum DC. 1. c. 334. Baker 1. c. 173.
Benth. Fl. Hongk. 83.
Honkong (Wright ex Benth.). Late distributum
per totam Indiam!, Ceylon!, Philippinas!, Mariannas!,
Moluccas!, nee non Mexico!, Surinam!, Baity (Poi-
teau!), Jamaicam (Swartz!). *
1 7. D. heterophyllwn D "Q. 1. c. 334. Baker 1. c. 1 73.
China (Baker): Formosa adTamsuy(01dh! n.162).
Vidi e Java, Ceylon, et crescit in utraque India orient.,
PhUippinis et Mascarenis.
18. D. microphyllumVC. I.e. 337. Mi q. Prol. 233.
Fr. Sav. En. I, 100. Hedys. microphyllum Thunb.
Fl. Jap. 284. et icon ined.! D. parvifolium DC. 1. c.
334. Baker 1. c. 174. Benth. Fl. Hongk. 84. Hedys.
teneUum Don! Prodr. fl. Nepal. 243.
Kiusiu :
circa Nagasaki frequens (omnes),
prov.
Osumi (Tashiro!), Nippon prov. Kii (Tanaka! s. n.
makive hagi, ex confus. cum Lesped. virgata). China
australi (Benth.): Hongkong (id.), Amoy (Fort.! A.
118). Turn in archip. Malayano, Ceylon!, Beccan!,
Nipal (Buchan.!), Khasia (Clarke!), Kumaon!
f
Species incerta.
Besmodium aspectu D. oxyphylli DC, ut videtur
sect. Bollinerae. Hance in Journ. hot. XII, 259.
China centralis: Kiu-kiang (ex Hance).
Dicitur glabrum, foliola ovatorhomboidea, subtus
reticulata venis subcoloratis, racemi parvi, laxi, sub-
paniculati micranthi, calycis lobi brevissimi obtusi.
• •
Vicia venosa Maxim, var. cuspidata: foliis 3 — a-ju-
gis, foliolis lanceolatis sensim longe acutissime acumi-
natis mucronatisque, iloribus violaceis.
Nippon: prov. Senano, s. n. Yebira fudzi fl. mis.
Tanaka.
Vicia venosa in Sibiria oriental!, Mandshuria et Ja-
ponia variis locis inter se remotis crescens varietates
Tome XXXI.
plures foliorum forma florumque colore perdistinc-
tas format, e quibus haec sane satis discrepans.
Foliola versus apicem petioli decrescentia, maxima
58 : 14 mm., terminalia 40 : 9 mm. magna. Flos
13 mm. longus.
Galactia Tashiroi. Semper virens florens et fructifera
volubilis ad axes omnes pilis crispis pubescens; stipulis
stipellisque caducis his brevisetaceis; foliis ternatis
petiolo laminam superante, foliolis chartaceis laevibus
superne glabris subtus dense gilvo-sericeotomento-
sis, utrinque tenere subsexcostatis late ellipticis ob-
tusis v. vix acutiusculis breve, terminali vix lon-
gius, petiolulatis; racemis foJio longioribus interruptis,
bracteis minutis lanceolatis caducis, floribus singulis
v. geminis, calyce sericeo pedicellum apice minutis-
sime scariose bibracteolatum superante 4-fido laci-
niis linearilanceolatis acutiusculis summa ovata ob-
tusa binervi; corolla purpurea fere duplo longiore
vexillo oblongo truncato basi late brevissime unguicu-
lato, carina recta obtusa alas oblongas superante ve-
xillo breviore, stamine vexillari libero, ovario dense
sericeohispido stylo incurvo glabro; legumine plano-
compresso linearisubfalcato laevi appresse piloso sub-
octospermo stylo brevi uncinato, seminibus reniformibus
compressis opacis atris hilo brevi oblongo concolore.
LiuJciu: maritimis circa oppidum Napa (Tashiro
fl. frf. 1882).
Proxima G. canescenti Benth. e Texas, quae differt
foliis utrinque incanis reticulatis reticulo subtus ele-
vato superne impresso, foliolis ovalibus v. obovatis,
petiolulo terminali lateralibus multo longiore, stipellis
persistentibus, legumine duplo minore longius uncinato
basi sensim attenuato convexiore, semine vix reniformi
parum compresso castaneo, 5 : 3 q. exc. mm. magno.
G. tenuiflora W. A., indica, foliorum valde ludentium
forma, iudumento et consistentia membranacea magis
distat, sed legumen minus quidem nostrae similius.
Internodia 25 — 40 mm., petioli 3—4 cm., petiolu-
lus terminalis 4 mm., foliola a 32 : 20 ad 27 : 19 mm.
magna. Calyx 7 mm. Vexillum 11 mm., alae 8 mm.
ungue brevi lineari, lamina supra auriculam basalem
rectangulam transverse plicatula, carina 10 mm. un-
guibus ut in alis, lamina quavis basi leviter attenuata
brevius quam in alis auriculata plicataque, apice inter
se libera. Filamenta 9 ultra medium connata aequalia.
3
/
35
Bulletin de r Academic Impriale
36
Antherae non visae. Legumen 50:8 mm., semen
3,5:3 mm.
Gajanus indicus Spr. Syst. Ill, 248. Baker in
Hook. f. Fl. Br. Ind. II, 217.
Liukiu (Tanaka). Distrib. ubique in tropicis culta,
verosimiliter in Africa v. India orientali indigena.
Rhynchosia minima DC. Prodr. II, 385. Baker in
Hook f. Fl. Brit. Ind. II, 223 c. synn.
Liukiu (Tanaka). Distrib. ab India per tropicos in
Africam et Americam calidiores.
Pongamia glabra Vent. Jard. Malm. t. 28. DC.
Prodr. II, 416. Benth. Fl. Hongk. 94. Baker in
Hook. f. Fl. Brit. Ind. II, 240.
Liukiu: (Wright! frf.) : Osima, Jul. 82 fl. (Ta-
shiro!). China australi: Hongkong (Wright ex
Benth.), adfl. Canton (Hance!). Distrib. India orien-
tali, archipel. Malayano, Australia boreali, Polynesia,
Mascarenis .
Euchresta Horsfieldii Benn. in Horsf. PI. Jav. rar.
148, t. 31. Hook. f. Fl. Brit. Ind. II, 248.
Liukiu (Tashiro! fl. 1882); Formosa (ex Benth.
et Hook. Gen. pi. I, 550), Java, Himalaya: Khasia.
Caesalpinia L.
Species Sinico-japonicae.
Legumen aculeatum (Subgen. GuilandinalS2L-
t
ker). 2.
inerme (Subgen. Eucaescdpinia Ba-
ker). 3.
2. Stipulae membranaceae integrae C. BonduceUa Flem.
spiniformes bipartitae C minax Hce.
3. Arbor inermis C. pulcherrimaSvr.
Arbores v. frutices aculeati. 4.
4. Folia paucijuga * C. Nuga Ait.
multijuga. 5.
5. Juga foliorum primaria secundariis numero-
siora. 6.
» secundaria primariis numerosiora C. MiRettii H. A.
6. Foliola acute ovata coriacea C. verndlis Champ.
»
oblonga. 7.
7. Foliola subcoriacea angulo inferiori affixa. . . C. Sappan L.
»
membranacea media basi inserta C. sepiaria Roxb.
1. C. BonduceUa Fleming in As. research. XI, 159.
Baker in Hook. f# Fl. Brit. Ind. II, 254. Guilandina
BonduceUa L. Cod. 3003. Benth. Fl. Hongk. 96.
Bonin-sima (Wright!), Liukiu (Tanaka!); China:
Hongkong ("Wright!) et per tropicos.
2. C. minax Hance in Journ. bot. XXII, 365.
China: prov. Canton (Graves ex Hance).
3. G. pulcherrima Sw. Obs. 166. Baker 1. c. II,
255. Poinciana pulcherrima L. Cod. 2988* DC. Prodr.
II, 484.
Liukiu (Tanaka!). Ubique inter tropicos culta, vera
patria ignota.
*
4. C. Nuga Ait. h. Kew. Ill, 32. DC. Prodr.
II, 481. Benth. Fl. Hongk. 97. Baker 1. c. 255.
Engl. Bot. Jahrb. VI, 64. C.chinensis Roxb. Fl. Ind.
II, 361. Hook. Arn. Bot. Beech. 182 (cum ?).
Archipel. Liukiu (Tashiro!, Tanaka!), v. gr. Osima,
4
China: Formosa circa Tamsuy (Oldh! n. 184), Hong-
kong (Wright!); turn in Philippinis, India orient.,
Archip. Malayano, Australia tropica et Polynesia.
5. C. Millettii Hook. Arn. Bot. Beech. 182. Hance
in Journ, J)0t. VIII, 313 (fructus descriptio).
China australi (Hooker et Arnott): insula Lappa
prope Macao (Hance). -
6. C. vernalis Champ, in Kew journ. bot. IV, 77.
Benth. Fl. Hongk. 97.
Hongkong (Wright!, Hance!), nee alibi.
7. C. Sappan L. Cod. 2998. DC. Prodr. II, 482.
Baker 1. c. 255. Hance in 'journ. bot. XVI, 10.
Biancaea Sappan Todaro hort. Panorm. t. 3.
China australi : ex ad verso Hongkong (Hance). Turn
in India cis et trans Gangem, archip. Malayano.
8. G. sepiaria Roxb. Fl. Ind. II, 360. Baker 1. c.
256. Miq. Prol
M
Bull. soc. Mosc
Hance in Journ. bot. XX
C. japonica
Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 3. Franch. Sava
En. I, 114. C. crista Thunb. Fl. Jap. 179 (non L.)
Japonia (Miquel!): Hakone, cacumine montium a
tiorum rara, fine Octob. frf. (ipse), Simoda (Wright
Yolkin!), Kioto (Rein!), Amakusi (id.!) prov. Hig
cacumine Hig
fine Junii fl., Kip
prope
Kumamoto, fine Maji fl., circa Nagasaki in fruticetis
init. Maji flor. (i
prov. Hu-peh (H
archip. Malayano
P
China: Ningpo (Hancock
Turn
tota India or.! et
i
Gleditschia L.
Synopsis specierum cognitarum
Legumen tenue varie flexuosum et tortum,
cum pulpa succosa inter semina. 2.
» sine pulpa, rectum. 4.
2. Inflorescentia brevis densa continua, floribus
37
des Sciences de Saint- P^tersbourjj.
38
$ et 2 fasciculatis, semina medio legumine
disposita G. caspica Desf.
Flores $ secus rhackin fasciculati, $ race-
mosi. 3.
3. Inflorescentia brevis, $ densa, semina secus
suturam leguminis superiorem disposita, parte
asperma seminiferae aequilata G. Triacanthos L.
Inflorescentia utriusque sexus interruptaelon-
gata, semina medio legumine disposita G. japonica Miq.
4. Legumen chartaceum tenue breve 1 — 3-sper-
mum. 5.
» lignosum crassum polyspermum. 6.
5. Legumen rotundatum 1-spermum G.monospermaW<.
» oblongum 2— 3-spermum G.JteterophyUa Bge.
6. Flores secus rhachin fasciculati G. chinensis Lam.
a racemosi longe pedicellati. . . G. xylocarpa Hce.
Obs.
schia no
Gymnocladus L
i distineuenda,
u florifero a Gledit
spinarum deficienti;
to
(spinae. tamen et in GleditscJiia interdum desunt), a
Gleditschia legumine turgido pulposo seminibusque
non vel vix compressis diversa habetur. At legumina
seminaque G. chinensis et G. xylocarpae pariter tur-
ida sunt , pulpa tamen in parenchyma siccum durum
mutata. Unica igitur differentia illaque non absoluta
manet spinarum defectus.
a. Legumina plana pulposa indehiscentia.
1. Gleditschia caspica Desf. Hist. d. arbr. II, 247.
Spinis validis ramosis, rhachi foliisque margine juven-
tute pilosulis, foliis uni- vel 3 — 4-jugo-bipinnatis, fo-
liolis 6 — 10-jugis majusculis reticulatis obsolete cre-
nulatis oblique oblongis ovatooblongisve obtusis cum
mucronulo caduco ; inflorescentia brevi continua densa
et 4 — 5-jugo-bipinnatis, foliolis 10 — 12-jugis superne
glabris elevatoreticulatis pi. m. crenulatis oblique ob-
longis obtusis cum mucronulo caduco; inflorescentia
brevi $ continua densa fioribus fasciculatis, 9 race-
mosa, floribus omnibus brevipedicellatis ; legumine pe-
dali compressoplano falcato pleiospermo; seminibus
secus suturam superiorem dispositis, parte leguminis
seminifera quam vacua aequilata, late ovalibus oblon-
gisve 2-lo usque 4-lo latioribus quam crassis. Torr.
and Gray Fl. N. Am. I, 398. A. Gray Man. 145.
G. ferox Desf. Hist. d. arbr. II, 247.
America borealis, a Pennsylvania ad Virginiam, Il-
linois et versus austrum (A. Gray). Vidi e New-York
(plantatam), Kentucky, Alabama, et cultam.
Synonymon Desf. hue duxi ex specc. <S olim a Spach
datis horti Paris, ob inflorescentiam densam continuam.
C. Koch Dendrol. I, 10. cum dubio G. chinensi sub-
junxit.
Foliola majora 35 : 12 mm., in bipinnatis
duplo minora. Flos S 4 mm., $ 5 mm. longus.
men 260:20 — 35 mm., pulpa dulci.
usque
Legu-
3. G. japonica Miq. Prol. 242. Spinis validis ramo-
sis, petiolis rhachi foliisque margine puberulis turn
glabris, foliis 1-, rarissime 2 — 3-jugo-bipinnatis, folio-
lis 10-jugis majusculis reticulatis crenulatis oblique
oblongis obtusis cum v. sine mucronulo minuto; inflo-
rescentia elongata interrupta, floribus ebracteatis bre-
floribus fasciculatis subsessilibus , bracteis obsoletis; I vissimepedicellatisc? fasciculatis $racemosis; legumine
legumine palmari compressoplano toruloso pi. m. fal- sp^amaeo compressoplano flexuoso torto bullatoque
cato pleiospermo; seminibus medio legumine dispositis P^iospermo ; seminibus medio legumine dispositis
I
illiusque latitudine triplo usque 5-lo 2) minoribus late
illius latitudine 3 — 4-lo minoribus late ovalibus pla-
ovalibus duplo— triplo latioribus quam crassis. Ledeb. nis- Franch- Savat- Euum- !> U.4, II, 327.
Fl. Ross. I, 718. Boiss. Fl. Or. II, 631. In Jap™™ australioris sylvis montanis: Nippon,
Circa mare Oaspium in australi parte: Talysch prope circa Yokohama, jugo Hakone; Kiusiu alpe Inu-take.
Lenkoran! et Astara!, prov. Ghilan! Japonice: sai-katsi-ibara, pulpa leguminum ad lavan-
Foliola maxima 2 :% poll. Flos 5 mm. longus. Le- dam telam admbetur- GWwfl media: Shanghai (F. B.
gumen usque 12:2 poll, magnum, pulpa dulci eduli. | ForDesJ)
Foliola majora 40 : 1 5 mm., in bipinnatis 13:5mm.
Flos 2 6 mm. longus. Legumen 35 mm. latum, pulpa
viridi acida farctum.
b. Legumen lignosum turgidoplanum indehiscens.
4. G. sinensis Lam. Diet. II, 465. Spinis conicis
ramosis robustis, innovatione parce pilosula cito glabra,
fide Hohenacker, Enum. Talysch, in Bull. Soc.Mosc.
1838 I2IV, p. 351.
2. G. triacanthos L. Cod. 7696. Spinis validis ra-
mosis, innovationibus pilosulis turn glabratis, foliis uni-
2) Legumina recentia investigare non Jicuit, semina vero exsicca-
tione valde contrahuntur, ita ut nidus seminis ipso semine multo
major. Sic 3-lo minora evadunt leguminis latitudine si nidum, 5-lo
autem si semen respicis.
10-
foliis uni-rarius 2 — 3-jugo-bipinnatis, foliolis 8
jugis majusculis reticulatis crenulatis oblique ovatis v.
3*
39
Bulletin de l'Academie Imp^riale
40
ovatooblongis subattenuatis mucronulatis; inflorescen-
tia elongata interrupta floribus fasciculatis longiuscule
pedicellatis ebracteatis; legumine vix palmari recto
lignoso compresso laevi indehiscente pleiospermo ; se-
minibus medio legumine dispositis illiusque latitudine
3 — 4-lo minoribus late ovalibus compressis turgidis.
Benth. Fl. Hongk. 100. G. macracantha Desf. Hist,
d. arbr. II, 247. (ex specc. h. Paris.).
China australi: Hongkong (H an ce!, Forbes!), culta
in India! et passim in Europa!
Foliola majora 35:15 mm. Flos 3 mm. longus.
Legumen cum sequente identicum et semina similia,
sed neutrius raatura visa.
5. G. xylocarpa Hance in Journ. bot. XXII,
066.
Spinis validis ramosis, rhachi pubescente, petiolo foliis-
que subtus juventute parce pilosulis; foliis uni-rarius
2-jugo-bipinnatis, foliolis 4- (innovationum usque 6-)
jugis majusculis reticulatis crenulatis oblique ovato-
oblongis oblongisve attenuatis mucronatis mucrone
turn deciduo; racemis elongatis interruptis ebracteatis,
floribus longe pedicellatis; legumine palmari lignoso
recto laevi compresso turgido pleiospermo, seminibus
medio legumine dispositis latitudine ejus vix triplo
minoribus ovoideis parum compressis. G . sinensis B g e .
Enum. Chin. n. 122., nee Lam. Turcz. Enum. Chin.
n. 64. Gymnocladus WiUiamsii Hce. 1. c.
In China boreali: circa Pekin (Bunge!, alii!, Wil-
liams ex Hance), v. gr. Pan-shan(Bretschneider!),
Shang-hai (Bullock ex Hance), prov. Schensi (Pia-
sezki !). Leguminibus incolae saponis ad instar utuntur.
Foliola in bipinnatis pollicaria, in simpliciter pin-
natis usque ultra 3 -pollicaria, plus quam pollicem lata.
Flos 8 mm. longus. Legumen ad 12 poll, longum, fere
2 poll, latum.
Neutram e speciebus Hanceanis hucusque vidi, sed
descriptio Gymnocladi sub anthesi tantum autori notae
exactissime in speciem a Bungeo olim pro plantaLa-
marckii habitam quadrat, nee diagnosis G. xylocarpae,
fructiferae tantum notae, aliter discrepat quam foliolis
c. Legumen chartaceoplanum epulposum demum incomplete
dehiscens.
6. G. heterophylla Bge Enum. Chin. n. 123. Spinis
acicularibus simplicibus v. basi breve ramosis, pube
brevi molli sericea, foliis uni- et 2 — 3-jugo-bipinna-
tis, foliolis superne glabris8 — 10-jugis parvulis laevi-
bus integerrimis oblique ovalibus oblongisve obtusis;
inflorescentia brevi interrupta, floribus subsessilibus 8
fasciculatis $ racemosis; legumine oblongo parvulo
recto 2 — 3-spermo maturo chartaceo subdehiscente;
seminibus orbiculatis planis. Turcz. Enum. Chin. n. 65.
Ditione Pekinensi non rara (omnes collect.)
Foliola in simpliciter pinnatis 20 : 8 mm., in bipin-
natis 2
55:20 mm., stipes 15 mm., maturitate epicarpium
membranaceum nigrescit et fragile ab endocarpio tenue
pergameneo ochroleuco hinc inde secedit.
7. G. monosperma Walt. Fl. Carol. 254. Torr. and
Gray Fl. N. Am. I, 398. Gray, Manual 145. G.tri-
acanthos (3. (1 -sperm a) L. Cod. 7696. G.inermis Mill.
Diet. (1759). C. Koch Dendrol. I, 9.
America boreali: paludibus Illinois et versus meri-
diem (autt. amer.), v. gr. Florida!
Vidi tantum fructu nondum maturo. Speciem in-
signem amplius describere inutile puto. Legumen late
ovale chartaceoplanum stipite duplo longius.
3-lo minora. Flos 3 mm. longus. Legumen
Cassia glauca Lam. Diet. I, 647. DC. Prodr. II,
495. Var. suffruticosa Koenig. Baker in Hook. f.
Fl. Brit. Ind. II, 265. C. suffruticosa Roth, Nov. sp.
213. DC. Prodr. II, 496.
Liukiu (Tashiro); China: Futschau, culta (Dr.
Augustinowicz). Sponte per Indiana orient, utram-
que, archip. Malaicum, Polynesian et Australian tro-
picam.
Spiraea nipponica. (Sect. Chamaedryon, Ser. 2. Maxim.
inActah.Petrop. VI, 185). Glaberrima, ramis angula-
tis, foliis subtus glaucis tenue 3— 4-costatis reticula-
«coriaceis», quae in omnibus hujus generis speciebus tisque laevibus, innovationum . . . , ramulorum fertilium
versus fructus maturitatem multo firmiora, non tamen crebris orbiculatoobovatis v. late ellipticis obtusissimis
coriacea fiunt. Si G. xylocarpa Hce. re vera a nostra integris v. apice tricrenatis; corymbis racemosis multi-
distincta evaderet, 0. sinensis Bge G. WiUiamsii vo- 1 floris ramulos foliatos novellos numerosos terminanti-
bus; petalis albis truncatoorbiculatis stamina circiter
20 subsuperantibus ; folliculis vix exsertis parallelis
canda esset.
41
des Sciences de Saint -P^tershourg.
42
apice reflexo stylo terminali coronatis; calycis fructiferi
laciniis deltoideis erectis. S. media var. rotundifoUa
G. Nicholson in Gard. chron. 1885, 283, fig. 56.
serratis, cymae ramis magis multifloris indeque mani-
festius secundis, calycis limbo quam tubus breviore
dentibus acuminato-deltoideis tubum sub anthesi ae-
Nippon: Fudsi-yama, Niko, Shishibu (fl. et frf. mis. quantibus, petalis obovatis brevissime unguiculatis
Tanaka et Yatabe). Japonice: Marubana iwagasa,
kobano iwagasa, iwa shimotsuke. — Introducta in hor-
tos europaeos a Siebold, fide Nicholson, sed pi.
cultam nondum vidi.
; m. in Mel. biol. XI. 21
216.
ustioribus flori
rotundata supe-
subinfraapicali
Proxima 8. mongolicae m. in
quae differt foliis subtriplinervi
b usque minoribus, staminibus ]
rantibus, carpellis intus villosis
A S. media Schmidt longius distat staminibus
bus, foliorum forma, folliculis vix e calyce ere
sertis,neque calycem reflexum plus duplosupera
Specc. praesto sunt spithamaea, intervallis po
bus ramulis fertilibus patentibus 2
obsessa. Folia in quodam ramulo 8
0
caribus
saepius
petiol
infi
ad
Corymbi ipsa basi et interdum in ped
fimo
monophylli,
duplo v. in
rhachi V,
poll
pedicellis florem
calyx fere
i superantibus. Flos diam
Carpella matura 3 mm. e
ultra longa, stylo demum deciduo parum bre
Seraina
breve appendiculata
tereti linearioblongo 2 mm. usque longo, 0,3 mm.
lato, testa arete appressa laevi.
Saxifraga lycoctonifolia. {Sect. Isomeria Torr. et Gray)
glandulosopubescens, foliis pedatinerviis cordatoreni-
formibus supra glabris radicalibus et inferioribus
7- superioribus
lobis trilobulatis
teq
incisis et mucronatoserratis; paniculae laxae elongatae
pedunculis 3 — 5-floris, pedicellis calyce brevioribus,
calycis dentibus ovatis obtusiusculis sub anthesi tubo
brevioribus petalisque oblongospathulatis exunguicu-
latis erectis, staminibus 5 calyce brevioribus episepalis,
ad 2/„ adnat
'3
bparallelis
nibus . . .
Nippon: prov. Senano alpe Komaga-take, 2 Aug.
82 flor. mis. Yatabe s. nom. japonico Arashi gusa.
Simillima «S. aconitifolia Field, et Gardn. Sert.
plant, t. 57 (quam ex Alleghany montibus a Gray et
Sullivant, e montibus Carolinae a Buckley lectam
vidi) differt foliis rotundatis profundius lobatis paucius
calycis limbo duplo longioribus. S. elata Nutt., a me
non visa, diversa foliis rotundatis, laciniis calycinis
acute lanceolatis, petalis (cuneatooblongis) calycem
duplo superantibus. Certe tamen hae tres arete inter
se affines, etsi americanae ad Bot/kiniam amandatae
fuerint.
N
Bipedalis. Folia radicalia majora petiolo spithamaeo
lamina 9 cm. lata, 6 cm. longa. Stdlones innovantes
horizontales dense fuscohirsuti, internodiis longiusculis,
quam in S. aconitifolia duplo crassiores. Flos viridis
diam. 5 mm. Calyx imbricatus (ergo non Boykiniae).
Stamina rarius 6, uno enim epipetaio. Placentae sub
anthesi tenues, neque crassae ut apud Fielding et
Gardner delineatae.
Hydrangea sikokiana. Ramis ramulisque glabris, co-
rymbo piano foliisque subtns pallidioribus pubescen-
tibus, his suboctocostatis late ellipticis ovatisve serratis
versus apicem bi— sex-lobulatis lobulis late deltoideis
subito cuspidatis; inflorescentiae laxiusculae planae
pedicellis florem superantibus; calycis margine trun-
cato, petalis acutis ellipticis duplo longioribus, stami-
nibus longe exsertis, stylis 2 crassis/ ovario infero;
floribus sterilibus paucis sepalis 5 inaequalibus rotun-
datis.
australi: prov. Kii (ex ad verso insulae
Sikoku); japonice O-azisai i. e. Hydrangea magna.
(Tanaka fl. et subdefl.).
Huic valde affinis H. quercifolia Bartr. bene di-
stincta videtur ramis et rhachi rufoarachnoideotomen-
tosis, corymbo oblongo, foliis 3 — 6-costatis costis valde
inaequalibus (inferioribus validioribus et longioribus),
lobis majoribus numerosioribus saepe jam a basi lami-
nae incipientibus, calyce distincte obtuse dentato.
Ex nomine japonico frutex v. arbuscula magna
videtur, sed spec. 1 missum descriptionem completam
non admittit. In ramulo ante oculos pars innovata
foliifera 4 cm. longa, cum foliorum paribus 3 magni-
tudine cito decrescentibus: petiolis 65 — 20 mm.,
laminis 11:9 cm. ad 65 : 45 mm. Folia adulta superne
pilis appressis sat crebris adspersa. Pedunculus com-
munis 3 cm. longus. Corymbus fere 8 cm. latus, radiis
43
Bulletin de l'Academle Imperiale
44
inferioribus 4 cm., turn post intervallum 2 cm. radiis i Liukiu: ins. Osima, in montibus, arbor magna, peta-
4 approximatis 2 cm. longis cum terminali aequilougo,
omnibus in radiolos parum breviores divisos, qui pedi-
cellos ferunt. Alabastra 3—4 mm. alta. Flos sterilis
abortu 1 longius pedicellatus parvus (diam. 11 mm.).
Ilea chinensis Hook. Arn. Bot. Beech. 89, t. 39.
Benth. Fl. Hongk. 129. Hook. f. Fl. Brit. Ind. II,
408.
Liukiu: ins. Osima (Tashiro!); China australi
(Benth am): Hongkong (Ha nee!), Formosa (Oldh.!
n. 108).
Var. subserrata: foliis pi. m. pauciserratis serra-
turis spinosomucronatis.
Siusiu: prov. Satsuma circa Kagosima; Liukiu: ins.
Osima (Tashiro); Formosa (Oldh! n. 109).
Drosera indica L. Cod. 2232. Hook. f. Fl. Brit.
Ind. II, 424.
Nippon: prov. Kadzusa (mis. Yatabe sub nom.
Nagaba ishimotschiso); prov. Owari ad Okkawa, Tshita-
gori (Ito Tokutaro misit); China australis; India
orient, a Ceylona per Deccan usque ad Chota Nagpur,
India trans Gangem, Australia tropica, Africa.
BruguieragymnorhizaLsun. 111. t. 397. Engl. Bot.
Jahrb. VI, 63. Hook. f. Fl. Brit. Ind. II, 437.
Liukiu: in maritimis Osima et Okinawa, initio Aprilis
fl., Julio fr. immat. (Tashiro!, ex quo japonice Ohirugi,
cortice utuntur ad rubrum tingenda retia piscatorum,
lintea cet.). Late distributa per sylvas maritimas tro-
picas orbis vetusti.
Terminalia Catappa L. Cod. 7625. Hook. f. Fl. Brit.
Ind. II, 444. Hook. Arn. Bot. Beech. 263.
Bonin-sima (Wright!, Yatabe! sub nom. japonico
Kurumi). Sponte in Malacca, culta ubique in tropicis
provenit.
Syzygium buxifolium Hook. Arn. Bot. Beech. 187.
Benth. Fl. Hongk. 118.
Japonia maxime australi: ins. Tanega sima (Tas hiro!,
ex quo japonice Adeku), Liukiu ins. Osima (Doeder-
lein! steril.), Bonin-sima (Wright!, Yatabe!); CJiina
australi (Hooker et Arnott): Hongkong (Wright!),
Futschau, montib. graniticis 1300 ped. s. m. secus
fl. Min (Augustinowicz), Amoy (Fortune! A. 93).
Lagerstroemia subcostata Koehne in Engl. Jahrb.
IV, 20. a. hirtella Koehne 1. c. 21.
lis albis etroseis, japonice Aka bura (Tashiro! fructif.);
Formosa (Oldham!).
Pyxipoma polyandrum Fzl. in Ann. Wien. Mus. II,
293. Miq. Fl. Ned. Ind. I, 1060. Trianthema
polyandrum Bl. Bijdr. 1137. DC. Prodr. Ill, 352.
Liukiu, in maritimis, Majo fl. fr. immat. (Tashiro!);
China: prov. Cantoniensi (Hance!), turn in ins. Mo-
luccanis (Fenzl), Java (Mi quel), Timor (Decaisne).
Hydrocotyle L.
Species sinicojaponicae.
Mericarpia jugis primariis et secundariis
evolutis. Planta majuscula ex omnibus nodis
radicans et folia pedunculosque floriferos
emittens H. asiatica L.
Mericarpia jugis secundariis haud perspi-
cuis. 2.
2. Caulis primarius ex omnibus nodis radicans
et folia pedunculosque floriferos proferens. H. rotundifolia Roxb.
Caulis primarius radicans ex axillis ramos
foliatos floriferos gignit. 3. '
3. Macrophylla, umbellae apice ramorum ag-
gregatae multiflorae petiolo multo breviores. H. javaniea Thunb.
Microphyllae, umbellae sparsae. 4.
4. Foliorum sinus apertus H. Wilfordi m.
» » imbricatoclausus ; . . . H. ramiflora m.
a. Cauliflorae.
1. H. asiatica L. Cod. 1903. DC. Prodr. IV, 62.
Benth. Fl. Hongk. 134. Thunb. Fl. Jap. 116. Miq.
Prol. 243. Franch. Sav. Enum. I, 178. Oo tshidome.
Soobokf IV, 63.
Japonia (Langsdorff!), ubique in australioribus
frequens: Nagasaki (Oldh.!, ipse), Yokoska (Savat.!),
Yokohama (ipse), Nambu (Tschonoski!); Liukiu et
Bonin-sima (exBenthsLm); China: Hongkong (Benth.),
Formosa (Oldh.! n. 141) et ubique in tropicis et usque
in Tasmaniam, Caput bonae spei cet.
Var.crispata: foliorum margine luxuriante crispato
et irregulariter inciso in lobulos obtriangulos v. rhom-
beos acute dentatos.
In hortis Tokio rarius culta (ipse).
2. H. rotundifolia Roxb. Hort. Bengal. 21. Fl.Ind.
II, 38. DC. Prodr. IV, 64. Hook. f. Fl. Brit. Ind.
II, 668. H. nitidula A. Rich. Monogr. n. 35. fig. 33.
DC. 1. c. 66. Miq. Prol. 243. E. sibthorpioides Lam.
Diet. Ill, 153. Franch. Sav. Enum. 1, 178. Tshidome
ansa. Soo bokf. IV. 62.
45
des Sciences de Saint- Pet ersbourg
46
Japonia australiore: Nagasaki (Oldh.! n. 292),
Naga-yama in Kiusiu, Hakone (ipse), Yokoska (Sava-
tier! n. 482), Yokohama (ipse), Tokio (Tanaka!);
China: Formosa (Oldh.! n. 139). Turn vidi e Bengalia,
Himalaya (Silhet, Darjeeling), Nilagiri, Ceylona, Au-
stralia .
Specc. japonica culta v. locis apertis frequentatis
orta folia majora ad apicem petioli saepeque ad laminam
pilosa habent, individua sylvestria locis desertis enata
microphylla glabra foliis profundius divisis lobis tri-
dentatis gaudent; quae posteriora veram sistunt
E. nitidulam Rich, et Hook. Exot. fl. t. 29.
Inter plantam umbella petiolo aequilonga et umbella
subsessili {H. tenellam Don, Prodr. Nepal. 183, DC.
1. c. 64), inter folia majora et minora obsolete lobata
et fere partita tanti status intermedii, ut limites vix
ulli stabiliendi sint. Ita et E. sibthorpioides Lam. non
differre videtur et jam a Bentham (Fl. Austr. Ill,
340, in adnot. ad E. hirtam) conjungitur.
H. Batrachium Hance in Ann. sc. nat. 4 ser. XVIII,
220, quam e China (Whampoa, abipsoHanceo datam,
Formosa, Oldh.! n. 140, et inter Sieberi fl. mixt.,
verosimiliter ex Australia, vidi) cum planta japonica
sylvestri aeque microphylla, formam sistit foliis ad
basin partitis et apice petioli pilosis.
b. Ramiflorae.
3. E. javanica T h u n b . Diss. 2, 415. t. 3. Hook.f.
1. c. 667. DC. 1. c. 67. Hance in Journ. bot. XXI,
321. E. nepalensis Hook. Exot. fl. t. 30. Miq. Cat.
mus. Lugd. bat. 40. Fr. Sav. En. I, 178. E.poly-
cephala Wight, Prodr. 366.
Japonia australis: Nagasaki, Naga-yama (ipse);
China australi : prov. Canton (Faber ex Hance). Prae-
terea vidi ex Assam, Nipal, Khasia, Sikkim, Kashmir,
Decan, Ceylon et occurrit in archip. Malaico, Philip-
pinis, Australia et Africa (Mozambique).
Vera E. javanica foliorum lobos habet longiores acu-
tos, nostra ad E. nepalensem pertinens breviores obtu-
sos, sed posteriores in priores insensibiliter transeunt
et in pi. nostra flores submasculi nulli inveniuntur,
ita ut recte utraque in fl. Indica rejungatur.
4. H. Wilfordi. Ad apicem petioli et laminam subtus
parcissime setosa ceterum glabra, caule vetusto radi-
cante aphyllo, ramis axillaribus innovantibus ascen-
cordatis obsolete 7-lobis lobis obtuse 3-crenatis cre-
nulatisque, stipulis rotundatis, pedunculis iiliformibus
petiolos saepe triplo superantibus, umbella multiflora
subcapitata, fructibus compressis laevibus utrinque
costatis.
Nippon, circa Yokohama, et Yezo, circa Hakodate,
ubique in humidis vulgaris, caespites laxos elatiores
formans, initio Julii fl. c. fr. (ipse), sine loco speciali
sub nom. Yama tshidome (Tanaka!); Korea: portu
Chusan(Wilford!).
Modus crescendi H.javanicae Thunb., E. ameri-
canae L., H. densiflorae DC, E. geranioidis Rich.,
i. e. innovationes erectae v. ascendentes foliatae flori-
ferae non repunt, nisi peracta fructificatione decum-
bunt, turn radicantes tiunt et anno sequente ex nodis
iterum innovant. Primo tantum aspectu E. sibthor-
pioidem Lam., Rich. Mon. n. 31. fig. 8. in mentem
vocat, nam haec pertinet ad seriem modo crescendi di-
versissimam, ubi axis primaria reptans foliata et flo-
rens est, et ad quam praeterea v. gr. ducendae H. ro-
tundi folia L., E. interrupta Mx., E. conferta Wt., H.
leptostachy a Ri ch . , E. mexicana Ch. Schl., H. Langs-
dor ffii DC, E. ranunculoides L. f., H. spicata Lam.,
E. vulgaris L., E. asiatica L.
5. H. ramiflora. Glabra opaca, cauliculis vetustis
radicantibus subaphyllis, hornotinis ramisque foliatis
floriferis ascendentibus, foliis ob sinum imbricatoclau-
sum quasi peltatoorbiculatis obtusissime subseptemlo-
bis quovis lobo obtuse tricrenato, stipulis amplis late
ovatis fuscomembranaceis, pedunculis folia superanti-
bus, umbella capitata multiflora, fructibus compressis
marginatis laevibus utrinque bicostatis.
Yezo: circa Hakodate in humidis vulgaris, floribus
viridulis, init. Julii fl. c. fr. (ipse).
Praecedenti simillima, sed foliis statim distinguenda.
Adnot. E. vulgaris Thunb. Fl. Jap. 1 16. E. inter-
Sieb. Z
Fl. Jap. fam
422. Miq
Prol. 243. Fr. Sav. En. I, 177., ex Thunb
Japonia «hinc inde» crescens, igitur planta
declarata, a nemine
post Thunberg
pariter ignota,
reinventa,
et in herbario
botanicis indigenis
Thunbergii Upsaliae servato deficiens, e flora Jap
nica excludenda videtur. Quum species permultae
Thunbergio in Japonia indicatae
herbario ejus
dentibus foliatis et floriferis; foliis opacis reniformi- 1 quoque desiderentur, Thunberg plantas quas pro
47
ISiilIctiii de l'Academie Imperial**
48
vulgaribus habebat omnino non collegisse, sed tantum
enumerasse, alias ex confusione schedularum vel lapsu
memoriae perperam ut in Japonia crescentes indicasse
videtur. Ita et H. vulgar em fortasse capensem tantum
legerat. Verara H. vulgarem in Japonia provenire non
verosimile, nam in Europa crescit a Lusitania et Sue-
cia australi ad Hungariam, turn in Asia circa lacum
Gaspium in ditione Talysch et in Capite bonae spei in-
venta est, stirps americana autem a botanicis loci nunc
pro specie diversa enuntiatur.
Species dubia.
Quid? Hydrocotyle chinensis L . Cod. 1904. e«Gkina»,
a DC. "Prodr. IV, 71. cum ? ad Grantziam lineatam
Nutt. ducta, praeeunte Sprengel in Schult. Syst.
VI, 355, de qua identitate tamon Schultes inobserv.
annexa dubitare videtur.
Carum hoi opetalum. Perenne elatum glabrum, caule
fistuloso striato ramoso, petiolis vaginatis vaginis ample-
xicauiibus linearibus apice rotundatoauriculatis, foliis
circuitu deltoideis biternatisectis, segmentis primariis
mediisque secundariis petiolulatis, ultimis ovatis 2—3-
fidis et inciso-grandiserratis dentibus lanceolatis acutis
apiculatisque, foliis summis 3-sectis; umbellis plurira-
diatis, involucris involucellisque oligophyllis phyllis
subulatis; calycis dentibus acute deltoideis persisten-
tibus, petalis unguiculatis obovatis integris cum acu-
mine brevi inflexo quam stamina brevioribus, stylopo-
dio depresso; fructu ovalielliptico a latere compresso
jugis anguste subalatis, valleculis 1-vittatis, commis-
sura minute 2-vittata, carpophoro bipartito. Ibuki zeri,
Soo bokf. V, 26.
Nippon media: prov. Iwashiro monte Side-san, 13
Aug. 79 fl. c. fr. fere maturo (misit Yatabe).
iA Garo differt quidem petalis non emarginatis et
habitu potius Pimpinellam referente, sed ob vittas
solitarias priori generi adjunxi. A cl. Baillon (Hist,
d. pi. VII, 118) jam Pimpinella cum Garo juncta est,
verosimiliter recte. Quo magis tamen Umbelliferarum
genera reducuntur, eo difficilior tit eorum distinctio:
characteres diagnostici, post Benthamii revisionem
saepe jam valde vagi, in opere Bailloni omnino desunt.
gis mucronatis brevibus integris v. rarissime trilobis I Quotidie tamen formae inveniuntur inter quaedam
serraturis imposito, terminali longius petiolulato antice
tri-, lateralibus valde obliquis 2 — 3-lobis lobis omni-
bus obtusis; caulibus scapiformibus folia vix v. non
superantibus; umbella 3 — 5-radiata foliis 3 — 5 oblon-
involucrata, radiis umbellulas 1 — 3 gerentibus, um-
bellula centro tiorern femineura 1 sessilem, circumcirca
flores masculos 3 — 5 pedicellatos ferente, floris mas-
culi dentibus calycinis acutissime subulatis petala re-
tusa superantibus, tubo calycis fertilis aculeis uncinatis
tecto.
Kiusiu: prov. Satsuma, in ipsa urbe Kago-sima, sub
arboribus, Octobri 83 fl. legit Tashiro.
Afriuis S. lamelligerae Hce et 8. tuberculatae in.,
ab utraque abunde diversa, a priore segmentis folii
obtusis, umbellae radiis plus quam 2, involucri foliolis
pluribus, fructu aculeato, neque parallele alulato;
posterior magis distat foliis palmatipartitis, caule folia
duplo superante sub umbella solitaria foliato, floribus
fertilibus 3 — 5, fructu tuberculato aliisque signis.
Perennis, radice fibrosa. Petioli 3 — 5 cm. Seg-
mentum terminale 10 — 14 mm. latum et longum, pe-
tiolulo 2 mm., lateralia 10 — 12 mm. longa et lata,
petiolulis 1,5 mm. Radii 2 mm. longi radiolos sub-
aequantes.
genera hucusque sat bene distincta vacillantes eorum-
que junctionem suadentes. Ita Baillonium si sequi-
mur mox tota familia e paucissimis iisque vastissimis
nulloque liraite circumscriptis generibus composita erit,
nisi surget monographus, omnibus votis sane deside-
randus, totum familiae systema novis principiis recon-
struens.
Sp
bipedale, radice deficiente. Folium
inferius seorsim datum petiolo (cuius dimidium
,5:15 cm. Petiolulus
Segmenta secundaria
bifida
petiolulatis: lateralibus sei
angustatis et cum silo 95
iolulum brevem
magnis trifidis,
terminali petiolulo 2 mm. lamina 90 mm. Foliorum
superiorum lamina vaginae insidens, summorum ad
segmenta
3 petiolulata tripartita
Umbellae apice ramorum, numerosae, radiis 8
Ua superantibus. Flores ]
reducta
9
radiolis 1 0
albi roseo
suffusi, diam
mm. Calycis dentes
40
des Sciences de Saint -» Petersbourg.
50
fructu conniventes. Anther ae subquadratae. Styli sub
anthesi brevissirai paralleli, in fructu recur vi accreti,
sed stylopodium
longus.
non excedentes. Fructus 4,5 mm.
»
Oryptotaenia japonica Hassk. Retz. I, 1 1 3 (c. diagn.
et descr. mediocr.). Foliis trisectis segmentis sessilibus
incisoserratis indivisis, umbellis paniculatis 2 — 3-ra-
diatis involucratis , urabellulis 2 — 4-radiolatis involu-
cellatis, calycis dentibus acutis minimis. G. canadensis
S. Z. Fl. jap. fam. nat. n. 424. A, Gray, Bot. Jap.
391. Miq. Prol. 246. Hance in Journ. bot. Ill, 340.
et 1867, 114. Fr. Sav. Enum. 1, 182. Sison canadense
Thunb. Fl. jap. 118.
Per totam Japoniam frequens, nee non in Ghinae
prov. Canton (ex Hance).
Signis datis semper tute distinguitur a sequente,
cujus diagnosis erit:
G. canadensis DC. FoJiis trisectis segmentis saltern
inferiorum petiolulatis bi-triridis et incisoserratis, um-
bellis 3 — 5-radiatis radiolatisque, involucro nullo,
involucellis setaceis, calyce obsoleto.
Osmorhisa Raf.
Carpellis caudatis optime distinctum genus a Myr-
rhide, quocum a Baillon jungitur in Hist. d. pi. VII,
233.— Species § 1. apud DC. Prodr. IV-, 232 (invo-
lucris 3 — 5-phyllis) sequenti modo commode cognos-
cendae:
Folia bis trisecta. 2.
» trisecta segmentis pinnatisectia. 4.
2. Cauda mericarpio 6-lo brevior 0. braclvypoda Torr.
» » 2-lo brevior. 3.
3. Fructus pedicello breviores, segmenta fo-
liorum subito acuminata 3-partita serrata-
que, styli continui breves 0. laxa Royle.
Fructus pedicellos superantes, segmenta
sensim acuminata tripartita et incisoserrata,
styli patuli longiusculi 0. longistylis DC.
4. Caudae mericarpio duplo breviores, fructus
a pedicello diatincti basi soluti, segmenta
foliorum bijugopinnatisecta. 5.
Cauda mericarpio subaequilonga, fructus
a pedicello indistincti vulgo apice soluti,
segmenta 3 — 4-jugo-pinnatisecta pinnati-
partitaque acuminata , styli breviusculi,
pedicelli fructum superantes 0. amurensis F. Schm.
5. Pedicelli fructum superantes, segmenta fo-
liorum obtusa v. acuta apice pinnatifida par-
titave 0. japonica S. Z.
Pedicelli fructu breviores, segmenta folio-
rum acuminata apice pinnatiloba-fidave ... 0. brevistylis DC.
Tome XXXI.
_
Ex his in Asia orientali duae crescunt:
1. 0. amurensis F. Schmidt in Maxim. Fl. Amur.
129. Fl. Sachal. n. 194.
In Mandshuria orientali montana sylvatica aDshare
ad Amur fl. secus jugum Sihota usque ad fontes fl.
Wai-Fudin affl. aestuarii St. Olgae; ins. Sachalin.
Planta americana, ab auctore (in fl. Sachal.) cum
hac comparata, erat 0. nuda Torr., planta yezoensis
vero 0. japonica S. Z. Cum hac ultima habitum com-
munemhabet, sed folia magis divisa et fructus diversi.
2. 0. japonica S. Z. Fl. jap. fam. nat. n. 431. Fr.
Sav. Enum. I, 183. 0. longistylis A. Gray Bot. Jap.
391. Miq. Prol. 252. Chaerophyllum aristatum
Thunb.! Fl. jap. 119.
Sylvis montanis per totam Japoniam) in Tsusima
legit Wilford!
Habitus 0. brevistylis DC. Segmenta foliorum inti-
morum saepius rotundata sunt, superiorum acuta.
Selinum longeradiatum. Pedale radice fusiformi, vaginis
amplis dilatatis apice biauriculatis summis subaphyllis;
foliis inferioribus trisectis circuitu deltoideis segmentis
bipinnatisectis ultimis 3 — 5-partitis lacinulis lineariob-
longis attenuatoacutis membranaceis transverse venu-
losis; caule ramoso tereti; umbellae araplae subexin-
volucratae radiis hinc puberulis umbellulas multiinvo-
lucellatas 5-lo superantibus; calycis dentibus minutis
acutis, petalisnonemarginatis, mericarpiis lateovalibus
jugis obtusis lateralibus alatis duplo latioribus, valle-
culis 1-, commissura 2-vittatis.
Kiusiu interiore monte Naga, cacumine gramine
brevi obtecto, init. Octob. fr. fere mat. (ipse).
Huic proximum S. Tilingia m. (Tilingia ajanensis
Rgl. Fl. Ajan. n. 132 in Japoniae ditione Nambu a
Tschonoski lecta) differt vaginis exauriculatis, foliis
minus divisis venulis transversis obscuris, lacinulis
ovatis v. oblongis, umbellae minoris radiis umbellulas
triplo superantibus, petalis emarginatis, mericarpiis
multivittatis.
Angelica multisecta. Bi-quadripedalis ramosa, caulo
fistuloso striato superne cum vaginis umbellaque pube-
rulo, vaginis dilatatis oblongis apice auriculato-obcor-
datis omnibus foliiferis, foliis ambitu deltoideis infimis
breve petiolatis reliquis sessilibus, inferioribus 4 —
5-nato ternatisectis summis diminutis trisectis, seg-
4
Mo. B'
(
51
It ii 1 1 oli ii de l'Acadfonie Imp^rlale
5ft
mentis ultimis ovatis lanceolatisve acutis basi breve 1 tis subrefractis bipinnatisectis, involucro submono
cuneatis bi-trifidis incisoserratisque dentibus acutius- phyllo, petalis obovatis, ala disco latiore; sed magni
culis; umbellis longe exsertis centrali fertili lateralibus tudo partium fere eadem.
mascalisexinvolucratis inaequaliter multiradiatis,invo-
luccllis oligophyllis, umbellulis multiradiolatis; calycis
limbo obsoleto, petalis albis quam stamina brevioribus
obovatis emarginatis cum lacinula acuminata brevi in-
flexa, disco pulvinato, stylis clongatis recurvis, ovario
fructuque parce puberulis, fructu ovato a dorso com-
presso jugis absque obtusis crassiusculis , valleculis
]- commissura 2 — 4-vittata.
Nippon: alpibus Fudsi-yama (ipse, Tschonoski),
Hakusan ad rivulos, et Ontake (mis. Yatabe).
A congeneribus facile distinguenda foliis latissimis
multisectis foliolis numerosissimis parvulis et vaginis
omnibus foliiferis.
Radix carnosa fusiformis ramosa intus passim cava
atque septata. Caulis crassitie pennae cygneae. Folia
infima sesquipedalia, petioluli omnes segmentosuo bre-
viores, segmenta inferiorum ultima 1 — V/2 pollicaria.
Umbella centralis diam. semipedalis a ramis floriferis
superata. Petala intus minutissime puberula. Fructus
vix 4 mm. longus, alis quam in reliquis Angelicis sub-
angustioribus.
Angelica koreana. (Sect. Ostericum Maxim, in Mel.
biol. IX, 249). Caule striato farcto sub umbella sca-
bropuberulo ceterum glabro; foliis membranaceis infe-
rioribus tri- reliquis bi-ternatisectis petiolulis patulis,
summis minutissimis in apice vaginae linearilanceolatae
non inflatae, segmentis ultimis ovatis acutis subtrilobis
incisoserratisque dentibus acutiusculis; umbellis 12 —
20-radiatis, involucro oligo- involucellis pleiophyllis
phyllis elongatis subulatis, radiis striatosulcatis hinc
scabropuberulis, umbellulae multiflorae radiolis intimis
brevioribus; dentibus calycinis deltoideis persistentibus, .
A i. ,i . v • • • i *• i- w nucleum lata. Vittae tenuissimae. at distinctae. eni-
petalis albis brevissime unguiculatis orbiculatis emar- | ._ 4 . _a t . ,',; ' at """"^w*3 > CF*
ginatis cum lacinula brevi obtusa denticulata; fructu
Peucedanum multivittatum.Pedale ad sesquipedale, parce
ad petiolulorum apicem foliaque subtus pubescens, va-
ginis foliorum inferiorum oblongis, superiorum ovatis
v. rotundatis, omnibus membranaceis apice cucullato
obtuse lateque auriculatis; caule striato fistuloso vix
ramoso 2 — 3-pbyllo, foliis nervosis radicalibus longe
petiolatis bis trisectis ambitu deltoideis, segmentis
primariis petiolulatis, secundariis subsessilibus v. ses-
silibus, omnibus ovatis acutis v. rarius rotundatis ob-
tusis in lobulos 2 — 3 incisis serratisque dentibus ova-
tis apiculatis, caulinis superioribus vaginae insidenti-
bus segmentis acuminatisangustioribus; umbella 7 — 8-
radiata radiis radiolisque inaequalibus intus fuscohispi-
dulis, involucro nullo, involucellis nullis v. oligophyllis
phyllis lanceolatolinearibus acuminatis; calycis denti-
bus ovatooblongis obtusis persistentibus, petalis stami-
na superantibus rotundatis brevissime unguiculatis pro-
funde emarginatis cum lacinula emarginata involuta,
disco depresso crenato, stylis brevibus patulis; fructu
elliptico alato jugis dorsalibus nerviformibus, vittis
tenuissimis passim ramosis numerosis sub valleculis
jugis et ad commissuram, carpophoro bipartibili.
Nippon media (Tschonoski, fl.) occasum spectante:
prov. Kaga, alpe Haku-san, 8 August. 82 fl. c. fr.
lectum mis. Yatabe.
Species sui juris, habitu potius Hmpinellarum japo-
nicarum, petalis et fructu convexo Peucedani, vittis
numerosis Ferulae.
Vaginae viridifuscae. Folia opaca nervis subtus pro-
minulis, radicalia spithamaea, lamina 9 cm. lata, 7 cm.
longa, caulinorum inferiorum 7 cm. longa, 6 cm. lata.
Fructus 6,5 mm. longus, ala crassiuscula dimidium
carpio tenui extus bene visibiles.
subquadrato jugis dorsalibus angustissime lateralibus P. decursivum. Angelica d. Franch. Savat. Enum
late alatis ala disco fere 2-lo angustiore, valleculis I, 187. Porphyroscias d. Miq. Prol. 250.
1- commissura 2-vittata.
Tota Nippon et Kiusiu in pratis et fruticetis fre-
Ad Koreae limites: locis lapidosis circa sinumPossiet quens
sat frequens in pratis fruticetisque, med. Augusto flor.,
fine Septbris fructif. (ipse). '
p. albiflorum: floribus albis (nee atropurpureis).
In Kiusiu interioris alpibus.
A. polymorpha m., proxime affinis, differt vaginis I Ob fructus margineni simplicem et alas duriores noi
lanceolatis inflatis, foliis tenuius membranaceis petiola- 1 est Angelica, sed Peucedanum) conf. Baill. Hist, d.pl
53
dem Sciences de Saint- Petersbotirg.
54
VII, 1007 adnot. 5. Foliis etfructu breviore a P.lati- Himalaya temperata: a Kashmir ad Kumaon (ex
folio DC, cui ob habitum et characteres proximum, Hook. f.). Vidi specc. ex parte occidentali a Royle,
ditfert. I valle Chenab (Ellis fl.), Bahar (Duthie frf.), Kumaon
(Wallich).
Abelia R. Br.
Synopsis specierum asiaticarum.
Peduaculi laterales, ex axillis summis ramo-
rum singuli vel in corymbum pluriflorum fo-
liatum v. subaphyllum approximate apice v.
medio pedicellique apice bracteati. 2.
Peduaculi terminates in apice ramulorum bre-
viuui lateralium v. termioalium biflori ebrac-
teati, pedicelli apice bracteolati. 6.
Pedunculus elongatus biflorus in bifurcation
ramorum A. adenotricha Hce.
2. Bracteae bracteolaeque foliaceae elongatae. 3.
Bracteolae saltern ovatae minutae. Peduaculi
et pedicelli evoluti. 4.
3. Inflorescentia corollaque longe pilosa, folia
acuminata lanceolata, calycis laciniae 5 subu-
latae bracteolis vix longiores A. triftora R. Br.
Inflorescentia breviter dense villosa, folia
lanceolata, calycis laciniae 4 ellipticae, tubus
bracteolis ellipticis brevior A. corymhosa Bgl.Schmalh.
4. Inflorescentia foliata. 5.
» aphylla multiflora (foliis flora-
libus enim minutis bracteiformibus), calycis
laciniae 5 spathulatae corolla duplo saltern
breviores, genitalia exserta A. chuunsis R. Br.
5. Bracteae bracteolaeque minutae deltoideae. .A. uniflora R. Br.
» foliaceae elongatae, bracteolae minu-
tae, calycis laciniae 5 spathulatae tubo corol-
lino parum breviores, genitalia e tubo exserta.4. rupestris Lindl.
6. Pedunculi biflori tenues floribus sessilibus. 7.
»
biflori nulli floribus pedicellatis.. .A. biflora Tcz.
7. Calycis laciniae 5 A. spathulata S. Z.
»
laciniae 2 (3—5) A. serrata S. Z
a. Pedunculi ex axillis summis laterales nunc corymbosoapproximati.
1. Abelia triftora R. Br. in Wall. PI. as. rar. 1, 14,
t. 15. Frutex erectus elatus ramulis minute puberulis,
foliis utrinque viridibus sub anthesi membranaceis
laevibus, in fructu chartaceis sat dense supra impresse
subtus elevato reticulatis ciliatis lanceolatis acuminatis
integris (rarissime prope basin hinc v. utrinque 1-den-
tatis); pedunculis apice ramulorum in inflorescentiam
plurifloram densam approximatis brevibus 3 -iioris,
bracteis bracteolisque linearilanceolatis foliaceis, flori-
bus centrali cujusvis pedunculi sessili 1-, lateralibus
breve pedicellatis 3-bracteolatis; calycis longe pilosi
laciniis 5 subulatis corollae pilosae tubo cylindrico pa-
rum brevioribus, limbo corollae parvo patulo, genitali-
bus inclusis. DC. Prodr. IV, 339. Wight, 111.11,72,
t. 121. C. Hook. f. et Thorns, in Journ. linn. soc. II,
174. Lindl. Paxt. Fl. Gard.III, 93, t. 91. Brandis,
For. fl. Brit. Ind. 257. Hook. f. Fl. Brit. Ind. Ill, 9.
#
2. A. corymbosaRg\. et Schmalh. in Act. h. Petrop.
V, 608. Frutex dumosus ramulis numerosis dense ap-
presse deflexopilosis, foliis aride chartaceis utrinque
viridibus subtus pilosis sat dense elevatoreticulatis lan-
ceolatis obtuse breve attenuatis rarius passim incisis;
pedunculis apice ramulorum breviuin in corymbum
pluriflorum arete confertis 2 — 3-floris pedicellis sub-
nullis, bracteis bracteolisque foliaceis lanceolato-ellip-
ticis his tubum calycinum superantibus; calycis laci-
niis 4 ellipticis, corolla utrinque pilosa vix calycem
superante infundibuliformi limbo parvo patente, geni-
talibus inclusis.
Turkestan: prope Taschkent (Krause), alpibus
Alexandri (Fetisow).
* 3. A. chinensis R. Br. in Abel, Narrat. App. 377,
c. tab. Frutex decumbens, ramulis tenuiter pubescen-
tibus, foliis ciliatis supra pilosulis ovatis acutiusculis,
inflorescentia multiflora subtrichotoma terminali, pe-
dunculis bifloris medio minute bibracteatis, floribus
sessilibus, calyce basi 3-bracteolato limbi 5-partiti
laciniis spathulatooblongis, corolla calyce duplo lon-
giore anguste infundibuliformi fauce imberbi limbo
continuo quam tubus 5-lo breviore, genitalibus brevi-
ter exsertis. DC. Prodr. IV, 339. A. Hanceana Mart,
apud Hance in Ann. sc. nat. 5 ser. V, 17. ex ipso
Hance in Journ. bot. XX, 289.
China: prov. Kiangsi ad lacum Po-yang non procul
a Kiu-kiang (Abel ex R. Br.), prov. Fokien ad Amoy
in monte Lam-tai-wu (Hance), prov. Canton ad North
river (Henry ex Hance in Journ. bot. XVIII, 261).
Vidi fig. et descript. Brownii.
4 . A. rupestris Lindl. Bot. reg. 1846, t. 8. Frutex
decumbens, ramulis calycibus corollisque minute pube-
rulis, foliis utrinque viridibus subtus secus costaiu parce
villosis v. glabratis subcoriaceis ovatis acutiusculis ser-
rulatis serratisve, pedunculis bifloris apice ramorum
approximatis in inflorescentiam foliatam multifloram pe-
dicellisque brevissimis, bracteis foliaceis oblongis, brac-
teolis minutis deltoideis; calycis laciniis 5 obovatooblon-
gis tubo corollae infundibuliformi parum brevioribus,
4*
55
Bulletin de l'Academie Imperials
56
corollae limbo patente majusculo, genitalibus exsertis.
Lindl. et Paxt. Fl. Gard. II, 130, f. 201.
China: collibus Chamoo in rupibus, 1844 detecta.
Verosimiliter ex parte Chinae australiori, quia ex
Lindleyo circa Londinum hiemem aegre perdurat.
Vidi cultam.
A. unifl
RB
Wall. PI
rar. I, 15.
Ramulis calycibus et corollis minute puberul
utrinque viridibus coriaceis subtus ad costam
foliis
passim serrulatis, pedunculis
floris
tarn pedicell
bi
inflorescentiam folia-
bracteis bracteolisque
mi nut is deltoideis; calycis laciniis 2 (3) oblongis, co-
rolla calyce duplo longiore late infundibuliformi fauce
intus hirsuta. limbo patulo majusculo, staminibus in-
I
clusis. Lindl. et Paxt. Fl. Gard. II, 14
Belgique hortic. Ill, 338. Lindl. in Bot. reg. ]
sub tab. 8. Bot. mag. t. 4694 (excl. synon. A
fig. 208.
S. Z
China
Fokien in regione theifera (R
ex R. Brown, Fortune
Lindley). Vidi cultam.
Spec, authenticum R. B
qui
introduxit. ex
cujus adumbratio
pta ex herb. Mus. bi
liberal
nicae
transmisit cl.
Forb
florae Si
indefessus, a figura Hook
Bot. mag. non parum quidem differre videtur pedun-
culis 1 -rloris et corolla duplo minore angustius infun-
dibuliformi foliisque ovatis v. ellipticis subintegris, sed
fi
citata Lindleyi flor<
fundibuliformes foliaq
parvos
habet
medium
Pedunculi
Lindl
quide
tiori, sed in fig. ejus citata inferiores flores
identur, item
e describuntur
ut a Hooker o triflori
b. Pedunculi semper biflori apice ramulorum terminates.
6. A. biflora Turcz. Enum. Chin. n. 93 in Bull.
soc. Mosc. X, 2, pag. 152. Subprocumbens, ramulis
hornotinis appresse reverse pilosis, foliis utrinque ad
costas margine superneque parce calyce saepeque co-
rolla extus pilosis, foliis membranaceis ovatis lanceo-
latis imo linearilanceolatis acutiusculis v. acuminatis
integris v. serraturis paucis grandiserratis subconcolo-
ribus laevibus; pedunculis bracteisque nullis, pedicellis
distinctis, bracteolis minutis deltoideis v. rarius elon-
gatis linearibus tripartitisve turn caducis; calycis laci-
niis 4 oblongis tubo corollae anguste infundibuliformis
parum brevioribus, limbo corollae intus pubescente,
genitalibus inclusis. Maxim. Fl. Amur. 472. Franch.
PI. David. I, 151, tab. 11 (errore triflora signata).
A. Bavidii Hance in Journ. bot. VI, 329, XIII, 131.
China borealis: in montibus ditionis Pekinensis
(Kirilow!) ab urbe ad occidentem (Tatarinow!), v.
gr. Po-hua-shan (Bretschneider!), Siao-wu-tai-shan
alt. 3600— 5000 p. s. mare (Moellendorff!), prope
Jehol (David!). Mandshuria austroorientali: jugo
finitimo non procul a Korea (M. Jankowski! fl. 1884),
ins. Russki (portu Deans Dundas) silvis montanis sep-
tentrionem spectantibus sat frequens, usque 5-pedalis
(ipsefrf. 1860).
Species sat variabilis formas duas bene distinc-
tas praebere videtur: latifoliam foliis membranaceis
vulgo fere integris et majoribus (A. bifloram Turcz.)
et angustifoliam foliis vetustis firmis saepe serratis et
minoribus (A. Davidii Hance). Sed bracteolarum
forma valde ludit et alii characteres diagnostici pari-
ter desunt. Ita exempla A. biflorae typicae pekinensis
bracteolas ovatolanceolatas v. rarius lineares elongatas
v. nonnullas deltoideas, mandshuricae semper deltoi-
deas, Davidianain fig. Francheti tripartitas fructu
parum breviores, in exemplis communicatis jam deci-
duas, florentia A. Davidi lineares rarissime tripartitas
cum deltoideis intermixtis possident.
A. spathvlata Sieb. Zucc. Fl. Jap
f. 2. Ramulis glabris, foliis
acutis v. subito acuminatis
subtus gl
grandiserrat
villosis; pedunculis tenuibus calycis tubo duplo saltern
brevioribus, floribus 2 sessilibus basi bracteolatis, brae-
7
teolis minutis deltoideis; calycis limbo 5-partito laciniis
oblongis linearibusve corolla basi cylindrica turn subito
us duplo v. triplo
;ertis. Miq. Prol.
05. A. serrata A.
infundibuliformi minute pubente
brevioribus, genitalibus e tubo <
157. Franch. Savat. Enum. I,
Gray in Perry's Exped. 313 (fideMiquel, cui var. p)
Nippon
sylvis et in montibus, v. gr. Simoda
(Williams et Morrow, Yolkin!), jugo Hakone (ipse),
Yokoska (Savatier!, Moseley!), Kanasawa (ipse).
8. A. serrata S. Z. 1. c. 76, t. 34. Omnia praece-
dentis, excepto calycis limbo bipartito laciniis ovalibus
57
des Sciences de Saint -P£*e*sboursj
5S
1. e.
v. ellipticis hinc 2-3-lobis-fidisve, corollaque calycis parvula quoad formam potius species cliinenses refe-
limbo duplo longiore. Miq. Prol. 156. Fr. Sav. En. rentia, sed vel integra v. regulariter serrata.
I, 205, II, 391. Hance in Journ. bot. XX, 5.
Kiusiu, in montibus frequens(Siebold!, Buerger!):
Kawara-yaraa non procul a Nagasaki (Siebold!), Miadzi,
inter frutices, pi. tripedalis fl. lacteis (ipse), Sikoku
(Rein!); China: prov. Hupe et Sz-tchuen (Hance).
Japonice haec et praecedens: Tsukubane utsugi
Diervilla quadrialoides, vel Ko tsukubane i. e. Qua-
driala parva.
In icone Sieboldi flores quidem paulo rainores
quara in praecedente delineati, at corolla calyce toti-
dera longior ac in altera, quod equidem in exemplis
numerosis non ita invenio. Siebold utramque promis-
cue crescere affirmat atque conspecificam habet, mihi
utraque et geographice sejuncta apparuit et calyx
A. spathulatae constanter 5-partitus, in A. serrata
rarissinie, vulgo laciniis per 2 vel 3 connatis.
glabros
c. Pedunculus elongatus 2-flor
in bifurcatione ramorum.
9. A. adenotricha Hance in Journ. bot. IX, 132.
Ad ramulos hornotinos pedunculos bracteas calycesque
glandulosopilosa , foliis utriuque dense subtus densius
appresse pilosis ovatis acutis integris, bracteis foliaceis
. . . . , calycis
lanceolatis , floribus sessilibus, bracteolis . . . . ,
laciniis 4 oblongis fructu triplo brevioribus.
China boreali: ditione Pekinensi ad Jehol (David
ex Hance).
Species ob situm pedunculorum in furca ramuloruni
elongatorum et pubem capitatam in genere anomala,
floribus uondum notis. Inter pi. Davidi a Franchet
enumeratas (PL David. I, 152) deest, sed quaerit
Franchet anne sit eadem ac Lonicera Elisae F ranch.
1. c. t. 12. f. 2. et folia pi. Hancei ab ipso autore
communicata conspecifica declarat. Sed inflorescentia
ex descriptione nimis aliena videtur, ut jungantur.
Adnot. Species 2 v. 3 americanae (genus Vesalea
Mart, et Gal. in Bull. acad. Brux. XI, 24), recte
Lonicera emphyllocalyx. (Subgen. Chamaecerasus , ser. 2.
Maxim, in Mel. biol. X, 63) Ramulis petiolisque no-
vellis pube ininuta dense pilisque longis hirsutis, foliis
approximatis parvulis brevissime petiolatis ovatis utrin-
que obtusissimis superne ad costara subtus ubique
longe pilosis; pedunculis calycem superantibus dense
puberulis, bracteis subulatis pilosis calyce sesquilon-
gioribus, bracteolis crasse coriaceis in tubum obsoletis-
sime biiobum connatis calyces liberos ovales
subsuperantibus, limbo calycino marginiformi, corolla
intus et extus pilis longis hirsuta, tubo cylindrico basi
gibbo limbo sesquilongiore laciniis oblongis, genitali-
bus breviter exsertis glabris.
Nippon: alpe Nikko (flor., Tanaka sub nom. jap.
■
Kuromino uguis, ex quo nomine fructu nigro gaudere
videtur).
E nostratibus nulli, ex indicis L. tomentellae H ook. f.
et Thorns. (Hook. f.>l. Brit. Ind. Ill, 12) affinis,
quam tamen non vidi. Ex descriptione breviore omnes
partes similes et subaequimagnae videntur, praeter
bracteas subulatas, nee auguste oblongas, bracteolas
totum calycem tegentes, nee breves, et calyces liberos,
nee in fructu coalescentes.
Ramulus communicatus 75 mm. longus, cortice
vetusto laevi glabro nigrescente, innovationibus instruc-
ts 2, altera basali brevi, altera terminali 25 mm.
longa, utraque florifera. In hac foliorum paria 6 et 2
juvenilia. Folia maxima (terminalia) 30 : 20 mm.,
petioli 2 mm. Pedunculi 4 mm. vel breviores. Calyx
2 mm., corolla 10 mm.
observante Decaisne in Van Houtte Fl. d. serr. II,
sub tab. 5, ab Abelia non differunt nisi bracteolis non
3, sed in A. floribunda Dne I. c. 1 — 5, in A. coriacea
Hem si. (in Biol, centr. amer. II, 4, t. 36 f. 1
5)
binis. Inflorescentia pluriflora terminalis seriei nostrae
primae. Pedunculi apice foliaceobracteati pedicellique
evoluti. Corollae incurvae elongatae cylindrico-infun-
dibuliformes, stamina inclusa, stylus subexsertus. Folia
Lonicera gracilipes Miq. var. glandulosa. Calycis
tubus densissime, pedunculus parcius pilis capitatis
tectus, corollae tubus extus pilosus, stylus pilis pancis
obsessus, petioli foliaque subtus ad costas appresse
pilosa.
Nippon media (fl. mis. Tanaka s. nom. jap. Ugu-
isu kagura).
In forma typica folia vulgo glabra, calyces et pedun-
culi rarius passim pilo capitate uno alterove instructi, et
folia vulgo minora; in var. proposita maxima 75 : 50 mm.
et petiolus 8 mm.
59
Bulletin de l'Acad^mie Imp&riale
OO
Diervilla Tourn.
Species asiaticae.
Calycislimbus2— 3-partitus laciniis2— 3-lobis,
corolla lutescens, antherae sub stigniate cohae-
rentes, semina lanceolata apice basique lon-
ge alata D- Middendorffiana Can*.
Calycis limbus aequaliter 5-fidus v. 5-partitus,
corolla alba rosea v. fuscorubra, antherae li-
berae. 2.
2. Laciniae calycis lanceolatae, corolla rosea,
semina triquetra exalata D. florida S. Z.
Laciniae calycis lineares, semina alata. 3.
3. Corollae tubus e basi cylindrica subito late
infundibuliformis. 4.
Corollae tubus aequalis anguste infundibuli-
formis fuscus v. initio virescens cum ovario
et calycc pilosus, folia villosa D. floribunda S. Z.
4. Glabrescens elata macrantba, corolla initio
lactea turn rosea D. grandiflora S. Z.
Pilosa, corolla rosea D. japonica DC.
1. D. Middendorffiana Carr. Rev. hortic. 1853,
306. 1854, 261, 1. 14. Van Houtte, Fl. d. serr. XI,
t. 1137. S. Moojre in Journ. bot. 1878, 129 (var.
Maximomczii S. Moore). Calyptrostigma Midd.
Trautv. et Mey. in Bull. phys. math. Acad. Petersb.
XIII, 220. Fl.Ochot. n. 162, t. 25 a. et b. Rgl. Til.
Fl.Ajan. n.143. Rgl.Gartenfl. 1857, 1. 183. Maxim.
Fl. Amur. n. 350. F. Schmidt. Fl. Amg. bur. n. 186.
Fl. Sachal. n. 208. Wagneria Midd. Verschaff. in
111. hortic. 1857, t. 115.
Sibiria austroorientalis: circa Ajan (Tiling), ad
sinus Mamga et Ujakon (Middendorff), ad ostium
fl. Tugur (Or low); Mandshuria borealiorientali: mon-
tibus Uda et Oghobi prope Nikolajevsk, circa De
Castries; ins. Sachalino vulgaris supra terminum
Coniferarum (Glehn, F. Schmidt); Kurilis (flor.);
Nippon: alpe Nikko (Tschonoski, Bisset!).
2. D. florida Sieb. Zucc. Fl. Jap. I, 75 (1835).
Carr. Rev. hortic. 1853, 309. Hance in Journ. linn,
soc. XIII, 8 1 . Calysphyrum floridum Bge Enum. Chin,
n. 196. Weigela rosea Lindl. in Journ. hort. soc. I.
(1846), 65, t. 6. Bot. mag. 4396. V. Htte. Fl. d.
serr. Ill, 211. D. rosea Walp. Ann. I, 365. Franch.
PI. David. I, 151. Weigela pauciflora D C. et W. florida
DC. in Ann. sc. nat. 2 ser. XI, 241. Galysph. paucifl.
Bge in Walp. Repert. II, 450. Bier v. paucifl. Carr.
Rev. hortic. 1853, 310. D. amabilis Carr. ibid. 305.
Planch, in V. Htte. Fl. d. serr. VIII, 287, t. 855.
Bot. mag. 4893.
China borealis: Pekini in hortis tantum (0
coll.), in montib. occidentalibus (Bretschnei
Jehol
sj
altiorum
(Wawra! n. 1198), China media (F
d!), Tschifu
me! A. 25);
Korea (Schlippenbach
Kor earns (Oldh
n. 490), Mandshuria austroorientalis: sinu Possiet ad
declivitates rupium littoris frequens, portu Bruce simi-
li loco (ipse, frf.), ad fl. Sedemi in rupibus rarius
(Jankowski, fl.).
Planta nonnihil variabilis. Ilia e Korea et Mand-
shuria, ad typum pertinens calyce 5-fido, densius, in-
terdum etiam ad fructum, pilosa, filamenta basin versus
pilosa habet ut typica, sed pili densiores et longiores.
Spec, ex archip. Koreano Oldh. n. 490, a Miquel ad
D. versicolorem ductum, mini hue pertinere videtur ob
folia concolora longius pilosa, qualia pi. koreano-mand-
shuricae propria, calyces limbi enim jam caduci.
D. amabilis Carr. typo simillima, at speciosior,
calycis limbo 5-partito laciniis linearilanceolatis di-
versa, quoad patriam dubia, mihi videtur var. grandi-
flora I). floridae et ob flores majores potius e borea-
lioribus locis orta, fortasse ex hortis Pekinensibus.
Ludit fl. albis: Weigela alba Carr. Rev. hortic.
1861, 331, ex ipso autore tantum varietas dicta.
W. Isalinae V. Htte. Fl. d. serr. XIV, t. 1445.
Occurrit in hortis Belgii corolla alba roseostriata
(W. amabilis striata V. Htte 1. c. t. 1446, calycis
limbus 5-fidus) et limbo albo lobo alter o roseo.
Semine majusculo exalato triquetro dense impresso-
punctato optime ab omnibus diversa.
Planta ex Chinae prov. An-whei sub nomine D.
japonicae a Hance in Journ. of bot. XX, 289 memo-
rata, mihi ad I), floridae var.amabilem ducenda videtur,
quia a Hanceo a D. versicolore S. Z., quam a me e
Japonia acceperat, non distinguenda dicitur.
3. D. grandiflora S. Z. Fl. Jap. I, 71, t. 31. D.co-
raeensis DC.Prodr. IV, 330. Weigela cor. Thunb. in
Acta linn. II, 331. et fig. ined.! Korei utsugi. Kaempf.
Amoen. 855. Icon. ed. Banks, t. 45. JD. japonica Mi q.
Prol. 157 p. p. A. Gray, Bot. Jap. 392 p. p. et excl.
syn. W. roseae.
Nippon: Simoda (Alexander!, Yolkin), Hakone
(Siebold!, Buerger!), Yokoska (Savatier! n. 549),
Yokohama, in fruticetis frequens, Tokio culta (ipse),
Yezo: circa Hakodate frequens et luxurians (ipse).
• \
61
des Sciences de Saint- Pe^ersboiirg.
«2
Frutex 4 — 15-pedalis truncis pluribus brachii eras- I A. Gray (Bot. Jap. 392) iconibus tantum fultus
si tie, macrophj'llus, dense frondens, quam sequens
minus speciosus ob frondem neque flores sub anthesi
praevalentera. Pedunculi longiusculi vulgo distincti.
Legi semel in littore limoso plantulas biennes tripoili-
cares jam fl oriferas !
Nomen D. coraeensis inaptura, quia species e Korea
non innotuit, Kaempferum vero h an c Korei utsugi
nominasse ex falsa interpretatione characterum sinen-
sium demonstravit Siebold 1. c. 73.
4. D.japonica DC. Prodr. IV, 330. Miq. Prol.
157, excl. syn. plerisque. Weigelajap. Thunb. Fl.
Jap. 90, t. 16. et in Act. linn. II, 331. Act. holm.
conjunxit 1). floribundam S. Z. et D. hortensem S. Z.,
equidem comparatis exemplis authenticis priorem et
D. versicolorem S. Z. In hortis vero sub nom. D. rer-
sicoloris habere solent D. japonicam, conf. Carr. Rev.
hortic. 1853, 305.
1780, 137, t. 5 (ex DC). Nip>pon utsugi, K a em pf.
Am. 855 (ver osimiliter). D. hortensis S. Z. Fl. Jap. I,
70, t. 29, 30, 33, f. 2.
Japonia in montanis: Kiusiu prope Kuma-moto in
fruticetismontium, Nippon: Fudzi-yama sylvisvetustis
lateris contin entalis (ipse), Hakone (Moseley!), Yo-
kohama, rara (ipse), Nambu (Tschonoski), Yezo
circa Hakodate (i p s e).
A proxima D. grandiflora S. Z. in vivo statim distin-
guenda: frutex minor (5-pedalis), folia quoque minora
subtus saltern dense pubescentia v. villosa, flores nu-
merosiores, corolla minor ab initio rosea, pedunculi
(non obstante tabula fl. Jap.) vulgo fere nulli, sed oc-
currunt aequilongi ac in praecedente et usque 7-flori,
quod obvenit praesertim in planta culta, quae simul
folia subtus canescentivillosa habet et verara sistit
D. hortensem S. Z. (Blume misit!).
Haec var., D. hortensis S. Z., praesto est culta e
Japonia (Buerger, mis. Miquel s. nom. D. floribunclae
var. hortensis), pariter culta e Nagasaki et Yokohama
(ipse, varians fl. albis) et sponte crescens ad Yokohama
fl. roseo (ipse), e Yokoska (Savatier n. 548 s. n.
D. floribundae).
5. B. floribunda S. Z. Fl. Jap. I, 73, t. 32. Miq.
Prol. 157 (excl. syn. B. hortensis S. Z.). Carr. I. c.
307. B. versicolor S. Z. 1. c. 74, t. 33. fig. 1. excl.
syn. B. multiflora Lem. 111. hortic. X (1863) t. 380.
Japonia (Siebold!, Blume!): Nagasaki, culta,
Kiusiu interiore in fruticetis planitiei prope Miadzi
(ipse).
D . multiflora Lem. sistit hujus formam genitalibus,
praesertim stylo, paulo magis exsertis.
Adina globiflora Sal. Parad. Lond. t. 115. Benth.
Fl. Hongk. 146. Maxim, in Engl. Bot. Jahrb. VI, 67.
Kiusiu: prov. Satsuma prope Kago-sima, prov.
Osumi, sponte crescens, arborea, jap. Tani watarinoki
(Tashiro!), China-. Hongkong (Fortune! n. 119,
Wright!, Forbes!).
Randia canthioides Champ. Maxim, in Mel. biol.
XI, 791.
Hucusque e Hongkong tantum notam, nunc in ins.
Liukiu detexit Tashiro, flor. Majo.
Biplospora viridiflora DC. Prodr. IV, 477. Benth.
in Kew journ. IV, 195. Fl. Hongk. 157.
Liukiu (Tashiro! s. nom. jap. Koffi modoki fr. juv.)
China: Hongkong (Wright!, Hance!, Forbes!), col-
libus Pakwan supra Canton (Hance!).
Psychotria elliptica Ker. Maxim, in Mel. biol. XI,
797/et in Engl. Jahrb. VI. 67.
Liukiu (Tashiro!).
Hujus synonymon est, fide Tashiro, Aucubaephyl-
lum liukiense Ahlburg in Bot. Zeit. 1878, 113, cu-
jus descriptio nimis incompleta non nimiscontradicens,
exceptis tamen «petalis» patentibus caducis (nee co-
rollae tubo brevi obconico), filamentis 4 disco (nee
5tubo) insertis etstigmate 5-partito(nec 2-lobo). Anne
liae differentiae partim errores typographic i v. gr.
staminum et stigmatis loborum numerus, partim for-
tasse male observatae?
Lasianthus Wallichii Wight. Maxim, in Mel. biol.
XI, 797.
Liukiu: insulis O-sima et Okinawa (Tashiro! fl. et
cum alab. s. nom. jap. Maruba ruriminoki).
Glossocomia Don.
Duae species in Asia orientali crescunt, inter se
persimiles et saepissirae confusae, verumenimvero signo
gravi optime distinctae:
1. G. lanceolata S. Z. F). Jap. I, 174, t. 91) sub.
63
Bulletin «le PAcademie Impcriale
64
Campanumoea) Major, foliis margine setulosis ceterum
glabris v. rarissime parce pilosiusculis, corolla late
infundibuliformi-campanulata fundo corollae inter sta-
mina quinquangulo, serainibus late alatis opacis lac-
teis. Miq. Prol. 123, 359, 366. G. hortensis Rupr.
in Bull. phys. math. Acad. Petersb. XV, 209. Tsuru
ninsin, Thunb. Fl. Jap. 353. pi. incert. n. 21.
Per totam Japoniam frequens, in Mandshuria
australiori, v. gr. ad Usuri medium, lacum Hanka,
circa Wladiwostok; China boreali: in montanis circa
Pekin, v. gr. Takiosze, monte Po-hua-shan cet.
2. G. ussuriensis Rupr. et Maxim, in Bull. 1. c.
Minor, foliis margine setulosis subtusque saepe pilo-
sulis, corolla angustius infundibuliformi-campanulata
fundo inter stamina quinquefossulato, seminibus apte-
ris lucidis brunneis. Maxim. Fl. Amur. 184. G. lan-
ceolata Rgl. Fl. Ussur. n. 316. Basobu, Ito Keiske,
Nihon san budz shi, Mino, III, 9.
Nippon media (Tschonoski): Fudzi yama (Ito
Keiske), Hakodate (ipse), Mandshuria, in desertis
graminosis sylvisque frondosis lucidis frequens, ad
Amur australem, totum Us.uri fl., ad fl. Suifun et us-
que ad limites Koreae.
Scaevola Koenigi Vahl, Symb. Ill, 36. Clarke in
Hook. f. Fl. Brit. Ind. Ill, 421. Hance in Journ.
bot. IX, 202. Engl, in Bot. Jahrb. VI, 68. Sc. Lo-
belia Benth. Fl. Hongk. 198.
Liukiu (Doederlein fide Engler), Bonin-sima
(Wright! frf., Yatabe! fl. s. n. Kusa tobera i. e. Pit-
tospori herbacei); China: Hongkong (Wright!), Prata
island (Hance). Distrib. ad littora tropica utriusque
orbis.
Vaccinium lasiodiscus. (Sect. Euvaccinium, ser. fl.
solit. axillaribus, A. Gray, Syn. fl. N. Am. II, 1 . p. 24).
Ramulis obtuse angulatis, novellis filiformibus divergen-
tibus cum foliis subtus pedunculo totoque flore minute
hispidulopuberulis , foliis parvis membranaceis 1-ner-
viis laxe reticulatis sessilibus linearilanceolatis acutis-
sime acuminatis versus basin obsolete crenulatis; pedun-
culis axillaribus bibracteatis flore brevioribus defloratis
nutantibus, bractcis linearibus membranaceis ciliatis,
calycis cum pedicello articulati tubo hemisphaerico
dentibus 5 acute deltoideis duplo brevioribus, corolla
urceolata ovali breve 5-dentata dentibus deltoideis
patentibus, staminibus 10 filamentis subulatis ultra
\
Species sui juris, ex prima
medium villosis antheram superantibus, anthera' mu-
tica loculis quam tubuli antice poro obliquo aperti
duplo brevioribus, stylo tubum corollae fere aequante
cylindrico disco tumido dense hispido umbonato im-
posito, ovario 5-locuIari.
Japonia: sine loci specialis designatione s. n. jap.
Sunoki (variis Vacciniis communi) misit spec. 1. fl.
Tanaka.
fronte Chiogeni hispi-
dulae non absimilis, a speciebus americanis jam fila-
mentis villosis diversa, neque ulli aliae descriptae apte
associanda.
Ramus missus, a crassiore abruptus, 14 cm., bis
dichotomus, dichotomia secunda novella cum ramulo
novello accessorio infra dichotomiam unam. Folia in
sicco nigrescentia, intcrnodia duplo superantia, 12:4
mm. ad summum magna. Flores ex omnibus axillis
ramulorum innovantium inde a basi ipsa orti, folia
aequantes, Bracteae varia altitudine pedunculo in-
sertae, mox utraque approximata, mox pi. m. remota,
cito post anthesin caducae. Calyx 1,5 mm., corolla
6 mm. longa.
_ — -
Vaccinium praestans Lamb, in Trans, linn. soc. X,
264, t. 9. Ledeb. Fl. Ross. II, 904. F. Schmidt,
Fl. Sachal. n. 285. Maxim. Fl. Amur. 187. Iwa tsu-
tsusi. Ito Keiske, Nihon shioku buts dzu setsu, I, 6
(fig. opt.).
Nippon: prov. Senano sub nom. Iwa tsutsusi i. e.
azalea rupestri mis. frf. Tanaka. Turn innotuit e
Sachalin; Mandshuria borealiorientali a sinu Hadshi
usque ad Nikolajewsk; et e Kamtschatka.
Rhododendron Tashiroi. (Eurhododendron). Innovatio-
nibus (foliis vix erumpentibus superne) rufosetosis mox
glabratis, gemmae floriferae acute ovoideae setosoto-
mentosae triseriatim imbricatae tegmentis ovatis post
anthesin caducis, ipliis apice ramulorum subternis co-
riaceis discoloribus utrinque tenue subquadricostatis
superneque impresse reticulatis laevibus glabris brevi-
petiolatis ellipticolanceolatis subito breviter acumina-
tis; floribus 2 — 3 umbellatis, pedunculis brevibus
inclusis ebracteatis calyceque brevissime 5-dentato ru-
fosetosis, corolla late infundibuliformi profunde 5-fida
laciniis oblongis, genitalibus glabris, stylo stamina
p
10 paulo superante corollam fere aequante, ovario
ovoideo rufostrigoso 5-loculari.
65
dck*» Science* t\v Saint - Pc^tcrsibourt;.
66
In Japoniae australis ins. Tanega-sima (Tashiro! i Spec, ante oculos 1 florens aphyllum, aliud sterile
tfor.) et fortasse in Li
ins. Osima, (Doederlein, cum innovationibus valde juvenilibus Gemmae Hori-
sterile) si recte ex memoria hue refero «Eh. spec, ex
affin. Eh. ovati, sed pube setosa distinctum» Maxim,
in Engl. Bot. Jahrb. VI, 64.
Nulli e descriptis apte comparandum! Habitu non
tarn Eurhododendri quam Tsusiae, cui lubentius adnu-
merarem et quam in mentem vocat foliis diminutis
— 10 mm. longis) paucis ad basin gemmarum folii-
ferarum, sed gemmae floriferae perscrutatae minime
folia novella sed tantum fiores fovebant et unicam in-
veni ubi extus arete approximata aderat gemma pro-
pria angusta, e qua folia novella erumpere incipiunt.
Ita absque dubio ad Eurhododendra pertinet. Quoad
folia ad Eh. ovatum PI. paulo accedit, modo crescendi
in mentem vocat Eh. Seniawini m. (inter Tsusias).
Foliorum lamina inter 20 : 13 ad 65 : 26 mm., pie-
rumque 50 : 20 mm., petioli 2 — 7 mm. Pedunculi
7 mm., corolla 25 mm. longa eodemque fere diametro,
colore ignoto. Antherae ochraceae 1,5 mm., poris ro-
tundis majusculis. Stigma subtruncato-capitatum ob-
solete 5-lobum margiue teuui elevato circumdatum.
Rhododendron pentaphyllum. (Sect. Azalea, ser. 1. Ma-
xim. Rhodod. 25). Elatura ramosissimum, foliisegem-
mis propriis ad basin floriferae sitis, apice ramorum
per 5 approximatis et patentibus late ellipticis basi
breve in petiolum cuneatis apice acutis juvenilibus su-
perne secus costam tenere puberam margineque cine-
reopilosis adultis glabris utrinque subtus prominulo-
6-costatis reticulatisque; floribus praecocibus solitariis
e gemma ortis ejusque tegmentis sub-5-seriatim imbri-
catis fultis, pedunculis exsertis calyceque 5-dentato
(dentibusdeltoideisacuminatis) glabris; corolla rotato-
campanulata 5 -partita laciniis obcordatis purpurascen-
tibus concoloribus, staminibus 10, ovario glabro.
Kiusiu : prov. Osumi , cacumine m. Taka-kuma
(Tashiro fl.)
A Ekod. quinquefolio Bisset et S. Moore in Jour n.
bot. XV. 292, ex descriptione persimili, a me non viso,
abhorret tamen sectione diversa. floribus non coaeta-
ferae anguste oblongae tegmentis duplo latioribus et
uiajonbus quam ilia gemmarum folliiferarum, quae
linearioblonga sunt. Folia adhuc omnia convoluta, sed
explicata late elliptica. Pedunculi bracteis 2 — 3 linea-
ribus fuscomembranaceis fugacibus obsessi. Corolla
diatn. 5 — 7 cm.
neis, tegmentis intimis extima triplo excedentibus j Chile! et Argentinam!
margine dense albociliatis, foliis non rhombeis, pedun-
Lysimachia Tanakae. (Sect. II. Lysimastrum Duby).
Reptans, praeter folia superne rufovillosa, foliis oppo-
sitis petiolis laminam cordatorotundatam apiculatara
dense ciliatam subtus crebre nigrolineolatam aequan-
tibus; pedunculis axillaribus folio brevioribus erectis,
calycis 5-partiti laciniis oblongis obtusiusculis elineatis,
corollae fere ad basin 5-partitae laciniis oblongis ver-
sus apicem parcissime lineatis, staminibus triplo bre-
vioribus glabris filamentis ad medium connatis late
subulatis, ovario parce piloso, stylo glabro corollam
fere aequante.
Nippon austroorientali: prov. Kii, japonice Miyama
konasubi (Tanaka, fl.).
Proxima L. Christinae Hce in Journ. bot. XI, 167
a nostra differt glabritie, foliis immerse lineolatis, pe-
dunculis folia aequantibus, calyce corollaque crebre
lineolatis, staminibus duplo corolla brevioribus, fila-
mentis glandulosis. L. Nummularia L. magis distat
foliis brevipetiolatis rotundatis, pedunculis brevibus,
calycis corollaeque laciniis ovatis, hlamentis basi con-
natis glandulosis et glabritie.
Spec, missum spithamaeum apice radicans, caule
filiformi. Internodia laminas foliorum duplo superan-
tia. Calyx 5,5 mm., corolla lutea 10 mm. longa,
stylus cum ovario 7 mm.
Samolus ftoribundus H. B. Kth. Enum. II, 181.
Duby in DC. Prodr. VIII, 73. S. Valerandi var.
americamis A. Gray, Syn. fl. N. Am. II, 1, p. 64.
Yezo, s. n. jap. hai hamabossu fl. c. fr. misit R. Ya-
tabe, ex quo provenit etiam in Nippon prov. Kadzusa
i ex adverso Yokohamae sita). Distrib. per Americam
utramque a Connecticut! et California australi! ad
f
culis vix mediam corollam (nee folia adulta 3 — 4 cm.
longa) aequantibus, corolla duplo majore. Ipsi autores
tamen de sectione dubitant.
Tome XXXI.
Specc. japonica 4 missa in americana pernumerosa
comparata optime quadrant, sed omnia ex axillis radi-
cantia, quod tantum in californicis et borealiamerica-
nis rarissime observavi. Species a S. Valerandi levio-
\
5
«7
ICulloliii *li' IMca<W;mio Imperial?
as
\
ribus quidem signis, sed constantibus distincta et tran-
situs nullos vidi: racemus laxior oliganthus, bracteo-
lae minutae, folia subavenia tenuiora, flos duplo minor,
petala capsulaque calycem parum superantia, pedi-
celli graciliores longiores recti , neque saepissime ad
bracteolas sursum geniculati.
Diospyros Oldhami. (Eudiospyros A. DC.) Omnibus
4
partibus praeter costarum folii axillas subtus barbatas
demum nudas glaberrima, foliis membranaceis ovato-v.
rite ellipticis basi obtusiusculis v. acutis apice acumi-
natis , floribus $ subternis racemosis petiolum sub-
superantibus, calyce campanulato 4-lobo lobis ovatis
breve acuminatis, corolla calycem triplo superante ur-
ceolatocylindrica 4-dentata dentibus rotundatis, sta-
minibus 1 6 pluriseriatis, ovario minuto truncato gla-
bro, floribus $ . . .
Formosa: Tamsuy (Oldh.! n. 36 s. n. «Ternstroe-
miaceae n. gen.?» flor. incip.).
Conferenda cum I), chartacea Wall., quam non
vidi, ceterum primo aspectu similis D. Loto L., sed
partibus floris glaberrimis et structura diversis dis-
tincta.
Parsonsia spiralis Wall. DC. Prodr. VIII, 402.
Hook. f. Fl. Brit. Ind. Ill, 650. Heligme javanica
A. DC. 1. c. 425.
Liukiu: in rupibus scandens (Small! «flores vi-
rescentilutei»)> ins. Okinawa (Tashiro!). Distrib.
China, Ceylon!, India trans Gangem et cis Gangem
in Silhet et Deccan, archip. Malakus.
Buddleia Lindleyana Fort. Maxim, in Mel. biol.
X, 674.
Liukiu: (Tanaka). Reliquis stationibus 1. c. adde:
Shanghai (Forbes).
Erythraea japonica. (Sect. Ill, Spicaria Gris.). Caule
stricto superne ramoso, foliis ovalielliptii
tundatis apice obtusis, floralibus parum d
basi ro-
perioribus
Affinis E. spicatae Pers., quae differt foliis florali-
bus diminutis linearilanceolatis, caulinis acutiusculis,
tubi corollini parte infra staminum insertionem plus
duplo illam supra stamina, hac limbum superante, an-
therisplus duplo filamento longioribus dimidias corollae
lacinias attingentibus, floribus sessilibus.
Usque 30 cm. alta, basi aphylla, a medio ramosa.
Folia caulina maxima 28 : 13 mm., floralia 8 : 3 mm.
Calycis 9 mm. fere ad basin partiti laciniae lineares
acuminatae. Corolla 13 mm. Semina immatura0,2 mm.
Adnot. E. centaurioides Hook. Arn. Bot. Beech.
266. cum syn. Chironiae cent. Roxb. Fl. Ind. I, 584.,
e Liukiu, mihi ignota. An eadem ac E. Boxburghii
G. Don Gen. syst. IV. 206 in Hook. f. Fl. Brit. Ind.
IV, 102, ubi tamen de distributione ultra Indiam
nulla mentio facta est?
Pterygocalyx volubilis Maxim.
Yezo (Tanaka, japonice: hosoba tsuru rindou).
Distrib. Mandshuria.
Ex Clarke in Hook.-f. Fl. Brit. Ind. IV, 106.
Grawfurdiae subgeneri ej us Dipterospermo adscribenda
esset, sed a speciebus tribus indicis enumeratis jam
foliis membranaceis angustis et corolla eplicata differt.
Ophelia Tashiroi. Glaberrima annua vel biennis, foliis
1-nerviis ad vaginas nudis, inferioribus petiolatis ob-
longoellipticis acuminatis, summis brevissime petiolatis
anguste ovatis, caule robusto tereti apice in paniculam
pyramidatam linearibracteatam laxissimam soluto, flori-
bus majusculis paucis pedicello apice incrassato bre-
vioribus 5-meris, calycis lobis deltoideis, corollae par-
titionibus oblongolinearibus acuminatis media longi-
tudine macula obscura leviter biloba nuda instructis,
filamentis subulatis, capsula ovoidea apice attenuata
petala aequante, seminibus numerosis triquetris mu-
ricatis.
Kiusiu: prov. Osumi, japonice Hetsuka rindo (Ta-
cymis spiciformibus shiro, Octobri fructif., fl. ult.)
basi dichotomis, floribus omnibus brevissime pedicel
latis 5-meris, corollae tubo infra stamina sito calvo
breviore, parte supra stamina limbi lobos oblongos ob
tusos aequante, staminibus ad loborum basin attingen
tibus, antheris oblongis filamento fere triplo breviori
bus, seminibus seriatim areolatotuberculatis.
TJukiu: insulis 0
(A. Tashiro).
et Ok
Habitus peculiaris et characteres ab aliis Opheliis
diversi. In alabastro 7 mm. longo maculae epipetalae
vestigium nullum, adesttantum in flore adulto (14 mm.
longo) nee ibi bene expressa: colore obscuriore et ma-
culis minutis hieroglyphicis v. vermicularibus obscuris
plurimis picta a reliqua lamina tantum distincta. Fo-
liorum paria 4—5, maxima fere 6 poll, longa, 3
3%
poll, lata, e quibus inferiora 3 — 4 basi caulis conferta,
69
den Sciences «le Saint- Petersbourif.
70
par unum in medio caule, reliqua jam bracteiformia
angusta.
Ophelia a Swertia habitu optime, characteribus vero
vix ullis diversa, recte fortasse a Benthauiio cum
Swertia juncta est, nam eharacteres boni constantes
non adesse videntur, ne in semine quidem. Examinavi
semina in omnibus ubi matura observare contigit et
inveni laevia in Ophelia macrosperma m. (Clarke),
Chirata G r i s. et purpurascente Don, Swertia multicauli
Don et Pleurogyne carinthiaca Gris., tuberculata
in Ophelia florida Don, nervosa Gris., zeylanica Gris.,
bimaculata S. Z., Swertia Schimperi Gris., alulis
crispulis subparallelis numerosis tecta in Swertia
lactea Bge et petiolata Royle, late alata in Sw.
perenni L., iberica Fisch. et speciosa Wall. In nulla
tamen tarn acute muricata observavi quam in nostra.
Ipomoea pes caprae Sw. DC. Prodr. IX, 349.
Benth. Fl. Hongk. 238.
Japonia: in maritimis prov. Idzu, ins. Hatsisjd, ins.
Kiusiu prov. Hiuga et Osumi, insulis Tanega-sima,
Yakuno-sima, Yerabu-sima, Sitsito; Liukiu (ex Tashi-
ro, jap. gun bai hirai gawo), Bonin-sima (Yatabe!
nom. utshiwa kadsura); China: vidi e Formosa et ins.
Hainan (Hancock!). Turn in tropicis fere ubique.
Ipomoea reptans Poir. DC. Prodr. IX, 349.
Liukiu (Wright!), Cfiina: circa Pekin culta in
paludibus et locis siccioribus, folia sistunt olus sapidum
(Bretschneider!). Per tropicos usque in Africam.
Formae duae: microphylla latifolia flore roseo, an
spontanea? (a Wright lecta) et macrophylla angusti-
folia albiflora (culta pekinensis). A plerisque autoribus
flores quidem rosei dicuntur, Rheede (Malab. XI,
107) intus albos extus purpurascentes describit, sed
in libris sinicis (ex Bretschn.) planta in China diu
culta v. in nonnullis provinciis spontanea albiflora
dicitur. ,
Ipomoea insularisSteud. Pharbitis insularis Choisy
Conv. or. 57. DC. Prodr. IX, 341.
Nippon australi: prov. Kii, Kiusiu: prov. Satsuma
(Tashiro!), Liukiu: ins. 6-sima (Wright!).
Choisy radicera annuam dicit, nostra planta vero.
ab A. Gray in scheda Wrighti ita nominata, planta
robusta perennis radice crassa elongata, caule tenaci
pilis parcis appresse piloso, foliis non cinereopubes-
centibus, corolla alba purpurea v. coerulea. In Japonia
Tashiro nraesente certe spontanea dicitur. Dubitare
Ch
Polynesia
conspecificae
Ipomoea hederacea L. Syst. XV
Turcz. En
Chin
. n. 147. Pharbitis hederacea Choisy, Conv. or
[)C. Prodr. IX, 344. /. triloba Thunb.! Fl. Jap
Icon. ined.
Fr. S
Ch
nee L. Pharbitis tril . Miq. Prol. 25
En. I, 330. Ph. Nil Bge. Enum. n. 258
y. Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 509
Bingo vulgo Asagawo Kaerapf. Am. 856. Asagao. So<
bokf. IV, 18.
Japonia: Kiusiu in fruticetislittoralibus (Buerger!)
Yokoska saepe culta et hinc quasi sponte (Savatier)
Yokohama, culta (ipse), China: circa Pekin, ad via
in planitie et montibus perfrcquens (Dr. Bretschnei
der!). In India vulgaris ct ubique in tropicis et sub
tropicis occurrere dicitur.
J triloba Thunb. certe ab J. hederacea non differt
nam radix, aThunbergio quidem non collecta, etian
annua, ut patet e specimine in ejus herbario, in icon*
inedita delineato, ubi
led
adhuc
Radix
tuberosa autem de qua loquitur ad
praecedentem speciem spectat, ab incolis etiam Asagawo
appellatam. Reliqui eharacteres autem identici.
I. hederacea L.aegredistinguitur a specie sequente,
quacum jungitur a Clarke (in Hook. f. Fl. Brit. Ind.
IV, 199): foliorum lobo terrainali saepissime basi atte-
nuato (neque dilatato), pedunculis tcnuibus brevibus
1-floris (neque crassis elongatis saepe 3-floris) et co-
rolla minore. Sed adest signura constans in seminum
colore nigro (unde sinice Koku tsin) in I. hederacea,
albo (sinice haku tsin) in I. Nil Roth, ut ipse vidi in
specc. a Dre Bretschneider o e Pekino missis.
Folia plantae japonicae interdum ad nervos pallidius
maculata.
Species a hortulanis Japonensibus in deliciis habita,
cultura diutiua mirura in modum variabilis facta est,
quam forma foliorum tam indole florum. Folia occurrunt
tripartita
saepe iterum fissis
in lacinias lineares. Corollam vidi 5-petalam petalis
ex imgue filiformi spathulatis etalio modo diversissime
monstrosam, de quibus monstrositatibus tractant opera
duo specialia cum multis figuris.
Vera I. Nil Roth Catal. I, 36. Conrolv. Nil L. Cod.
1225. PharbitisNil Choisy, Conv. or. 57. DC. Prodr.
b*
71
Bulletin de I'Academle Imperial e
7S
IX, 343, ex Choisyo in tropicis ubique crescens,
Pckini culta (Bretschn.!, Tatarinow!), serainibus
albis ab I. hederacea distinguitur.
Species delenda.
Ipomoea kadsura Ch. Conv. or. 93. DC. Prodr.
IX, 388. Thunb. Fl. Jap. 350. pi. obsc. n. 6. sub
Convolvulo, Karami kadsura, Saisin, egenereetfamilia
excludenda et ad CocctUum diver sifolium Miq. ducenda
videtur.
Solarium verbascifolium L. Cod. 1450. Dunal in
DC. Prodr. XIII, 1, p. 114. Hook. Arn. Bot. Beech.
202.
Liukiu (Tashiro!), China australi (Hook. Arn.!):
Formosa (Oldh.! n. 341), Hainan (Hance!) et per
tropicos.
Capsicum frutcscensh. Cod. 1499. Dunal 1. c. 413.
Osbeck It. 177. Lour. Fl. Coeb. 158.
Bonin-sima (Yatabe! frf.), China: circa Canton
cultum (Osbeck). Vidi praeterea ex India (Wallich!
n. 2642). San Jago capitis Viridis (Jaeger!) etc.
Phjjsalis peruviana L. Cod. 1451. Dunal in DC.
Prodr. XIII, 1, p. 440. Clarke in Hook. f. Fl. Brit.
Ind. IV, 238.
Bonin-sima (Yatabe, japonice Budo h6dzuki). Ex
America tropica orta inter tropicos ubique distributa
culta et spontefacta.
Physalis minima L. Cod. 1454. Dun. 1. c. 445.
Clarke 1. c.
Japonia: circa Yokoska locis cultis (Savatier!),
Nagasaki in fruticetis ad Akano-ura (ipse). Distrib.
India!, Africa! et Australia! tropicae.
Specc. Savatieri integrifolia, raea foliis subcor-
datis dentatis, plerumque sitnplicia macra v. rainosa
ultra pedalia. Corolla parva, ex vivo albida aperte
campanulata, antherae luteae.
Pentstemon fruiescens Lamb, in Trans, linn. soc. X,
259, t. 6. fig. 1. Ledeb. Fl. Ross. Ill, 222. Bentham
in DC. Prodr. X, 321. A. Gray, Syn. fl. N. Am. II,
1, p. 261.
Yezo: raonte Kumaga-take, japonice Iwa bukuro
(mis. Yatabe), Kamtschatka ! ', Sibiria orientali prope
Ochotzk (Kruhse! ex quo ludit flore azureo et albo),
America, ad orasborealioccident. (Lewis): Unalaschka
(Pallas! quo teste flos lilacinus).
>
Specc. duo missa japonica reliquis magis microphylla
et angustifolia.
Torenia setulosa. (Sect. Nortenia Benth. in DC.
Prodr. X, 409). Pilis subulatis rigidis ad caulem parce,
ad petiolos costas folii subtus laminamque superne,
ncc non ad calycis dorsum setulosa, a basi ramosa
foliis brevipetiolatis ovatis v. superioribus cuneato-
ovatis obtusis a medio pauciserratis, pedunculis axilla-
ribus fructiferis calycem plus duplo superantibus,
calyce ab initio profunde 5-partito laciniis subulato-
linearibus costatis costis 3 in pedunculum decurrenti-
bus, corolla calyce sesqui tuboque longiore, appendi-
cibus staminum anticorum brevibus capitellatis , cap-
sula calyce vix breviore oblonga utrinque breve atte-
nuata.
Nippon: prov. Kii, in m. Natshi-san, japonice Shisobo
urikusa (Yatabe).
Aspectus Vandelliae scabrae Benth. atque magnitudo
parti um fere eadem. flores axillares nee racemosi et
calyx ab initio partitns etiam Vandelliae, sed calycis
reliqua structura, nee non stigma bilamellatum Toreniae,
*
liinc recte am. Hance (in Ann. sc. nat. 4 ser. XIV)
priorem posterioris sectionem declarasse videtur. Affi-
nis T. parviflorae Ham. (cf. Fl. Brasil. XV, t. 59,
cum analysi mala), quae differt glabritie, floribus spu-
rie ex axilla racemosis, calyce sub anthesi 5-lobo,
appendice staminum filiformi. T. ramosissima Vatke
iisdem fere signis, turn pube molli copiosiore, calycis
laciniis dorso alatis distat.
Veronica Stelleri Fall, in Willd. lib. Led. Fl. Ross.
Ill, 247. DC Prodr. X, 481. Cham, et Schlecht.
in Linnaea, II, 557.
Nippon: alpe Hakusan, japonice Hime Kuwagata
Yatabe); Sachalin: valle fl. Nituinai et ad ripam
fl. Plyi (Mitzul!); Kamtschatka (Merk!, Peters!):
littore orientali prope Lopatkam (Rieder!); Unalaschka
(omnes!).
Planta kamtschatka foliis lanceolatoellipticis v.
ellipticooblongis minoribus proxime ad sachalinensem
accedit.
Veronica Schmidtiana Rgl. Ind. sem. b, Petrop.
1864, 22. F. Schmidt, Fl. Sachal. n. 325.
Nippon: alpe Hakusan, prov. Iwashiro alpe Bandai-
rama toranowo (mis. R. Yatabe);
san, japonice
Sachalin: ad Dui, Ktausipal (F. Schmidt!).
73
des Sciences de Saint- P^tersbours.
74
Veronica Onoei Franch. Savat. En. II 457.
9
beaux, Florule du Tchefou n. 152, ti. de Shanghai n.
Nippon: prov. Kotsuke (Ono, fide Fr. Sav.), Se- 88. Schauer 1. c. 547.
nano: Asama (Yatabe!).
Affinis V. murorum (3. glabriori m., sed caulis usque
ad apicera radicans, pubes brevis, folia tenuiter den-
seque serrulata supra glabra, inferiora ovata, reliqua
fere rotundata, racemi multiflori folio 2 — 3-lo longio-
res, capsula obovata profunde obcordata calyce duplo
longior crispulepubescens. Corolla ignota. — Abaucto-
ribus cum V. officinali L. comparatur.
Verbenaceae
orientaliasiaticae.
Phryma L.
P. leptostachya L. Cod. 4367. Maxim. Fl. Amur.
212, 475. Rgl. Fl. Ussur. n. 374. Miq. Prol. 32.
Fr. Sav. I, 355. A. Gray, Syn. fl. N. Am. II, 334.
Mandshuria orientalis: a jugo Bureico ad mare et
ab Amur inferiore ad limites Koreae, jugis sylvestri-
bus frequens; Japonia tota in alpinis et subalpinis fre-
quens; China: circa Pekinura in montibus, circa Kiu-
kiang (Mollendorff!); turn in Himalaya: Nipal!,
Khasia!, parte occid. (Royle!), America boreali atlan-
tica!
Lantana L.
L. Camara L. Cod. 4541. Be nth. Fl. Hongk. 268.
Schauer in DC. Prodr. XI, 598. L. aculeata L.
Hook. Am. Bot. Beech. 205.
Hongkong (Forbes!) culta (Augustinowicz!), Ma-
cao in hortis (ex Hook. Am.). Ex America australi
orta.
Lippia L.
L. nodiflora Rich, in Michx. Fl. bor. Am. II, 15.
Schauer 1. c. 585. Hook. Arn. 1. c. 205, 208.
China australi (Vachell); Liukiu (Hook. Am.).
a. sarmentosa Schau. Fr. Sav. En. I, 357.
Japonia , japonice Iwa dare so (Tanaka ex Fr.
Sav.).
p. repens Schau. I. c. 586.
Hongkong (Fortune! n. 50, deest in Benth. fl.
Hongk.). Formosa, ad Tamsuy (01 dh ! n. 38).
Verbena L.
V. officinalis L. Cod. 164. Thunb. Fl. Jap. 22.
Hook. Arn. Bot. Beech. 268. Benth. Fl. Hongk.
268. Miq. Prol. 29. Fr. Sav. Enum. I, 357. De-
Japonia (Siebold!) australiori: Yokohama (ipse),
Tokio, jap. Kurna tsudzura (Tanaka!), Yokoska (Sa-
vat.!), Nagasaki (Oldh.!, ipse); Liukiu (Hook, et
Arn.); Korea: portu Chusan (Wilford!); China:
Tschifu!, Shanghai!, Amoy (Debeaux), Hongkong
(Bent ham), Formosa (Oldh.!). Vulgivaga in calidio-
ribus.
V. sp. nova Hemsl. in Journ. of bot. XIV, 208.
China centralis: Kiu-kiang(Dr. Shearer ex Hems-
ley).
Callicarpa L .
Distinguitur in hoc genere inter cymas axillares et
supraaxillares, et revera in nonnullis speciebus pedun-
culi basis distincte cum caule conflata apparet, in aliis
peduneulus usque ad basin liber, ubique tamen sub
anthesi v. postea inter petiolum et pedunculum oritur
gemma innovans et peduneulus supraaxillaris evadit,
gradus vero elevationis supra axillam in quadam specie
nonnihil variat, ita ut character hie solus ad distin-
guendas species non sufficiat. Equidem pedunculum
supraaxillarem dixi si basis ejus secus caulera distincte
decurrit.
Calyx 4-fidus laciniis tubo longioribus. 2.
)>
truncatus v. 4-dentatus. 3.
2. Flores capitati, capitula globosa in cymas
breves deiisas congesta , caulis petiolique
fusoovillosissimi, folia subtus dense tomen-
tosa basi acuta apice acuminata maxima C. tommtosa W.
Cymae pauciflorae densiusculae brevipedun-
culatae, caulis fnlia cymaeque stellatotomen-
tosa C. mollis S. Z.
3. Cymae amplae valde multiflorae dimidiam
lamiuam folii attingentes; dense stellatoto-
mentosae. 10.
Cymae parvulae pluri-v. multiflorae, petio-
lum parum superantes. 4.
Cymae subsessiles C. brevipes Hce.
4. Oculo nudo glabrae, folia utrinque acumi-
nata. 5.
Pilosae v. tomentosae. 8.
5. Petioli elongati, folia dense serrulata ampla
impunctata, cymae pctiolo duplo breviores v.
ilium aeqtiantes C.subpubescenslI.A,
Brevipetiolatae glandulosopunctatae. 6.
G. Micrauthae cymis laxis, stamina vix duplo
corolla longiora antheris subquadratis, lobi
corollae tubo duplo breviores. 7.
Macrantha macrophylla , cymae axillares,
lobi corollae tubo fere triplo breviores, an-
therae oblongae corollam pi. duplo superantes C.japonica Thunb.
7. Microphylla, folia breve obtuse acuminata
serrata, cymae supraaxillares pauciflor&_,
flores pedicellis 4-i ordinis inserti C. purpurea 3 uss.
75
Bulletin de IMcad^mie Imperiale
76
Macrophylla, cymae axillares, folia utrinque
apice longe acute acuminata dense crenula-
toserrulata, cymae valde multiflorae, pedicel-
lis 6-um ordinem nuncupantibus C. longifolia Lam.
8. Stellatotomentosae. 9.
Pilis simplicibus hirsutissima, folia lineari-
oblonga valde acuminata basi subcordata mi-
nute crenulata C.pilosissima m.
9. Folia petiolata argute patentim serrulata
basi attenuata v. rarius rotundata C.formosana Rolfe
Folia subsessilia patentim serrulata basi cor-
data 0. rubella Ldl.
10. Calyx glaber, flores parvi, folia serrata utrin-
que attenuata C. Reevesii Wall.
Calyx stellatopilosus. 11.
ll.Pedunculi graciles patuli, folia serrata utrin-
que attenuata . C.macrophyllaYent
Pedunculi crassi squarrosodivaricati, folia
integra basi rotundata C. integerrima Champ.
1. C. tomentosa W.Enum. h. berol. 158. Schauer
in DC. Prodr. XL 647. Hook. Arii. Bot. Beech.
205. Hance in Walp. Ann. Ill, 236. Benth. FJ.
Hongk. 269. C. americana Lour. Fl. Coch. 88.
China australi: Hongkong (omnes), Canton, Putoy
cet. (Millett, Vachell).
2. Q. mollis S. Z.F1. Jap. fam.nat. n. 526. Franch.
Savat. Enum. I, 359. C. Zollingeriana Schau. 1. c.
640. Fenoki.Thunb.l Fl. Jap. 354, pi. obsc. n. 23.
Japonia australiore frequens in fruticetis et sylvis,
aKiusiu interiore usque ad Yokohama, Tsusima(Wil-
ford!), archipel. Koreano (Oldham!), japonice Yama
murasaki v. in Kiusiu inter. Namainoki.
3. Q. macrophylla Vahl, Symb. Ill, 13, t. 53.
Schau. 1. c. 644. Benth. Fl. Hongk. 270.
China australi (Bent ham): Hongkong (Fortune!
n. 84, Forbes!), nee non in India orientali!
4. C. integerrima Champ, in Kew journ. V, 135.
Benth. 1. c. 270.
China australi (Benth.): Hongkong (Wright!. For-
bes!, Ford!).
5. C. Eeevesii Wall. Cat. n. 1830. Schau. 1. c.
641. Benth. 1. c. 270. C. nudiflora Hook. Arn. Bot.
Beech. 206 (fide aut. praeced.).
China australis (Reeves! in hort. Calcutt. introd.):
Hongkong (Benth.), Macao (Hance!), promont. Syng
moon (Meyen), Canton (Millett), ins. Lappa (Va-
chell).
6. C. rubella Lindl. Bot. reg. t. 883. Schauer 1.
t
c. 645. Benth. 1. c. 271. C. tenuiflora Champ, in
Kew Journ. bot. V, 135.
China australi: Hongkong (Wright!, Forbes!),
prov. Canton pluribus locis (Sampson!), turn in Hi-
malaya: Khasia!, et Pendjab!
7. C. formosana Rolfe in Journ. bot. 1882, 358.
Formosa ad Tamsuy (Oldh.! n. 388, 389), nee non
Philippinis (Cuming! n. 526).
Diagnosis Rolfei ad supellectilem pauperiorem con-
fecta videtur, nam folia occurrunt et basi breve atte-
nuata, cymae petiolo non semper 4-lo, sed vix 3-lo
longiores, costae foliorum rarius utrinque 5, saepius
9-10.
8. C. pilosissima. (§ 2. **, Schauer 1. c. 643). Pilis
setosis gilvis patentibus ad ramulos petiolos cymas et
paginam inferiorem foliorum dense hirsuta, foliis
breve petiolatis ex lineari oblongolanceolatis sensim
longe acuminatis basi subcordatis obsolete serrulatis,
superne pilis albidis brevioribus dense molliter pubes-
centibus; pedunculis petiolos duplo superantibus, cy-
mis divaricatobifidis densiusculis, calyce hispido ob-
tuse dentato, corollae glabrae lobis tubo apice dilatato
plus triplo brevioribus, staminibus corollam stylum-
que leviter bilobum triplo superantibus.
Formosa (Oldham! n. 387. flor.).
Similis C. angustae Schauer (Cuming! n. 1425)
e Philippinis, quae tamen differt pube, folliis subtus
incanis basi cuneatis, corolla extus tomentosa; nee
non C. caudatae m., cujus diagnosin inserere liceat:
C. caudata: Caule petiolis pedunculis foliisque
subtus gilvo floccosotomentosis , foliis superne caly-
cibusque hispidulis viscidoque punctatis, foliis breve
petiolatis e basi attenuata linearilanceolatis sensim
longeque caudatoacuminatis argute acuteque patu-
loserratis, cymis cum pedunculo longitudine petioli,
floribus numerosis dense aggregatis, calyce obsolete
4-dentato, corollae duplo longioris glabrae lobis tubo
late cvlindrico triplo brevioribus, staminibus corollam
duplo superantibus, antheris subquadratis, stylo leviter
bilobo stamina superante. — Foliorum lamina 100: 18
mm., petiolus 5 mm., cyma 12 mm. lata, calyx 1 mm.,
corolla 2 mm.
Philippinae (Cuming! n. 1095 flor.).
Folia C . pilosissimae petiolo 5 mm., lamina 1 1 :2 cm.
Pedunculus 15 mm., cyma diam. 20 mm. Pedicelli
calycem aequantes v. superantes. Calyx 1 mm., corolla
2,5 mm. longa.
77
<W»* Sciences de *ain< - IVterwInmr"
79
9. G subpubescens Hook. Arn. Bot. Beech. 305. I sessili distat. Antherae C. japonicae ab utraque diver-
Schauer 1. c. 646.
Bonin-sima: ad collium latera, frutex dumosus flo-
ribus purpureis (Small!, Yatabe! sub nom. jap.
Shima murasaki). Aliunde ignota.
Species a Hookero et Arnott quidem inter mexi-
canas describitur, sed a Hemsley in Biol, centr.
araer. II. baud enumeratur, ex qua re patet, tantum
confusione schedularum patriara Mexico indicatam,
revera autem plantara e Bonin-sima allatam fuisse.
10. G. longifolia Lam. Diet. I, 562. Schauer 1. c.
645. (excl. var. (3. et G. japonica). G. lanceolaria Roxb.
Fl. Ind. I, 395.
China australi: prope Canton (Hance in Ann. sc.
nat. 5 ser. V, 233). Vidi e Philippinis, Java, Tenas-
serim et Khasia.
Schauer 1. c. cum G. longifolia Lam. conjungit
G. japonicam T h u n b . , Bentham affirmat G. ameri-
canam ab ilia interdum vix esse distinguendam, de qui-
bus duabus confer sub sequente. Planta hongkongensis
a Bentham G longifolia var. brevipes dicta sistit
C. brevipedem Hce., de qua atque ejus differentia a
G. longifolia vide infra.
11. O. japonica Thunb. Fl. Jap. 60. Miq. Prol.
30. Fr. et Savat. Enura. I, 358. G. longifolia a.,
subglabrata Schauer 1. c. 645.
Late diffusa per totam Japoniam. Ante oculos est
e Nagasaki, Hiogo, Yokoska, Fudzi yama, Yokohama,
Tokio (jap. Yabu murasaki, mis. Tanaka), Yezo au-
strali ubi luxuriat et valde latifolia fit, Tsusima (Wil-
ford!), IAukiu (Wright!).
Fide Hance 1. c. certe a G. longifolia Lam. distincta
est glabritie omnium partium (excl. inflorescentia)
foliisque late obovatooblongis apice longe caudatis.
Me judice satis differt flore fructuque fere duplo raa-
joribus, staminibus corollam 2-lo nee fere 3-lo supe-
rantibus cymaque minus composita minusque divari-
cata: ramulis 4-ti ordinis (nee 6-ti) flores ferentibus.
Pubes utriusque furfuraceostellata , sed in G. japonica
cito evanescit, in G longifolia vulgo persistit. G ame-
ricana L. ab utraque jam pube ramosa patula fere
araneosa vix unquam deficiente abhorret, floris mag-
nitudine ac staminum exsertione cum G. longifolia
consentit, cyma minore densiore cum G. japonica, sed
sissimae: loculi non contigui tota longitudine dehi-
scentes, sed basi liberi attenuati hinc sinu distincto
separati et apice tantum quasi poro aperti.
12. G. brevipes Hance in Ann. sc. nat. 5 ser. V,
233. et in Journ. linn. soc. XIII, 116. G. longifolia
var. brevipes Bentb. Fl. Hongk. 270.
China australi: Hongkong (Hance!, Wright! ex
quo flores albi), prov. Canton (Hance).
Cum Hanceo video: ramos flavido furfuraceo pu-
bescentes, folia baud viscida distanter obiter serrata,
cymas fere sessiles, flores pauciores majores, antheras
magnas partini tantum exsertas, fructus sphaericos
piperiformes. In C. longifolia Lam. vero rami glabri,
folia longiora integra v. minute serrulata, recentia
valde viscida, cymae laxioris pedunculi longiusculi,
flores numerosiores triplo minores, antherae late ova-
les decuplo miuores, filamenta capillaria longe exserta,
fructus apice planus plus duplo minor.
13. G purpurea Juss. in Ann. mus. VII, 69.
Schauer 1. c. 645. Miq. Prol. 30. Fr. Sav. Enum.
I, 358. G gracilis Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n.
525. C. japonica var. angustifolia Savat. Kwawi, 78.
Porphyra dichotoma Lour. Fl. Coch. 87, ex Schauer.
Nippon australi: prov. Shima, jap. Ko murasaki
(Tanaka), alii collectores et ipse tantum cultam inve-
nimus; Oiina media (Fortune! A. n. 94) ad Kiu-
kiang (Dr. Shearer!) et australi: prov. Canton ad
West-river et prope urbem Canton (Hance!), collibus
Lo-fau-shan (Ford!); Cochinchina (Loureiro).
In insulis Bonin et LiuUu ex Hooker et Arnott
formae duae inventae sunt, dequibus autores sub dubio
manserunt, aune hue pertineant. Ilia e Bonin foliis
oblongolanceolatis sensim acuminatis, corymbis axilla-
ribus, ilia e Liukiu foliis subrotundoovalibus subito
acuminatis, inflorescentia ex axillis summis. In utraque
folia juvenilia praesertim subtus farinosopubescentia,
adulta glabra.
Premna L.
Stamina inclusa pi. m. didynama antheris ro-
tuDdatodidymis. 2.
Stamina longe exserta aequalia antheris ob-
longis P. staminea m.
2. Corymbus densus convexus pedunculis crassi-
usculis, folia coriacea basi rotundata integra
v. passim grandiserrata, corolla calyce duplo
longior lobis subaequalibus, stamina inferiora
ab hac pedunculo brevissimo indeque cyma quasi sub- 1 iODgiora p. serratifdia l
70
Bulletin <lc rAeacI^ntie Imperial**
SO
Cymae compositae laxiflorae conicae pedun-
culis omnibus gracilibus, folia membranacea,
corolla bilabiata. 3.
3. Stamina inferiora breviora, cyma conica, foiia
elliptica basi cuneata apice obtusa P. glabra A. Gray
Stamina inferiora longiora. 4.
4. Cyma conica elongata, folia utrinque acumi-
nata vulgo paucigrandiserrata P. micropliyUa Tcz.
Cyma brevis subhemisphaerica, folia ba9i cu-
neata apice obtusa vulgo integra P. formosana m.
1. P. serratifolia L. Cod. 4535. Schauer in DC,
Prodr. XI, 632. Benth. Fl. Hongk. 269.
China australi
Hongkong
(Hance!), Formosa
(Oldham! n. 386), India cis! et trans! Gangem.
Schauer banc vocat P. integrifoliam L., Hance in
Journ. linn. soc. XIII, 116 vice versa secundam
ducit ad P. serratifoliam et hoc nomen praeferendum,
quia Linnaeus quaerit, anne hujus mora varietas
sit ejus P. integri folia .
P. microphylla Turcz. in Bull. Mosc
II
7. (ex $ F
P. japonica Miq. Prol
Fr. Sav. En. I, 358. Hance in Journ. bot. XVI
. Priva spec. Sieb. Zucc. FK Jap. fam. nat. n. 518
Kiusiu: circa Nagasaki (Old!
ipse, incolis
Haigara) v. gr. ad Himi et in Kawara-yatna (B
g
prov. Higo monte Hi
alte supra mare
Wilford!); China australiore(S
win!, Fortune! A. n. 23): Ningpo (Hancock
Japonice: Hama kusagi (Tanak
In Japon
arbusculam
10-pedalem, pedem
Hancock fruticem
usque
2-
pedalem, hinc prior
da. Excmpl
China praeterea raagis angustifolia foliis minus de
is floresque in vivo intense luteos
; pallide ochraceos ut in japonicis
Calvcis
habere dicuntur
dentes obtusi, superiores 3 breviores et
minores. Corolla
tubo
in longiore plus d
;atum lobos latera1
in breviore limbus
) brevior, labium
labii inferioris ae-
quans, lobus infimus major longior. Stamina medio
tubo inserta. oui infr
d fissu
ram inter labia, inferiora ad sinum inter lobos labii
inferioris attingentia. Loculi antherae subglobosi. Crura
styli aequalia. Drupa atra, putamen longitudinaliter
eleganter verrucosum.
et duae sequentes seriem propriam consti-
Haec et
tuunt, intiorescentia laxa elongata, pedunculis c
ordinum gracilioribus et glabritie distinctam. P.
phylla ex foliorura forma similis P. viburnoidi Wall.,
quae tamen statim diftert pube et intiorescentia con-
vexa densiore.
3. P. glabra A. Gray(insched-). Fruticosa glabra fo-
membr
(obovatis
ovato-
petiolum brevem subito cuneatis obtusis
conicis compositis laxis, pedicellis calyce
brevioribus, calvcis dentibus obtusis superioribus
• a
noribus. corollae
bilabiatae limbo
e duplo longiorem aequante, labio sup
inferioris lobo medio majore, staminib
edium tubum
pilosum insertis su-
perioribus longioribus, antherae loculis ovatis, styli
lobis ovatis parum inaequalibus.
Japoniae maxime australis ins. Yakuno-sima et Liu-
kiu ins. Osima, in montibus (Wright! flor.).
— 1 2-pedalis,
Frutex, ex collec
floribus ochroleucis
dentia magnitudine
late ramosus 8
tubo intus lutescente. Folia
et forma, mensuris 110 :
55,
80 : 50, 85 : 35, 70 : 25, 35 : 20 mm. Inflorescentia
10 — 1 1 cm. alta, 4— 6 cm. lata, pedunculorum (2 cm.)
paribus utrinque 7 — 9. Flos 7 mm. longus., Corollae
tubus latus extus glandulosus brevipilosus.
4. P. formosana. Glabra, foliis membranaceis obova-
tis v. ellipticis obtusis v. acutiusculis basi in petiolum
brevem sensim attenuatis vulgo integerrimis, rarius
versus apicem obtuse parceque grandiserratis; cymis
compositis laxifloris late conicis subaequealtis ac latis,
pedicellis calyce brevioribus. calycis dentibus obtusius-
culis superioribus 3minoribus, corollae tubulosae caly-
cem 4-lo superantis labio superiore integro lobos late-
rales labii inferioris aequante quara intermedius bre-
viore, staminibus medio tubo intra ilia piloso in-
sertis inferioribus longioribus labium inferius aequan-
tibus, antherae loculis subglobosis, cruribus styli breve
subulatis inaequalibus.
Formosa: Tamsuy (Oldham! n. 385 flor., s. n. Vi-
tex spec).
A praecedente forma foliorum et infiorescentiae sta-
rainibusque diversa.
Petiolus 10 — 15 mm., lamina variat inter 70 : 35,
90 : 35, 45 : 15 — 20 mm. Flos 8 mm. longus. Sta-
mina superiora basin labii superioris attingentia.
5. P. staminea. Innovans tomento stellato incana cito
glabrata, foliis membranaceis ellipticis v. oblongoel-
81
des Sciences tie Saint - Petersbourg.
8*
lipticis utrinque attenuatis basi sensim in petiolum I Ex Hanceo glandulae peltatae lutcae paginae ex-
brevem, versus apicem argute serrulatis, cyma com- terioris lirabi corollini in tab. citata liaud expressae.
posita plana laxa, pedicellis calyce glabro truncato
4- nervi longioribus, corollae extus tomentellae intus
glabrae calycem 3-lo superantis tubo lato subturbinato I g 'p,
2. V. trifoliata L. Cod. 4638. Schau. 1. c. 683.
p. unifoliolata Schau. 1. c. Miq. Prol. 31. Fr.
360. V. ovata Thunb. Fl. Jap. 257.
lirabum patulum 4-lobum subsuperante lobis rotunda- Rook Arn Bot Beech 2Q6j 268? fc 47 Dcbeaux
tis 2 superioribus majoribus tenuioribus, staminibus Fioruie du Tchef n 153
aequalibus basi tubi insertis corollam subduplo exceden-
tibus, antheris amplis oblongis punctis aureoglandulosis
adspersis, stylo tenui longiore stigmatis lobis 2 rotun-
datis conniventibus, ovario 2-loculari.
Liukiu (Tanaka! flor.).
Japonia (Buerger!) Nippon: Nambu(Tschonosk
ad Yokohama
Hakone (inse
i littore (ipse), Kamakura (Sav
Simoda (Yolkin!), prov. Sagami
jap. Hama shikimi i. e. Skimmiae maritimae mis. T
naka), inter Kioto et Maidzuru Wakora (Doed
Antherae forma et corollae lobis subaequalibus inter leinf)j Kiugiu drca Nagasaki in liUore (01dh
omnes notas excellens et anomala.
Ramus ante oculos cortice laeviusculo albidoochra-
ceo. Folia maxima petiolo 7 ram., lamina 100 : 45 mm.
be
China: maritimis arenosis prope Tschifu (D
(M
prope Macao (V
7q,yC\ . Honskona:
Hawaii! et aliis, Mauritio!, Australia
In
concolore utrinque subquinquecostata costis arcuatis Fori)esn Formosa (Oldl
reticuloque distincto subtus vix prominulis sed obscu-
rioribus, folia minora petiolo 5 mm., lamina 50 : 20
25 mm. Calyx 2 mm. latus et longus. Corolla 9 mm.,
genitalia exserta totidem.
Gmelina L.
G. chinensis Be nth. Fl. Hongk. 272.
(Hind
promont
. Fort.
Philipp
ionibus nostris semper 1-foliolatum
tropicis interdura in typum trifoliola
turn abiens
3. V. Negundo L. Cod. 4639. Schau. 1. c. 684.
Benth. Fl. Hongk. 273. Franch. PI. David. 232.
Hongkong (Wright spec. 1 invenit, fide Bentham). | V. cannabifolia Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 520.
Miq. Prol. 31. Fr. Sav. En. I, 360. Hemsl. inJourn.
Vitex L.
Calyx truncatus denticulatus, folia margine
integra. 2.
Calyx acute dentatus v. lobatus. 3.
2. Glabra macrophylla, foliola 3 — 5 acuminata,
panicula lata, flores et fructus parvi V. Loureirii H. A,
Incanotomentosa , foliola (in nostro singula)
obtusa obovata, panicula angusta thyrsoidea,
flores fructusque magni V. trifoliata L.
3. Incanae v. dense pubescentes macrophyllae,
paniculae anguste tbyrsoideae in inflorescen-
tiara latam dispositae. 4.
Glabra microphylla, foliola acute rbombea
dentibus magnis mucronatis paucis, panicula
angusta subsimplex V. Sampsoni Hce.
4. Foliola majuscula integra v.-grandiserrata... V. Negundo L.
parvula profunda iucisa V. incisa Lam.
1. V. Loureirii Hook. Arn. Bot. Beech. 206,
t. 48. Schau. 1. c. 686. Benth. Fl. Hongk. 273.
Hance in Journ. linn. soc. XIII, 117. V. heterophjlla
Roxb. Schau. 1. c. 686. Hce. in Ann. sc. nat. 4 ser.
Symb. 11. Gornutia quinata Lour. Coch. 470.
China australis : Canton (Millett), prov. Canton.
(Sampson!), LoFau shan (Ford!), Hongkong (Hce!),
Formosa (Oldh.! n. 384).
Tome XXXI.
bot. XIV, 209.
China: Pekin!, maritimis Tschifu, Chekiang, Kiangsi
(David), Shansi, Honan (Debeaux), Kiukiang (Da-
vid!, Shearer!), Ku-hng-su (Fort.!), Amoy (de
Grijs!), Futschau!, Hongkong (omnes!), Formosa
(Oldh.!); Japonia (hb. Lugd. Bat.!; fide Yonan-si
inKwawi, translat. Savatieri, introducta et plantata):
Yokohama et Nagasaki, frequens (ipse, japonice Nin-
sin boku, Tanaka!). Distrib. India!, Philippinaef ins.
Malaicae! cet.
Planta ja})onka non differt nisi foliis concoloribus,
quae et in typo rarius obvia.
4. V. incisa Lam. Diet. II, 605. Schau. 1. c. 684.
Deb. Fl. Tchef. n. 154, de Tientsin n. 53. Bge
Enum. Chin. n. 295. Turcz. Enum. Chin. n. 164.
Franch. PI. David. I, 232.
China boreali: circa Pekinum in montibus, perfre-
quens (Bunge!) nee non etiam in planitie et in alto
monte Po-hua-shan (Dr. Bretschneider!).
Var. heterophijlla Franch. 1. c: foliolis oblongis
6
\
S3
Bulletin d<> I'Acad&nie Imperlale
*l
integris v. in eodem ramulo passim sinuatis v. profunde
incisis lobis integris.
to
Pekin (David).
A specie praecedente tantum foliolis minoribus et
incisis differre videtur, omnes vero reliquae partes
eaedem, quam ob causam a Benthainio conjungitur,
a Schauero tamen diversa habetur et geographice
saltern bene circumscripta invenitur.
5, V. Sampsoni Hance in Journ. bot. VI, 115.
China australis: prov. Canton (e diversis locis a
Sampson lectam misit Hance!).
Glerodendrum L.
Corolla infundibuliformis tubo longissimo
(Sect. Siphonanthus) CL Siphonanthus K. Br.
Corolla hypocraterimorpha pollice vix longior
v. minor (Euclerodendmm). 2.
2. Axilliflora foliis oblongolauceolatis. 3.
Paniculae terminales. 4.
3. Calyx truncatus vix dentatus . . CL inerme R. Br.
» acute 5-fidus 67. fortunatum L.
4. Panicula compacta. 5.
» laxa. 7.
5. Parce breve strigosum, folia cordata grandi-
dentata, panicula densa'capitata, corollae tu-
foetidum
Yillosa v. tomentosa, corollae tubus calyce
2-lo longior. 6.
8. Calyx amplus laciniis ovatis acuminatis, folia
subcordatoovata acuminata C. cancscens Wall.
Calyx parvus laciniis subulatis, folia subcor-
datorotunda acuta C.fragrans Vent.
7. Folia esquamata. 8.
» glandulis peltatis dense squamata. 11.
8. Folia cordata v. cordatoovata, calyx amplus
Folia basi cuneata. 9
LAcalvce longior. CL inft
D. Calyx aequalis, corolla semipollicaris. 10.
» inflatus amplus, corolla ultrapollicaris,
folia ovata subito cuspidata C. trichotomum Tlumb
Panicula
/<
Panicula minute bractcata, calyx 5-dentatus,
folia oblongoelliptica obtuse acuminata . . . . C. cyrtophyllum Tcz-
11. Calyx 5-fidus parvus, corollae tubus calyce
4-lo longior^folia cordatohastata 5 — 7-lobata. C. panicuiatum L.
Calyx 5-partitas, corollae tubus calyce 2-lo
longior, folia cordata denticulata C. squamatum Vahl.
1. Glerodendrum Siphonanthus R. Br. in Ait. h. Kew.
ed. 2, IV, 65. Schauer 1. c. 670. Hook. Arn. Bot.
Beech. 205.
China australis (Vachell), India! tropica, Java.
2. CL inerme R. Br. in Ait. I, c. Schau. 1. c. 660.
Hook. Arn. 1. c. 205, 268. Benth. Fl. Hongk.271.
Volkameria inermis Lour. Fi. Coch. 471.
China australi: Canton (Loureiro, Millett), Macao
Formosa (Oldham! n. 392 fl., 397 frf.); Liukiu
(Hooker et Arnott, Tanaka!).
3. CI. fortunatum L. Cod
Hook. A
Schau. 1. c. 671. Osbeck It. 228, 1. 11. G. castanei-
folium Hook. Arn. 1. c. Schau. 1. c. 672. G. Uvidum
Lindl. Bot. reg. t. 945. B
Fl. Hongk. 272
Schau. I.e. 673. G. pentagonum Hce. in Walp. Ann.
Ill, 238.
China australis: Hongkong (omnes!), Whampoa
(Hance!), Canton (Millett).
Fide Seemann vera planta Linnaei, conf. Hance
in Journ. linn. soc. XIII, 117.
4. Cl.foctidumBge. Enum. Chin. n. 296, nee Don.
Schauer 1. c. 672. Bot. mag. 4880. G. Bungei
Steud. Nomencl. VanHoutte Fl.d.serr. IX, t. 863.
China: hortis Pekinensibus cultum (omnes!).
G foetidum Don, Prodr. Nepal. 103, quod CL
Buchanani Walp. Repert. IV, 108, DC. Prodr. XI,
672. Bungeano nomine quidem vetustius, Schauero
mihique incognitum est.
Planta quam (3. integrifolium dixit Hasskarl in
Retzia I, 60, e Singapur in hortum bogoriensem intro-
ducta, diversissima species videtur, sed a me non visa.
5. CL canescens Wall. Cat. 1804. Schauer 1. c.
665. Benth. Fl. Hongk. 272.
China australis (Reeves!): Hongkong, frequens in
planitie (Bentham). Extra Chinam non inventum.
' 6. CL fragrans Vent. Jard. Malm. t. 70 (fl. sim-
plici). Schauer 1. c. 666. Hook. Arn. Bot. Beech.
205, 268.
China australi (Hook. Arn.): Hongkong (Forbes!),
Amoy sponte (Hance inschedis), LiuHu(Hook. Arn.).
p . pleniflorum Schauer.
Formosa: Tamsuy (Oldh.! n. 394.) et toto orbe
cultum.
Schauer sub var. (3. laudat Bot. reg. XXIV, 1838,
41, quae flore simplici gaudet et ex Decaisnc (in V.
Htte Fl. d. serr. IX, 17 in adnot. ad 0. foetidum)
speciem propriam sistit, CL Lindleyi Due, limbo co-
rollae minore, radice stolonifera facile propagatam atquc
Parisiis rusticam. Addit tamen Planchon (m V. Htte
plantam Parisiensem ab ilia
depicta differre flore inodoro
a Lindlev in bot
tibus violaceovelutinis (d'un veloute de couleur violette)
(Vachell), Whampoa (Hance!), Hongkong (Wright!), | atque quaerit, anne et hie duae species lateant. Lindley
S5
des Sciences de Saint - Petersbourg.
S6
habet, tepidariam esse et primo
vero de sua planta
gelu necatam.
7. CI. infortunatum L. Cod. 4633. Lour. Fl. Coch.
471. Schauer 1. c. 667. CI. viscosum Vent. Jard.
Malm. t. 25. Hook. Arn. Bot. Beech. 205, 268.
China australi (Vachell), Liukiu (Hooker et Ar-
nott). India!, Ceylon.
8. Gl. trichotomum Thunb. Fl. Jap. 256. Schauer
1. c. 668. Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. n. 521.
Miq. Prol. 31. Fr. Sav. En. I, 359. Banks, Ic.
Kaempf. t. 22. Seo Kusits vulgo Kusoggi, Kaempf.
Amoen. 827.
Japonia, frequens arbuscula a Kiusiu usque ad
Yezo australem, China media (Fortune! A. 45),
Shanghai (Augustinowicz!) et australi, Formosa
(Oldh.! n. 391).
Debeaux (florule de Shanghai n. 89), qui ad fossas
occurrere dicit, ait, plantam esse perennem 10 — 14 dm.
altam: an nostra unquam ita occurrat dubito. *
9. CI. formosanum. (Sect. 1, § 5. Paniculata, Schauer)
Ramis panicula parceque petiolis pube strigosa brevi
tomentellis? foliis oppositis modice petiolatis membra-
naceis opacis subtus paulo pallidioribus glanduloso-
punctatis ad venas parce strigosopuberis et ad venarum
originem parcissime squamatis cuneatoovato-oblongis
stylusque longior glabra, antherae ovatooblongae basi
bifidae, stylus apice breve acutcque bifidus.
10. CI. cyrtophyllum Turcz. in Bull. Mosc. 1863,
II, 222. ex descr. et JVs Fort. cit. CI. amplius Hance
Advers. 34 in Ann. sc. nat. 5 ser. V. Franch. PI.
David. I, 231.
China: media (Fortune! A. 17), Amoy(de Grijs!),
Kiangsi ad Kiu-kiang (David), ins. Chusan
11 A. s. n. CI. trichotomi ex Franchet), ins. St. Jo
annis maris chinensis (Stewart! mis. Hance), For
mosa
(Oldh
398), ins. Hainan parte boreali
(Hance!), prov. Canton (Krone ex Hce).
11. CI. paniculatum L. Cod. 4636. Schauer 1. c.
668. Hook. Arn. Bot. Beech. 268. C. pyramidale
Wall.! Catal. 1882.
Liukiu (Hooker et Arnott). Formosa (Oldham!
n. 395). India trans Gangem et insulae, v. gr. Penang
(Wallich!), Java.
Planta formosana florere incipiens hue ducenda vi-
detur, quamvis folia floralia indivisa, quae in iconibus
et spec.maloWallichii lobata sunt, et corollae tubus
calyce duplo tantum longior, neque, ut a Schauero
ptus, calycem 4-lo superans, sed hoc sane ob
descr
juvenilem
sensim
longe caudato-acuminatis; panicula
12. CI. squamatum Vahl, Symb. II, 24. Schauer
terminalih c. 669. Hook. Arn. 1. c. 205. Sieb. Zucc. Fl.
effusa amplissima, bracteis numerosis foliaceis petio- Jap. fam. nat. n. 522. Miq. Prol. 31. Fr. Sav. En. I,
latis lanceolatolinearibus cymas cymulasque fulcien- 359. Hance in Journ. bot. XVII, 13. Volkameria
tibus earumque pedunculos excedentibus, cymis iterato- Kaempf eri Jacq. Ic. rar. Ill, t. 500. Banks Ic. Kaempf.
trichotomis multifloris, flore parvo, calyce ipso brevius U 58. Volk. japonica Thunb. Fl. Jap. 255. Go too
pedicellato acute 5-fido, corollae glandulosopunctatae vulgo Go too giri, Kaempf. Amoen. 861.
tubo eracili brevi. I China australi (Hooker et Arnott): ins. Hainan
(Hancock!), in boreali! et in Japonia! cultum. India,
to
Formosa (Oldham! n. 396 cum alab.)
A praecedente multis notis discrepat. CI. trichoto- 1 Mauritius!
mum non est glabrum, uti vult Schauer, sed ad eas- Ex Kaempfero in Japoniam introductum ex ins.
dem partes ut nostrum pube paleacea ochroleuca pu- Luzon et ex Korea, inde et ab indigenis Rjuke giri et
bescens, folia longe petiolata latius ovata subito cus- 1 K0rei giri appellatur.
pidata,. panicula parcius bracteata bracteis ovatis cito
Species dubia.
caducis, cymae pauciores minus multiflorae, calyces I Clerodendrumpumilum S])r.Syst. II, 759. Schauer
corollaeque duplo saltern raajores, priores inflati penta- 1. c. 674. Volkameria pumila Lour. Fl. Coch. ed.
goni, corolla glabra, stigmatis crura brevissima. Willd. 472.
Petioli CI. formosani iy2-pollicares, lamina usque China: Canton (Loureiro). Schauero ignotum.
8-pollicaris et 3 poll. lata. Calyx 8 mm., alabastrum Ex descriptione Loureirii ad axittaria pertinet,
vix rumpens 9 mm. longum, lobis corollae oblongis folia lanceolata, corolla longa subaequalis 5-tida, sta-
"btusis. Stamina 4 fauci inserta serius longe exserta | mina didvnaraa exserta.
6
8T
Bulletin de 1'Acadoiiiie Imp^riale
88
Caryopteris Bge.
De plurimis hujus generis speciebus jam antea trac-
tavi, itaque satis erithic clavem analyticam omnium
mihi notarum antemittere, sinico-japonicas vero bre-
vibus verbis enumerare.
Frutices, cymae pluri — v. multiflorae. 2.
Suffrutices foliis ovatis, cymae 1 — 3-florac, lobi
corollae integri. 6.
2. Corollae lobus infimus integer. 3.
» » » fimbriates, cymae sub-
confertae. 4.
3. Cymae eonfertae, folia lanceolata acuminata a
medio serrata C. Wallichiana Scliau.
Cymae laxiflorae, folia ovata breve acuminata
a basi graudiserrata C. divaricate m.
4. Calyx 5-fidus, folia cordatoovata v. ovato-
oblonga graudiserrata C. incana Miq.
Calyx 5-dentatus, folia lanceolata v. lineari-
lanceolata. 5.
5. Folia linearilanceolata integra v. pauciserrata,
fimbriae corollae 2— 3-fidae C. mongolica Bge.
Folia lanceolata incisopauciserrata, fimbriae
corollae simplices C. tangntica m.
6. Pedunculi 3-flori, calycis laciniae lanceolatae
acuminatae C. terniflora m.
Pedunculi 1-flori, calycis lobi ovati acuti C. nepetaefolia m.
1. C. divarkata Maxim, in Mel. biol. IX, 829.
Clerodendron div. Sieb. Zucc. FL Jap. fam. nat. n.
523. Miq. Prol. 31. Fr. Sav. Enum. I, 360. Kari-
gane-so, Soo bokf, XI, 40.
Japonia (Siebold!, Buerger!, Tanaka! s. nom.
jap.Hokake-sd): Yokoska(Savatierl), Hakodate (ipse),
Korea: Soul (Dr. Gottsche! in lib. Engler).
2. G. incana Miq. Prol. 29. Nepeta incana Thunb.
Fl. Jap. 244. Car. Mastacanthus Schauer 1. c. 625.
Benth. Fl. Hongk. 268. Fr. Sav. Enum. I, 357.
Hance in Journ. linn. soc. XIII, 166. Barbula sinensis
Lour. Fl. Coch. 444. Hook. Arn. Bot. Beech. 205.
Mastacanthus sinensis Endl., Lindl. Bot. reg. 1846,
t. 2.
Japonia (Miquel!, Tanaka!, jap. Dangiku): Naga-
saki (Oldli.!, ipse), Yokohama (ipse); China: Canton
(Millett), Macao (Vachell), Hongkong (Forbes!),
Futschau (Augustinowicz!), Kiu-kiang (Shearer!),
Amoy (Fortune!), alio loco reg. mediae (idem!).
Ex Han ceo lignum Juniperi virginianae spirat.
3.'C. tangutica Maxim, in Mel. biol. XI, 301.
Ghinae occidentals prov. Kansu parte alte alpina
(Przewalski!).
" 4. C. mongolica Bge. PI. mong. chin. dec. 27.
Franch. PI. David. I, 231.
Mongolia austroorientalis: secus tractum mercato-
rium (Bge!, Kirilow!), v. c. ad Iro (Tatarinow!),
jugo australi finitimo Muni-ula et in territorii Ordos
valle fl. Hoangho (Przewalski!), Ulaschan (David!),
jugo Alaschan australi (Przewalski!).
p. serrata m.: foliis passim pauciserratis.
Ghinae prov. Kansu ad Hoangho super., alt. 7 mill,
ped. supra mare, jugo Nan-shan inter Mongoliam et
Tsaidam finitimo (Przewalski!).
5. G. terniflora Maxim, in Bull. soc. natur.Moscou,
1879, 40.
China occidentali: prov. Schensi et Kansu (Piasez-
ki!), Hu-peh boreali (David!).
6. G. nepetaefolia Maxim, in Mel. biol. IX, 830.
et in Bull. soc. natur. Moscou, 1879, 40, Franch. PI.
David. I, 231. Teucrium nepet . Benth. in DC. Prodr.
XII, 580.
China media (Fortune!): Ningpo (Hancock!), ad
lacum Ta-hu prope Shanghai (Forbes!), prov. Hu-peh
boreali (David).
Sphenodesma Jack.
S. unguiculata Schauer 1. c. 623. Hance in Journ.
bot. XXI, 355.
China australi: ins. Hainan, scandens in bambusetis
ditionis Lai (Hance). Distrib. Tenasserim!, Khasia!
Avicennia L.
A. officinalis L. Cod. 4642. (sub A. tomentosa).
Schauer 1. c. 700.
China australi (Meyen) et in aestuariis orbis an-
tiqui, v. c. India!, mari Rubro!, Australia! et alibi.
Genus excludendum.
Erythrostaphyle vitiginea Hce! in Journ. bot. XI,
266, ex ipso, duce Oliver in litt., ibid. XII, 184.
est Jodis species, inter Olacineas. — China australis.
Platypholis gen. nov.
Orobaneheae.
Calyx ebracteolatus antice et postice sectus, seg-
mentis bilobis. Corolla breve lateque tubulosa, parum
incurva, labiis brevibus erectis: superiore majore trun-
cato, inferiore acute trilobo. Stamina 4 didynama
exserta parallela recta, posticis longioribus. Antherae
parvae connectivo adnatae loculis parallelis oblongis
muticis. Stylus longitudine staminum longiorura, stigma
capitatum. Ovarium basi nudum, placentis 4 parieta-
89
des Sciences de Saint • Petersbourg
90
libus per pari a approximates. Capsula et semina ig-
nota. — Caulis crassus brevis squaraisovatis v. obova-
tis planis subcontiguis in bracteas majores abeuntibus.
Spica ovoidea brevis densa. Flores e bracteis parum
exserti majusculi.
PI. Boninsimae.
Bonin-sima (prof. Yatabe specc. 2. flor. misit).
Genus affine Conopholi Walir., quae differt calyce
antice tantum secto, postice 4-dentato, 2-bracteolato,
corollae galea tuboque longiore incurvis, lobis majo-
ribus, staminibus e galea non exsertis subaequalibus
(superioribus tamen et hie longioribus), antherarum
loculis mucronatis basi divergentibus. Lathraea corol-
lae tubo breviore calyceque ebracteolato congrua, ca-
lyce 4-lobo, galea biloba, staminibus (posticis item
longioribus) galeam aequantibus, antheris mucronatis
barbatis, ovario antice cum glandula crassa disci cog-
noscitur. Omnium propius genus videtur Boschniakia,
calyce cupulato breve 5-dentato, staminibus inclusis,
stigmate late bilobo, placentis bifidis tantum distinctum.
14 — 16 cm. alta, 8 mm. crassa, basi ipsa dilatata
tuberiformi. Spica 4 cm. alta et lata. Bracteae 20 mm.,
corolla 22 mm. longae, calyx bractea brevior. Stamina
inferiora breviora galeam aequantia, superiora stylo
aequilonga, 3 mm. galea longiora.
Mosla Fordii. Spithamaea simplex pubesce
to
terminalibus capitatis
viridis, foliis linearioblongis v. 1
que acutis serrulatis; racemis
brevissimis, bracteis imbricatis inferioribus sessilibus
reliquis subpetiolatis integerrimis longe pectinatocilia-
tis ovatis ellipticisve cuspidatis calyce fructifero duplo
aucto turbinato aperto brevioribus, pedicellis calyce
subaequaliter 5-fido brevioribus, laciniis calycinis
duplo superante bis
subulatis, corolla calycem vix
longiore quam lata exannulata, antheris cassis 1-locu-
laribus; nuculis tubo calycino occultatis subglobosis
obiter reticulatis, sty li ramis brevibus subparallelis.
China: prov. Canton, ad Lo-fau-shan (Ford! fl. frf.).
Inter M,japonicam et M. chinensem m., habitu,
nuculis, antheris cassis prioris, corolla (tamen tantum
4 mm. longa) foliisque posterioris, bractearum forma
pilisque ab utraque distincta.
Bracteae 4,5 mm., calyx sub anthesi 33/4 mm., fruc-
Nepeta subintegra. (Sect 2. Pycnonepeta § 2, Benth.).
Elata fastigiatoramosa retrorsum pilosa, foliis parce
pilosis longe petiolatis petiolis patenter pilosis, lamina
subtus glandulis impressis punctata inferiorum corda-
toovata obtusa, reliquorum oblongolanceolata acutius-
cula, floralium flores aequantium subsessili ovata acu-
minata, margine foliorum infimorum subregulariter
grandicrenatoserrato dente terminali maximo, sequen-
tium incisocrenatoserrato incisuris baseos majoribus
omnibus patulis, summorum basi 1 — 2-serrato v. in-
tegro; verticillastris densis floribusque subsessilibus in
spicam terminalem elongatam densam vix basi inter-
ruptam digestis, bracteis lanceolatis v. intimis lineari-
bus acutis calyce longioribus v. aequalibus, flore parvo,
calyce 1 5-nervio sursum longius piloso leviter incurvo
ore obliquo 5-dentato dentibus acute deltoideis, corol-
lae azureoviolaceae tubo vix exserto limbum aequante,
galea porrecta acute 2-dentata staminibus superioribus
vix breviore, labio 3-fido lobis lateralibus ovatis acu-
tiusculis intermedio majore truncatobilobo , nuculis
(juvenilibus) laevibus.
E Mongolia boreali orta dicitur, ubi circa Urga
hieme 1883 semina legerat et miserat Przewalski;
floruit in horto Regeliano Julio 85.
Affinitas cum nulla e notis bene expressa.
Summitas ante oculos lV2-pedalis , tota graveolens.
Petioli 35, lamina 50 : 20 mm. Spica principalis 13 cm.,
non incluso verticillastro remoto infimo. Verticillastra
circiter 12 -flora. Calyx 4 mm., dentes infimi 2 vix
minores subconniventes. Corolla 9 mm. extus ad
limbum pilosa, intus in tubo parce pilosiuscula. Anthe-
rae atrae. Styli crura acuta aequalia, antheras supe-
riores non attingentia, inferiores superantia. Ovaria
laevia, processu disci aequilongo lineari albo.
tifer 5 mm., corolla 4 mm. et ulti
ram . Folia 23:4 mm., capitula 1 0
q. exc
magna
Dracocephalum prunelliforme. (Sect. 3. Moldavica
Benth.). Ascendens vix pedale pflis aridis flexuosis
pubescens, foliis parcissime versus basin serratis sae-
pissime integris petiolatis (superioribus brevissime)
ovatis inferioribus obtusis, reliquis acutiusculis, flora-
libus imis oblongis basi orbiculatodilatatis, superiori-
bus sensim orbiculatis breve subito cuspidatis ciliatis
pilosisque; verticillastris confertis in spicam late ova-
tam, calyce basi piloso margine brevissime ciliolato
bilabiato labiis aequilongis: superiore 3-dentato den-
tibus ovatis, inferiore 2-lobo lobis lanceolatis, omnibus
91
Bulletin de 1* Academic Imperiale
92
breve raucronatis; corolla ampla calyce 3-lo longiore | Caules fere spitharaaei in caespitem vix ultra 2-poll.
ad galeam erectam labium superantem apice cucullato
emarginatam stamina tegentem pilosa ceterum cum
genitalibus glabra, lobo labii medio majore transverse
orbiculato incisodentato , lateralibus ovatis integris,
tubo parum inflato intus pilosoannulato. Utsubo gusa.
Soo bokf, XI, 9 (foliis acuminatis paulo discrepans).
Nippon: prov. Senano s. n. jap. Jindou so(Tanaka),
prov. Kaga monte Hakusan, s. n. jap. Tate-yama utsubo
gusa (Yatabe).
Typus proprius, nonnihil in mentem vocans Prunel-
lam grandifloram, et paulo accedens ad J) grandiflorum
L., quod tamen adhuc nimis distat et aliae sectioni
adnumeratur.
Petioli inferiores7 — 10 mm., superiores2 — 4 mm.,
lamina inferiorum (minorum) 30 : 15 — 20 mm., supe-
riorum (sensim majorum) a 55:35 ad 60:30 mm.
Calyx 11 mm. ultra dimidium in labia fissus, 13-ner-
vius ac reticulatus, purpureo suffusus. Corolla (pur-
purea ?) 30 mm., annulo pilorum incompleto parcius-
culo brevipilo. Stamina inferiora galea distincte, supe-
riora vix breviora. Stylus stamina breviora aequans,
lobis subulatis elongatis.
Adnot. D. urticifolium Miq., jam habitu v. gr.
stolonibus debilibus elongatis Gedronellam cordatam
Benth. referens, ob anthcrae loculos parallelos a
Dracocephalo removendum et Cedronella urticifolia
salutandum est.
Philoxerus Wrightii Hook. f. in Gen. pi. Ill, 40 (nomen).
Glaberrimus nanus caespitoso-ramosissimus et radicans,
foliis carnosulis planis spathulatis axilla imberbi, ca-
pitulis brevipedunculatis ramulos breves terminantibus
paucifloris, flore opaco lacteo, bracteis bracteolisque
parum minoribus hyalinis ovatis calyce fructifero plus
2-lo brevioribus, sepalis ovalibus exterioribus 3-inte-
rioribus 1 -nerviis 'patulis in fructu subinduratis cari-
natis conniventibus.
Liukiu: in fissuris rupium(Wright! n. 240 fl. c.fr.):
0-sima, rupibus maritimis rarus (Tashiro! nond. fl.).
Ab omnibus speciebus a Hookero huic generi ad-
judicatis differt bracteolis bractea brevioribus (nee
longioribus) omnibus ovatis obtusis. Proximus videtur
Ph. crassifolio Kth., e Mexico et AntUlis, qui tamen
rhaclii villosiuscula cal yceque bracteas aequante abunde
distinctus videtur.
3-lo
15-
altum dispositi. Folia 7 : 3 mm. internodia 2
superantia. Capitula 5 — 7 mm. alta, circa 10
flora. Bractea 1% mm. bracteolis triente longior, om-
nes 1-nerviae. Calyx sub anthesi turbinatus vix 3 mm.
longus pedicello incrassato latior, fructifer 3,5 mm.
pedicello subgloboso farcto et duro aequilongus, sed
triente angustior, conicoconnivens, sepalis primum
byalinis medio subviridulis, turn totis albidis pellucidis
cum margine hyalino angusto, interioribus angustiori-
Staminum columna tenerrima, parte connata
bus.
filamentorum liberam aequante. Antherae flavae, vir-
gineae oblongae, dehissae late ellipticae filamenti par-
tem liberam fere deltoideosubulatam aequantes. Stylus
stigmatibus acute crasse subulatis patentibus germi-
neque orbiculato longior, fructu maturo brevior et
persistens. Utriculus compressus membranaceus calyce
inclusus. Semen brunneum opacum testa membranacea,
cum albumine centrali discoideo liinc medio parieti
adnato. Embryo albidus cyclicus, radicula cotyledonum
longitudine ac illis subcrassiore cylindrica acutiuscula.
Atriplex arenaria Nutt. Gen. I
Grav, Man
409. S.Wats, in Proceed. Amer. Acad. IX. J12.
Hook, et A
Bot. Beech
Obione aren. M
DC. Prodr. XIII. 2. 107
Liukiu
Miyako juxta Formosam (T
Distrib. America borealis! atlantica littoralis. Ver
Mexici
Chile
M
E Calift
Hooker et A
quide
sed fortasse ex con
fusione patriae, nam in Bot. of California II
abbreviates
>esi. Fibris radicalibus crassis, internodiis
foliis membranaceis concoloribus longe
cordatoreniformibus
tubo
lato intus elevatoreticulato, lobis ovatis laevibus, fauce
extus haud constricta intus membranaceoannulata,
filamentis basi adnatis, antherarum processu brevis-
itylis erectis teretibus
stigmata
bifidis cruribus obtusis arete continuis, ovario ultra
Ca
nisupero. A. Blumei Hce. in Journ. bot. XX,
China: prov. Chekiang, ad Meichi (Forb
et
Folia A. Sieboldi Miq., recte observante Ham
rigonii forma et magnitudo fere A. variegati A. B
praeter annul urn in fauce tubi
racteres florales, A. Blumei D
reliqui cha-
«3
des Sciences de Saint-P«5tersbourg
!M
Petioli 1 35
folio
basi sinus mensa 43 mm. lonara. in fol
secundo spcciminis
eaedem mensurae 120, 60.
7 3
Pedunculus par
libei
a 8 mm., lobis 4 mm
attingentes tota longi
15: 10 mm., tubi parte
Styli ultra % tubi sub ant
tudine stamina superantes. Antherae oblongae fila
mento duplo Iongiores.
Piper L.
Species sinico-japouicae.
Flores hermaphroditi. Planta glabra foliis
teuue membranaceis 5-nerviis ovatoellipticis
acuminatis V chinense Miq.
Flores dioici. 2.
2. Spicae oppositifoliae. 3.
axillares, folia cordatorotunda ampla. . P. Poxtchianum m.
3. Hamuli foliaque subtus pubescentia. 4.
Glabrae. 5.
4. Folia basi valde obliqua semicordata, spicae
patulae 1}> puberidum Bth.
Folia profunde aequaliter cordata, spicae re-
flexae -P. sinense C. DC.
5. Spicae utriusque sexus elongatae cyliudricae,
folia septuplinervia acuminata pi. juvenilis
subcordatoovata adultae basi obliqua ovato-
oblonga v. ovatolanceolata JP. Futokadsura Sieb.
Spicae $ elongatae quam 2 multo Iongiores. 6.
G. Folia 5— 7-plinervia basi pi. m. obliqua. 7.
» oblongoelliptica penninervia V.ojficinaram C. DC
7. Folia oblongo- v. ovato-elliptica sensim acu-
minata P. Hrmcei m.
Folia orbiculato- v. rite ovata subito acu-
minata P. sarmentosum Roxb.
1. ? P. chinense Miq. in Hook. Lond. journ. bot.
IV, 439. C. DC in DC. Prodr. XVI, 1, 375 (inter
spec, minus notas).
China (Millett in lib. Hooker, fide Miquel).
2. P. Postelsianum. (Macropiper Bth. et Hook. f.
Gen. pi. Ill, 129). G labium, foliis araplis longe petio-
latis profunde cordatoorbiculatis subito breve obtuseque
cuspidatis membranaceis 1 3-nerviis nervis subtus pro-
minulis 5 mediis fere aequicrassis centrali usque in
acumen producto reliquis ante marginem anastomo-
santibus, petiolo ultra ya vaginante alis linearibus,
pedunculis geminis petiolo pi. duplo fere triplo bre-
vioribus, rhachi inter flores pilosa, bracteis peltatis
orbiculatis cucullatis pedicellatis, staminibus 2 (3 ?)
filamento brevi insidentibus, loculis ovoideis discretis
filamento brevioribus. Pothomorphe subpeltata Miq. in
Hook. Lond. journ. bot. IV, 431 (ex As coll. citato).
Bonin-sima (Postels!, Mertens! n. 86, Yatabe!
sub nom. jap. Taiyo futokadsura).
Miquel ob habitum sane ad Pothomorphcn relegavit
et sterile tantum habuit, nam Mores in Pothomorjthe
hermaphroditi. Proximum P. guahancnse C. DC.
(Macropiper metkysticum et M. latifolium Miq., h'de
Cas. DC.) differt foliis subtus ad venas ochraceohirtis
duplo minoribus 9 — 11-nerviis sensim acuminatis, ala
petioli breviore, spicis (9) singulis.
Lamina 22 cm. lata et longa, sinu angusto 4,5 cm.
alto, petiolus 7,5 cm., vagina 3 cm. Iuternodia petiolo
breviora. Pedunculi 2,5 — 3 cm. Spicae 11 — 13 cm.
longae, 3 mm. crassae, basi apiceque obtusae.
3. P.puhemlum Benth. Fl. Hong. 335 (sub Ghavica).
P. arcuatum Seem. Bot. Herald, 415, — n<
? P. Hongkongcnse C. DC. 1. c. 347 (ex descr
Hongkong (Hance, ex Bentham). Non vidi
M
C. DC. 1. c. 360. habet e Hon
P.
Miq. in Seem. Herald, et de specie Benthami silet.
Turn enumerat var. o. triplinerviani e Gliina (Callery,
fide Miq. Syst, 335).
4. P. sinense C. DC. I.e. 361. Ghavica sin. Champ,
in Kew journ. bot. VI, 116. Benth. Fl. Hongk. 335.
Hongkong (Hance!, Forbes!).
5. P. Futokadsura' Sicbold in Sieb. Zucc. Fl.
Jap. fam. nat. II n. 455. Miq. Prol. 303. Fr. Sav.
Enum. I, 443. C. DC. in DC Prodr. XVI, 1, 346.
Piper foliis 7-nerviis Thunb.! Fl. Jap. 351, pi. obsc.
n. 7. P. arcuatum var. Miq. in Ann. mus. lugd. bot.
, 135.
Japonia (Miquel!, Tanaka! sub nom. jap. kiuma
i fol. latioribus) et Futou katsura (fol. angustioribus):
circa Nagasaki frequens (Oldh.!, ipse), Nippon: Tokio,
culta s. nom. Biwats (ipse), Kamon saki (Savatier!);
Formosa, ad Tamsuy (Oldh.! n. 468 steril. sub hoc
nomine missa).
6. P. officinarum C. DC. 1. c. 356. Chavica of fie.
Miq. Syst. 256. 111. 39, t. 34. et in Lond. journ. bot.
IV, 433.
China (Millett, fide Miquel), turn in Philippinis!
Gelebe, Java!, Sumatra.
7. P. Hancei m. Chavica leptostachya Hance in
Journ. bot. VI, 301.
China: prov. Cantoniensi (Sampson! 6 et $ misit
Hance); Liukiu (Tanaka! $): O-siraa (Wright! S et
fructif.).
05
Bulletin de 1* Academic Imperiale
96
8. P. sarmentosum Roxb. Fl. Ind. I, 162. C. DC.
1. c. 352. Chavica sarm. Miq. Syst. 242. Benth. Fl.
Hongk. 335. P. fragile Benth. in Hook. Lond. journ.
bot. II, 234. (a C. DC. 1. c. 358. e Nova Guinea
seorsim inter multiplinervia enumeratum). Gh. betle
Seem. Bot. Herald 415, neque Miquel.
China australi: Canton (Hance!) et prov. Canton.
(id.!, Sampson!), Hongkong (Hance!).
P. betle L. a C. DC. 1. c. 359, fide Miquel ad pi.
Seemanni e Hongkong enumeratum, ex Bentham
hue pertinet.
Machilus Rumph.
Species sinicojaponicae.
Folia subtus tomentosa. 2.
»
glabra v. vix pilosula. 4.
2. Folia basi rotundata obovatooblonga, panicu-
lae laxae longe pedunculatae M. Grijsii lice.
Folia basi cuneata. 3,.
3. Tomentum villosum patulum, folia acute acu-
minata, paniculae sessiles M. velutina Champ.
Tomentum appressum, folia obtuse attenuata,
paniculae pedunculatae M. Eobu m.
4. Folia coriacea. 5.
» chartacea M. japonica S. Z.
5. Gemma dorso ramulique saltern novelli tomen-
tosa. 6.
Gemma margine squamarum ciliata, paniculae
folio breviores, ramuli glabri M. Thuribergi S. Z.
6. Folia elongatolanceolata subtus secus venas
parce pilosula, paniculae longe pedunculatae
apice dense multiflorae ceterum laxae M. oreophila lice.
Folia basi cuneata obovatooblonga apice subito
breve obtuse cuspidata glaberrima, paniculae
totae laxae folia superantes M. rimosa BL
1. M. Grijsii Hce. in Ann. sc. nat. 4 ser. XVIII,
226. Journ. bot. XX, 38. Meisner in DC. Prodr.
XV, 1, 504.
China: prov. Canton. (Henry, ex Hance), prov.
Fokien (de Grijs, ex Hance).
Arborea. Folia 3%— 5% : l1/,
petiolus 3 — 7-linealis.
2% poll, magna,
2. M. velutina Champ, in Kew journ. bot. V, 198.
Benth. Fl. Hongk. 291. Meisn. 1. c. 39.
Hongkong (Hance!), nee alibi inventa.
3. M. Kobu. Ramis foliisque subtus gilvotomcntellis
demum glabratis,
foliis
dense
rubiginoso, gemmaeque globosae tegmentis dorso to-
mentosis, foliis longiuscule petiolatis ellipticooblongis
v. ellipticooblongoovatis obtuse breve attenuatis su-
perne opacis obsolete scrobiculatis, subtus turn dis-
tincte elevatovenosis areolatisque, paniculis folio bre-
vioribus tomentellis, drupa. . .
Bonin-sima (Yatabe sterilem et florere incip. misit
s. nom. jap. Kobu-kashi vel Euro tetsu).
Affinis M. velutinae Champ, et M. pubescenti Bl.
(a me non visae). Prior paniculis sessilibus, tomento
omnium partium patente villoso rufo foliisque acute
acuminatis facile dignoscitur. Posterior ex descriptione
foliis angustioribus supra immerse (nee prominulo-)
costatis, subtus eveniis, brevius petiolatis chartaceo-
coriaceis, paniculis folia aequantibus differre videtur.
Folia minima petiolo 12 mm., lamina 93 : 28 mm.,
maxima petiolo 30 mm., lamina 130:45 mm., latis-
sima petiolo 25 mm., lamina 130:70 mm. Gemma
23 mm. alta et lata. Perigonium 4,5 mm. longum.
Filamenta stylusque pilosa aequilonga, priora stami-
nodia 4-lo superantia. Stamina in flore dissecto vidi
fertilia 9, sterilia 6.
4. M. rimosa Bl. Mus. Lugd. Bat. I, 330. Meisn.
1. c. 42. Benth. 1. c. 291. M. Thunbergii Benth. in
Kew journ. bot. V, 198, non Sieb. Zucc.
Hongkong ("Wright!), Formosa (Watters ex Hce.
in Journ. bot. XXI, 335), praeterea in Java!, Moid-
mein (Lobb ex Meisner).
A simillima sequente distinguenda tegmentis extc-
rioribus tomentosis (neque tantum ciliolatis), ramulis
novellis ochraceotomentosis (neque glabris) et paniculis
folia aequantibus aut superantibus (nee brevioribus).
5. M. Thunbergii Sieb. et Zucc. Fl. jap. fam. nat.
II, n. 704. Meisn. 1. c. 42. Miq. Prol. 127. Fr. Sav.
Enum. I, 411. Engl. Bot. Jahrb. VI, 57. Laurus
indica Thunb. Fl. Jap. 173, — non L. Tomu noM,
Kaempf. Amoen. 906. Ic. Kaempf. t. 50.
portu Hamilton (Wilford!); Japonia: ad
r. Nomo aestuarii Nagasaki et circa urbem
Korea
01dh.!),Simoda(Yolkin!), Yokoska(S
Yokohama (Oldh.!, ip
Liukiu (Doed
Formosa, ad Tamsuy (Oldh.! n. 450)
Arbor dense frondens. 50
60-pedalis, pulch
Folia vulgo obovatooblonga ludunt a lanceolatooblon
go in late ellipticura.
6. M.japonica S. Z. 1. c. n.705. Meisn. 1. c. 42.
Miq. Prol. 127. Franch. Savat. Enum. I, 112.
Japonia (Sic bold!): Kiusiu interiore, ad Ko-isiwara
97
des Sciences de Saint - Petersbourg.
OS
in sylvis, circa Nagasaki, in sylvis umbrosis (ipse),
Tsushna(Wilford!).
Arbor 30-pedalis, 4 pedes usque crassa dicitur,
incolis Kiusiu interioris eodem nomine Tabu noki ut
praecedens nota. Gemmae M. Thmbergii. Folia subcon-
colora, subtus ex sicco non glaucescentia videntur, ab
illis M. Thuribergii consistentia chartacea et forma
angustiore ab oblongolanceolato sensim acuminato in
linearioblongum valde acuminatum ludente diversa.
Flores fructusque iidem. An igitur tantum M. Thun-
bergii var. umbrosa habenda?
7. M. oreophila Hance in Ann, sc. nat. 4 ser.
XVIII, 227. Meisn. 1. c. 504.
China: prov. Fokien (de Grijs, ex Hance).
Dicitur arborea, foliis 5 — 7 poll, longis, 1 — 1% poll,
latis, petiolo subpollicari.
Species dubia.
M. ? longifolia Bl. Mus. Lugd. Bat. I, 331. Miq.
Prol. 127. Fr. Sav. Enum. I, 112. Engl. Bot. Jahrb.
VI, 57.
IAukiu (Doederlein, fide Engler), Japonia (lib.
Lugd. Bat.!).
Sterilis tantum lecta, quoad genus et imo familiam
dubia, japonice ex Franch. Savat. audit Ao kasi:
i. e. Quercus glauca.
Cinnamomum sericeum Siebold. Miq. Prol. 127.
Franch. Savat. Enum. I, 411. G. daphnoides Sieb.
Zucc. Fl. Jap. fam. nat. II, n. 701.
IAukiu (Tanaka! flor.), Japonia: ad Nomosaki
(Buerger! in lib. Lugd. Bat.) et cultum (ipse).
Wikstroemia Endl.
Species Sinicojaponicae.
Folia omnia opposita. 2.
» opposita et alterna parva acute elliptica
subtus ramulique pilosula, capitula pluriflora,
perigonii sericei luteopurpurei lobi tubo triplo
breviores W. Monnida Hce.
2. Racemi capituliformes apice caulis ramorum-
que subaessiles inflorescentiam densam con-
atituentes. 3.
Iidem pedunculati apice ramorum pi. m. elon-
gatorum. 8.
3. Rami crassi dense imbricatofoliati, folia obo-
vata retusa glaberrima, limbus perigonii tubo
triplo brevior
Rami graciles virgati, folia acuta v. obtusa. 4.
4. Limbus tubo 2— 3-lo brevior uterque glaber-
W.
rimus
glabrata. 5.
Limbus tubi
5-lo brevior uterque sericeus,
5. Folia laevia paucicostata, flores albi W. indica C. A. Mcy.
» nervosa multicostata, flores luteovirides. fy. viridiflora Meisu.
6. Folia glaberrima laevia linearioblonga utrin-
que acuta, limbus tubo 4— 5-lo brevior, flores
flavi W. Chamaedaphne Meisn.
Rami foliaque subtus pilosa v. sericea. 7.
7. Folia laevia lanceolatooblonga utrinque acuta,
flores lilacini W. chincnsis Meisn.
Folia subtus reticulatovenosa densa ovata v.
elliptica basi obtusa, flores tubo carnei limbo
albi W- Ganpi m.
8. Glabrae, capitula pauciflora, flores lutei. 9.
Sericea, capitula multiflora , limbus tubo 4-lo
brevior, folia ovata v. ovatolanceolata acuta . W. Sikokiana Fr.Sav.
9. Capitula nutantia apice ramorum solitaria,
flores viridilutei, folia anguste lanceolata
acuminata, rami flexuosi W. nutans Champ.
Capitula erecta laxe corymbosa, flores aurei,
folia ovata acuta, rami ramulique brachiati recti. W. japonica Miq.
1. W. Monnula Hce. in Journ. bot. XVI, 13.
China: prov. Canton (Bullock, ex Hance).
2. W. retusa A. Gray (in sched.)- (Euicikstroemia
Meisn.) Ramulis novellis pilosis dense imbricatofo-
liatis, foliis brevissime petiolatis herbaceis glabris
multinerviis obovatis retusis v. rarius ellipticis obtusis;
capitulis terminalibus breve pedunculatis , perigonio
pubescente lobis late ovalibus obtusis tubo brevioribus,
ovario vertice piloso, squamis hypogynis % ovarii
altis oblongis passim bilobis liberis.
IAukiu: in sepibus, frutex ramosissimus 4
folia (infer, passim exceptis) acuta. 6.
Tome XXXI.
— 6-pe-
dalis (Wright!), ad Napakiang, ad latera collium fre-
quens, a basi patule ramosus (Dr. Weyrich!); Bonin-
sima (Yatabe! s. nom. jap. Awo ganpi).
Valde affinis videtur TV. rotundifoliae Dne. in Jac-
quem. Voy. 146, ex insulis Polynesiae, quae tamen ex
diagnosi breviore differre videtur foliis late ovalibus
utrinque obtusis (nee basi cuneatis) ovarioque glabro.
Rami crassi, pulvinis crebris prominentibus. Petioli
2 — 3 mm., lamina 40:20 ad 55:30 mm., vel in
surculis novellis citius excretis laxiusque foliatis
60: 25 mm., nervis utrinque 10 — 12 et inter nervos
venosa. Perigonium ex collectore viridiluteum, drupa
late ovalis rubra 5 — 6 mm.
lucidum testa Crustacea. Albumen membranae in mo-
dum embryonem globosoovoideum radicula breve conica
excepta circumdans. Cotyledones semiglobosae basi
emarginatae, radicula brevissima.
3. W. indica C. A. Mey. in Bull. phys. math. Ac.
Semen ovoideum nigrum
Petersb. L 357. M
in DC. Prodr. XIV. 543.
Hook. Arn. Bot. Beech. 68, 94. 209, t. 15. Daphr,
7
m>
RuIIetin rte IMcaddmie Imp^riale
too
(ipse), Kago-siraa (Doed
W. canescens Meisn.
habitu et floribus quidem
differre videtur foliis angustioribus
acutioribus, costis principalibus
4
5),
tubo limbum
8 (neque
magis supe-
rante , anth
ochroleucis sessilibus (neque fuscis
filamento libero brevissimo fultis), semine anguste
ceolato utrinque acuto
ovoideo basi
culato, apice breve obtuse attenuato), drupa multo
brevius calyce persistente
ob
linearilan-
raaj
3 snatio dilutiore
indica L. Cod. 2825. D. foetida Forst. in Linn. f. I Yokoska (Savatier!), Nambu, jugo Hakone (Tscho-
Suppl. 223. |noski!); Kiusiu: Tara-take non procul a Nagasaki
China (Osbeck, Vachell) occidentali: prov.Schensi
secus fl. Han (Dr. Piasezki!, ex quo frutex parvus,
floribus albis fragrantia Platantherae); turn in Austra-
lia et Philippinis.
Specc. sinica a reliquis ante oculos flore duplo mi-
nore recedunt, quern tamen variare statuit Meisner,
ceterum plantam, praeter pilos strictos in apice ovarii,
glaberrimam sistunt. Quoad floris colorem autores
dissentiunt: Blanco in D. indica viridescentes, in
D. foetida lutescentes dixit, Meisner utramque ad
D. indicant duxit, Linnaeus in Capura purpurata L.
a Meisner o etiam hue ducta purpureos habet. 'An
hie plures species latent?
4. W. viridiflora Meisn. 1. c. 546. Benth. Fl.
Hongk. 297. W. alpina var. Benth. in Kew journ.
bot. V, 195. Daphne cannabina Lour. Fl. Coch., fide
Decaisne in Jacquem. Voy. 145.
Hongkong (Hinds!, Wright! quo teste flores vires-
centilutei, fructus lutescentiruber), Formosa (Oldh.!
n. 456), turn in India (Falconer! n. 901), Chittagong
et Singapur (Bentham).
5. W. Ghamaedaphne Meisn. 1. c. 547. Franch.
PI. David. I, 260. Passerina Ghamacd. Bge. Enum.
Chin. n. 326. Turcz. Enum. Chin. n. 174. Maxim.
Ind. Pekin. 476, Ind. Mongol. 485.
China borealis in lapidosis (Bunge!): circa Pekin
(Kirilow!, David), montibus ab urbe ad occidentem
(Tatarinow!) et septentrionem (Bretschneider!),
Nankou (idem!, Wawra n. 1008!), Takiosze et alibi
frequens, frutex 1 — 3-pedalis, floribus flavis suaveolen-
tibus (Bretschn.)
6. W. chinensis Meisn. 1. c. 546. Debeaux, ftor.
du Tchefou n. 175. Franch. PI. David. I, 260.
China (hb. Monac. ex Meisn.): prov. Shantung ad
Tschifu (Debeaux), Kiukiang (David).
Flores dilute violacei turn lilacini, fide Debeaux.
7. W. Ganpi m. W. canescens var. Ganpi. Miq.
Prol. 298. Franch. Savat. Enum. I, 405. Passerina
Ganpi. Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. II, n. 696.
Stellera Ganpi. Siebold, Syn. pi. oecon. n. 132.
Nippon: Yokohama, frequens (ipse, Oldh.! cujus
spec. n. 266. foliis lanceolatoovatis acutis Jnsigne),
gitudinaliter percursa (neque ovoideolanceolata obtusa
tota sericeopilosa, hinc crista dilutiore sulcata notata).
Var. paucifloraYr. Sav. 1. c. II, 481. W.pauci-
flora Fr. Sav. 1. c. I, 406.
Nippon (Oldham! 1861 n. 266 vix fl., an e Yoko-
hama?): Hakone, Senano (Savatier).
8. W. sikolciana Fr. Sav. 1. c. II, 481.
Sikohu (Rein! n. 77).
Specc. Reini quae ante oculos sunt, flores delapsos
nee fructus ullos superstites habent, ita ut ad descrip-
tionem autorum nil addendum habeam.
9. W. nutans Champ, in Kew journ. bot. V, 195.
Meisn. 1. c. 545. Benth. Fl. Hongk. 297.
Cliina australi: Hongkong (Wright!, Ha nee!),
Canton (Fortune! n. 174), nee alibi.
10. W.japonica Miq. Prol. 298. Fr. Sav. Enum.
I, 405. Passerina japonica Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam.
nat. II, n. 695/ Stellera japon. Siebold, Syn. pi. oecon.
n. 131, Rubia spicis
Thunb. Fl. Jap. 357
Queria dichotoma Thunb. in Trans, linn. soc. II
Icon. pi. Jap. dec. V, t. 1.
Japonia (Siebold!, ex quo jap. Ki-marae, cortice ad
chartam praeparandam adhibito): Nippon (Buerger!),
Kiusiu: Simabara, vulcano Wunzen, frutex 3 — 4-pe-
dalis digitum crassus, praesertim apice ramosus (ipse).
Species distinctissima, neque W. virgatae Meisn.
affinis, quacum comparaverant Siebold etZuccarini,
quae autem potius TV. canescenti comparanda.
Observ. Daphne Kiusiana Miq. Prol. 298. Fr.
Sav. Enum. I, 405. Jamma Eintsjo, Kaempf.! Amoen.
r
lOI
des Sciences de Saint - Pctersbourg
ioa
844. ex raea opinione ad B. sinensem Lam. Diet. Ill,
438. ducenda est.
In Japonia crescit non rara
in sylvis Kiusiu, ubi sistit fruticem pauperem 4-pedalem
flore albo fragrante. Praeterea sterilis lecta fuit in
Yezo: arundinetis montium ad Idzi-no-watari (ipse,
Albrecht!). In Europa colitur s. nom. B. odorae, e
China olim introducta. A B. odora Thunb. differt
perigonii pubescentis laciniis late oblongis et foliis in
planta spontanea angustioribus floreque minore, sed in
planta culta flores majores fiunt, folia vero aequilata
ac in B. odora.
B. yezoiinsis, a Fr. Sav. En. I, 404 tan turn ex
sched. lib. enumerata, a me descripta est in Rgl.
Gartenflora, 1866. 34, t. 496, ubi comparationis
causa adducuntur etiam diagnoses B. Kamtschaticae
m. et B. Pseudomezerei A. Gray.
Fagus japonica Maxim, (nomen) apud Nathorst in
Bihang till Svensk Vet. Akad. Handl. IX, Jfc 18, pag.
8 in adnot. Foliis ellipticis basi obtusis v. acutiusculis
apice subito acuminatis utrinque 8 — 10-costatis costis
obscure in sinus vel passim versus dentes obsoletos v.
distinctos tendentibus; pedunculis gracilibus amen to
utriusque sexus pluries longioribus, fructiferis cernuis
fructum parvum 2 — 3-lo superantibus, involucri dehissi
laciniis patentibus nucula subduplo brevioribus dorso
squamatis squamis acute deltoideis imbricatis apice
tantum patulis.
Nippon: jugo Hakone et prov. Nambu (Tschonoski).
Specc. flor. nonnulla olim sub nomine F. Sieboldi
distribui.
Quoad foliorum formam et magnitudiuem simillima
F. sylvaticae L. y. asiaticae DC.,. quae tamen, ut tota
F. sylvatica, pedunculis crassiusculis amento ad sum-
mum sesquilongioribus, fructu duplo majore, involucro
tlas superante,
rvopatentibus
ta. Nervi folioi
liuearibus elongatis
&
dupl
dis
Adnot. Ad F. sylvaticam L., cujus var. y. asiatica
A. DC. in sylvis Yezo australis frequens, ducenda est
etiam
Var. &. Sieboldi m. Foliis ovatis basi subrotundis
subcordatisve costis in sinus tendentibus, fructu var. y.
Fagus Sieboldi. Endl. Gen. pi. suppl. 4, pars 2, p
A. DC. Prodr. XVI, 2, p. 118. F. crenata Bl. Mus
Lugd. Bat. I, 307. F. ferruginea Sieb. Syn. pi. oecon.
n. 151.
Nippon: in sylvis Nikko (Savaticr!), Kiusiu inte-
riore in sylvis montanis, incolis Bunna, arbor dicitur
magna, 4 pedes usque crassa (ipse). — Fide Sieb old
jap. Bunanoki, lignum in prov. septentrionalibus ad
aedificandum fabricandumque adhibetur, ex fructibus
exprimitur oleum.
Foliorum forma tantum a reliquis varr. diversa
indeque pro specie distincta nequaquam habenda.
Liparis japonica. Spitbamaea vel ultrapedalis robusta,
pseudobulbo ovato, vaginis 2 — 3 obtusis virescentibus,
foliis 2 ellipticis oblongis v. rotundatoellipticis obtusis
in petiolum latissimum brevem v. rarius laminam
aequantem sensim v. subito attenuatis, scapo alatoan-
cipiti folia duplo v. ultra superante; racemo laxo
plurifloro, bracteis parvis pedicello ovarium aequante
multiplo brevioribus, floribus virescentibus erectopa-
tulis, phyllis perigonii membranaceis obtusis exterio-
ribus ovatooblongis 3-nerviis, interioribus spathulato-
linearibus 1-nerviis subaequilongis, labello paulo bre-
viore vix crassiore obovatosubquadrangulo basi sub-
cordata columnam amplectente exappendiculato a medio
reflexo 5-nervio antice crenato cum dente majore in
medio, columna leviter arcuata basi latiore, rostello
truncato in dentem depressotriangulum acutum stigma
marginantem et ad dimidiam columnam decurrentem
abeunte, clinandrio utrinque 1 -dentato, anthera depres-
sohemisphaerica 2-loculari, polliniis flavis per 2 in
massas ovatas connexis liberis. Microstylis japonica
Miq. Prol. 135. Fr. Sav. Enum. II, 21. Seitaka
Sudzumushi, Soo bokf, XVIII, 70 verso, fig. B.
Per totam Japoniam sylvis muscosis non rara; in
MandsJiuria australiori : ad Amur australem in angus-
tiis bureicis (Radde! 1857), jugo Sihota ad fontes fl.
"Wai-Fudin, insula Russki ex ad verso Wladiwostok
(ipse).
Arete affinis L. Uliifoliae Rich., sed minus elegans
minusque in Japonia rara.
Bulbophyllum inconspicuum
1. Lindl. Orch. 48).
Rhizomate elongato repente filiformi pseudobulbis
remotiusculis oblongis 1 -phyllis, folio brevipetiolato
lamina oblonga obtusa basi attenuata coriacea margine
revoluta 3-nervi; pedunculo radicali altitudiue pseudo-
bulbi 1-floro 3-bracteato: bracteis laxiusculis membra-
7*
io:s
KuIIetin de rAeademie Imperiale
104
naceis acuminatooblongis summis 2 inter se florique
approximatis; flore parvo ex sicco decolori, sepalo
summo subtrinervi petalisque minoribus subbinerviis
ovatodeltoideis acutis margine fimbriatis, petalis hya-
linis sepalis membranaceis, lateralibus majoribus oblon-
goellipticis obtusiusculis 3-nerviis integris, labello
petala aequante ovato acuminata incurvo intus crista
validissima percurso, columna apice utrinque acute
1-dentata, anthera minuta, stigmate amplo subqua-
drato, pede columnae elongato attenuato incurvo cum
labello articulato. Orchidea dubia 1, ded. Siebold,
Miquel, Cat. hb. Lugd. Bat. 103.
Japonia (Siebold! in lib. Lugd. Bat. s. nom. jap.
Mugi-ran): Kiusiu monte Naga, in arboribus, cum
Trichomane (ipse, ster. et fructif).
E speciebus micranthis 1-floris mihi notis paulo
accedere videtur ad B. pygmaeum Lindl. ex Nova
Zelandia (v. ster.), nimis tamen diversum.
Eria japonica. (§ 1. Conchidium Griff. Lindl.). Foliis
binis lanceolatis basi vaginantibus scapum 1-florum
subsuperantibus, bracteis ovatis membranaceis parvis
versus apicem et ad basin, flore lacteo parvo admentum
pilosulo, sepalis petalisque oblongis acutis aequalibus,
labello purpurascente trilobo basi tricristato lobis late-
ralibus erectis ovatis, terminali reflexo aequimagno
omnibus obtusis. Osa ran, bakukoJcu ran, Soo bokf,
XVIII, 19. DendroHum reptans Fr. Sav. Enum. II,
510, ex fig. citata.
Nippon: provinces australioribus(S a va tier), Kiusiu
prov. Hiuga in monte Kirisima et alibi frequens, trun-
cos arborum caespitibus usque tripedalibus obducens
(fide Inuma in Soo boku 1. c), ipse cultam Tokio vidi.
E. pusillae Lindl. proxima, quae tamen pseudo-
bulbis globosis, foliis basi attenuatis minoribus, bractea
sub flore ampla acuminata, labello integro satis nimis-
que differ t.
Rhizoma pennam corvinam crassum, pseudobulbis
crebris oblongis striatis 15 mm. longis numerosis
obsessum. Folia 3 — 4 cm. longa, 9 — 12 mm. lata,
carnosula. Scapus 2 — 2,5 mm. Flos 10 mm. longus.
Anoectochilus Tashiroi. {Odontochilus Bl.) Caule foliato,
foliis viridibus brevipetiolatis ovatis acuminatis, racemo
laxo paucifloro cum bracteis ovariis eas superantibus
calyceque dorso articulatopilosis, petalis linearilanceo-
latis falcatis sepalum summum rhombeoovatum triente
superantibus et cum eo in galeam conglutinatis, sepalis
lateralibus divaricatis elongato -dolabriformibus basi
labelli sacco brevissimo intus utrinque
appendi
2
partita, ungue
6
itudine laminae
bipartitae (partitionibus oblique ovatis acutiusculis
extus irregulariter denticulatis) lineari secus medianam
bilamellato, margine longe fimbriato fimbriis utrinque
8
subulatis
latitudine brevioribus versus
ej
basin decrescentibus, rostello acute bipartito
patente.
Lkikiu (Tasliiro, misit Tanaka).
Habitus Oystopodis elongati Bl. Orch. Arch. Ind.
t. 30, fig. 1, a quo differt forma sepalorum eciliatorum,
petalis cum sepalo dorsali non aequilongis, praesentia
dentis deltoidei inter partitiones labelli, cristis in ungue ■
labelli duabus.
Spithamaeus. Petiolus 6 mm., lamina folii maximi
5 : 3 cm. Racemus 6 cm. Perigonium ex sicco ruben-
tivirens cum maculis parvis obsoletis, phyllis 1 -nerviis
dorsali 5 mm., lateralibus connatis 15 mm., petalis
6 mm., labello albo 16 mm. longis.
Orchis Roborovskii. Rhizomate horizontali brevi stolo-
nibus innovante, caule palmari diphyllo, foliis elliptico-
lanceolatis obtusis cum apiculo, spica 2 — 3 -flora,
bracteis flores superantibus, flore roseo, sepalis late-
ralibus reflexis superius petalaque superantibus omni-
bus ovatooblongis obtusis 4 — 5 -nerviis, labello basi
bicristato orbiculato antice breviter trilobo lobis ovatis
obtusiusculis medio productiore, calcari conico labellum
superante germen subaequante.
Tangut (Przewalski, 1880).
Huic proxima est Orchis Chusua Rchb. f. sic dig-
noscenda: Tubere unico ovali, caule spithamaeo
2-phyllo, foliis elongato-lanceolatolinearibus acumina-
tis, racemo secundo 2— 5-floro, bracteis flores majus-
culos superantibus, sepalis petalisque 3-nerviis ovato-
oblongis obtusis sepalis lateralibus paulo majoribus,
labello latiore quam longo basi carinato aequaliter pi.
m. trilobo calcar cylindricum atque germen aequante.
Gymnadenia Chusua Lindl. Orch. 280. — Nipal
(Wallich!), Sikkim (Hooker fil.!, Elwes!).
Orchis cyclochila. Rhizomate e fibris elongatis villo-
sis tenue carnosis, folio 1 radicali orbiculato v. orbi-
culatoelliptico obtusissimo in petiolum cuneatoatte-
nuato, scapo palmari, spica 2— 3 -flora, bracteis flores
*
1
105
des Sciences de Saint- IV* ersbourg.
IOCS
seos subsuperantibus, sepalis patulis 3-nerviis oblon-
s acutiusculis petala linearia 1-nervia superantibus,
labello obovatorotundato erosulo indiviso calcar anguste
conicum germenque subsuperante. Babenaria cyclocliila
&
Franch. S
Enum.'II
Gymnadenia
Miquel! Prol. 139. Qymn. n.sp. Miq.! Cat. hb. Lugd.
Bat. 102. Kamomeso, Soo bokf, XVIII, 46 (mala).
Japonia (bot. japon. in hb. Franchet): Fudsi yama
(Tschonoski!, Yatabe! s. n.jap. Ichiyd-ran), vallibus
profundis Kiso yama (Inuma).
est apud I to
Keiske, Nihon shioku etc. I, 35, sub nomine Itsiyo
0
tsidori.
Eadem species, ni fallor, delineata
Herminium alaschanicum. Caule foliato, foliis acumi-
natis infimo oblongo reliquis linearibus summis subu-
latis bracteiformibus, spica secunda densa, bracteis
lanceolatis subulatis ovarium superantibus, ovario
apice brevirostri inflexo erecto, floribus virentibus
nutantibus, sepalo summo ovato subtrinervi, lateralibus
lanceolatis 1-nerviis, omnibus obtusiusculis, petalis
triente longioribus apice carnosulis pi. m. trilobis
lobis medio lineari producto superiore dentiformi v.
obsoleto inferiore lineari v. anguliformi - deltoideo,
labello cuneato basi concavo ad medium trilobo lobis
parallelis linearibus acutiusculis medio subbreviore,
calcari scrotiformi distincto.
Tangut, in rupibus, alt. 10 mill. ped. s. m., rara,
Mongolia australi: jugo Alaschan ad latera argillosa
aperta, parce (Przewalski, 1873, 1880).
Affine H. Monorchi R. Br., sed flores majores, calcar
distinctius, labellum petalaque saepe triloba lobis pa-
rallelis.— Adsunt tamen varietates duae: alaschanica:
pedalis, petalis angulatis et calcari longiore, et tangu-
tica: spithamaea, petalis manifeste trilobis.
Tuber (tantum in pi. tangutica collectum) 1 globoso-
ovale. Caulis basi vagina 1 tubulosa hyalina, turn foliis
approximatis 2 — 5 instructus, quorum infima basi
tubulosa vaginantia, reliqua sessilia. Imum oblongum
breve acuminatum 40:10 mm., reliqua complicata
sensim acuminata 70 : 6 ad 35:5 mm. magna, summa
2 — 4sparsa. Spica 2 — 8 cm. Sepala 4,5 mm., petala et
labellum 5,5 mm. Columna nana basi labelli adnata, an-
therae loculis parallelis basi parum divergentibus, polli-
niis caudicula brevissima, glandula ovali magna rostello
Platanthera inierrupta. Tuberibus crasse linearibus
elongatis divergentibus, caule ad bipedali alatoangulato
plurifolio, foliis basi breve attenuatis subtubulosovagi-
nantibus inferioribus ellipticis oblongisve acutis, sequen-
tibus paulatim oblougolinearibus acuminatis, summis
bracteiformibus, racemo elongato rarifloro, bracteis
inferioribus longitudine florum, flore viridi odoro, peri-
gonii pbyllis 3-nerviis obtusis membranaceis, sepalis
majoribus: summo rotundatoovato breviore, lateralibus
obliquis attenuatoovatis, petalis vix crassioribus sepala
lateralia aemulantibus, labello haud longiore ovatoob-
plano depresse deltoideo margine tantum libero apposita. |longo obtuso basi obtusissime auriculato, calcari tenui
Herminium biporosum. Folio radicali oblongo obtuso
3-nervi cauli continuo basi tubulosa vaginante, scapo
nudo apice laxe racemoso, bracteis minutis obtuse
deltoideis pedicello brevi plus duplo brevioribus, flore
viridi phyllis obtusis obsolete 1-nerviis: sepalo dorsali
breviore late ovato cum petalis oblique anguste ovatis
aequilongis galeam formante, lateralibus ovatoellip-
ticis subobliquis labelloque vix longiore patentibus,
hoc a latiore basi linearioblongo basi secus nervum
utrinque poro rotundo marginato instructo, ovario
obovoideo pedicellum duplo floremque fere totidem
superante.
Tangut: in viciniis lacus Kuku-nor (Przewalski,
1880, spec. 1).
Huic proximura H. gramineum Lindl. in Wall.
Cat. 7413, Orch. 305, quod vidi e Mpal (Wallich!),
India bor. occid. (Royle!, Falconer n. 1049!) ditfert
folio lanceolatolineari acuminato multinervi, spica di-
midium caulem occupante, bracteis lanceolatis acumi-
natis germen ovatooblongum breve rostratum florem
aequans superantibus, sepalis adapicem 1 -nerviis ovatis
acutis aequilongis, petalis crassioribus longioribus le-
viter falcatis subenerviis oblongolinearibus obtusis,
labello rhombeoovato attenuato sepala aequante media
basi fovea rotundata ampla concava instructo inflexo
(neque patente), stigmatibus 2. Sed magnitudo florum
eadem.
Exemplum quod praesto 5-pollicare. Tuberi singuli
vestigium parvum carnosum. Vaginae laceratae 3 ad
basin caulis. Lamina folii 30:7 mm. Racemus iy2-pol-
licaris. Flores 6 cum apicalibus 2 abortivis internodia
aequantes, diam. 5 mm., ovarium 2,5 — 3 mm. Stigma
amplum rotundatum convexum.
107
Bulletin do 1* Academic Siupcriale
lOS
acuto germen superante, antherae emarginatae loculis
divergentibus, rostello depresso obtuso.
Kiusiu: Nagasaki (ipse, Oldh.! n. 842, a Miquel
Habenaria japonica dicta), prov. Omura prope Sonnogi,
prov. Higo monte Higosan (ipse).
Ab affini PL mandarinorum Rchb. f. in Linn. XXV,
1852, 226, Bot. Zeitg. 1878, 75 (cujus synonyma
Habenaria Keiskei Mi q. Prol. 139- Platanthera Keiskei
Fr. Sav. En. II, 31, Plat, oreades $. macrocentron
Fr. Sav. En. II, 514) satis distincta radice, foliis,
racemo laxo et labello brevi.
\
Platanthera ussuriensis. Radix e fibris tenuibus cylin-
pe-
dricis horizontaliter divaricatis, caule gracili 1 — 2-
dali supra basin 2-phyllo: folio infimo obovatooblongo
obtuso, superiore oblongolanceolato breve acuminato,
utroque basi attenuato et in vaginas tubulosas abeunte,
foliis sequentibus bracteiformibus linearibus acumina-
tis, spica digitali laxa multiflora, bracteis acuminato-
linearibus ovaria aequantibus, floribus viridibus parvis:
sepalis membranaceis 3-nerviis superiore rotundato
lateralibus paulo longioribus ovatooblongis petala 1-
nervia carnosa oblonga subsuperantibus, labello crasso
pateute papilloso sepalis paulo longiore ovato et basi
utrinque in lobulum depresse deltoideum dilatato
apice obtuso, calcarirectiusculoovario breviore, anthe-
rae truncatae loculis discretis parallelis basi vix atte-
nuatis, rostello deltoideo libero, processubus lateralibus
incurvis quadratis profunde sulcatis glandulam oblon-
gam caudiculae longiusculae recipientibus. PL tipuloi-
des var. y. ussuriensis Rgl. Fl. Ussur. n. 477, t. X,
fig. 7
9 (pess.). Franch. Savat. Enum. II, 32.
Mandshuria: ad fl. Usuri (Maack!), Japonia
(Tanaka! sub nom. jap. Oba tonboso), in Kiusiu: ad
pedem vulcaniWunzen in fruticetis paludosis, Nippon:
jugo Hakone (ipse, Savatier!), Yokohama, parce
(ipse), alpe Niko (Yatabe!), prov. Nambu (Tscho-
uoski!), Yezo: sylvis graminosis circa Konoraa et
Siginope, nee non ad Todohiki (ipse).
Ad eandem speciem fortasse pertinet Tonboso, Soo
bokf, XVIII, 14, de qua dicitur flores virides inodoros
habere et ad pedem inontium crescere, sed flores nimis
magni delineati sunt.
Similis PL flavae A. Gray (quam vidi e Connecticut
ab Eaton, ex Alabama a Mohr, e Georgia a Bey rich
s. n. Haben. calycinae n. sp.), sed haec distat foliis
saepe tribus omnibus acuminatis, labello basi utrinque
leviter obtuse auriculato apicem versus rotundato sub-
dilatato, sepalis petalisque crassis latioribus (obovatis
v. ovalibus), loculis antherae basi divergentibus, rostelli
processubus lateralibus simplicibus pariter quadratis
glandulam ovalem caudiculae latae brevissimae reci-
pientibus, rostello crasso deltoideo incurvo. Sed radix,
florum magnitudo, spica cet. eaedem.
Adnot. Ad PI at anther am? decijnentem Lindl. per-
tinet Gymnadenia Vidali Fr. Sav. En. II, 29, 512.
Obinetsidori so, Soo bokf, XVIII, 52. — Lindley non
sine causa de genere dubitavit, caudicula enim omnino
deest imo in alabastro, ita ut segmenta angulata polli-
niorum libera in loculo contineantur, quod iterum
iterumque in individuis numerosis speciei per Japo-
uiam borealem frequentis atque valde luxuriantis per-
scrutatis observavi. Valde tamen incertus maneo, an
ob solum caudiculae defectum planta haec dignitatis
genericae digna declaranda sit.
Ad PL ophryodem F. Schmidt, Fl. Sachal. n. 432
(errore calami oplirydioides) pertinet PL Reinii Fr. Sav.
Enum. II, 32, 513.
PL hologlottidi Maxim, adde syn. Habenaria neuro-
petala Miq.! Prol. 139.
Microscor&um.
Allii sectio nova.
Perigonium breviter infundibuliforme pedicello apice
dilatato disciformi insidens, tenere membranaceum
6-phyllum, phyllis erectis 1-nerviis obtusis interioribus
\
gustioribus subminoribus. Stamina 6,
quoi
3
da ananthera saepeque
basi adnata anguste subulata
deficientia
fil
par
v. duplo breviora, antherae dorso affixae introrsae
Ovarium lata basi impositum
phylla interiora peri
pectan
tibus biovulatis. Stylus trisulcus in stigmata 3 oblon^
circumcirca papillosa arcuatopatentia divisus. Capsul
nosoparenchymatosa, matura seminaque
Herba palma
tario, tunica
fibrillis trans
odore
bulbo pisifor
soli-
ore brunnea parallele fibrosa fibris
item parallelis inter se laxe cori-
nexis, interiore hyalina, caulis parte hypogaea vaginae
hyalinae tubulosae inclusus, foliis 1—2 radicalibus
petiol
to
ibus acuminatis umbellam valde superantibus, bracteis
io<>
des Sciences de Sainf- Petersbotirg.
HO
tot quot flores, hyalinis acutatis flore paulo brevioribus,
floribus 1 v. rarius 2, altero brevissime crasseque
inclusopedicellato, altero si evolutus subsessili.
Allium monanthum.
Mandshuria austroorientalis prope limites Koreae,
ad fl. Sedemi (M. Jankowski, 1883), Yezo interiori:
Sapporo, in umbrosis alluvii secus fl. Toychira intra
ipsum oppidum frequens (Kingo Miyabe, 1884).
Planta mandshurica ceterum simillima a japonica
dififert floribus rarius 2 et staminibus perigonio duplo
brevioribus. — Folia circa 10 cm., scapus 5 — 6 cm.
Spatha 1-nervia 6,5 mm., perigonii phylla 4,5 mm.
longa.
E descriptione plantulae ad vivum factae a cl.
Kingo Miyabe liumanissime communicata sequentia
extraho in sicco haud observanda: Folia semiteretia
pagina superiore leviter sulcata, nervis 5 dorso sub-
prominulis, petiolo tereti. Scapus obtuse triangulus
inferne purpurascens. Pedicellus 1 — 2 mm., crassior
quam apex scapi. Perigonium album extus leviter
roseosuffusum (et in sicco). Filamenta subcomplanata.
I
/
Stylus trigonus semitrifidus.
Aneilema nudiflorum R. Br. Prodr. 271. adn.
Clarke in DC. Monogr. Phan. Ill, 210. Benth. FL
Hongk. 376.
Liukiu (Tashiro! misit Tanaka); China australi:
Formosa, ad Tamsuy (Oldh.! n. 576), Hongkong
(Wright!), Whampoa (Hance!). Distrib. a Ceylonai
ad Himalayam!.
Flagellaria indica L. Cod. 2606. Kth. Enum. Ill,
370. Roxb. Fl. Ind. II, 154.
Bonin-sima (Yatabe! sub nom. jap. Santo). Late
distrib. per tropicos Australiae! Indiae! cum insulis!,
Africae, a Madagascaria! et Mauritio! ad Guineam!
Pistia Stratiotes L. Cod. 6967. a. cuneata Engl,
in DC. Monogr. Phan. II, 634. Zala asiatica Lour.
Fl. Coch. ed. Willd. 492.
Liukiu (Tanaka! flor.), China australi et Cochin-
china (Loureiro), turn in Philippinis (Cuming!): ad
Manilam (Kastalski!), penins. Indiae (Heyne!) et
(aliis varietatibus) in tropicis utriusque orbis.
Scirpus fuirenoides. (Sect. Tr
Tripedal
gracilis viridis, culnio laevi apice acute ceterum obtuse
trigono toto foliato, foliis linearibus longe acuminatis
margine sursum scabris, ex omnibus v. superioribus
axillis pedunculigeris, pedunculis glomerulum tribrac-
teatum plurispicatum subglobosum ferentibus, intlores-
centia terminali e glomerulis 4 — 6 conflata, quorum
exteriores 2 — 3 pedunculati basi bracteis umbellam
duplo superantibus , interiores subsessiles bracteis
umbella multo brevioribus fulti, spicula ovatooblonga
multiflora griseobrunnea , squamis arete imbricatis
oblongolanceolatis mucronatis costa 1 tenui concolore
margine versus apicem mucroneque sursum serrulato-
scabris, caryopsi quam squama triente breviore ellip-
*
soideotrigona vix stipitata apice mucrone cylindrico
duplo breviore superata laevi, stamine 1, setis hypo-
gynis 6 apice incrassato sursum scabris ceterum lae-
vibus complicatis, vi explicatis caryopsin triplo exce-
dentibus.
Nippon: Yokohama, fine Septembris frf. (ipse),
Shichinobe, medio Augusto flor. (Yatabe!, japonice
Matsuzaka susuki).
Ex affinitate S.Eriophori Michx., 8. lineati Michx.
et 8. polyphylli Vahl, sed jam inflorescentia abunde
di versus.
Culmus 3 mm. crassus, folia 3 — 3,5 mm. lata,
spicula fructifera 6 mm., squama 3 mm., caryopsis
2,1 mm. longa.
Scirpus concolor.
Tricliophw
Rhizomate
pedali et ultra obtuse
foliis
late linea-
ad
subtus
crasso obliquo, cu
fere usque ad apic
rib us longe acumi:
sursum dense se:
umbella ampla composita diffusa breviore, radiis valde
inaequalibus compressotrigonis sursum scabris umbel-
rulatoscabris , involucro triphyllo
lulas consimiles minores item
involucellis acuminatooblon
5
positas ferentibus,
iratis, spiculis per
1
gatis oblongis multifloris, squamis dense
imbricatis glabris profunde brunneis cum costa tenui
vix pallidiore acuminatoovatis vix mucronatis caryopsin
trigonam estipitatam mucrone cylindrico duplo breviore
instructam laevem ochroleucam parum superantibus,
2, setis hypogynis complicatis apice in-
i scabris vi extensis caryopsi plus triplo
staminibus
longioribus.
e>
Japonia (hb. Lugd. Bat. sub. Sic. Eriophoro ad-
mijtus, Tanaka! sub nom. jap. Abura gaya): circa
Yokohama, Augusto fl., Septembri frf. (ipse).
Ill
Bulletin de PAcad^mie Imporialo
US
Habet sese ad
simillimum S. Uneatum Michx., ut I subtrigono superne scaberulo 5 — 7-phyllo, foliis rigi-
8. Wichurai Bocklr. ad S. EriopJiorum Michx. Setis duloherbaceis lanceolatolinearibus acuminatis margine
liypogynis apice scabris accedit ad S. polyphyll
antrorsum scabris planis excepto ipsissimo apice tri-
Val
carj
ubi tamen spiculae parvae globosoovoideae et quetro, anthelae radiis pluribus scabris valde inaequa-
is brevissime mucronata squaraam aequans. libus apice v. a medio 1 — 4-stachyis, spicis numerosis
S. lineatus Mx. differt squamis aureofuscis
viridiatris parvis plurifloris sub anthesi ovoideis postea
viridi, caryopsi aequiuiagna quidem sed squama recurvis, bracteis radios subaequantibus, squamis ovato-
oblongis obtusis tenere membranaceis planiusculis apice
laevibus vi I facillime laceratis, setis liypogynis 6 simplicibus a
plicatis caryopsin duplo superantibus. Setas in liisce medio ad apicem sursum scaberulis stylum elongatum
sua fere duplo breviore, stipitata brevius
staminibus 3, setis hypogynis tenuissimis
omnibus non numerosas, sed semper 6 video
3-stigmaticum aequantibus, staminibus 3 antheris
complicatas ut tantum earum apices erecti caryopsin linearibus.
circumdent parumque superent, bases vero angulo Nippon borealis prov. Nambu, in alpinis (Tscho-
acutissimo iteratim infractae fasciculos setarum paral- no ski, flor.)
lelarum simulent et facile pro setis numerosis haberi Habitus E. latifolii Hoppe, sed radii compositi
possint.
Culmus pennam anserinam crassus vel tenuior.
Folia
e>
9 mm. lata, sed adsunt usque 18
lata, spicula fructifera 6 mm., squamae 2 mm. longae.
S. Wichurai Bocklr. in Linnaea XXXVI, 729.
8. Eriophorum var . nipponica Franch. Savat. En. II,
545. a S. Eriophoro Mx. revera simillimo optime
tamen distinguendus non solum setis hypogynis apice
crassiore sursum scabris fuscescentibus et squamis
ovatis v. superioribus in quavis spicula lanceolatis (nee
obovatis) utribusque acutatis, ut habet Franchet, sed
praesertim caryopsi (1,25 mm.) squama sua (1,5
2 mm.) parum breviore (neque minuta, 0,75 mm.,
squama sua, 2 mm., plus duplo breviore). Setae hypo-
gynae S. Wichurai, si explicabis, caryopsin triplo,
in 8. Eriophoro autem sextuplo superant. Stamina
S. Wichurai 1 — 2, filamentis caryopsin cum rostro
aequantibus, in 8. Eriophoro Mx. stamen 1 post an-
thesin cito caducum, in fructu videtur deficiens.
Nippon media (Tschonoski!, Tanaka! sub nom.
jap. Ai baso): Yokoska (Savatier!), Mandshuria: sinu
Possjet ad limitem Koreae, locis udis pratorum per-
frequens, med. Aug. frf. (ipse). Vidi praeterea e
Benyalia orientali (Griffith! n. 6266 frf.), Khasia
(Scirpus n. 4. Hook. f. et Thorns., nond. flor.).
Si genus Eleocharis servatur nomen Bockeleri
adoptandum et Scirpus hakonensis Fr. Sav. E. Wichu-
rai appellandus est.
Eriophorum japonicum. Spithamaeum v. pedale rohjis-
tum luteoviride, rhizomate obliquo crasso firmo, culmo
pleiostachyi , setae indivisae E. alpini L.
Folia usque 3 lin. lata. Spica sub anthesi 6 — 1 0 mm.,
squamae 4 mm. longae.
Genus Eriophori lana in fructu elongata mollissima
rectiuscula Candida v. pal.lide rubiginosa, squamis
spicarum laxis elongatis teneris facile caducis tantum
a Scirpi sectione Trichophoro distinctum, ubi setae
complicatae jam sub anthesi elongatae fructu cadente
tantum extrahuntur, ad quem, cum A. Grayo, contra
Linnaeum etBenthamium, duco& Eriophorum Mx.
(Erioph. cyperinum L.).
Gahnia Boninsimae. (Sect. 1. Lampocarya, Benth. in
Bth. Hook. Gen. pi. Ill, 1066). Elata culmo crasso
tereti, foliis culmeis bractealibusque basi in vaginam
latam nigrescentem sensim dilatatis longissimis convo-
lutis scaberrimis inflorescentiam e spicis axillaribus
sessilibus oblongis summis confluentibus atris compo-
sitam valde superantibus, bracteis ex ovata basi cus-
pidatis, spiculis densissime congestis, squamis 5 exte-
rioribus atrofuscis sensim increscentibus parum inae-
qualibus e lanceolata basi valide (interioribus laminae
aeque longe) aristatis, 3 intimis % brevioribus fusco-
atris: 2 cuspidatis tertia mutica caryopsin superante;
staminibus 4 ad medium planis parce ciliatis dein fili-
formibus flexuosis stylo aequilongis, stylo elongato
squamam pi. duplo superante basi hispido breviter
2-stigmatico, caryopsi fusca lucida obsolete celluloso-
reticulata late elliptica v. elliptico-globosa lineis 4
pallidioribus quasi subtetraquetra styli basi breve
apiculata.
113
des Sciences* de Saint - Pelersbourg.
Ill
Bonin-sima (Mortens! specc. 2 vetusta fruct. I quae taraen rhizomate squamis continuis vestito, tota
delapso, Yatabe! fructif.).
longitudine culraos solitarios emittente, spica feminea
Huic similliraa est G. congesta Bocklr. in Linnaea, 10 — 20-flora, utriculo glaberrimo sub anthesi lineari,
XXXVIII, 352 (Lampocarya cong. Schrad. ined.), ex nucula juvenili oblonga (nee ut in nostra subglobosai
insulis Sandvicensibus (Chamisso! flor.): Oahu (Esch- satis nimisque differt, quam ob causam florentera de-
scholtz! fl. in hb. C. A. Meyeri nunc Acad. Petrop., scribere ausus sum. Nomen dedi ob stipitera elongatum
fructif. in hb. Ledebouri, nunc horti Petrop.), quae quo quidque exemplum collectum quasi grallis susten-
tamen differt squamis exterioribus 6 e basi ovata ari- turn est. Prima species dioica hucusque in Japonia
statis internis brevioribus, 3 intimis parura brevio- detecta!
ribus rotundatoobtusis, caryopsi (hucusque indescripta) Fasciculi innovantes 2 — 3-pollicares, culmo vulgo
squamis inclusa paulo breviore fusca lucida laevissima paulo breviores. Squamae florum $ 4 mm., $ 6,25 mm.
«
styli basi elongata glabra apiculata, stigmatibus fide
Bockeler 4; caryopsis sine apiculo 5 — 6 mm.
Carex rhizopoda. (Sect. 1. B. b., Bocklr. 1. c. 31).
Culmus pennam anseris tenuiorem crassus, quoad Virens 1 — iy2-pedalis caespitosa, rhizomate repente
basin ignotus. Folia 3y2pedem longa, vagina vi expla- horizontali elongato flexuoso squamis striatis oblongis
nata ad 9 lin. lata. Spicae compositae axillares 3 cm., attenuatis haud contiguis nodoso fibrasque radicales
spiculae 8 mm. longae. Squamae coriaceae, externae crebras undique edente atquee quovis nodo culmigero,
8,5 — 9 mm., internae 7 mm., caryopsis 5,5 mm. longa. culmis basi vaginis 2 — 3 aphyllis sequentibus lamini-
Adnot. Galinia Wichurai Bocklr. 1. c. 348, cujus
patria autori ignota, eodem statu ac descriptioni op-
time conveniens praesto est e Singapur (Dr. Augusti-
nowicz!).
Carex grallatoria. (Sect. 1. A. &., Bocklr. in Linnaea
XXXIX, 15). Rhizomate descendente filiformi sub-
nudo ad intervalla pollicaria usque sesquipollicaria
caespites densos foliorum ferente, quorum inferiores
emortui, summi 1 — 2 floriferi, fasciculis foliorum
quovis caespite numerosis arcuatoascendentibus basi
vaginis aphyllis fuscescentibus pluribus vestitis, foliis
angustissime linearibus planis strictiusculis margine
scabris, postea elongandis flaccidis; culmis sub anthesi
2 — 3-pollicaribus subtrigonis scaberulis v. laevibus,
spica laxa mascula subocto-, feminea circiter quinque-
flora, priore oblongolineari squamis oblongis obtusis
fuscis cum costa viridi breviore, posteriore sub anthesi
fere filiformi basi interrupta pallida tantum ad api-
cem fuscescente, squamis amplexicaulibus vi expansis
late ovatis inferioribus breve aristatis (arista scabra)
reliquismucronatoacutis, utriculo sub anthesi squamam
dimidiam aequante triquetro elliptico apice scabro sty-
lum superante, stigmatibus 3 plumosovillosis stylo
plus duplo longioribus.
Kiusiu interioris pratis alpinis montium Kundsho-
san, ult. Majo flor. (ipse).
Cum sola G. leiocarpa C. A. Mey. comparanda,
Tome XXXI.
geris tectis, foliis utrinque margineque scabris planis
linearibus v. late linearibus sensim acutissime acumi-
natis culmum triquetrum scabrum florentem superan-
tibus, fructifero paulo brevioribus, spica usque sesqui-
pollicari et fructifera lineari, parte feminea terminalem
masculam2 — 4-lo superante, squamis hyalinis utriculo
erectopatulo duplo brevioribus filaraenta aequantibus,
costa valida pallide virente in feminea brevissirae ex-
currente, in mascula sub apice evanida, utriculo laevi
virente oblongoelliptico brevissime stipitato in rostrum
breve conicum obtusum obsolete bidentatum sensim
attenuato obtuse triangulo circiter 12-nervio nervis
circiter 6 validioribus omnibus fere ad apicem proten-
sis, caryopsi triplo breviore brevissime stipitata api-
culataque acute triquetra globosoelliptica lucida minu-
tissime denseque elevatopunctata, stylo caryopsin
sesqui stigmata 3 brevia vix exserta duplo superante.
Yezo: circa Ono et Konoma in sylvis secus rivulos
locis paludosis non rara, medio Junio fr. nond. maturo;
Kiusiu: ad pedem vulcani Wunzen ad rivulos, medio
Majo eodem statu (ipse).
Var. longior: bipedalis stenophylla intensius vi-
ridis, squamis oblongoovatis manifestius mucronatis
dimidium utriculum superantibu§, utriculo angustius
oblongo paulo longius rostrato, caryopsi nonnihil
majore.
Nippon: prope Tokio, 5 Maji fr. perf. mat. s. nom.
japonico Shiraku suge leg. Yatabe.
8
115
Itiillctiii <le PAcad^mie Imperiale
110
Var. longior, sine rhizomate missa, fortasse
specie sejungenda.
Typum proprium sistere videtur! Spica fructifera
singulam $
var. longioris in i
G sulvaticae Hud
piculam
Species in'quavis statione nonnihil diversa. Rhizoma
quod lectum 12 cm., cum squamis 10
long
brunneum
nuda
squama
passim perspicua tereti, 1,5 mm. crassa. Fol
plantae yezoensis reliquis subflaccidiora
16, XL, 379) Rhizomate brevi obliquo squamis casta-
neis tecto stolonifero , . culmo fertili 3-pedali gracili
triquetro laevi ac fasciculo sterili per bina appositis
basi squamis castaneis superioribus laminigeris vestitis,
foliis linearibus acuminatis carinatis margine reflexo
remote scaberulis culrno brevioribus, inflorescentia
brevi e spiculis
pedunculatis multifloris
apic
kiusianae 2 — 3mm.,
nipponxcae
Flores 6
2
15 infimo interdum remoto, reliquis statu fructifero
utriculo suo ad subsequentem ultra dimidium attingen-
tibus. Squamae floris feminei 2,5 mm., masculi 3,5 mm.
longae, var. longioris utriusque sexus 3,5 mm. longae.
Utriculus in typo 5 — 5,5 mm., in var. longiore 6 mm.,
caryopsis in typo 2 mm. straminea obtusius angulata,
in var. longiore 2,25 mm. acute angulata subangustior
d
faciebus in utraque subco
Carex capituliformis Meinsh. in sched. (Sect. 1. B. b.
Bocklr. 1. c). Radice fibrosa caespitem laxiusculum
haud amplum pallide viridem ferente, culmis 6 — 8-
pollicaribus filiformibus trigonis scabris inferne remote
oligophyllis, vaginis pallide fuscescentibus; foliis planis
anguste linearibus acuminatis culmum dimidium aequan-
tibus v. superantibus, spica subglobosa parte mascula
terminali subinconspicua 3 — 4-flora, feminea circiter
10-flora, squamis pallide fuscis ovatis costa pallidiore
in infimis subexcurrente mucronatis in reliquis acutis,
utriculo ovato triquetro in rostrum breve subbidenta-
tum attenuato subtiliter nervoso flavoviridi squamam
subdupio superante et ea latiore.
Nippon: alpeNikko (Tsc bono ski), Mandshuria: ad
Usuri superiorem inter ejus affluentes Ssitucha et
Daubicha ac secus illos locis paludosis sylvarum fron-
dosarum cum C. uda frequens (ipse).
Similis G. nanae Boo tt, quae primo obtutu cognos-
citur spicae parte <5 lineari pluri0ora femineam supe-
rante v. aequante v. rarius breviore, squamis obtusis
utriculo breviore firmiore vix obscurioribus. Dimen-
siones utriusque speciei fere eaedem, sed utriculi in
nostra paulo graciliores et longiores.
Carex scita. {Sect. II B. A. a. Bocklr. 1. c. XXXIX,
$ oblongolineari utrinqueattenuataerecta, reliquis
e masculis, superioribus 2 approximatis breve
pedunculatis erectiusculis, inferioribus distantibus pe-
dunculos teretiusculos laeves superantibus nutantibus,
fructiferis oblongoellipticis v. oblongolanceolatis pol-
licaribus v. brevioribus, bracteis foliaceis non vagi-
nantibus, infima culmum superante, sequente
fere
sequente subae
piculam quartaque pedunculum subsu
aceis. sauamis (infimis vacuis) lanceo
*
latolinearibus atris utriculo brevioribus et angusti
bus
viridi
in aristam scabram utriculo
et in inferioribus squama longiorem abeunte, utriculis
erectis triquetris membranaceisviridibus secus angulos
superne atrodenticulatis quavis facie tenue 2 — 3-nerviis
oblongolinearibus ore parvo quasi immerso brevissime
bidentatis, stigmatibus 3 (2) late villosis stylum in-
clusum parum excedentibus, caryopsi in medio utriculo
laxe nidulante in stipitem styluraque sesquibreviores
sensim attenuata lanceolatoelliptica acute triquetra
laevi straminea faciebus convexiusculis.
Nippon media, ad rivulos, verosimiliter in montibus
Hakone (Tschonoski frf.).
In serie mere artificiali androgynarum prope G. sci~
tulam Boott (111. IV, 177, t. 600., Bcklr. 1. c. XL,
384.) ponenda, sed ab omnibus hisce jam culmis basi
squamatis abhorrens. Quo ultimo signo et gracilitate
appropinquat speciebus distigmaticis C. cryptocarpae
C. A. Mey. et G. Middendorffii F. Schmidt, signis
numerosis tamen adhuc diversis. G. fusrescens Bocklr.
in Engl. Bot. Jahrb.V, 517. ex Japonhie alpeNikko,
a me non visa, ex eadem cum nunc nominatis affinitate
videtur et a nostra pariter utriculi squamaeque forma
distat.
Culmus 1 mm. crassus. Folia 2,5 — 3,5 mm. lata.
Spicula $ 18 — 25 mm. Ionga, 2,5 — 4 mm. crassa,
$ 15 — 25 mm. longae, 5 — 7 mm. crassae, parte mas-
cula bene v. parum perspicua. Squamae 4 — 6 mm.,
0,5—
2 mm.
1 mm. latae. Utriculus 4 : 1 mm., caryopsis
117
des Sciences de Saint -Petcrsbours.
US
Carex plocamostyla. (Sect. Ill Bocklr. 1. c.) Rhizo- I culmo dimidio longioribus; spiculis 3 — 4 distantibus:
mate brevi obliquo stolonifero squamis vetustis brun-
neis vestito fibris radicalibus villosis paucis, culmo fer-
tili acute triquetro scabro fasciculoque sterili per paria
congestis bi-tripedalibus basi squamis purpureis antice
cinnamomeis infimis aphyllis vestitis, foliis planis dorso
1- ventre 2-costatis margine serrulatoscabris ligula
oblonga fusca adnata, heteromorphis: fasciculorum
sterilium culmum superantibus linearibus longe atte-
nuatis, culmeis lanceolatolinearibus subito cuspidatis
, inferiore dispositis, inflorescentia brevi e spiculis
3 — 5 distantibus spicula longius graciliter peduncu-
latis, summis 1
—2 masculis erectis linearioblongis
ex cinereo fuscescentibus, $ multifloris nutantibus diu
post anthesin stylis stigmatibusque flexuosis circumdatis
eorumque ope ambitu late ovalibus, bracteis foliaceis
evaginatis, infimis foliaceis culmo brevioribus, summa
subulata basi dilatata colorata $ fulciente, squamis
linearibus 1-nerviis in aristam laevem triente brevio-
rem subconcolorem sensim desinentibus utriculo pa-
tente strigosohispido membranaceo ex lanceolata basi
sensim in rostrum tenue bifidum ipso longius attenuato
longioribus, stylo longe exserto basi geniculata aequali
stigmata 2 villosa subsuperante , caryopsi elliptica
laevi opaca biconvexa.
Nippon, cum praecedente legit pauca specc.Tscho-
noski.
Locus ubi inserenda insystemateBoeckeleri vacat,
affinitas satis obscura. Solae C. longirostri Torr.,
Boott, 111. I, 30, t. 78. videtur apte comparanda, sed
haec jam culmo basi esquamato, foliis non heteromor-
phis, spiculis laxis, squamae et utriculi breviorum
forma et stigmatibus 3 differt, sed stylus basi pariter
geniculatus.
Folia fasciculi sterilis ultrapedalia, 2,5 — 3 mm. lata,
culmea superiora longiora 13 cm.
lata. Pedunculi infimi spiculas 2-lo superantes arcuati
tenuiores quam ille spiculae masculae, qui stricte erec-
tus et spicula sua duplo longior. Squamae 8 mm.,
utriculi 6 — 7 mm. lonsi. 1 mm. lati.
long
4
5 mm.
Meinsh. (Sect. Ill, B.b. Bockl
Laxe caespitosa, culmis flaccidis superne acute trique-
tris laevibus (1 — 1 l/2-pedalibus) inferne foliatis basi
vaginis squamiformibus fuscis sensim majoribus obsitis,
foliis late linearibus planis flaccidis lutescentiviridibus
terminali mascula linearioblonga basi attenuata pedi-
cellata erecta, reliquis inter se remotis femineis ovatis
v. oblongis laxe 3 — 4-floris tenuissime longe peduncu-
latis nutantibus v. pendulis, bracteis foliaceis spiculam
superantibus longe vaginantibus, utriculo stramineo
glabro compresse triquetro anguste ovato apice sensim
attenuato subrecurvo longirostri obsolete nervoso ore
hyalino oblique truncato squamam ovatam acuminatam
margine fulvidam dorso medio viridem 3 -nerviara duplo
superante.
Mandshuria austroorientalis : ad Usuri superiorem
et ejus affluentem Li-Fudin, in sylvis ad rivulos, fine
Maji 1860 cum fr. fere mat. (Maxim.).
G. flectens Boott 111. t. 581., huic subsimilis, pe-
dunculis brevioribus, spiculis plurifloris, forma squa-
marum cet. diversa. G. cruenta Nees, ut apud Boott
111. II, 75, t. 201. descripta et delineata, quoad habi-
tum propior, sed spiculae multiflorae atque squamae
cum utriculis diversissimae. Ex descriptione planta
nostra simiiis videretur G. filipedi Franch. Savat.
(Meinshausen mss.).
Rhizoma breve obliquum stoloniferum, usque 2 mm.
crassum, fibris radicalibus numerosis. Culmi ab autore
triquetri dicti mihi potius ancipites videntur, facie una
tamen medio acute costata. Affinitas cum C. filipede
Fr. Sav., a me non visa, ex descriptione proxima,
differt tamen G. filipes foliis 2 — 4 (neque 4 — 8) mm.
latis, spica S breve pedunculata parum conspicua 10
12 mm. longa (in nostra 15 mm., pedunculum aequans
v. eo duplo brevior), spicula £ superiore breve pedun-
culata (in nostra pedunculum aequante), inferiore sub-
nutante (in nostra omnibus nutantibus v. pendulis),
squama utriculo triente (nee plus duplo) breviore,
utriculo 4 mm. (nee 6 — 7 mm.) obovato (nee anguste
oblanceolato) in quavis facie 3 — 5- (nee 5 — 7-) ner-
Caryopsis in C. oligostachya 3 mm. longa. fere
2 mm. lata, acute triquetra, ceterum ut in C. filipede
vio.
descripta.
Carex bostrychostigma. (Sect. Ill, B. b. Bocklr.).
Rhizomate crasso brevi obliquo stolonifero dense fibris
radicalibus obsesso, culmis spithamaeis v. pedalibus
acute triquetris laevibus remotiuscule foliatis, foliis
planis pallide viridibus supra totis scaberulis , subtus
ad nervos margineque scabris linearibus longe subu-
119
Bulletin de l'Acaclemie Imoeriale
120
latoacuminatis; inflorescentia elongata rhachi scabra
e spiculis 6
71axifloris rufescentiviridibus : terminali
mascula solitaria breviore linearicylindrica utrinque
attenuata magis densiflora, reliquis femineis linearibus
laxis, omnibus erectis, inferioribus breviter exserte
pedunculatis, bracteis foliaceis basi longe vaginantibus
infima anguste lineari spiculam superante sequentibus
setaceis paulatim spicula brevioribus summa squami-
formi evaginata, stylo incluso quam stigmata 3 utri-
culum duplo superantia quintuplo breviore, utriculo
membranaceo triquetro quavis facie subtrinervi pallide
viresceute laevi linearilanceolato in rostrum triente
brevius cylindricum basi purpurascens apice hyalinum
bifidum v bipartitum attenuato squamam oblongam
apice hyalino sublacero leviter attenuatam costa lata
albovirescente faciebus pallide fuscis parum superante,
caryopsi linearioblonga subobtuse triquetra opaca laevi
basi brevissime substipitata apice styli basi cylindrica
apiculata ochracea faciebus concaviusculis.
Mandshuria austroorientalis: in viciniis aestuarii
Olgae secus flunien Cruiser in sylvaticis herbosis hu-
midis, fine Junii 1860 fr. fere mat.; Kiusiu: alpe
Aso-san (ipse).
Ex affinitate G sylvaticae Huds., statura humili
spicis erectis contiguis usque ad fructus maturitatem
stigmatibus flexuosis ferrugineis circumdatis (unde et
nomen) facile cognoscenda.
Rhizoma 3 — 4 mm. crassum. Folia in planta japo-
nica 2 — 4 mm., in mandshurica 3 — 5 mm. lata. Va-
gina foliorum extus truncata, intus ligula oblonga ad
marginem annuliformem libera. Spicula $ 15 — 25 mm.
saepe sessilis v. summae $ approximata, rarissime basi
floribus $ 2 v. 3 aucta, spiculae 2 8 — 20-florae,
15 — 30 mm. longae. Utriculus 7 — 8 mm. longus,
parum latior quam 1 mm. Caryopsis 4 mm. longa,
0,75 mm. lata.
plexicaulibus
rostrum
subulatum erectum sensim attenuato, rostri bifidi
dentibus longis
patentibus, squamis subulatis
fructus
longius nervo medio valido aristatis quam
brevioribus. C. Pseudocyperus (3. brachystachyus R
et Maack. Fl. Ussur. n. 555, t. XII, tig. 13—17.
?
i
Carex capricornis Meinsh. Radice valde fibrosa, cul-
mis pedalibus erectis triquetris ad angulos scabrius-
culis sparsim foliatis: foliis longe vaginantibus e lata
basi sensim longe acuminatis planis nervosostriatis
margine reflexis; inflorescentia brevi conferta e spiculis
circa 4 brevipedunculatis , terminali mascula oblongo
cylindrica fulvida, reliquis femineis late oblongis, om-
nibus erectopatulis ; bracteis foliaceis spiculas 4 — 6-lo
saperantibus basi auriculata brevissime vaginatoam-
Mandshm
ad litus borealiorien
tale lacus Hanka (Maack! frf.), in stagno quodam
prope Nikolskoye ad fl. Suifun (Goldenstadt! fr.
immat.).
G Pseudocypero L. proxima, sed humilior tenuior,
spiculis brevibus dentibus arcuatodivergentibus utri-
culorum tarn dense circumdatis quod aspectus pecu-
liaris atque color cinerascens efficiatur, utriculi angus-
tiores et densiores quam in G. Pseudocypero L.
Meinsh. mss.
Ex mea opinione valde affinis G. comosae Boott,
111. I, 14, t. 38, quoad rostri structuram fere identicae.
Sed G. comosa Boott sistit quasi formam robustiorem
G. Pseudocyperi h . , a qua, secundum A. Gray Man.
ed. 5. p. 597 et fide specc. numerosorum e variis locis
quae ante oculos habeo, distinguitur praesertim rostri
dentibus recurvo- patentibus longioribus et spiculis
fructiferis crassioribus majoribus. Ab ipso Boott postea
(111. IV, 140), censetur G. Pseudocyperi L. var. comosa.
Quum equidem in bb. Mertensiano specc. 2 humi-
liora brevius spiculata atque inflorescentia congesta
donata G. Pseudocyperi invenerim, quorum scbedulae
inscriptum, certe tantum monstrositatem esse, quaeque
*
ad Bielefeld in Germania lecta dicuntur atque rostrum
C. comosae possident, lubenter opinioni Boottianae
assentirem et hanc nostram cum Regelio varietatem
brachystachyam haberem, nisi praesto essent specc.
japonica fructu etiam perfecte maturo donata, quae
rem mutare videntur:
Var. capitata: spiculis ovatis v. globosis sessilibus
v. subsessilibus in capitulum confertis, interdum ad
spiculam 1 globosara parvam reductis, utriculo rostro-
que typicae C. capricornis, statura spithamaea v. pedali.
Nippon: Hakone, ad lacum (Tschonoski).
Ita habemus G. Pseudocyperum : spicis nutantibus
longius pedunculatis distantibus cylindricis, rostri den-
tibus erectopatulis, vulgivagam\ G. conicam Boott,
inflorescentia eadem, spiculis late v. oblongocylindricis,
rostri dentibus recurvo-patentibus, borealiamericanam,
utramque elatam, et G capricornem: bumilem, inflores-
121
des Sciences de Saint- Petcrshourjf.
132
centia conferta v. capitata spiculis erectis saepe subses-
silibus v. sessilibus globosis usque late oblongis, rostro
G. comosae. Adest fortasse adhuc differentia in eo quod
utriculi in duobus prioribus subsexfariam, in nostra
plus quam sexfariam dispositi videntur, sed hoc in vivo
revidendum est.
Poiypodium senanense {Pliymatodes) JRhizomate gracili
horizontali squamis teneris lanceolatis longe filiformi-
cuspidatis denticulatis cinnamomeis, stipite filiformi
erecto opaco iy2-usque fere 3-pollicari, fronde pallide
viridi membranacea 3 — 4-pollicari 3 poll, lata circum-
circa regulariter appresse serrulata glabra concolore,
lobo terrainali lanceolato oblongo obtuse acuminato,
lateralibus minoribus utrinque 2 — 4 spatio lineae unius
rhachin non attingentibus oblomris obtusis rarius acu-
te
D
tis, reticulo subtranslucente venis principalibus indis-
tinctis ante marginem evanidis, areolis inter illas 1
3,
soris 1-seriatis inter venas principales singulis. P. tri-
fidum Fr. Sav. Enura. II, 247, nee Don.
Japonia (Ono in lib. Franchet, Tanaka!): prov.
Senano alpe Kuniaga-take, japonico Miyama uroboshi
(Yatabe! frf.). — Vidi frondes 4.
P. trifidum Don facile distinctum statura, textura
subcoriacea, colore nigrescente, margine vulgo integro
rarius tantura hinc inde atque irregulariter serrulato,
lobis omnibus acuminatis linearioblongis, venis princi-
setzung der friiheren Abhandlung. Ich habe alles im
« Codex Comanicus» befindliche Sprach material ge-
ordnet und mit dem von mir in Turkischcn Textcn an-
gewandten llussischen Alphabete transscribirt. Bei je-
dem Worte sind alle Formen verzeiclinet, in dencn es
im Codex auftritt mit genauer Angabe der Stellen, wo
jede Form sich findet und in der Schreibweise, wie
der Codex sie bietet. Ausserdem habe ich bei jedem
Worte die verwandten "Wdrter anderer Turkdialecte
beigefiigt, so dass der Leser im Stande ist, selbst
seine Schlusse OberdieVerwandtschaft desKomanischen
mit den iibrigen Turkdialecten zu machen. Am Ende
des Worterbuches gebe ich alle diejenigen "Worter an,
die ich nicht zu erklaren vermag. Zuletzt folgt eine
Transcription der im Codex befindlichen Komanischen
Texte mit gegeniiberstehender Schreibweise des Codex
und mit wortgetreuer Ubersetzung. Ich habe an den
Tex ten
• •
nur wenige Anderungen
vorgenommen und
* *
diese Anderungen iiberall hcrvorgehoben.
Die Herausgabe des Sprachmaterials des « Codex
Comanicus» hat den Zweck , dieses Sprach material
dem Forscher zug&nglich zu machen. Dies ist beson-
ders deshalb noting, weil der Codex in der Form, wie
er uns vorliegt, wenig Nutzen bringen kanu. Wir konnen
dies am deutlichsten aus den Anmerkungen des Grafen
Kuun ersehen, die voll von Versehen sind. Zum Ver-
stiindniss des Codex ist eine Bekanntschaft mit den
palibus usque ad margiuem protensis distinctis, squa- Tflrkdialecten n0thig; die den meisten Turcologen ab.
mis rhizomatis crassioribus ex ovata basi subito cuspi-
geht. Ausserdem war es nothig, die Materialien des
datoacutuinatis parcius deuticulatis, stipite lucido fir- Co(Jex durch ^ ^^ m ^ d_ h_ die n yer.
miore crassiore.
Bericht Liber die Ausgabe des Sprachmaterials des
Codex Comanicus. Von W. Radloff. (Lb le 25 fe-
vrier 1886.)
Sch on
Jahre 1884 habe ich in den «3annci
AKaAeMin HayK^» eine Abhandlung iiber die lautlichen
Erscheinungen des Komanischen Dialectes verdffent-
licht. In diesem Aufsatze habe ich einerseits versucht,
aus der Schreibweise des
Grafen K
gegeb
Codex Cumanicus» (Budapest 1880) die
Laute des Komanischen Dialectes zu reconstruiren,
ander
den Laut
©
diesem Dialecte
diejenige Stelle anzuweisen, die er unter den ver-
wandten Turkdialecten einnimmt. Die Arbeit, die ich
ietzt der Klasse vorzulegen dieEhre habe, ist eineFort-
schiedenen Stellen vorkommenden gleichen "Worter
neben einander zu stellen, was der Herausgeber unter-
lassen hat. In Betreff einzelner "Worter ware es mir
lieb gewesen, den Codex selbst vor Augen zu haben.
Die Zahl dieser Worter ist aber, Dank der trefflichen
Ausgabe des Grafen Kuun, so gering und die Aus-
beute versprache eine so unbedeutende zu werden, dass
ich mich damit begnugen konnte, das Unverstandliche
hier zusammenzustellen und die Untersuchung des-
selben einer spateren Zeit zu uberlassen.
Das jetzt veroffentiichte Sprachmaterial wird aufs.
anschaulichste beweisen, dass ich in meiner ersten
Abhandlung dem Komanischen Dialecte diejenige Stelle
angewiesen habe, die ihm gebuhrt. Er gehort zu der
grossen Turkischen Stamm-Gruppe, die ich die Kyp-
tschakische nennen mochte, die etwa vom 9 — 13 Jahr-
8
123
Bulletin
Petersbours
I»4
hundert in ihrer Hauptmasse die weiten Steppen zwi-
schen dem Altai und dem Schwarzen Meere bewohnte
und deren Nachkommen ein Theil der jetzigen Aba-
kan-Tataren, Barabinzen, Irtisch-Tataren, die Kasan-
Tataren und Kirgisen sind, deren urspriinglich sich
sehr naheliegende Sprachen im Laufe der Zeit sich
getrennt und mit benachbarten Dialecten assimilirt ha-
ben, und jetzt sprachlich zu a,nderen Dialectgruppen
gehoren. Der «Codex Comanicus» bietet uns nun das
alteste Sprachmaterial des Kyptschak-Stammes (im wei-
teren Sinne). Die Feststellung dieses Sprachmaterials
war also von ganz besonderer Wichtigkeit. Nach Voll-
endung dieser Arbeit werde ich raeine ganze Aufmerk-
samkeit den altesten Denkmiilern der ostlichen Staram-
de
Einsicht
gruppe des Tiirkvolkes, der Uigurischen
und Alles zusammenstellen, was uns eine
die Sprache dieser Stammgruppe bietet. Hier
uns reichere Materialien vor: Das Kudatku Bilik. I gen werden. Wir brauchen nur einen Blick in das
che verstehen konnen. Fur den Erforscher der Ge-
schichte der Tiirksprachen konnen leider ausser den
hier genannten altesten Sprachdenkmalern nur noch
wenige andere Schriftdenkmaler von Nutzen sein, da
die meisten Schriften, selbst die alteren, nur den kunst-
lichen Schriftsprachen angehoren, die als solche keinen
sicheren Anhalt fiir das Verstandniss der Sprache
bieten. Die beiden Turkischen Schriftsprachen, das Os-
raanische und das Dshagataische (Osttiirkische), sind
nicht die Vertreter bestimmter Dialectgruppen , son-
dem im Laufe der Zeit entstandene selbststiindige
Kunstsprachen, von denen das letztere auf Grundlage
des Uigurischen, dass erstere auf Grundlage des Seld-
shukischen (im weiteren Sinne) durch Beimengung der
verschiedenartigsten dialectischen Sprachmaterialien
entstanden sind; sie konnen also zur Vergleichung mit
dem Sprachmateriale der Dialecte nicht herbeigezo-
Die Geschichte der Propheten Rubghusi J) ein
gende des Oghus Chan (ein Manuscript das mir ft
L
lichst durch Her
Charles Schefer zur Verfii
gestellt war), das Chinesisch-Uigurische Worterb
Lexicon Pavet de Courteille's, oderVambery's zuthun,
um uns zu iiberzeugen, wie viele fremde ausserhalb des
Sprachraateriales der mittelasiatischen Sprachen
gende Elemente hier aufgenommen sind. Da finden
lie-
und Briefe der Uigurei
schen Museum befinden
Asiati- | Uigurische, Kirgisische, Turkmenische, Aderbedchani-
sche ia selbst Kasanische Worter. Man lese nur ein Buch
Erst nach Beendigung dieser Arbeit werde ich mich wie die Geschichte des Abulghasi und man wird auf
an dieFeststellung des altesten Sprachmaterials der drit-
ten Stamm-Gruppe machen, der siidlichen, die ich die
Seite auf Alt-Uieurische Formen
die
durch die Schriftdenkmaler von den Uiguren auf
wo
Seldshukische nennen mochte, von der uns bis jetzt genommen worden sind. Das bunteste Gemengsel bildet
die von Wickerhauser 2) veroffentlichten Seldshuki- aber die sogenannte Kasanische Schriftsprache ,
schen Verse vorliegen, die sich im Rebab-Name des We- sich in jeder Zeile Dshagataische Formen mit Osma-
ledi Mesnewi (Manuscript der Privat-Bibliothek des | nischen gemengt vorfinden , wahrend das Volk weder
die Einen noch die Anderen kennt. Wir haben also
Kaisers in Wien, geschrieben im Jahre 768) finden, fur
die aber das von Baron V. Rosen beschriebene Manu-
script der Bologner Bibliothek 3) JjjW £jj> vom Jahre
816 gewiss eine sehr wichtige Ausbeute liefern wird.
Erst nach Feststellung dieser Sprachmaterialien
werden wir ein klares Verstandniss von der friiheren
unter so bewandte
Umstanden Nichts gewonnen,
Blau5) oder Korsch
6
behaupten, dass
Dialectgruppirung der
Tiirksprachen gewinnen
und
das Verhaltniss der neueren Dialecte zur alteren Spra-
Kasan 1859.
2) Zeitschrift der Deutschen Morgenlandiscben Gesellschaft.
Band XX, p. 574.
3) Remarques sur les manuscrits orientaux de 3a collection Mar-
siglia a Bologne. Rome 1885, p. 21.
das Komanische dem Dshagataischen nahe stehe, denn
das Dshagataische stellt, wie gesagt, gar keinen be-
stimmten Dialect dar.
4) Ich verweise hier
(statt ^jJL.1), wahi
werden.
5) Uber Volksth
Band XXIX, p. 575.
l5^
o*^
6) Archiv fur Slawiache Philologie Band VIII, p. G44, Anm. 2.
Paro le 15 avril 1886.
T. xxxi, m° 2.
BULLETIN
L'ACADfflU IMPIRIALE
ST.-PlTERSBOURG
TOME XXYI.
(FeuiUes 9—l/219.)
C0ITEIU.
Page.
0. Backlnnd, Kapport sur le niemoire de M. Harzer: Recherches sur un cas special
clu probleme des trois corps , 125 — 138
N. Katanoff, Nouvelle transcription des mots de la langue Koibale notes par Castr6n.
Avec une preface de M. Radloff 138 — 213
0. Chwolson, Recherches photometriques sur la diffusion int6rieure de la lumiere 213—261
Dr. Carl Schmidt, Recherches Hydrologiques XLV— XLVIII 262—283
B. Inichenetsky, Sur la transformation d'une Equation diff^rentielle de l'ordre pair
a la forme d'une Equation isoperim6trique 283 — 292
•
Imprim6 par ordre de TAcadSmie Imperial e des sciences.
Octobre 1886
C. Vess61ofski, Secretaire perpetuel
Imprimerie de TAcadSmie Imperial e des sciences.
(Vass.-Ostr., 9* ligne, Jfc 12.)
BULLETIN
L'ACilDillE IMPERIALE
Dr. Harzer's Untersuchungen liber einen speciellen
Fall des Problems der drei Korper. Bericht an die
Akademie der Wissenschaften, von 0. Backlund.
(Lu le 22 avril 1886.)
Die Abhandlung des Herrn Dr. Harzer, die ich
hiermit die Ehre habe der Akademie vorzulegen, bietet
ein ungewohnlich.es Interesse dar und wird ohne Zweifel
viel dazu beitragen, die von Gylden als nothwendig
erkannte Auffassungsweisc iiber die Bewegung im Son-
nensystem unter den Astronomen zu verbreiten. Indem
Gylden die elliptische Bewegung als eine erste An-
naherung an die wirkliche verwirft, berucksichtigt er
schon bei der ersten Annaherung gewisse Theile der
sogenannten Storungsfunction und ermoglicht in dieser
Weise eine geniiherte Ldsung, die rein periodiscb ist.
Es ist charakteristisch fur die Gylden'sche Theorie,
dass das Auftreten von sekularen Gliedern verhindert
wird. Die Ausdriicke, durch welche nach den bisher
gebrauchlichen Methodcn die Bewegung der Himraels-
kOrpe'r angegeben werden soil, entlialtcn ausser perio-
dischen Reihen auch Potenzreihcn, die nach den Po-
tenzen der Zeit fortschreiten. Da man iiber die Cou-
vergenz dieser Reihen nichts weiss, so konnen diese
Methoden, die wesentlich nicht anderes als Interpola-
tionsformeln liefern , nur fur einen beschrankten Zeit-
raum eine Anschauung iiber die Natur der Bewegung
erlauben. Kann man dagegen die Coordinaten des Pla-
fTO-
neten durch rein periodische Reihen angeben, so ge
winnt man — selbst wenn man die unbedingte Conver-
genz dieser Reihen nicht strengc nachweisen kann
dock Ubersicht iiber die Bewegung fur Zeitriiume,
die bedeutend grosser sind. Wahrend bei der Ellipse
als primare Balm die Storungen Grossen erreichen,
die mit den Coordinaten selbst vergleichbar sind, so
kommt es nach Gylden's Principien darauf an, in
erster Naherung die Formeln fiir die Bewegung derart
aufzustellen , dass die Ausdriicke fiir die Coordinaten
den Ort des Planeten bis auf Grossen von der Ord-
nung der Masse m des «storenden» Korpers wieder-
Tome XXXI.
f
ST.-PETERSBOIJRG
geben. Ebenso wie bei der rein elliptischen Bewe-
gung sind auch die einzelnen Glieder der Coordinaten
in der nach den Gylden'schen Principien bestimmten
Balm frei von dem Factor m. Gylden nennt sole he
Glieder, die die Masse m als Factor nicht enthalten,
sehr bezeichnend «elementar», und es ist leicht zu
verstehen, dass die Argumente derselben von der
Masse mr nicht unabhangig sein kOnnen.
In (jbereinstimmung mit diesen in aller Kiirze an-
gegebenen Principien der Gylden'schen Theorie, die
in «Undersokningar af theorien for himlakropparnas
rorelser» auseinander gesetzt sind, stellt sich Dr. Har-
zer die Aufgabe, die Bewegung des Planeten Hecuba
zu untersuchen; dabei hat er aberWege eingeschlagen,
die sich mitunter betrachtlich von denen unterscheiden,
welche Gylden in der erwahntcn Arbeit angegeben
hat. Die mittlere Bewegung von Hecuba ist nahe zwei-
mal so gross wie die des Jupiters ; die Moglichkeit eine
brauchbare Theorie fiir diesen Planeten nach den ge-
wohnlichen Methoden aufzustellen, ist in Folge dieses
Umstandes sehr fraglich. Es ist also kein Zufall, dass
Dr. Harzer die Bewe
gung
dieses Planeten zum Ge-
genstand seiner Untersuchungen gemacht hat, viel-
mehr sind das astronomische Interesse und die mathe-
matischen Schwierigkeiten, welche sich an den spe-
ciellen Fall knupfen, wo die Umlaufszeit des «gestorten»
Planeten nahezu das Doppelte von der des «storenden»
betragt, fiir die Wahl entscheidend gewesen. Fiir die-
sen Fall approximativer Commensurabilitat der mitt-
leren Bewegungen kann es nicht genugend sein, nur
die elementaren Glieder zu ermitteln, um eine Bahn zu
erhalten, die sich von der wirklichen nur um Grossen
von der Ordnung der Masse m unterscheidet, denn
durch die Integration werden Glieder erzeugt, welche,
obgleich mit der Masse m multiplicirt, dennoch mit
den elementaren Gliedern in Bezug auf die Grosse
vergleichbar sind. Indem Dr. Harzer sich also die
Aufgabe stellt, fiir Hecuba eine Bahn zu ermitteln,
die mit einer gewissen Annaherung in Bezug auf
die Excentricitiiten und Neigungen sich von der wirk-
9
137
Bulletin de l'Acadeniie Ini|i£riale
12S
lichen niur urn Grossen von der Ordnung der Masse m
unterscheidet, hat er nicht nur die elementaren Glieder ,
d. h. die Glieder von der Form:
Cos
A) a£(cw
4,
bCos
* ■
o)v
»).
wo v die wahre Lange, g eine Constante von der Ord-
nung der Masse m\ a, b, A und B Constanten sind,
zu bestimmen, sondern auch die ahnlichen Glieder:
I X (do
d von der Ordnung
D) *)sc£((l
d)v
*)>
2n'
n
ist. \ und tq enthalten
allerdings den Factor m\ sind jedoch nach dem oben
Gesagten mit a und b vergleicbbar. £ g* H und yj S #
bedeuten langperiodische Funktionen.
Die Art und Weise, wie Dr. Harzer seine Unter-
suchune durchfiihrt, muss als
muss als sehr verdienstvoll be-
zeichnet werden, indem er mit Hiilfe moglichst ein-
facher mathematischer Mittel die Entstehung und Be-
rechnung der Glieder der angegebenen Form in hohem
Grade iibersichtlich und klar darthut. Dass ihm dies
so gut gelingt, ist wohl zu grossem Tlieil der zweck-
massigen Aufstellung der Differentialgleichungen, wel-
clie als Ausgangspunkt dienen, zuzuschreiben. Nach-
dcm Dr. Harzer die bekannten Laplace'schen Diffe-
rentialgleichungen nach Hansen's Vorschriften («Aus-
einandersetzung einer zweckmassigen Methode etc.»)
auf ein bewegliches Coordinatensystem bezogen hat,
leitet er die folgenden Differentialgleichungen der Bc-
wegung ab:
d2?
r
~dv2
dv
dH
dv2
1
v dv
a
r
1
P
(1
12)U
v)
r
fc Yaml (1
Q ft
l
v dv
*)2)U
5
v)
S' — CCosH
1
R
Die Grosse v ist von der Ordnung der Masse m und
wird aus der Differentialgleichung:
dv
dv
2Q
d log (1
I2)
dv
bestimmt. P, Q undi? sind mit den Differentialquotienten
der Storungsfunction folgenderweise verbunden:
t
.2
dQ
dr
P\
r
a (I
&
dQ
t]2) dv
r2
dQ
a (I
r)2) d Cos H
*,
r% bezeichnet die Breite des Planeten iiber Bahn; rX hat
in Bezug auf den «storenden» Planeten dieselbe Bedeu-
tung. i) ist eine Grosse von der Ordnung der Excen-
tricitat; die Bedeutung der iibrigen Grossen ist die
gewohnliche. Ehe der Verfasser nun weiter geht, giebt
er allgemein an, wie die elementaren Glieder abgeson-
dert werden sollen. Zu dem Zwecke setzt er:
a
r
1
Po
1
I2
und
<*2Po
dv2
2
«re.
X,
wonacli zur Bestimmung von £ eine Differentialglei-
chuns von der Form:
to
d2
dv2
F
hervorgeht. Uber die Constante q, die von der Ord-
nung der Masse m ist, wird so verfiigt, dass weder
in der rechten Seite von
noch in der von 3) ein
Glied von der Form Constans mal q0 vorkommt. Die
Function X muss aber so bestimmt werden, dass F
keine Glieder mit den Argumenten (1
g)v
A
(i
<j'V
A" etc., wo a-', g" etc. von der Ordnung
der Massen der grossen Planeten und A\ A' etc.
Constanten sind, enthalt. Demnach ist X selbst
wie sich dies auch naher aus den spateren Unter-
suchungen ergiebt — von der Form :
X
—y.'Cos{(l-G)v-A')-Y."Cos((l-<j")v-A")-...
Die Coefficienten x', x" etc. sind von der Ordnung m.
Durch Integration der Gleichung 2) ergiebt sich dann:
p0=xCos((l
2(;
r-f-cj
2
rCos((l-a>
x
n
2(«
«)(l
mQ0$((\-<j")V-A')-+:..
2
x und T sind die Integrations-Constanten. Setzt man
nun:
t)Cos(tc
x-*-
2(?-c
2
Qos{{\- g')v - A)
>t
2(?-o
")(l-^
//
C0S((1-G>-^")
t\ Sin (k
2(,-0')(l-^) V^ * >
so wird
2(s-o")(l-^')
Sin^l-O^-^)-.-
Po
7) COS ((1 ~$)V
TZ
\
120
des Sciences de Saint - Petersbonrg.
ISO
Die Grosse yj, die nach den angesetzten Formeln
bestimmt werden soil, ist also eine langperiodische
Function. Nachdem fiber q und yj in dieser Weise ver-
fugt ist, beweist der Verfasser den fundamental wich-
tigen Satz, dass F (= der rechten Seite von 3) tiber-
haupt keine elementiire Glieder enthalten kann.
Die Gleichungen 1) dienen jedoch nicbt als unmit-
telbarer Ausgangspunkt fiir die weitereu Untersuchun-
cen. Sie werden durch die Substitutioncn :
a
r
1
P
1
1
*h
c
in die fotoenden transformirt :
d*p
dV*
9
h
3 dv
d«2
9
1 — P
4
1
di)5
3 dp dv
/(1-4-v)
3
d2n
dv'1
1
*\
•i
2 dv 1 — if
dv)2\2
3 \ ~dv)
,„2W
2(1-*,*)
Y{1— iff
(1
p)
C
4
22
9
7(1
,y
i
Cos H R
dv
di>
1
to
1
4
1 ~dv
dv
d»
81 — -»)2 1
di\
1 dt> do
2 1
if dv
<P
4
V\
wozu noch die Differentialgleichung in v hinzuzufii-
gen ist, namlich:
dv
dv
2Q
dV
dv
1-ri
Diese Gleichungcn bilden die
Grundlage
fiir die
weiteren Untersuchungen. Sie unterscheiden sich in
vielen Punkten von denen, welche Gylden in der an-
gefiihrten Arbeit aufgestellt hat. Zunachst ist die Ein-
fiihrung von v fiir den hier in Rede stehenden Fall von
wichtiger Bedeutung, indem man bei den spateren Ent-
wickelungen Vortheile erreicht, die man durch An wen-
dung der Gylden'schen Differentialgleichungen nicht
erreichen wiirde. Dass bei der zuletzt angefflhrten Sub-
stitution von — gerade die biquadratische Wurzel aus
1
+- v als Factor gewahlt ist, hat offenbar zum Zweck,
eine moglichst einfache Form
Gylden fiihrt als unabhangige Variabele eine Grosse
fiir ^ herzustellen.
i
v0 ein, die sich urn eine Grosse x — die «Variation»—
von v unterscheidet und statt t eine Function t
die «reducirte Zeit», Dass Dr. Harzer weder v0 noch t
einfuhrt und v durch weg als unabhangige Variabele
benutzt, ist als ein entschiedener Vorzug anzusehen,
indem unter anderem auch die Ubersicht tiber die
Entwickelungen betrachtlich leichter wird.
Urn nun die Integration der vorstehenden Differen-
tialgleichungen in Angriff nehmen zu konnen, ist es zu-
nachst noting die Storungsfunction zu entwickeln. Dies
geschieht nach der von Gylden in der erwahnten Ar-
beit gegebenen Methode. Ich kann nicht umhin zu be-
merken, dass die von mir in der Abhandlung «Zur
Entwickelung der Storungsfunction », St. Petersburg
1884, auseinandergesetzte Methode hier Vortheile
zu gewahren scheint; nach derselben erhalt man fiir
worauf es bei der Entwickelung der StSrungs-
function gerade ankommt — eine Entwickelung, deren
allgemeines Glied
r
4
v-
<vi
1.2.3...U.2.3..J
W. (1 )
-. m
n-f-2
W.<2)
* US
fH-4
r1}
• • •
X Cost (v-v+Il-Tl') Cosjiv+v'+U-t-lT)
ist. i und j sind ganze Zahlen und n
i
j. Die a(,)
sind for s == 1 und s = 3 in der Abhandlung tabulirt.
Die b sind Polynomen in v, fiir welche Herr Callan-
dreau (Bulletin Astronomique) elegante analytische
Ausdriicke abgeleitet hat. Zur numerischen Berechnung
derselben sind a. a. 0. ebehfalls Tafeln gegeben. Um
die von Dr. Harzer gebrauchte Form:
s^'s'««2v«.'2v'
j?ysyvvcos((i
j) («
n)
3) &
n'))
9*
i
131
Bulletin de l'Acadfrnle Imp^riale
132
zu erhalten, hat man also nur die Substitutionen :
r
a (l
I2)
4
I
9
V\
v;
r
a' {l
rz
ij'«)
4
1
P
Vi
V
auszufuhren. Da es nicht raeine Absicht ist, diese
Transformation hier durchzufuhren, so begniige ich
micli mit dieser Andeutung.
Da v als unabhangige Variabele beibehalten werden
soil, so muss v durch v ausgedriickt werden. Dies ge-
schieht mit Htilfe der Gleichung:
Nach Elimination von t leitet er dann den folgenden
Ausdruck ab:
/
v
\x,v
A
R
2
,?>-•»{(
1
2i$di<fr
4)yo
3^1/
1
2
dv
i
t • •
?)(A
Bo)
5
4(1-0
t
7)/2Sin2(l
i)W
0(A
«0
TC
4p)'CosJ(l
rt ^
*) (A
#
2
7C
'}Jtd.*
*Y%
V(l
2\3
i2)
(i
p)
Der Index x bedeutet, dass die betreffende Function
Wenn man nun wie gewohnlieh &1/5 a^s ^e m^'
nur Glieder von kurzen Perioden und der Index
25
dass
sie nur Glieder langer Perioden enthalt, indem man
lere Bewegung n definirte und die rechte Seite nach mit kurzperiodischen und langperiodischen Gliedern
den Potenzen von p und t\ entwickelte, so wiirde man solche versteht, deren Perioden mit der Umlaufszeit
nach der Integration — indem A die Integrations-Con- 1 vergleichbar resp. viel grosser sind. Zur Abkiirzung
stante bedeutet — erhalten :
ist in dem obigen Ausdruck gesetzt:
nt
A
v
2^dv
3
2
?)*
ft
n
t
[i. ; ]k A
A
/
A;B2
2^[MA
3^j[?
2
5
2
1* ;
Da nun p und
Glieder von der Ordnung die gestrichenen Grossen beziehen sich auf den storen-
der storenden Masse enthalten, so
wiirde die durch den Planeten. Die angeffihrte Relation zwischen v und
das Integral- Zeichen angedeutete Operation ein Glied v> ist mit Rucksicht auf die im Folgenden erzielte An-
der Form Constans mal v erzeugen. Urn diesen naberung genau bis auf Glieder dritter Ordnung in den
von
b
(i
i) tf$
dt^
dv
V(T
2\3
*)2)
(i
p):
Ubelstand zu vermeiden, ersetztDr.Harzer die obige Excentricitfiten. Als charakteristisch fur seine Methode
Gleichung durch: | hebt Dr. Harzer hervor, dass er im Ausdrucke fur
v die Glieder kurzer Periode und von der Ordnung
der Excentricitat aus dem Arguraente der trigono-
metrischen Functionen herausnimmt, wahrend er R0 un-
und bestimmt a so, dass die Constante der Entwicke- 1 ter demZeichenCos.oderSin.stehenlasst; daserstere
lung der rechten Seite gleich der Emheit wird, d. h. geschieht mit demSelben Rechte wie die Storungsfunc-
mit anderen Worten so, dass die von der p, p2, t? etc. | tion nach den Potenzen der Excentricitat entwickelt
herruhrenden Constanten verschwinden. Dass diese
Operation auf eine Function ausgefiihrt ist, deutet er
mit eckigen Klammern an; es bedeutet also z. B. [p]
und a so bestimmt,
Hier nach de-
folgender-
dass p
dass (
p keine Constante
finirt Dr. Harzer die mittlere Beweg
&
maassen :
n
a) ft
m
f
und es ergiebt sich nun
£>
nt
A
v
2 ft?]*
*fW
£*
• «
und ebenso fiir den sturenden Planeten :
n't
\'
v
l\W\dv'
3
f&
'2
I] *?
« %
wird ; 2?2 darf aber desshalb nicht aus den Argumenten
herausgenommen werden, weil es in Folge approxima-
tor Commensurabilitat der mittleren Bewegungen
betrachtliche Grosse erreichen und daher die Conver-
genz der die trigonometrischen Functionen ersetzenden
Reihen sehr schwach werden kann.
Hiermit ist im Wesentlichen der Inhalt des ersten
Kapitels angegeben.
Auf Grundlage der im ersten Kapitel gewonnenen
Entwickelungen wird im zweiten Kapitel die speciel-
lere Untersuchung der elementaren Glieder von der
Form A) und B) und der rait den elementaren Gliedern
vergleichbaren Glieder von der Form G) und D) durch-
gefuhrt und die vorgelegte Aufgabe indgiiltig theore-
tisch gelost.
133
des Sciences de Saint- Pe^ersfoourg.
134
Als Ausgangspunkt dient die erste der Gleichungen
4), die folgenderweise geschrieben wird:
5)
d2p
(1
2
(79
W,
wo q so bestiramt wird, dass W keine Glieder von der
Form Constans mal p enthalt. Es soil nun aus dieser
Gleichung der Ausdruck fur p, insofern es sich um
elementare Glieder vpn den Forraen A) und B) und
um die von den Formen C) und D) handelt, ermittelt
werden.
Da der von Dr. Harzer behandelte specielle Fall
der ist, in welchem die mittlere Bewegung des gestor-
ten Planeten nahe doppelt so gross ist, wie die des
storenden, so ist, indem
n
H und
1
2p.
a
gesetzt wird, 8 eine kleine Grosse.
Zur Erleichterung der folgenden Untersuchung wird
noch die Bezeiclmung
8
<;
2
V
t±
T
2
E
2
gefuhrt. Die Glieder kurzer und
Periode
fordern versehiedene Behandlungsweise; wenn demnach
P
p1 und p3 — der art , dass p
f
9
2
zerlegt
e>
wird, so soil p2 nur Glieder von den Formen B) und D),
p2 aber nur Glieder von den Formen A) und C) ent-
halten. Dr. Harzer leitet aus 5) fur p! den folgenden
Ausdruck ab:
P
y\ Cos (( 1 — q) v-tz
Yo
2(l-€)
Yo
2(1-0
Cos((l-s)f^T)JSin2<|/rft>
Sin((l-;)t>-r)[Cos2^.
Der Strich fiber Sin 2<J> und Cos 2<]> bedeutet, dass
die in der Entwickelung dieser Functionen enthaltenen
Glieder mit Argumenten von der Form A) und ausser-
dem das in Cos 2tj> vorhandene constante Glied weg-
gelassen sind. Zur Bestimmung von p2 giebt er die Dif-
ferentialgleichung
d?2
dv
Y27jSin(2^-*-TC
V*) v)
Y3Y)'Sin[2^
3^
4 dv
mO rW-T] ;
H, y0} 72 und y3 sind von der Ordnung der storenden
Kraft. Die drei letzteren Grossen sind constant, die
erstere aber eine Reihe von Gliedern von der Form A).
ist, <|j zu ermitteln, und hierin liegt die Hauptschwie-
riarkeit. Zu dcm Zwecke wird die Difl'<Tentialj>leichunir
7)
dty
dv*
2^Sin(24.-f- 2^)
X
hergestellt, wo
X
2$. Hi\r{ Sin (•*'
TC
p-cV)
3 dr?
also die erste Zeile in dem Ausdruck fur 2JI.-J* ist und
2(3 §2 2# langperiodisclie Functionen von der Ordnung
der storenden Kraft bedeuten. Die Methode, nach wel-
cher diese Gleichung integrirt wird, ist Herrn Harzer
von Gylden
mitgetheilt.
Indem X als eine kleine
Grosse gegenuber p betrachtet werden kann, wird in
der ersten Annaherung X = 0 gesetzt. Die zu inte-
grirende Gleichung
2£ Sin (24»
o
0
ist also unter der Voraussetzung, dass 2^^2fJ constant
seien, die Differentialgleichung des einfachen Pendels,
dessen Integral
amiyv
F) Mod k
20
oder
Y-«-3'
Sin^
£ Sin (V2?v
Modfc
Y
P
23
J
23
je nachdem — ^ kleiner oder grosser als die Einheit
Y P
ist. v ist fur Yf-t-fi gesetzt und 7 und F sind Inte-
grations - Constanten .
Das erste Integral, das dem Fall des rotirenden
Pendels entspricht, kann bekanntlich folgenderweise
geschrieben werden:
0
TC
2K
(vv
F)
2q
l-*-g
i Sin 2
tc
2K
{vv
F)
9
vergleicht man diesen Ausdruck mit G), so ergiebt sich
TC
2K
V
8
«
2
Wenn
2&
Y
2 > 1 so folgt dagegen aus der zweiten
Integralform , dass
S
s
0
wird, was dem Falle des oscillirenden Pendels ent-
spricht.
Fur Hecuba ist, wenn Jupiter als der storende Korper
betraclitet wird, die letzte Bedingung nicht crfullt und
Hiernach ist ersichtlich dass die nachste Aufgabe die S-+- q obgleich eine kleine Grosse jedenfalls > 0. Weil
135
Bulletin de l'Acadeinle Imperial©
136
diese beiden Falle, 5 -+- g > oder = 0 charakteristisch
fur die Bewegung siud, so wurde, nach Herrn Har-
zer's Auffassung nicht
1— 2u. = S =
0
eine strenge Commensurabilitiit zwischen den mittle-
ren Bewegungen von Jupiter und Hecuba bedeuten,
sondern
1
-2pL
?
8-i-s
0.
Da wie gesagt diese Bedingung bei Hecuba-Jupiter
niclit, zutrifft, so muss die erste Integralform ange-
wandt werden. Urn mit Httlfe derselben das Integral
der vollstandigen Gleichung 6) zu erhalten, mussen
die Grossen F und v als Functionen von v betrachtet
werden und mit Riicksicht auf die Grosse X.und
auf die Variabilitat von (3 und 6 bestimmt werden.
Die Operationen, welche zu dem Zwecke mit grossem
Scharfsinn ausgefiihrt sind, konnen selbstverstandlich
liier nicht wiedergegeben werden, sondern mag es
genugen die fiir Sin 2<|j und Cos 2^ hergestellten defi-
nitiven Ausdrucke anzufiihren. Dieselben sind:
Sin 2 +
2
E
K
\—k
12
ft2
Sin 26
16
Cos 2<j>
2
2
E_
K
1
k2
16
2
q Sin (2 ~ (vt>
2q2Sm(±£M(vv
F)
F)
26
20
23Sin(2^(
2<fSin(4^(
F)
w
F)
v*
Cos 2d
2Cos(2^(vt;
222Sin(42^(v«;
F)
26
F)
26
q* Cos (2 J (v v
2q*CosU~{vv
F)
26
26
26
F) -h 2&\
• •
♦ ♦
V
Die
Bedeutung
von K, E und k' und q ist die ge-
wohnliche ; da k variabel ist (langperiodische Function)
so sind audi diese Grosseiwrariabel. Zur Vervollstan-
digung der angefiihrten Ausdrucke gehort aber noch
die Bestimmung von k. Wir kfinnen uns aber auf das
Referiren dieser Bestimmung hier nicht einlassen,
sondern fuhren sogleich die Endresultate an, die deut-
licli die Beschaffenheit der gesuchten Glieder darthun :
?i
16
8
Const.
(— Y
\2kKj
% \3
7JC0S((1
i)v
7C
a
Yo
(*-*.«)(2h-*-.«)
Cos((l
h)v
2~-M—r
2K
Cos((l
p2
JL. V Yo
2kK) * (on-?)( 1-+-3)
Const.— JF^' Sin (tc
28
?)#-t-4
n
2K
G-T+20
7U
(C — )*.<;) v)dv— |tj2
y2
«+«
16
\2kKJ
qt\
Cos ((3
q)v
2^0
2K
7U
r
Y3 ,e/2^)2WCos((3
9+-V4
7I6
V*') v
2£kg
*'— r).
Form wie tq, und T eine Constante. Fiir t ist der
Ausdruck
nt
A
v
1/ it
v-
2K
G
A
r
2
1 2g
1
-2
22
Sin ((8
J* 2(1
2t]
a4)
Sin
$)*>
2 1> 6'
2X
in 2 Uh
s)v
22ltG
26
1
<;
Sin((l
?)»
7C
32,2mT^o
(«-*-<> (2
a
<)d
»)
Sin((l
8)t>
2~l#
2.K
U{mJ**
(*-HC)(lH-d)(l-fr-2*-is)
3
Sin ((1-4-28
i)v-*-4£cG-r
ir^Sin2((l-«)f-*)
\2&z;
48 J JL \* q Yq
(*-•-«) (2-h*-«)»
*)
Sin ((2
3
«)««-2£0-*
r
2#
r-
Der Ausdruck fttr den Sinus der Breite enthalt
0 ist eine langperiodische Function von derselben [ keine grossen Glieder von der Form C) und i>), die
137
des Sciences de Saint - Petersbourg.
138
Ermittelung desselben ist deshalb wesentlich einfacher
als fur p und t. Aus der dritten der Gleichungen leitet
Herr Harzer den folgenden Ausdruck ab:
?
Sim Sin ((1
t)v
<j
wo t cine Grosse von Ordnung der Massen der grosscn
Planeten ist und Sin i S a langpcriodische Functionen
bedeuten.
Im dritten Kapitel verwerthet Herr Harzer nume-
risch die im zweiten Kapitel erhaltenen Entwicke-
lungen. Die numerischen Resultate sind in vielen Be-
ziehungen interessant und werfen ein vortheilhaftes
Licht auf die Zweckmassigkeit der theoretischen Ent-
wickelungen. Eine Zusammenstellung der aus den Aus-
driicken fiir p, t und <p fiir bestimmte Intervalle be-
rechneten oscillirenden Elemente zeigt die betraclit-
lichen Veranderungen , welchen die Balm der Hecuba
unterworfen ist; dies wird ausserdem durch eine bei-
gefugte Zeichnung veranschaulicht. Die numerischen
Resultate werden aber nicht nur ein interessantes Bei-
spiel der auseinandergesetzten Theorie sein, sie werden
audi praktisch werthvoll sein, indem sie der Berechnung
von Aufsuchungsephemeriden des Planeten zu Grunde
*
gelegt werden konnen, denn diese werden voraussicht-
lich den Ort nicht auf mehr als 4 — 6'fehlerhaft geben.
In der Weise wird man ohne weitere Rechnungen den
Planeten bei seinen kunftigen Oppositionen beobachten
konnen, bis ein so vollstandiges Beobachtungsmaterial
vorliegt, dass eine hinreichend genaue Bestimmung
der Integrations- Constanten erhalten wird, um eine de-
finitive Theorie der Bewegung des Planeten geben zu
konnen.
Obgleich es zu der vorgelegten Aufgabe nicht ge-
hort, die unbedingte Convergenz der nach den in seiner
Abhandlung festgesetzten Principien allgemein folgen-
den Entwickelungen zu untersuchen, so giebt Dr. Har-
zer doch iiber diese wichtige mit der Stabilitat des
Sonnensystems nahe zusammenhangende Frage einige
interessante Andeutungen. Eine sehr bemerkenswerthe
Folgerung der Untersuchungen des Herrn Harzer's
ist die Feststellung der Anzahl der Argumente, die
bei dem Dreikorperproblem auftreten. Es ergiebt sich
namlich, dass diese Argumente sind :
v, pv
j
<JV, <JV, TV, TV
wo p. und v die gewohnliche Bedeutung haben und
a, q\t und t Grosscn von der Ordnung der Massen
der bciden Planeten sind.
Der Bcricht, den ich hiermit ahgestattet habc, kana
natiirlich kcine anderen Anspriichc haben, als cinigt
der wiclitigsten Punkte dieser hochst interessanten Ab-
handlung hervorgelioben zu haben. Andererseits scliien
mir aber die "Wichtigkcit der Abhandlung cine aus-
fiih rlichere Mittlieilung als gewolmlich zu fordern.
Sie giebt uns namlich die ersten nach Gyl den's Prin-
cipien durchgefuhrten Untersuchungen und zwar iiber
eine Frage, deren Losbarkeit nach den gewohnlichen
Methoden zweifelhaft erschcint. Die Untersuchungen
sind aber vollig selbststandig und mit moglichst ein-
fachen mathematischen Hulfsmittcln ausgefuhrt, d. h.
sie sind in erster Linic astronomisch. Alles dies bringt
mir die Uberzeugung bei, dass die Abhandlung des
Herrn Harzer von dauernder Bedeutung fur die Astro-
nomie sein wird.
Castren's Koibalisch-Deutsches Worterverzeichniss
-
und Sprachproben des Koibalischen Dialectes. Neu
transscribirt von N. Katanoff. (Lu le 11 Mars
1886.)
VOEBEMERKUNG.
Der Student der Orientalischen Facultat der hie-
sigen Universitat N. Katanoff, ein geborener Sagaier
aus dem Abakanthale, der seiner Muttersprache voll-
kommen milch tig ist, hat auf meine Veranlassung eine
Umschreibung des Tatarisch-Deutschen Worterver-
zeichnisses und des Heldengesanges , die in Castren's
«Versuch einer Koibalischen Karagassischen Sprach-
lehre» abgedruckt sind , unternommen. Ich hatte Herrn
Katanoff veranlasst, diesen Nachtrag zu Castren's
Sprachlehre zu liefem, da diese Sprachlehre von
vielen Turcologen benutzt worden, und die zahlrci-
chen Irrthiimer und Ungenauigkeiten des Verfassers
und Herausgebers mehrfach zu falschen Scliliissen ge-
ftihrt haben. Da die Arbeit, die mir Katanoff vorge-
stellt hat, ein genaues Verstandniss fiir die Lautver-
haitnisse der eigenen Sprache beweist, so halte ich
sie als eine wichtige Erganzung der oben erwahnten
Sprachlehre und ich bin der Ansicht, dass es wun-
schenswerth ist, dieselbe im Bulletin abzudrucken.
139
ICiillctiii de IMc*ad£mle Imp^rlale
■ to
mich bietet diese Arbeit ein ganz besonderes I selbe
(Einleitung XV, 6) im Worte e6
Fiir
Intcressedadurch, dass sie mir ein Urtheil fiber die
Richtigkeit der von mir vor zwanzig Jahren im Aba- 1 wahnen, dass Katanoff im Inlaute das k und
angenommen werden. Schliesslich will ich. noch er-
kanthale gemachten Aufzeichnungen erlaubt. Im All- 1 schen Vocalen potenzirt spricht und dies durch eine
gemeinen stimmt die Wiedergabe der Laute, die hier Gemination der betreffenden Laute kk und kk aus-
in dcm von mir angewendeten Alphabet geschieht, mit driickt, es findet sich also meine Annahme (Phonetik
der meinigen iiberein, besonders interessant sind aber § 314) ebenfalls bestatigt und es ware diese Gemi-
die wenigen Abweichungen , die eine genauere Laut- nation in alien von mir gemachten Aufzeichnungen
auffassung des seine eigene Muttersprache Schrci- 1 der ostlichen Dialecte einzufuhren.
benden beweisen. So fiilirt Herr Katanoff zum Bei-
spiel ein getrubtcs i (vergleiche meine Phonetik der
Nordlichen Tiirksprachen Leipzig 1882, Einleitung
W. RadloH.
Einleitung.
XIII) in die Stammsilbeu ein, wo ich einfach i ge-
In vorliegender Wiedergabe von Castren's Koiba-
schrieben habe. Ich habe mich nach der Aussprache lisch-DeutschenWwterverzeichnisse und Sprachproben
des Verfassers uberzeugt , dass er hier Recht hat und des Koibalischen Dialectes sind von mir folgende Ver-
dass in dem von ihm gesprochenen Dialecte dieser besserungen vorgenommen :
weitere Fortschritt der Versetzung der Vocalscala 1) Statt bi schreibt oft Castren: e, e, a, y, o und i;
(vergl. Phonetik § 23) schon stattgefunden hat. Ebenso dagegen schreibe ich iiberall bi; z. B. Castren schreibt:
liegt das e der Stammsilbe, das Katanoff spricht , utugarben , ogem, agarex, agarin, agazerben, alyx,
auf der weitesten Grenze zwischen e und i also nach Uokor, titak und tilber
Sie vers zwischen e1 und i2, dass man sich fast ver- oijbiM
ich schreibe: yqygap6
•k), agwpbir, agbipm, agw3ap6biH, ajiwr
>
Katanoff zwei Nuancen ein bi und bi von denen
und
Herr Cast
sucht fuhlt, es durch i wiederzugcben. Fiir w fuhrt | qokbip, ibmak und Hbuiobipa
2) Ich schreibe: a, i, bi
letzteres ein sehr kurzer, dem Schwa mobile ahnlicher I nur e schreibt; z. B. Castren: ailanerben, maltak,
Laut ist. So viel ich bis jetzt ersehen kann, tritt Si kales, testiinarben , togozend-e, ortezende, kerek,
zum grossten Theile 1) neben dem Consonanten p (r) kalesken; dagegen schreibe ich: ai.ianapobiii , Mbi.iTbik,
auf, der dabei mehr Stimmton erhillt, 2) in der zweit- kbuibic, TiCTaHap6iH,TO§bi3biHybi,opTa3bm^a(von opTa),
und drittletzten Silbe der Worter, besonders wenn es j KepiiK, KelacKiH.
3) In den ersten Silben schreibe ich nur e statt des
zwischen zwei a enthaltende Silben zu stehen kommt.
Den von mir angewendeten Vocal bi und I des prae- 1 C
dicativen Pronominal- Affixes der zweiten Person ver-
und
und
e; qelara, KeUiM (von Kel),
wo er tilega, kildem, kalesken
itndert Katanoff stets in a und a und schreibt also und 4ekpen schreibt. Ferner schreibe ich: i, w und <
aji5aii3aij a.u,ibikcai{ ecTap3aq statt a.ngan3biii a.nibikcbiq in den ersten Silben, wo Castren nur e oder e an
ecTap3iii. Tritt dass dem Altaischen h entsprechende wendet, z. B. Castren: eseija, ezererben und esterben
Sagaische c des Auslautes bei der Agglutination in ich aber schreibe: i3aqa, bi3bipap6bin und ecrapdiH.
den Inlaut und kommt zwischen zwei Vocalen zu I 4) In einigen Fallen hat Herr Castren sogarBuch
stehen, so geht es in Katanoff's Mundart stets in h staben ausgelass
B. schreibt
kaza kurt. tir
uber agac Baum aga^w, ic trinken imn, wahrend sonst 4arga, aterben, 4ety, mekeia, burnirben, adne; dagegen
nur ii zwischen zwei Vocalen auftritt. Meine Annahme schreibe ich : ka3ak kyp
der halben Erweichung der tonlosen Consonanten des
Terip iiapwgbi, arrap6
Statt der C
Anlautes in der zusammenhangenden Rede, wenn
das vorhergehende Wort mit einem Vocale oder so- 1 in vielen F
noren Consonanten endigt (Phonetik § 459), findet sich C
6ypyHiup6bin und
k, schreibe
hk oder
i und
so schreibt
istren: buruqa, ktiga, bii4uru und 4urak 4ok; da-
bestatigt, ebenso ist nach Katanoff 's Aussprache f I gegen schreibe ich: oypynga, KyHra, 6yqypo und
ein sonorer Consonant, wie ich ilm in meiner Pho- hrypaK nok.
netik (Einleitung XVIII, 10) geschildert habe, das-
In einigen Fallen setzt Castren das Lang
141
des Sciences de Saiiitf-Petersboiirg
112
zeichen, wo ich es nicht setzte, oder umgekehrt; so
schreibt Castren: tiir, aber ich sclireibe iyp (aus
dera Altaischen lyajp).
ak foubik (Weissfisch), Sclinapel (Salmo Lava-
retus).
agapT (a§apiap6bin) — weissen.
7) Bei Castren wird das lange w durch y, I, e akqa — 1) Kopeke; 2) Geld.
und o ausgedriickt, z. B. syn und sin, Ix und ex,
tenmade; dagegen sclireibe ich: cmii, wk und TbiiuiaAbi
(von Tbm).
8) Statt «f » gebraucht Castren g
siimalyx statt cyaialif .
akcak
lahm.
akca (akcipfibiH) — hinken.
agbic (akcbi) — Mund, Miindung.
und x; z. B.
aga
Grossvater, Oheim.
agbu (agbuap6biH) — tragen, Ziehen, schleppen.
9) Am Anfang der Worter sclireibe ich nur die ton- a5wPwr
krank.
losen Consonanten k, k, n, t, c, h, die halbe Erweichung
agbip (agbipap6biH) — krank sein.
in der zusammenhangenden Rede (siehe Radloff , Pho- a5aPT (agaprap6Me) — weissen; s. ak.
netik § 459), die Castren oft r, 6", a, 3, n zu schreiben | ak (a5aPOMH) — fliessen, rinnen.
agwpiH — langsam.
veranlasst, lasse ich unbezeichnet.
Die mangelhafte und schwankende Vocalbezeichnung I a5ac» a5bim
Castren's haben schon A. Schiefner in dem Vorworte a5wc (a5M3ap6bm) — fliessen lassen, stromabwarts
Baum, Holz, Brett.
zur Koibalisch-Karagassischen Sprachlehre (SeiteXVII,
Zeil. 12— 34 v. ob. und ferner, S. XVIII, Zeil. 1
21), Dr. W. Radloff in seiner «Phonetik der Nord-
aq
fahren; s. ak (agapGbin).
wildes Thier, Wildpret.
ai[Ha (annlpobra) — fangcn, jagen.
lichen Turkspraehen» (Leipzig 1882 und 1883) und ai*AaP (aUAapap6bin) — waken, rollen, umstiirzen.
lm
2. Theile «der Volksliteratur der Turkischen aWa (aWp6biH) — schaucn, sehen.
Stamme Siid-Sibiriens» (St. Petersb. 1868. Seite aJa
XVI— XVIII) hervorgehoben.
ajak
Die Ordnung der Buchstaben im Worterbuche aJac
Castren's habe ich beibehalten ausser in einigen Fallen, aJa faJiP0^111)
Handflache.
Schaale.
heiter, ruhig, still.
bemitleideu.
wo die Veranderung durchaus noting war.
Endlich bemerke ich, dass ich * zu denjenigen
Wortern hinzufiige, welche Castren ausgelassen hat.
Die Worter des Karagassischen , Kottischen und
aji
a.ia
Uluss, Dorf.'
scheckig, bunt.
aji' ai — bunter Monat, da die Erdflecken durch
den Schnee gucken.
ajibiM
Burjatischen Dialectes, die Herr Castren fur den | a^y§a (<*. bunter Ochs*) Barsch.
Vergleich mit den Koibalischen Wortern in seiner
Sprachlehre und in seinem Worterverzeichnisse her-
beizieht, habe ich ganz ausgelassen, da es mir nur
darauf ankam , den Koibalischen Text zu verbessern.
Schuld.
ajbiMHbif — schuldig.
N. Katanoff.
ai
I. Worterverzeichniss.
a.
1) Lilienzwiebel ; 2) Mond, Monat.
ajr (ajiapowH) — nehmen.
ajigan {eig. der Genommene) — Gatte, Gattin.
ajbiH (ajHbi) — Gesicht, Stirn; vorn; Gr. S. 66.*
Bat. aibma, ajHbma — nach vorn.
Loc. a.ibiHAa, ajrabiHAa — vorn, fruher.
Ahl. ajbmaq, ajiebmaij — von vorn.
ajbiH^agbi, a.iHbiBAagbi
vorn befindlich.
aijaH (auaHap6bm) — sich drehen, umkehren.
ajbiH (ajbmap6bm) — dumm sein, von Sinnen kommen.*
aiJiaH^bip (aijiaeAbipapSbm) — wenden, drehen. ajibiCTbip (ajbiCTbipapfibm) — wechseln.
Ama
boses Wesen, das in der Erde wohnt; s. Vor- ajbin
Held.
lesungen fiber die Finnische Mythologie, S. 230. ajibir — dumm.
aiAac
ak
in der That, wirklich.
weiss.
ajibm (ajbiHapobm) — dumm, schlecht sein, von
Sinnen kommen. *
ak KiK (weisses Reh), Rennthier.
a^gai
kleiner Kessel
Tome XXXL
10
143
Bulletin de l'Acadeniie Imperials
144
a .15a n
ajuibir
Gatte, Gattin; s. aji (ajiap6bm).
breit .
•
ajrn.1 — das Untere, unterhalb befindlich.
Bat. ajrrbma
hoc. ajTMHAa
nach unten.
unter.
AM. ajrruHaq — von unten.*
a.iTbi
ajiTbiiiAagbi
sechs.
aJITblHIJbl
ajiTOJia^
ajiTbuiap
unten befindlich.*
der scchste.
alle sechs.
zu sechs.
aju' oh — sechzig.
ajiTbm — Gold; golden.*
a.mH (ajiTanapSbm) — sich auf's Pferd setzen, auf-
sitzen .
ajiTa (ajrripSbm)
ajiAbip (ajiAbipap6bn
vrgl. ajTbi.
aJAwpT (a;iAbipTap6
iiberschreiten
terliegen, unterleg
schaffen
a.uibi
»
ajitfaij
ap
Gast.
Zobel.
Biene, Wesp
ft
tr
ap
ap
Biene
Wespc
ap
schwer; theuer
apjbir
theuer
apa (apa3bi) — Zwischenraum
zwischenhin
- zwischen.
Bat. apa3biHa —
Loc. apa3biHAa —
All. apa3biHaij — zwischenher
apa3biHAa§bi — 5
ischen befindlich/1
Suffix der 3. Person Singular
&
pbik
Koth
apw (apip6bm) — mager
pbik
mager
Insel.
rein.
Branntwein.
apbif
apwf
apaga
apbuak — gemeinsam, allgemein.
apwc — Sommerroggen.
apwcTbif — gewissenlos.
apaM
selten .
apaHnyja (in Marchen), Epithet der Heldenrosse,
trefflich, machtig *
apga — Rlicken.
apgbiJia (apgbLiipobiH) — » reinigen; s. apbif.
apgbic
apgac
apgaMiTbi
apjibif —
Gefahrte.
f aul .
— Pferdeschlinge.
theuer; s. ap.
apjia (apjiipSbm) — bewirthen.
apTbik
apia
apibi
- zuviel.
Brautgabe (Kalym).
Kase; Quark.
ap^biMak — Ranzen; Quersack.*
ap^aT (apAaAapfora) — verderben.
an
Pronominalstamm ; Gram. §54.
am
anna
anAap
das Seinige.
dort, aHHaq — von dort.
dor thin.
aiiAapTbin
aHHaqap -
von dorther.
— dorthinwarts, deshalb.
-solch einer.
soviel.
aT
aT
ax
aH^ar
amja
Pferd.
Name .
a^a (aAlpobm) — nennen.
Taucherhuhn (Anas rutila); vrgl. Pallas Zoogr.
Rosso- Asiat. T. II, p. 242, soil wegen des dem
Wiehern almlichen Geschreics so benannt sein;
eig. also
aT
aT.
aT (aTTap6bm) — schiessen.
ac (aiap6bra) — offnen .
a^bir — bitter, sauer, herb,
aibm (aibmapSbio) — bemitleiden.
aHbiBuan; — barmherzig.*
das a^a — Vater.
aAai
aAbip
Hund; Ti3'aAai
halt! warte!
Hundin.
aAa (aAipSbm) — nennen; s. aT.
ana
ac
ac
ac
Vaterbruder od.Vatersch wester; alterer Bruder.*
Korn, Saat, Brod.
Hermelin.
hungrig.
acTa (acTTpSbm) — hungrig sein.
.
Gerund. acTan
(V
hungri
acTan-qop — essen wollen
ac (a3ap6bm) — sich verirren.
a3bipa (a3bipip6bie) — nahren.
a3bipaH
essen.
*
ackaH (ackaHap6bm)
stottern
ackbip
Hengst.
145
des Sciences de Saint - Pelersbourjj.
146
asak
asbik
a3Lif
a3bip
ackbip TiiKKaK
Fuss.
Vorrath.
Backenzahn.
Halm
Zweig (am Baum, am Pfeil); Gabel.
a3bipa (a3bipip6bm) — ernlihren, verschlingen.
ac (a3ap6bra) — iiberschreitcn, hinubergehen, vortiber-
epTa
friihzeitig.
epTliH
Morgen.
*
epT (epTiipom) — vorbeigehen.
eprrip (epTTipapom) — verzcihen
epGaKai — Schmetterling.
eir
Zeichen.
eima (enuip(5:iu) — zeiclmen.
gehen (in Marchen), a3bipa — iiber ; Gram. § 102. ch (eHapom) — abwarts gehen, schwimmcn.
annap
aniak
a6a
aibin
Greis.
nap (annapapfibm) — fortfuhren.
1) Vater; 2) Bruder, Olieim; 3) Bar.
aoakkai (in Marchen) — Ehrentitel der Frauen.
a6biT (a6biAap6bm) — schaukeln.
a6bic
a6^bipa
Geistlicher.
kleine (bei Castren: grosse) Kistc.
aM
jetzt; auch: aMAbi.*
aM-ok, sogleich.
ruhig; still (vom Wetter).
aMbip
aM3a (aM3ip6bm) — schmecken, kostcn, versuchen.
Wirth.
Schlitten.
leer.
a
aK
aH
aiaic
Ferse.
e
eraK
enp
Feile (auch: erif*).
era (erip6m) — feilen.
schief; krumm.
eraii — Frau des altera Bruders ; Tante*
earn
el
elaAii
Schulter *
Volk, Unterthanen; Gegend, Land
genug.
ela (ellp6m) — sich qualen.
Ger. elan — kaum.
fiinfzig.
elir
eliMniK
Spinne; s. lpiMiiiK.
elra (elripGm) — sieben.
ep
Mann.
ep-»mk
Wittwe.
epm (epmapom) — faullenzen.
epm
epna
epKm
epraK
eprl
epmnaK
Lippe.
zart.
faul .
/
Schwelle.
Daumen*
alt (von Dingen).
*
EpliK KaH — Oberster der Aina's.
eHa
eiuti
emiaK — bergab.
Vaterschwester.
"Wirthin, Alte, Hausfrau.
emia (anna) — soviel.
eT — Fleisch, Leib.
ct (eAiipom) — machen, thun.
caUk
Saum.
eAaKTir toh — Weiberpelz .
ec
Eigenthum .
ec (e3apom) — rudern.
ecm
Ruder (von ec
e3aH — Gluck, Wohlfahrt.
e3aHap —
rudern)
treu, glaubig.
e3aH (e3aflap6m) — glaubig sein.
e3iip
e3iK
Sattel.
e3apla
Thiir.
satteln *
w
e3ipm
betrunken.
e3ap, e3ip
Rede.
eo", en
Jurte.
B. e6ma (e6ra, er6a) — nach Hause, hcim
L. eW — zu Hause.
A. eoAan, — von Hause.
en«n
altere Frau; Hausfrau.*
eGiiK
rasch, leicht.
e5ip (e61pap6m) — umkehren, umwenden
eolpa
um herum.
eM (eMap6m) — saugen.
eiaai
eimiaK
Brustwarze.
Brust (der Frauen).
ec (eerapGm) — horen.
bi.
M3bip (bi3bipap6bm) — beissen .
bik
Saiteninstrument.
bijga (wji§Tp6biH)
heulen.
bip
Lied, Gesang.
bipjia (bipjnp6bm) — singen ; auch :
bipHa (bipmpCbm) .
10*
147
Bulletin de l'Acadeinie lntperlale
148
bipak
LIC
weit, entfernt.
bipakTtm — weither.
wpa (bipipSbm) — sich entfernen.
bipaT (wpaflapobra) — entfernen.*
Rauch.
bLiwpija
Ohrgehange .
bic (bi3ap(5bm) — schicken.
i, i, i.
i
Auerhahn.
iKK&pii
Zwilling
* '
1KK1
zwei.
1KK1HD1
lKKllap
der zweite
beide.
je zwei.
lflji (iHr&) — Nadel.
lira (Ilrlp6iH) — sieben ; s. elra.
II
anhaken, aufhangen.*
line
Haken.
Abend; ip^a — Abends.
Tp (ipapom) — spinnen.
lplMUlK
Spinne.
Rotz, Euter, Faulniss.
ipraK
in
lHilK
IpiqHa (Ipiif Hlp6iH) — faulen .
1) M&nnchen; 2) Daumen:
Thierlager; Grube.
Kuh.
lrriraH
Hagebutte.
inftra — Darm.
Ic (lqapSm) — trinken.
Iqjp (Mpapom) — tranken.
it (ipapom) — stossen, fortstossen
w
iua
IC
Gefass.
so.
131T
Mutter; yjiyr-iua
Spur.
icTa (icTipolH) — aufspiiren.
heiss.
Grossmutter
IcTa (icTip6m) — Schaaffelle bereiten
1CT1
das Innere; Gram. S. 65.
Dot. lCTlHii. hoc. lCTlHAa.
AH. iCTiHaH_.
i3a (e3i) — "Wirthin .
i3aH.it
o -
i3apT
i3iin
Steigbiigel.
Stange (Russ. atepAb)
Tasche.
13a (l3ip6lH)
innaK, rrnaK
I6&K
gahnen
Brod.
rasch, behend.
o.
01
oi
oi
langes Thai, Schlucht.
blaulich, hellblau; af-oi — weissblau.*
leicht.
oijia (oLiip6biH) — laufen (auf den eignen Beinen).
okaT (oijiaAapobra) — laufen lassen.
OJblH
Spiel.
*
oiHa (oiHip6bm) — spielen (von ojbia).
oiMak
— Grube.
oiMakTbif
grubig.
ok
ok
Pfeil, Kugel.
schwach, gering (Vieh, Wald).
ok-TyK
ok-TaK
Daunen.
gering.
ok (ok)
doch, auch {Gram.
111).
okcac, ockac — ahnlich, alswenn.
05a
ogwp
0I{-
ojak
sehr; s. B. oga Tbiij — am starksten.*
Dieb.
ogbipjia (opipjiipSbiH) — stehlen.
recht, rechts.
Bergthal, Schlucht.
ojbiHUbui (von ojlih) — Spieler.
OJI
er, jener.
oji TycTa
dann.
ojiap
oji-ok
sie* (Plur. von oji — er), ojiapm
auch er (bei Cast. nur).
ihr.
oji (aus ogbui) — Sohn, Bursche*; ojigu — sein Sohn.
ojiak
ojigaH
Knabe.
- Kind (allgemein, nicht nur von 3 — 4 Jahren,
opai
opbiH
opgaf-ai
wie Castr. angiebt).
spat am Abend.
Stelle.
Erntemonat.
opTa
Mitte; mit dem Suffix der 3. Pers. Sing.: opTa3bi
Bat. opTa3biHa.
Loc. opTa3WHAa.
All. opTa3bmaij.
opTbm cajia
Mittelfinger
opTbiMak — mittlerer.
V
• •
OH
opTbi Kya
zehn.
OHblHHM
Mittag.
der zehnte.
/
149
des Sciences de Saint -Petersbourg.
i.»o
alle zehn.
OT
OT
oHOJiaii —
oeap — zu zehn.
Feuer.
0T-ka3bi — Feuerstelle.
Gras; Heu.
OT-ai (oA-ajbi) — Heumonat.
OTak, oji&v — Lager (von Heu, Brettern).
orrbik — Feuerstahl.
oiTbik Tac — Feuerstein.
ottmc — dreissig; OTTbrabmubi — der 30-ste.
das jtingste Kind (Sohn od. Knabe).
01 bl
OAwp (oAwpapobm) — sitzen ; leben.
oAbipT (oAbipTapSbin) — setzen.
oc
oc
Handflache; Faust; Espe; Handvoll.
ko3-oc — zwei Hande voll.*
Kuhmilch nach dem Kalben.
alswenn; s. okcac.
ockac
oc (03ap6bm) — sich entfernen
oo*a
06a.11
Kurganstein.
Sunde.
oo"aji Kyaai — bei Gott!*
oiaac
oCajuibir
stumpf.
siindig.
u
01
Stief- .
oi na6a (a#a) — Stiefvater.
6i ma — Stiefmutter.
Waise.
okcoc, oKcyc
OKna
Lunge.
ok (s. wk) — Saiteninstrument.
kurzes "Weiberkleid mit Saunien.
nass, feucht; s. yl.
oIit (oliAapom) — anfeuchten, nass machen.
01 (0lap6m) — sterben; s. yl.
oijAaK
61
olraH
olyr
opaaia
opra (opro
todt; s. ylraH.
om Wasser).
Schmand
oirir
kiihn, tapfer, stolz.
ot (oTTlipGiH) — durchgeben.
oTTip (oTTipapOiH) — durcbstecken.
Ger. OTTipa — durch.
oAapiiK (aucb optUk) — Ente.
oaoc, oAie — Kehle, Gurgel.
Raucb; s. bic.
oc
ody
Knochen des Oberarms.
03yu, 03aH — 1) Kleine Schlucht; Baummark.
Oc (o3ap6iu) — wachsen .
Urgrossvater, Vater des Grossvaters.
das Kriecken.*
Om&k
OMaKTa (oMaKTip6iH) - — krieclien.
y.
yi§y
yk
yjaT
Schlaf.
Strumpf.
Schande.
yjaT (yjaAapdbiH) — sich schiimen.*
yjaT-biCTbir
zur Schande ffereichend.
&
yjaAbi-uok — schamlos.
yj aT^bi ji
schamhaft.
yjia (yjnpobiH) — zielen.
yjy
gross,
yjiyr cok
Kalte. Monatsname
letin histor. phil. T. XIV. Us 12, 13.
langes russes T. III. p. 313.
yjiyf aAa (wortl. grosser Vater) — Fiirst.
yjTyij — Schuhsohle.
yjTypyk — Schuhheu.
Bul-
M6-
yp (ypapCbm)
yH — Mehl.
yHyT (yHyAapS
yT (yTTap6bm)
giessen, streuen, benetzen
vergessen.
gewinnen, erbeuten
(y»y) — Ende
far, wegen ; e. B. aHbiij vhvh — deshalb
Zelt der Helden, Schloss (in Marchen)
op ran
opilH-
Pfahl, Zaunstange.
Monatsname; s. Melang
T. Ill
OH
p. 313.
Innerstes, Mark (E. cepAimBiraa) .
Bat. 5hM — zwischenhin.
All. 6Hmai|
Loc. SHlHAa
yiyn
y^yk (yiygapObm)
yqyp (yqypapGbiH)
tiieg
) abhauen
}
oft
yayp, yApa — entgeg
yAypja
yc, y3bi
begegnen
n: JR. vjk<
(y3ap6bm) — schopfen
zwischenher.
zwischen.*
ycTaH
ycTyf
schwarze Wasserratte
spitz, scharf (von yc).
OH&Ka
ohne Zweifel ; R. oAHaKo.
ycTyr ca.ua
Zeigefing
151
Bulletin de ' 1' Acadeinie Imp^riale
152
y3yH
lang; L&nge.
y3aT(y3aAap6biH) — zusetzen,verlangern(von y3yH)
y3a^a
ywny
langs.
Saughorn.
99
y.
■
yKKycTa (yKK^CTlpSiH) — sich auf etwas werfen.
yry
yrpa
99
Eule.
- Suppe.
yrpaH (yTpamipoliH) — lernen ; yrpar (yrpaAapom)
lehren.
nass, roll, feucht; s. 61.
yl-6m
ich bin nass (bei Castr.: nass sein).
ylla (ylllpfini) — anfeuchten, nass machen.
ylac (yla3ap6iH) — sich theilen.
ylilCTip (yliicTipapom) — theilen.
yl (ylapom) — sterben; s. 51.
Part, ylr&n, olraH
yljfr (ylar) — Theil.
todt.
ylrap
ylry
Plejaden .
Maass. Hackenleder; auch: Gesetz.*
yp (auch : yp)
lange.
ypAa (auch : ypAil)
langst.
99
ypaH
ypaari (auch : y pAari) — langst gewesen .
Same, Saat.
99
ypaHHir
kinderreich.
2L ••
ypan
Messerriicken ; s. cbipT.
yp (ypapora) — 1) flechten, 2) blasen.
rf 99
ypy
Axthammer.
ypKa (auch: opica) — Murmelthier.
Pfahl, Zaunstange; s. opraH.
ypraH
ypraHaK — Fischrogen.
ypT (auch : 6pi) — Rodung ; Feuer.
ypT-Tajiai
Feuermeer.*
yprra (yprripSiH) — brennen; roden.
ypiaK (auch: opTan) — Ente; s. oAapiiK.
99 99-%
yumyl
ff
yT
Haselhuhn.
1) Loch (gebohrtes); 2) Galle.
yTTa (yrnpolH) — bohren, ein Loch machen.
unterhalb; unterer Theil des Pelzes.
yq°jp
yqypa (yqypipom) — walzen.
99
y^ypry
Schweissdecke.
99
yc
drei
y3yHni, yiymiy
der dritte
jfaip (yAipap6iH), auch: oflip (aus ol
Tip)
99
yc
ft
yc
yc
Luchs.
geschmolzenes Fett.
wenig.
rf ..
yiap
alle drei
i drei.
ycKap
W 99
ycTy
taub .
das Obere (Spitze, Oberflache, Quelle); s. Gi
S. 65. 5 *
ycTyHAari
das Obere
99
(y3ap6
abreissen
t9 99
y3yn
Abschnitt
99 99
yayT
die abgestorbenen Geister, die bosen Geister
auch : oMaKTii (yMaKTipom)
kriechen
k(K).
^
kai
was fur ein, Pronominalstamm, Gram.
wo? kaUagbi — wo befindlich.*
wohin ?
woher ?
welch einer.
58
kai^a -
kaiflap
kaiAaq
kai^af
nipap kauaf — irgend welcher.
kaui, kaiiia
kai3M
wie.
welcher.
kaijak — Mo we.
kajbui (kaj biJiap6biH) — schmelzen, zergehen.
kainbi
Scheere; vergl. kbinTbi.
kakia (kaknpSbm) — abschutteln, ausschiitteln (Schnee,
Schmutz).
kaknak
kaknac
Deckel (eines Kessels).
Birken- oder Fichtenrinde.*
kagbip (ka§bipap6bm) — krachzen.
kaii
Marzmonat; s. Bull. hist. phil. T. XIII. 16 12,
13
kaua
kapa
kaj a
kajbip
kaj
kajiak oder kajrau
Mel. russes. T. III. p. 313.
Wagen.
Pfeife.
nak (nagapobm) — sich umsehen.
Bibergeil.
weisse Weide.
ach! Gr
3
kajibik
kajiaga
kajibiB.
.) Sprung, Satz, langer Schritt; 2) Volk
Nessel.
Brautgabe.
todten . kan (kajiap6
bleiben : qaT-kaji — nachbleiben
kajibm
dicht, dick (*. B. Wald)
kajia (kajfp6
machen.
hiipf<
einen Satz oder Sprung
153
des Sciences de Saint -Peiersfoourjj
■ »l
kajiTap
braunes Pferd mit weissem Maule (22. My- I kaAa — zugleich.
kap
kapa
kapa
kapa
xopTbiii*).
Schnee.
kap ian-ia — es schneit.*
Acker,
zusehen {fid. kapip6bm).
kaA* ok — zugleich ; Gram. § 107.
ka^bik — gemeinsam.
ka^ap (kaaapapSbm) — wachen, wciden, liiitcn.
kaAbu — Schicht*; fach; z. B. nip kaAwji — cinfach;
ikki kaAbu — zweifach.
1) Schwarz, kan-kapaganz schwarz*; 2)Nacht. kaAbu (kaAbuap6biH) — argern, reizen; mit einem an-
kapa kai (kapagai), kapa ka3bi — Fichte. binden *
kapa kyc — schwarzer Adler ; (in Marchen : kaT (kaAapobra) — zwirnen ; s. karrbi.
kaH-Kepa kyc — Adler); kapa can
Fliege.
kapak
Bergrlicken. Nase (kapak).
kapak von kapa (kapipobie)
Auge.
kapak-qok
blind.
kapaa (kapajiap6biH) von kapa — » schwarz werden.*
kapaM —
• geizig.
Glass; vergl. Kepal.
Bauch.
kapbi
kapbm
kapbm
kapbiHAac von kap
wenigstens.
*
kapbiBHbir
kapbim, kap
Bruder
schwanger (von kap
Spanne.
Visier an der Biichse
Krahe.
Linsenbaum
kapoji
kapga
kapga
kapga (kap§ip6bra)
kapTbiga — Habicht
i — Fischleim.
fluchen
kap6
kap6;
kapMak
kaH
kaHaT
kaT
betasten (fut. kap61p6bm).
grosser Angelhaken.
Fiirst. Blut; kaH-kbi3bui — purpurfarb
1) Schwinge; 2) Flugel.
junges "Weib, Frau; Karrbi
Frau
kaT
kaTTbi-uok — unverheirathet (von kaT)
Johannisbeere.
kapa- kaT
schwarze Johannisbeere.
kw3biJi-kaT — rothe Johannisbeere.
kaTTan — mal ; wieder.*
nip kaTTan
einmal.
ikki kaTTan — zweimal.*
Kon ka-rran — vielmal.
kaiTbir — hart, rauh, zah, fest.
karrbi (kaTTlpGbra) — drehen, zwirnen.
kaTkbip (kaTkbipap6bm)
kac (kaiapobra)
laut* lachen.
davonlaufen.
jagen
kaiblp (ka*ibipap6bra) von kac (ka^apobm)
ka%ipbic (kaibipbi3ap6biH) von kaiwp — ver f olgen.
kanaH
kac
kac
wann.
Riemen.
Hugel, Berg.
kac, kac Ki3i — der Katschinze.
Gans; kac najumi — junge Gans.
steil.
kac —
kackak
*
kackbi von kac (kaqapSbio) — Fluchtlin
kacTbi — Schwiegervater ; vergl. kac-eHii.*
kacTb^ipbik
1) Baumrinde, 2) Fischschuppe.
ka3a— l)Hof; 2) Stadt.
ka3ak kypT (wortl. russisches Insect*)
ka3bik
kaahik
ka3aH -
Floh
Fusskndchel.
gesund.
Kessel.
kac (ka3bi) — Rand; Nahe.
Bat. ka3bma — nahezu.
hoc. ka3biHAa — nahebei; z. B. ak Tajiaiiibni ka-
3biHAa
an dem Saume des weissen Mecres.*
AM. ka3bmaij — von der Nahe her.
Com. ka3bi6biHaH_ — nahe entlang.
ka3bi
ka3biq[
Bauchfett.
Birke.
ka3apT (ka3apTap6bm) — iarben, weissen.
kac (kasapobra) — grab en; zerbeissen (z. B. ky3yk
*
Nuss).
kac-eHa (ka3bma) — Schwiegermutter.
kan — Sack ; kan%ik — Beutel.*
kan (ka6ap6bm) — fan gen, ergreifen.
kaobipga — Seite, Rippe.
ka6o
ka6bi
kaM
Zunder.
als wenn (B. KaKt 6*bi).
Schaman .
kaMHa (kaMHip6bifl) — zaubern
kaiwak -
kaiwHoc
kainnbi
Stirn.
Otter.
Peitsche.
kainubiJia — peitschen.*
155
Bulletin de l'Acad&nie lmpe>iale
156
kapqak (aus kajbipnak) — kleiner Kasten.
kwp (kwpapGbiH) — 1) schaben; 2) rasiren.
kbipbic (kbipbi3ap6bm) — schelten.
kbipwii
Rand (kbipi — sein Rand); s. Gr. S. 66. 11
Bat. kbiplHa — nebenhin.
Loc. kbiplHAa — neben.
All. kbipmaij — von nebenher.
Com. kbipl6biHai{ — vorbei.
kbic
ki.iiga
kbiigbi
Miidchen, Tochter.
klug.
Schrei.
kbnpua (kbii§bijiTp6bie) — schreien.
kbiipbik — "Weiberschwert (in Marchen).
kbiiiabipaT (kbiiMbipaAap6bm) — riihren.
kbUMbipan (kbiiMbipaHap6bm) — sich riihren .
kbigwp (kbigbipap6bm) — rufen ; lesen.*
kbijbip
kbu
kbLi
kbnbic
kbip
kbip
kbipwk
kbipwk
— schiefaugig.
Mahne (abgeschnittene) ; Pferdehaar.*
Saite; kbuurbif — mit Saiten bezogen.*
— Schwert.
kleiner Bergriicken.
grau (vom Pferde).
vierzig.
schneiden*
kbipbiMijbik von kwp (kbipap6bm) — Baurasaft
kbin
kbm
kbic
Scheide.
verlangen (fut. kbmapSbm).*
"Winter; kbiCTaf — Winterhaus.*
kbiCTa (kbiCTipSbm) — uberwintern (
kbickbip (kbickbipap6bm) — schreien.
kbi3ap (kbi3apap6bra) von kbi3bu — roth s
kbi3apT (kbi3apTap6
chen. farben.
kbi3ap — roth
kbi3biji — roth ; kan kbi3bui — purpnrfarb
kbi3biji
Monatsname fur den Mai
kbi3biJi-cacTbir — rothhaarig.
kbic (kbi3ap6bm) — driicken; Passiv: kbmui.*
kbin (Ace. mit d. Suffixe der 3 -ten Pers. kbiGbm)
Lichtschnuppe (bei Castr. brennend, fliegend,
d. h. Asche od. Russ).
kbinTbi — Scheere; vergl. kairibi.
kbinTbua — abscheeren.
,p6iH) — tiber das Wasser fahren
Keiipa
fiber
KeM, KIM
wer.
(Kelapfi
kommen
iibereinkommen
KepiiK
Kepal
nOthig; Nothwendigkeit ; Geschaft.*
oji Kepairrait — deshalb.
h5 KepaKTaq od. ho KepaK — weshalb?
Glas; vergl, kapw.
KelacKiH — Eidechse.
Kelm — Schwiegertochter, Frau des jungern Brudei
Kepa-kyc — Adler (in Marchen).
KepTiH (KepTiHap6iH) — glauben.
KepTic — wahr, richtig.
KepTidir von KepTic — glaubig, treu.
KeHAip
Ke^ap
Hanf
fort
*•«
Kena — gester
U
KeCTl
Hintertheil. Gr. 8 101, S. 65, 4
Bat
nach hinten
\
Loc. KecTiHAa — hinten.
Abl. KecTMH. — von hinten.
Kec (Ke3ap6m) — zerschneiden; tragen, anziehen; hauen.
Ke3ip (Ke3ipapolH) — ankleiden .
ein kleines Stuck, wenig (eig. Abschnitt*,
Ke3aK
von Kec).
Ke3ip, Kenip — Knorpel.
Ken
Kleidung.
Keolplif — almlich.
Ke6ic — Matte, Teppich.
— Boot.
KeMa
KeMip (KeMipapSiH) — nagen.
KlK
kikIo
Ziege; Reh.
ak kik — Rennthier; Antilope.
stotternd.
*
kIkii (von kik) — Adler.
Kip — alt (von Menschen).
Kip (Kipap6iH) — eintreten, angehen.
Kip6lK
K1H
Vf KM
Kiiir
Augenwimper.
Nabel .
klein, wenig; KMr^a, — in der Minderjahrigkeit.
*
Bemin. Kiiinai;
em wenig
Kiiir
cok
kleine Kiilte, Name eines Monats,
K1C
KlC
des Octobers.
- Zobel.
Ende (in Liedern); Filz.
KiCTa (KiCTlpSm) — wiehern.
V «
K13aH
K* \S
K131
Bande.
Mensch. Ta^ap Ki3i — Tatar.
KIM, KeM
wer.
KiM-Aip = wer ist? (bei Castr. wer wohl ; Gr
5S)
157
des Sciences de Saint- Petersbonrjj.
15ft
koi
kok
koipa
kojbir
kojbiii
koji
kojia
1) Schaaf; 2) Hammel.
Blase.
Fliege; vergl. kapa caK.
dick (0. B. Brei); kojbiT — dick raachen.*
Busen; koiHbi — sein Busen.
Hand; Finger {z. B. ycryn-koji — Daumcn*).
Messing.
ko.ia (kojiip6"biH) — larmen.
kojaar
Bauchgurt.
kojiTbik — Achselhohle.
kdp — hellroth mit gelb gesprenkelt (d. i. Pferdefarbe;
R. Koypwii*).
kopaivi
spater.
kopbik (kopbigapSbin) — erschrecken.
kopbikibip (kopbikTbipap6bm)
in Schreckcn
setzen.
Blei.
Zinn.
kopgajnibiH, kopgaHiibiJi
ak kup5aHiibi.11
kapa kopgaHijbu
kopjra (k0pjFlp6bm) — schnarchen.
kopTbik von kopbik — f urchtsam .
Blei.
kopAbi
kop^biij
Reiher.
Maische.
koH (koHap6bm) — iibernachten.
komjbik — Nachbar (von koH).
koT — wenn nur (R. xoTb). Gr.
kojiak
koc
111.
mannliches Geschlechtsdied.
&
schon.
kocTa (kdCTip6bm) — bunt machen, farben (von koc
schon).
koc (ko3ap6bm) — zunehmen; binzufQgen.
ko3bui (ko3buiap6biH) — zunehmen.
kockap-ai — Monatsname (April),
kockbm — Schwanzriemen.
kocTbi — Pfeil (in Marchen).
kocTi
ko3aH
nebenbei; vergl. kbiplii/ia.
Haase.
ko3-oc — Handvoll (beide Fauste).
konTa (konTip6bm) — iibef etwas klagen.
kOMbIC
kOMAbl
Balalaika, vielsaitige Harfe.
Grab; Graft.
KdKca (KOKCipGlH) — laut schreien boim Zankcn
Koryc — Brust unter der Achselhohle; KOKcf
Brust.
KoranaK — Hemd, langes Weiberklcid.
KoriUI, KdryUy — Schnepfe.
seine
— ^_^
Korm
KOja
Enterich.
erloschene Kohlc; vergl. i;oc
Koi (Kbjapow) — brennen .
koI, Kyi
See.
KolaTKi — Schatten.
Kolaqnii — Ring (R. KOJieqKo).
koI (Kdlapom) — anspannen.
KdlaH (KolaHiipom) — wollen, wiinschen.
» w
gestreiftes Eichhorn (Tamias striatus).
KOpiK
Kiip (Kopap6iH) — sehen.
KOpTlC
zeigen.
*
KOHa
KOTTaH
Koia
eben, gerade, gleich.
— der Hintern.
Gerste.
koc (KO'iapom) — nomadisiren, weiden.
• \J
KO^lK
*• _W
KOAip
der Hintere.
heben.
KOC
KOjtf pil (KOAipilapCiH) — sich erheben .
brennende Kohle; vergl. Kojli.
K03a, auch: 06a — Kurganstein.
K03aiia, auch: Kosara
Fenster.
<i*
Vorhang.
-. _•_•
K03anaK
ko3it (K03uap6in) — zeigen
Kon
Koolp
Ko6ip
ko6Ik
, oft.
kleine Brucke fur Fussgtinger
-wilder Lauch.
Schaum
1P1K
Brustrieraen
KO
schwarzes Insect, das meist in den Jurten
lebt.
KomK — habsiichtig
blau; gran.
kok
kok
Kuckuck.
kom (KOMap6iH) — begrabe
KoiaicKa — Augenbrau
ky
Schwanfrau (in Marchen)
kyiga
*
H
kyj
kyji
Schwan; kykaT
Hohle.
Kopfhaut; Gelee
Wirbelwind.
Knecht, Sclave.
falb mit schwarzer Mahne und schwarzem
Schweif (Pferd). Russ. caBpacbifi *
- Ohr. Griff.
kyjiak —
kyjiac, auch: cap.ibm {aus dem Russischen ca;KCHb*)
kyjiyH
Faden, Klafter
Ftillen.
Tome XXXI.
11
I.5f>
iCiill«»titi de rAcadomie Imperial©
lttO
kyjiyimak — Derain; kyjiyHflbir nl — Stute mit
den Fiillen.
- Gurt.
kyp —
kyp?T-
kypagan
kypy (kyplpobra) — trocken werden.
kypyT (kypyflapfibm) — trocken machcn.
trocken, leer, vergebens.
— Lamm.
kypyT
kypsak
kypjiyk
kypT —
Airan-Kase.
Gaumen.
Kocher fiir Eisenpfeile.
Wurm; kypira
wurmstichig werden .*
ka3ak-kypT
Floh.
*
kypna (kypmpobm) von kyp — umgurten.
kypqai^a von kypqa — Mittelleib, Hiifte, Leib.
kyny
kyTTyk
kyia
ky/ta
Vielfrass.
Brunnen.
Hammel.
Freiwerber.
I
kyAai
kyAaja (kyAajtipSbm) — werben.*
kyaagai — Freiwerberin.*
— Gott.
ky^ai kyc — Taube.
kynak
kyc
Zwischenraum zwischen den Armen, Tracht,
Last, so viel man mit beiden Armen umfassen
kann.
kynakra (kyijakTipSbm) — umfangen, umfassen.
Vogel.
kyc najia3bi oder najia kyc — Vogeljunges.
kapa kyc — schwarzer Adler.
kyaai kyc — Taube (eig. Gottes- Vogel*).
kyckanak von kyc — Spatz; Vogelchen.*
nopa kyckanak — Sperling {eig. schwarzgraues
Voglein*).
kyckyn — Rabe.
kyc (ky3ap6biH) — 1) giessen, streuen; 2) ausspeien,
sich ubergeben.
ky3yi{ (audi: ky3yk agac) — Ceder.
ky3^pyk — Schwanz (Fisch-, Vogel-, Pferde-).
ky6agaa, auch: epCaKKai —
kyoyji (kyoyjiapobra) — sich verwandeln.
Schmetterling.
ky6yjiayp (ky6jfjiAypap6biH) — verwandeln.
— Sand.
*
— Verbramung.
kyia-
kyaia
ft/
kysiycka — Ameise.
kyM^yc
Biber.
kapa kvM^yc — Otter (eig. schwarzer Biber*).
it tr
KyrypT
Donner.
tr tr
KyrypT icibi
Regenbogen [eig. Donner -Weg).
KyrypT Tanca n - qa flbip oder Ky3pan-HaAbip
es
ft ft
Kynyp
donnert.*
- ein hohler Baum mit Vo
(R
Kyi
Aynjo)
(auch: :
Asche.
hohl
kvI (Kylapom) — lachen; KyUyp — lachen
ft I ft
KylyK
tapfer
MlTTir
scharf.
Kypaii
schwarzbraun , dunkelbraun (von Pferden)
Buss. 6ypbii
*
Kypac
Kypiic
- ringen.
#
schaufeln
r.
KypKy
KypraH
Kampf.
)lp6iH)
Birkhuhn
heftige
S. Melang. Russes, T. Ill, p
Kalte
Monatsname
Januar
*
f?
KypiiaK von Kypa -
Sonne, Tag
Schaufel
KVH
opTbi KyH — Mittag
Kyiiyrac — Welp; junger Hund*, vergl
tf
Kyc
Kraft. Starke.
- stark
„ r,-
KycTyr -
*wk — kraftlos. schwach
tr
Kyc
Herbst
rr
herbstlich
[) — den Herbst zubrin
b
tt
KycKa
KycKyc
Ky3aH
Maus.
Salmo Lenoc
litis.
Ky3o, Ky3a — Schwiegersohn
Ky3ypa (Kysyplpom) — donne
ft ** tt
rr y«r fr
Ky6yp
Schwefel
* ■#
KyMyc — Silber (auch : silbern
H.
Ha (aus jamsi) — neu.
Hak (aus jaqak) — Wange.
Haijbic — einzig, allein.
HaHMbip
Regen.
HaH
Pferdeschopf.
naH (HaHap6bm) — sich wenden, umkehren, zuriick-
kehren.
HaHMbip (HaH^bipap^bm)
wenden, umkehren
Hamjbi
Freund.
101
des Sciences de Saint -P^tersbourg.
ltt«
na^biH — Falke (auch : jiaibm*).
neulich, unlangst (von Ha).
HaAajbi — neulich (Adject.).
HeMii — was; Ding* (Plur. HeMalap)
Heviamn
weshalb.
nera
Frau des altern Bruders.
Heraiii
Hei|
1) Tante; 2)
Schneekruste.
Hera.
Heq mit dem Suffixe der 3. Per$. ni — Aermel.
HeHLU
•
Perle.
HbiM3ak, ibiMiiak — weich.
\
HWMaaT (HbiM3aAap6biH) — erweichen.
niK (aus jaipl) — leicht; billig.
»•
HITKa
iiicKa
HO
Naekensehue.
schnial, eng.
was.
HOAaij oder Hoobua — weshalb.
Ho-Abip — was denn (was ist*).
HOAapga (aus: ho eAapra) — wozu
HokTa
Halfter.
H0M3a — Jeletz (Fisch), Cyprinus Leuciscus.
HyH (HyHapSbm) — schnitzen (mit dem Messer)
nyiwak, ywak oder iibDiak — Marchen.
HyMak ca.i (cajiapowH)
HyMyp(T)ka — Ei; Hode.
Marchen erzahlen
nywypT
Traubenkirsche (Primus Padus). Russ. ie-
:a (auch : HbiMbipT).
ayMsypyk, MVH3ypbiK — Faust
T.
(Ta), Aa (A
encl. 1) nur; 2) in.
0$)
und (G
112); 2)ob-
ch
*
Tai3ak statt Tajbi3ak (von Taj
seicht.
(auch
TakTa
Tar
— 61'
Berg
Luge, Sp
Briicke: Bank*.
Tai (Tajbi) — Oheim, Mutterbruder.
Tajbic
Taji
Tajiai
seicht.
Weidengebuseh.
- Meer.
Tajiac (TaJia3ap6b]u)
Tan (Tajiap6biH) —
eilen.
schwimmen ;
in
Olmmacht
fallen.
(Tajip6biH) — zerspl
Tajiaj (Tajiajiap6bin)
, zerschla
Stucke e<
TajigaH
Gericht aus gerosteter und fein zerstampft
Gerste.
TajJia (TaxiilpGbiH) — auswahlen.
Tap
Tap
Pulver; eng.
grobes Tuch, Kleid. R. apMHicb.
Tapa (Tapip6bin) — kamnien.
TapaH (TapaHap6bm) — sich kiimmen.
Tapbm (TapbiHap6biH) — sich argern, ziirnen.
TapbiHijak — bose; zornig*
rapa (Tapip6bin) — saen.
Tapgak von xapa — Karam.
Tap.iar
Acker.
Tapjia (Tiipjiip6biH) — laden, belasten.
TapT (rapTap6biH) — ziehen.
TapTbm (TapTbmapSbiH) — sich ziehen .
raH
TaH
TaHa
TapTbic (TapTbwapdibiH) — einander ziehen
Nordwind, Nord (auch: Zephyr*).
Dohle (Vogel).
- Niistern.
TaHbi (Tampobra) — erkennen, erfahren.
TaHbic (von TaHbi) — Bekannter.
Ta^biJibir — angenekin, schmackhaft.
xac
Stein.
TaCTblf
steinig.
Tackap
hinaus, draussen.
TackapibiH — von draussen.
TacTa (TacTip6bin) — werfen, lassen, vergeben
Tarjibir
bergig
TagwpaH (TaijbipaH
Tan
ragbipa (Tagbipi
- Morgenrothe.
ausbessern, flicken
ausbessern.
Ta3ak
Hoden.
Ta3bua (Ta3bi.ilp6biH) — einen dumpfen Ton von sich
geben.
Ta3bm — Ochs; Stier.
TaijAa
morgen.
Tai^'-ypyryn — ubermorgen.*
Taiijua
Zeichen, Flecken, Merkzeichen.
Tajak
Taipajia (TaHMajHp6biH) — stempeln, zeichnen.
Stab.
Tanqop
Steigbiigelriemen.
Tanca (TancipSbiB) — larmen; sprechen.*
Tancaoa (Tanca6acnbra) — schweigen (wortl.: nicht
sprechen).
Ta6ak — Schussel.
Tafian
Ferse.
n*
163
Bulletin de lMcademie Imperlale
164
Ta6wpak — schnell ; Ten Ta6wpak — schneller.
Tan (Ta6ap6biH) — finden.
xanKbip
Rathsel.*
Temp
Eisen.
Ta6bic — Larm ; Nachricht.*
TaMak — Kehle, Gurgel; Speise.
TaMbip
TaMl/bl
TajinbLia
Graswurzel; Ader; Bach, Quelle.
Tropfen.
— tropfen; fliessen, rinnen.
TeKKaK
Huhn.
ackbip TaKKaK — Hahn.
Tep — Haut.
Tep6aH — Miihle; Tepoan TapT — mahlen.*
TeKTip6a
Kaulbarsch.
Terai — kleiner Berg; Htigel.
*
Teij
gleich.
Teijea (TetpipolH) — ebnen.
Tepa (Tiipa) — bis zu.
TepilK
Tepaij
Tepac
Pappel.
tief.
Stiitze.
Tep (rap), TepapdlH
sammeln.
TepnaK — Rad, Kreis, rund.
Tecnap a3ak — Taucher (Colymbus arcticus); auch:
Maulwurf* (wortl.: zuriick-Fuss*).
Tec (Te3ap6iH) — hineinschieben ; durchstecken.
Te3a (Te3ip6m) — mahlen, zerreiben (z. B. Tabak).
Te6ii
Kameel.
Te6' iHa — grosse Nadel (wortl. : Kameel-Nadel*).
Ten (Te6ap6m) — mit den Fussen stossen (Buss. jraraTb*)
TeMap
Teiafla
TeraH
sehr; vergeblich.*
bereiten, in Ordnung bringen.
Fischwehre.
TeraH cbifibi — Silbertanne.
Tenp
Himmel ; Terip Ky3pan-lia — es donnert.*
Terip en — Kirche (wortl. : Gotteshaus).
TbiH (TbiHapSbm) — beissen, fassen (von der Axt oder
dem Messer).
TbiAbin (TbiAbmap6biH) — wagen.
TblC
Ruhe.
TbICTI
ruhig.
TbiMbir — ruhig, still.
TbikTa, TbikTip6biH — bereiten, anfullen.
stark*, sehr.
Morasthumpel.
Griindling (Cyprinus Gobio).
Tbllf
TbIJIO
Tbipbik
Tbipgak — < Nagel , Vogelkralle.
Tbip6a (Tbipdipobm) — harken.
Tbip6aH (Tbip6aHap6bie) — sich kratzen.
TbipCoc
TbIH
TblT
— Rechen, Harke (Russ. rpadJin*); von Tbipoa
Athem.
TbiHwc — Athemzug.
TbmaH (TbmaHapobm) — ausruhen.
Larchenbaum.
Tipa (Tipip6iH) — stiitzen.
TicTaH (auch: TbiCTaH*), TiCTaHapo"iH — dulden.
tIk (TirapSiH) — nahen ; bauen
Marchen).
B. die Jurte, in
Tin
jener.
Tir,nap -
Tir/ia
- dorthin.
dort.
dorther.
Til
TirAiipTiH —
Zunge.
TilniK — Verlaumder.
1
tIIuiktIh (TilniKTiHap6iH) — verlaumden.
Tila (TilipSiH) , auch : mla (Kilip6m) — suchen , bitten
TilaH (TilaHap6iH) — betteln.
Tipir
T1H
lebendig.
Tipil (Tipilap6iH) — lebendig werden.*
Halfter.
Terip-uoji — Regenbogen (wortl. : Himmels Weg). tih — Eichhorn.
Terip-napbigbi
Abendrothe.
TeriioaK — steil, abschiissig.
Ten;
Tep
gleich.
Schweiss.
Tepla (Tepllp6ie) — schwitzen.
TIC
T131
tih ka^bi — Preiselbeere
l)Zahn; 2) Knie.
Weibchen.
Ti3'aAai
Hundin.
Tepivia
Zeltstange.
TO
TOi
Weissdorn (Crataegus oxycantlia).
Thon; Hochzeit.
Tec (Te3ap6iH) — durchbohren .
Te3iji (Ta3iJiap6iu) — Locher bekonimen.
Touibir
lehmig.
Tok
Te3lK
Loch.
TeM
rechte Zeit.
satt; vergl. toc, TOckaH.
Tok-nbiH, ich bin satt.
Tokra (TokTip6bm) — anhalten, aufhoren.
105
des Sciences de Saint -Petersbourjf.
166
TokTar — Verzug, Aufenthalt.
Toknak
Klotz.
TOC
TopxOlau — alle vier.
TopTiip — zu vier.
Brust; Geschlecht.
Togtm (TOijbMaptfbiii) — arbeiten.
Togac (Toga3ap6bm) — besuchen, zusarameukommcn. [toc (mit dem Suffix der 3. Pers. Sing, iwri) — Baum-
na3a Togackaiina — auf Wiedersehen.
Togwp
queruber.
xoi)bipkbi — Fremder; von Togwp.
TOJJblC
T05MC
Arbeit,
neun.
TO§bI3bIHI,IbI
der Neunte
Togbi3ap — zu neun.
T0§bi3-0H, neunzig.
T0gbI3-OJiai{
TOII
alle neun.
gefroren; frieren (Tonapobiii, Tdp6bin).
toh. ac — Saat, Getreide (eig.: gefrorenes Korn*)
TOJiaivibip — Ringfinger.
rojgai
schief (vom Baume u. s. w.).
TOJiga (TOJii)ip6biH) — winden, wenden.
TOJIAbip
fullen*
TOpbl
TOJAupa
— stets.
voll.
Topwr — braun (vom Pferde). Buss. thLaoh.
TOpiJbl
seidener Stoff.
Topgajak — Lerche, kleiner Steppenvogel.
TOH
TOT
TOAak
Pelz.
Kruste, Schneekruste.
Feldhuhn. Buss, im Minus. Kreise CTemiafl
TOC
hjih nojieBafl Kypana
Birkenrinde.
T03ai (Toc-ai)
Monatsname
Juli
toc (T03ap6bm) — satt werden *
Tockan
satt (Partic); vergl. Tok.
T03a — ganz, alles.
toc (T03ap6biH) — beendigen.
ToObipak — Staub, Sand.
ToobiH — kleine Miickenart (thrips). (Buss. Mounta*)
TOl
ahnlich.
TOKnilc — Baumstamm (Buss. neHb*).
tok (TorapSm) — streuen, giessen.
Geschlecht.
TOl
Tola (TolipolH)
bezahlen
TolaH
Milz.
Tokala (T6lKallp6m) — zaubern, spahen
Topi (TopipolH) — gebaren.
TopT
vier.
TopTimji
der vierte
stamm an der Wurzel.
T03a (T03ip6iH) — betten, ausbreiten
T03aK
TOClH
Bett.
hinunter.
To6ipriH — von unten .
To6lnri — unterlialb befindlich.
Tyika -
Tyigak
TygaH
TyijMa
Tyji
beimlich
Huf.
Str
Verwandter
Bruder, iiingere Sch wester
Wittwer, Wittwe
Tyj-K131
dasselbe
Tyjiyn
-Haarnechte (der Weiber)$ aber: cypiuae
Haarnechte der Madchen.
ayipiyf — mit einer Haarnechte versehen.
Stube, Hiitte (audi: Stadt*).
rypa
Typ (Typapobie) — stehen.
Typsyc (Typgy3ap6bii
— Feuerbrand.
stellen.
Typyn
TVpHa
Kranich
tvh (TVifapSbm)
taub werden
nyk
taub
Tyaa
Handffriff
ryAap6
tva^
halten .
(aiapobiii
fang
Cast
rauben)
Ty/ryc (TyAy3ap6bm
schlagen.*
sich schl
einander
Tyc
- Salz.
Tycra (TycTlp6
TycTyr
Tyc-4ok
*
salzen.
salzig
Tyc
oj-TycTa
Zeit.
danu
TyCTblf
Ty3a
kernig
Hulfe
Ty3lp6b
ry3ak
i) — festbinden (Pferdefusse)
kleine Angel; Fangschlinge.
yjuak -
VMuik
rr
TyK
Miitze mit Ohrklappen.
Nase; Vogelschnabel.
Haar (bei Mannern); 2) Dau
167
Bulletin de l'Acadeniie Imneriale
168
TjKTjr — haarig ; TyKTyr ap — Biene
TyKKyp (ryKKypapd
speien.
TyKKypyK — Speichel
" • •
TyraHiu
Tylry —
der
Fuchs
TylryuaK — Fuchschen.
rf p (aus Tyijyp) — Schamanen-Trommel
tf
xypai
Strumpf- oder Schuhschaft
rr
xyH
Nacht
TyHAa
bei Nacht
rr
Tymi
frtiher, vor Kurzem
tr
rry h an
fruherer
tr tr
tvavh
Rauch
rr
-rye
Trau
tf
Ty3a
tf _
traumen.
TVC
rr
Tyc
Stiden, Mittag
eben, gleich.
rye (TysapSiH) — herabsteigen, fallen
ij3ypap6
herablassen
ft
Tyn
Boden
TyMuyK, TyHHyK — Rauchfang
r.
H.
qa
qa
qai
Bogen (gewohnlich ok qa).
Krieg.
Sommer; qaijraf — Sommerhaus.
qaigu
Sommer-.
qaua (qaijiip6bin) — den Sommer zubringen
qaknac
qakcbi
Deckel,
gut.
qakcbua (qakcbiJUpobm) — die Giite haben.
qaija
qapm
Pelzkragen.
nahe.
qagwuTbiH
von der Nahe her.
qagjia (qagjnpGbin) — schmieren.
qaja (lajipftbiH) — 1) schaffen; 2) beschliessen.
qaj
Flamme; vergl. qajibw.
qap —
qapwk
steiles Ufer. Russ. apt.
Spalte, Licht.
qap (qapap6bm) — spalten.
qapa
nach verschiedenen Seiten hin.
qapbui (qapbijapSbm) — sich spalten.
qapbiT (qapbiAap6bm) — leuchten.
qapwc ai — milder, leichter Monat= September s. Mel.
Russ. T. Ill, p. 313.
qapbiM von qap — 1 ) Halfte ;
dumm (eig. halb bei
Sinnen*).
qapja (qapjiip6biH) — zu erkennen geben.
qap6a
qa3an_
qaua
Grutze.
langsam.
Vaterbruder oder Vaterschwester, altere
Schwester.
qauak — kleine Fransen oder Lappen.
qaq (qanap6bm) — saen.
qaT (qa^ap6bm) — sich legen, liegen.
qa^an
kaum (Russ. e^Ba*).
qac
qac
- 1) Friihling; 2) Thrane, Regen.
qackbi — Friihling-.
qacTa (qacnpdbiii) — das Friihjahr zubringen.
Lebensjahr.
qacrbir — Lebensjahre habend.
qac (qaaapfibm) — ausbreiten.
qa3bip (qasbipapobm) — verbergen, verstecken.
qa3bipwn
heimlich.
qajiaij — 1) unverheirathet; 2) zu Pferde.*
qbuiac — nackt (bei Castren: 4alas).
qajiac (qajia3bip6biH) — streiten,kampfen; von qa (Krieg)
qajiackaii
Streiter; von qa-iac.
qajibm — Blitz; vergl. qa.i.
qa ji g bic
allein; einzig (bei Castren: *algas)
qa-iga (qajiglpobra) — lecken.
qaMa (qajunpobin) — miethen.
tajioak
breit.
qa3a (qa3lp6bm) auch : qac (qa3ap6bm) — behauen (mit
dem Beile).
qa3af — zu Fuss; vergl. qajiaq.
qa3bi von qac (qa3bip6bra) — Feld , Steppe.
qancbi (qancipobm) — sich wundern.
qancbip (qancbipapfibra) — befestigen (bei Castren:
nahe kommen).
qaucbiu (qancbiiiapowH) — sich pressen (bei Castren:
qaoaji
befestigen).
schlecht.
qaoajuia (qaGa.uipo'biH) — tadeln.
qan (qa5ap6biu) — zumachen, zudecken.
qafiac
qa6bm (qaSbiiiapSbm) — sich zudecken
ruhig (von den Pferden).
qaobip (qa6bipap6bm) — niedrig machen.
qatfbic (qa6bi3ak) — niedrig.
qa6bw (qa6bmap6bm) von qan (qaGapCbiii) — sich be-
decken.
qejan (auch : qajan) — Gott (eig. Schopfer*).
I
10f>
ties Sciences de Saint- Pelersbourjj.
170
qeiraa
Vielfrass.
qennaH — feines Tuch (s. ceKiiii.ii)
qeHMft — eine Art wilder Ziegen.
ielm
Mahne.
qerri — sieben.
■
Herrmni — der siebente.
qenilap — zu sieben.
qerr'oH — siebzig.
qemp (qeiTipapolH) von qeT (qe/i,ap6iH) — erlauben
MeAil
qecraK
Husten.
Gartenerdbeere ;
Beere im Allge-
qel
meinen.
Wind.
qelara — Baumwurzel
ieliM
qep
-Leim.
Erde.
qepla (neplipSiH) — ein Land bewolmen.
He^araH — der grosse Bar (Sternbild).
qeT (qeAapo"iH) — einholen, erreichen.
ne/upT (ieAipTap6m) — naher bringen, nahern
leTTipa von qerrip (qerripapoiii)
qe,zul (qejulapGiH) — husten.
qeq (qeqapoln) — stechen.
bis.
nee
Kupfer (vergl. kojia).
qecraK — Gartenerdbeere, Beere.
qeo*ipri
qbikqo
zwanzig
Schlafe.
qwr (qbigapGbm
*
qbip6bm) — sammeln.
qbigbm (qbi§biHap6biH) — Vorrath anlegen.
qwgaHak — Ellenbogen.
qbui
Jahr.
qbui (qbuapSbiii) — herabgleiten.
qbuian
qbngbi
Schlange
Tabune .
qbuiTbic
qbrnqak
qbiAa
qbiJiijbijibir
— Stern.
zur Tabune gehorig
Keil.
qbic
Schwert; Speer; Dolch.
— Geruch .
qbiCTaH (qbiCTaHap6bm) — riechen
qwcTbir
qbic
riechend.
Wald: dick, dicht.
qbiMbMqak
qbiMuak —
Finger (R. MHSHHeu-b *).
k)
qwjibir
warm.
qbi.ibiH (qbiJibiiiapdbiH)
warm werden.
qbObiT (qbiJbuapSbiii) — erwiirmen (bei Castr.
iililderben).
qbuigajak von qwji (qbiJiapobm)
glatt.
qbu6bipai| von qwji (qbuapobin) — glatt, cben
qwpT (qbipTapSbin) — schinden.
qbiia
qbiprbik -
— Lanze.
Loch.
qbiuak — Mist; Koth.
qbic (qbi3ap6bra) — abtrocknen.
qi (4lp6iH) — essen.
qiK —
qiKKft
qir
qiAipT (lUlpTapOlH) — nlihren.
- vergebens.
— steil; gegenuber.
roll.
qih, qilan — gleichsam.
quia.
Knochenmark.
iit aus qirn
J«ng.
HITTir
scharf.
quip (qiAipap6In) — verlicren.
Faden (Russ. inrrKa*).
qui
«ri6aK von qin — seidenc Schnur.
qdk — Wort.
qokra (qokTipSwn) — reden.
qokkwp
bunt.
qok
qogap
qokkblpjia (qokbipjiipSbm) — bunt machen.
arm; dflrftig.
hinauf.
qogapTbin — von oben.
qoijapkbi — der Obere (Gott).
qopbip
Borste.
qoji
Weg.
KyrypT qojrw — Regenbogen.
qopa — absichtlich.
Decke.
Kase; saure Milch (Russ, npocroKBama*)
qopT (qopTap6biH) — in Galopp fahren.
qopgan
iiopT —
qoH
qdH
Volk.
dick.
qopak
qopakka
Koppe.
Zieselmaus*
qoAa
qo6ak
Schienbein.
- Miihe.
qo6aja (qo6aJiap6biB) — sich bemiihen.
qoi (auch: qoi
*
Betruger, Liigner.
qoilaH (qoiliiHiip6iH) — betriigen, listig sein.
qop (qopap6ie) — gehen, fahren.
171
Bulletin de I'Acad^mie Imp^riale
172
qdnqi
gleich
cajia-cyja — irgendwie.
*
qyr (qypGbra aus qygapSbm) — waschen
caj (cajapSwH) — legen, lassen
qyji
fn (qyHap6wn) ai
- diinn, fein.
Bach, Waldbach
waschen
cajibm
cajiEbik
o
Thau.
Welle.
qyji (qyjiapS
pfen, pfliicken
cajigbua (cajigbijiipGwH)
anschwellen
qypqy
4yT_
qyr
Schwager.
Schneefall (auch : Regenwetter*). (R
Feder.
qyr qa3ayaq Toqapak — Federmesser*
cajigbiH
cajiSbik
cap a
capa
capwr
Riibe.
Schneebrei.
Trinkgeschirr aus Holz.
Fusssohle, das untere Fussblatt. -
- gelb.
ft
qyraH
Zug
capwr kbiji (kbijiap6bm) — gelb machen.
qyraH Ha (qyraHHipGiH), auch
cygap
Ziigel
tr
qypan
(qyrypap6
Herz.
laufen
qok — faul (eig. herzlos)
ft
qyc
qyc
Baumschicht
hundert ;
Rubel
qyc akqa
capwr cak — Mucke (Russ. KOMapi.*).
capwr 6ajibik — Hausen; eig. gelber Fisch.
Russ. CTepjiflAb.*
capwgaM^ak — gelblich.
capwcka — Heuschrecke, Grille,
capw
Ko
pek
seine Seite.
6y capwH^a — diesseits.
oji capwH^a (auch: 03apwk) — jenseits*.
qyc (qy3ap6i
schwimmen
capcwH
Vorrathskammer.
qycTyK — Fingerring
c.
car (cap6bm) — melken.
Schneeschuh.
Rechnung, Zahl.
cana
caH
cai-
cai
cak
112. S. 71.
nur, enclit. Gr.
Untiefe, Sandbank,
■nuchtern (Russ. Tpe3Bwfi*).
cak (ca§ap6bm) — Feuer anschlagen.
cakwjiaT — Pfand (Russ. 3aKJiajrb).
caknw, cankw von can (caoapOwn) — Sense.
cagaHAa von cak-t-anna, cagaHA'ok — ebendort, ebenda.
cagaHHaq von cak -4- aimaq , cagaHHaq ok — ebendaher
(ok = auch).
cagaH^ag aus cak -4- aH#ar — wirklich, also.
camia— zahlen; denken (bei Castren falschlich
auch: lesen).
caHMak (auch: caMHak, caMJiak) — Lonel.
ca^ak
Kocher fur (Holz) pfeile.
caT (caAap6bm) — verkaufen.
Handel.*
Eaufmann.
caAwr
caijaM von cak-+-aM, cagaM ok — sogleich.
cagaj — Bart.
cagwH (cagbraap6wH) — denken.
cagwc
Verstand, Gedachtniss.
caAwgnw
caAbic (caAW3ap6bm) — handcln (auch: caAwf eT,
eAapolH).
caAw6-aji (ajap6bm) — kaufen.
cac
caAbi6-wc (w3ap6bm) -
wild; z. B.\ cac qep
verkaufen
Sumpf ;
cac aT
wildes Pferd
i
cagwcxwr
klug.
cagw (ca§ip6wH) — war ten.
cagoa
can.
caqai
canwc
— horbar.
Glocke.
immer.
cac
Haar; qaqw — sein Haar.
cac aus canwc
Harz.
cackaH aus caqwckaH — Elster (Vogel).
cackwc von cac (qaqap6wn) — Move (Vogel).
cac (ca3ap6bm, qaqap6wn)
saen; stechen.
caji
Masholder (Viburnum opulus). (Russ. KajiHHa)
Floss (Russ. njioTii).
cajia — Schossling, Finger, Zehe, Axt.
cajia, cajiaja — ein wenig; kaum.*
ca3bm (qaiibm) — Papier, Schreiben.
can
Schaft, Stiel (am Messer, Axt u. s. w.).
can (cadapobm) — schlagen.
ot can — Heu (ot) machen.
*
ca6wji (ca6buap6wH) — geschlagen werden
173
des Sciences de Saint - Pelersboiirg.
174
ca6bic (ca6bi3ap6biH) — wetten.*
cankbi, caknbi von can (ca6ap6bm)
Sense
ca6bm
caS^ap
Seife.
Fuclis mit weisser Mahne und weissem
Schweife (Russ. nrpeHw, vom Pferde)
caMJiak, cainnak, caHinak — Loffel.
can
Fliege (Russ. wyxa*).
capbig
cerip (ceripapo"
Miicke (Russ. Kowap-b*)
— hiipf en .
Cbll
Cbi6bipi}bi - — Besen.
Geschenk*
cwijia (cbiijiTp6biB) von Cbii— bewirthen, schenken.
Cbikia (cbikTTp6bni) — aus Kummer weinen (Russ. i>i»i-
AaTb*).
cbiijap
blind.
cwk (cbigap6biH) — ausgehen, emporklettern.
CbipT
CblH
- 1) Riickgrat; 2) Messerriicken.
Bergriicken.
ceH
du.
ceHi
dein.
ceKnaH, cenKan
acht.
feines Tuch.
cenc
cwh aus cbigbm — Hirsch (Russ. coxaTbiii*).
CbiHHa (cbiHHip6biH) von cbiii (Walirheit) — versuchen
(ein Pferd).
cwAa (cbiAlp6bie) — duldeu.
V K*
ceraiBHi
cerfeap
der achte.
zu acht.
own, cea
CblObI
Lilienzwiebel.
ceri3-0H, achtzig.
cepa/r
die Geister der Abgeschiedenen;
CbIM
die I coij
Todten.
cec (cecrapoiH) — losbinden.
cen
ceMic
cipa
Nebenfluss.
fett.
ceiwip (ceMipap6m) — fett werden.
Bier; Lager, Bett.*
cicTi(auch: clap/u, cpapai*) — euer.
cinjp (ciqipapola) — sich schnauzen, schnauben.
cilir — schon, hubsch (Weib).
cilik (cilirap6m) — - erschiittern, ausschiitteln.
cilKap
cip
cipra
ciprai
Mai-Monat.
Kiqir cikap — Juni (s. Melanges Russes. T. Ill,
p. 313*).
Ader, Sehne, Faden.
Nisse.
Knakente (Anas querqmdula).
cir (cipola) — Striche Ziehen.
Tanne.
Haselhuhn.
Hintere.
coi{bi (co) — das hinten Befindliche*, nach liinten.
Bat. coaa — nach hinten.*
Log.
Abl.
hinten, nach
cok
Kalte: kalt
Gr. § 101. S
cok (cojjapo"bin) — stossen.
cogak
Morser.
cogak najia3bi — Morserkeule.*
coajvia, coa_6a, coMga — Quakerente (Anas clangula).
coi (cojapGbiH) — 1) schlagen; 2) auskleiden; 3) schin-
COJI
cop-
copi
copoj
copwn
den.*
link; links.
Arbeitsschlitten.
immer (in Marchen).
Pfeifenrohr.
Narbe, Wunde.
copkwjia — Haselhuhn; Rebhuhn (raopKja)
CWK
Urin.
o
C1C
Bratspiess; auch: Geschwiir*.
cicTa (ciCTip6iH) — braten.
copxaii
coAaq
Hecht.
stumpf.
cic (ci3ap6ia)
cbipai (cipai)
schwellen.
Gesicht.
CblH
CblH
Wahrheit.
Maass.
cocka
c5k —
co^aa. ky3ypyk — Stumpfschwanz (Wolf, in
Marchen).
Schwein.
Knochen, Leichnam.
Leiche (eig. Knochen*); Begrabniss.
*
chh (cbiaapobia) — zerbrechen, in Stiicke gehen.
cwHAbip (cbmji,bipap6biH) — brechen, trennen
CbI3bip
Stroh.
Cbi6bip (cw6bipap6biH) — kehren, fegen.
Cbi6bipa — flberall.
Tome XXXI.
c5k ibif (qbigap6bm) — begraben (eig. Knochen
sammeln*).
cok (corapolH) — auftrennen.
c5la (colipo"iH) von coc — sagen.
COT
Weide; Erie.
12
175
Bulletin dc ricademle Imperlale
176
coc
Wort, Botschaft.
con
co3ip6a — Zugnetz (Russ. HeBOAt*).
Unrath, Schmutz.
Spanne, % Arschin.
fliissig, dtinn (Russ. HtnAKiii*).
Wasser.
COM
cyk
cyf
nak (nagapfora) — klettern, emporklettern, auf warts
gehen.
naja (nija) — neulich (Russ. AaBHia*).
najia
najaAaq
najagbi
- Kind.
von neulich.
neulich (Adject.).
cyk (cygapGbra) — stossen.
cygjiyk
Zaum .
cyjia
Hafer.
*
cyjiga (cyjigipSbm) — bedecken.
cyp (cypapStm) — fragen ; cypaf — Befragung.
cyp (cypapobm) — herausziehen (aus der Scheide), ab-
qac najia — Saugling.*
najanak
kleines Kind
najibik
Fisch.
cyn
Ziehen, abwerfen.
Lange.
cyHgap
langs.
cyH (cyHap6bm) — ausstrecken.
eye — Tauchergans (Mergus merganser).
eye (cycTapSbie) — ausziehen.
eye (cy3ap6bm) — schopfen.
cy6a (cy6ip6bm) — loslassen.
cyraH — Schnauze, ein Gerath zum Fischfange (Russ.
«MOpAa», pbl60JIOBHbffl CHapHA'b*).
cylama — Glas.
cyp (cyp&p6iH) — jagen; verfolgen.
cypOH (auch: copOH*) — kalt (Russ. npoxjiaAHbra*).
cypra (cyprTpGiH) — umwickeln (ein Kind).
cypT (cypTap6iH), cypTKila (cypTKilipSiH) — schmicren.
cyp6ac (auch : cypMSc*) — Haarflechte (der Madchen);
*
ak najbik — Schnapel (Salmo Lavaretus).
capwf najibik — Hausen (Russ. ciepjwAb*)
najibikia (naibikrlpo'biH) — fischen.
najibir
Wunde.
najia (na-iipSbm) — sch&tzen, taxiren.
najigac
Schmutz (auch: najroak*).
najrga, nagjia (najigipobin) von nar (Strick) — 1 ) binden ;
2) anbinden; 3) das Netz auslcgen.
Axt.
Wade .
najTbi
najiTbip
nap aus nagbip — Leber; der obere Theil des Pelzes.
napcak von nap (Leber)
napa
Reuse.
n a pake an
napbic
arm, elend.
Lowe; Tiger (Russ. 6"apcT>*).
nap (capapSbm) — gehen, fahren.
nana
nac-
ff -.
cyna
rr
cyT
cyMa
vergl. Tyjiyq.
- Seele.
Milch .
Listigkeit.*
cymalif — hinterlistig.
cyMalaH — listig sein.*
CTo6bi (eig. wctoSm*) — auf dass (Russ. HTofibi).
n.
na, na — Fragepartikel ; etwa, enclit. Gr.
na-na (6a-6a) — entweder-oder; Gr.
112.
112.
nai
reich.
naipaM
grosses Fest.
naipa&ma
ein Fest machen.*
nar
*
naga
nagajak
Strick, Riemen.
Frosch (auch: naga najreak*).
Ferse.
na3a-
nacka
Schwager.
- Kopf, Preis; Anfang.*
nacTa (nacnpobm) — anfangen. Ger. uacran
anfangs.
— noch; na3'ok — wiederum.
- ein Anderer, ein Fremder;
ausser, ausge-
nommen.
mi nacka — nach zwei Seiten hin.
nacka
nackbic
Hammer.
Treppe.
nacTbi — j iingere Schwagerin.
nacTbik
na3ap
FUrst (in Marchen) von nac
Markt.
nac (na3ap6bm) — 1) driicken; 2) treten; 3) schreiteu.
nackbijia (nackbuTpftbra) von nac (iia3apobin)
driicken, treten.
na3bip — Karausche (Fisch).
na3bip (na3bipap6bm) — beten , bitten (eig. sich ver-
nanka
nao"a
neigen*).
- Knochelchen (Russ. 6*ao"Ka).
Vater.
177
des Sciences de Saint - Petersbourg;.
17*
nep —
neMp
hierher.
nopaH
Wirbelwind. Buss. 6ypam> *
Stelle, wo sich zwei
(Russ. ycn>e*); Mundung.
Fliisse vereinigen
nopcbik — Dachs.
nopiio
Blume.
Dip
ein.
v» v*
mpinni
der erste.
nip kaTTan — einmal ; einst .*
<
nor (nogapCbin = nop6bm) — einschlicssen!
no'rkbi — gebratener Brei. Russ. cajiaiviarb* od. Kama.
*J ..
nepira
iiltere Schwaserin.
&
nena
nee
altere Schwester.
fiinf.
ne3myi
der fiinfte*.
noAbik
nona
weibliches Geschlechtsglied.
Residuum der Airan-Milch; die zu Kiisc be-
noc
ner
ner
nel
nel
ne361aij — alle fiinf.
ne3ap — je fiinf.
fest, kraftig.
neKTa (neKTip6ra) — befestigen.
-Herr, Stammanfiihrer; Beamter*
1) Giirtel; 2) Bergriicken.
Taimen (Fisch). (Russ. TaiiMeHb*).
neliiH — fertig.
nee
neT
ne3iK
nelarra (nelaTTlp6m) — bereiten.
Kandyk-Wurzel (Erythronium).
freilich (Russ. B-EAb).
Wiege.
noc
noc
reitet wird.
frei, leer.
no3biT (no3biAap6bm) — freilassen.
nocTbif — Madchen (eig. ledig).
Strumpf- oder Schuhband.
tr&chtig.
no3bipak
rothhaarig;
Sonntag (aus clem Russ. boc-
no3bir
KpeceHbe).
— Nagel .
noK (nbrap6iH) — verstecken.
noril (n6rilap6in) — sich verstecken.
noc
eine Art Zeug (Russ. KHranKa).
nbipgbip (nbipgbipapSbm) — prusten. Russ. *bipKaTb.
*
nbickak
Pfote.
nbinak von nwc (nbnap6bm) — Messer.
nwc (nbmap6bra) — zusclineiden.
nbiubuak (audi : nbi3buak*) — Speise aus saurer und
siisser Milch, wird statt des Brodes gegessen.
noayr, no3yK (auch: ny3k*)
hoch.
S^
ny
no3yr ai — Februar-Monat, da die Sonne hocli
uber dem Horizont geht. S. Mel. Russes. T. Ill,
p. 313.
dieser. Or. § 57. Seite 22.
m
v^ • • •
Stute.
- neulich (Russ. AaBirea*) ; vergl. naja
nya —
nila, nila — mit. Gr. 8 100. S. 63.
nil (nilap6iH) — wissen, begreifen.
nila (nilIp6iH) — schleifen, schiirfen.
nils (auch : nylii) * — Schleifstein . *
HIT
niAl
Laus.
also.
nyr
nygjiyf
Gen. MbiHbin: — dieses.*
Bat. na — diesem.*
Ace. MbiHbi — diesen.*
Loc. MMHAa — hier (eig. in diesem)
MbiHTmp (audi: nep) — hierher.*
Mbmaij
MblHUa
Mbin^af
Zorn.
von hier.*
so viel.*
soldi ein.*
bose; zornig.
*
ny§a
Stier.
ajia nyija — Barsch (Fisch) ; (ivortl. bunter Ochs).
*
nUa (nijup6m)
beschmieren
nic
1) Schneide; 2) Ahle.
nic
mcTir
wir.
nicTl
scharf.
unser.
Perle.
-schon (vom Manne); heilig.*
norjo
nopa
noji (nojiapSbm) — werden.
nojibic (nojibi3ap6bm)
Weizen.
Elenthier.
Winkel ; Ecke.*
"Wolke.
h elf en.
nopa
schwarzgrau. Russ. chbmh (vom Pferde).
nypai
nyjiaH
nyjryii
riyjiyT
ny JiyTTbir — wolkig . *
nyjrga (nyjigipSbm) — mischen.
nyjiKOc — Mischstock (Russ. m ecmo).*
nypyegw
nypyH
der Frtihere.
Nase, das Vordere.
Bat. nypyHga — nach vom.
12*
17f>
Bulletin de l'Academie Imperials
ISO
Loc. nypyma
AbL nvovHHa]
vor.
von vorn.
7
nypyag ap
nach
rr rr
nypynnbiii yay
Ntister
Nasenlocher
nypyHHa (nypyHHip6i>m) von nypyH — vorangehen, zu-
IIJT
nyc
nyc
ny.30 (auch
vorkoramen.
Lende; Fuss.
Eis.
zerbrechen, zersto
ny3yji (ny3yjiap6bin)
Kalb
brechen
"
«y
rr
nyn —
nyKTyp
Netz {Buss. ctTb); vergl. co3ip6
- Wiese.
Hiigel
n? 15 (irilG) — Schleifstein
"yp
Blatt
ft
nyp
yplir -
Wolf
blatterreich
nypyHKi — Dammerung
rr rr
nypyHKua
der Dammerung
ff
pilK
rr
rr
Niere.
Miitze
nypyK —
uypcy (eig. mpci — ander)
Tana' ypfryn*).
r/
ubermorgen (auch
ny ky
diesen Tag
heute
rr
rr
heutig.
*
rr
nynry —
uyqypO — Kase.
uyayH — ganz.
1, U03VK — hoch; Hohe
rr tf
npai [eig. nbipai
iibipai ne
npo {eig. nwpO
ubipojibir
;*
alle.
iiberall
- Schuld.
schuldi
&
M.
Maiiwak — Stiefel.
Maknac — holier Baumstamm.
juakTbi
Weichen, der weiche Leib.
Mak (MakTipobm)
loben.
Mauaii
Maq
falb (vom Pferde).
Zeit; Musse.*
MaiiHaH (MaqHaHapdbm)
Aiaj
Vieh {eig. Habe*).
fertig werden, zurecht
kommen.
Maq3bipa (MaipbipipoMH)
— eiligst.
eilen.
Mai{3bipi
*
Mai[3bipaT (Mai|3bipaAap6bin) — beschleunigen
Mapka — Knopf {aus dem Buss. iwapKa*); kaum (?) (bei
Mac
Castr.).
- Bremse {Russ. oboat., nayrr
*
MeKKa — Betrug.
*
betriigen.
Melai — Handschuh.
Men
ich. Gr. §53, Seite 21.
Mem
mem.
Gen. Memi\ (auch: Man,)
Bat. Ma, mE (aus Maga, Mara)
meiner.*
mir
*
Ace. Mem
mich .
*
Loc. MeHAa — bei mir.*
Abl. MeHHaq — von mir.
*
MeHAip
MblJITblk
Quappe.
Flinte; auch: Heilandsfest (den 6. Januar,
den 1. August und den 6. August, da man zu
dieser Zeit Flintenschiisse abfeuert).*
Mbipa
MbiHAa
Plotze {Cyprinus rutilus).
hier.
Mbmaq, Mbmauap
von hier.
MbiHAar — ein soldier also. s. 6y.
*
Gehirn; Mark; vergl. mlia.
Mic, mi {eig. Mec, Me
Knochenmark*.
MoiApwk — Kragen (von MoiH, mojmh
Mojbm {mit dem Suffixe der 3. pers. Moiimi)
Hals*).
Hals.
MOJiaT
Stahl.
MOJiTbipbik — Nacken.
MOJiuak
Myigak
MykcyH
mvij
Termin {Russ. cpoKi.*).
Hirschkuh (auch: Maigak).
gepflanzter Lauch.
tausend.
MyHAar {eig. MbiHAar) — ein solcher.
MVH3ypbik — Faust (auch: HyM3ypbik*).
My Mak (auch: MbiMak, HyMak, yMak*) — March en.
MyMak caji (cajiapSbm) — Marchen erzahlen.*
MyMypTKa (auch: HyMypTKa)
Ei.
*
MyMypT (auch: HyMypT oder HbiMbipT ) — Trauben-
kirsche. {Russ. qepeMyxa*).
ir
Mye
Fischsuppe {Russ. yxa*); Suppe.
rr
MyH
Mye
(Myiiapom) — zu Pferde sitzen.
MyeAyp (MyHAypapSm) — auf's Pferd setzen.
Horn .
MycTyf — gehornt.
My3yK (auch : ujteyK, no3yK) — hoch ; Hfihe *
181
den Sciences de Saint- Pe*<>r*bouru
18«
II. Heldengesang.
Ilyjiyq iepiH qeplan-qaAbip
w w
nyjiyii cyH lqin-qaAbip
ak TackwjiHbiif ajiTbiHAa,
ak Tajiaiiiiiiii kasbiH^a;
en caJi-qaAbip
ag-oi arrbif AjiTbiH Kan
Ajitlih Apwr eHailir.
Ilapbiiiaii cbikkau najia3bi qogbu;
Ha3bl TOJIAbipa MaJMblF,
ylry3y-Hok qoH-ok.
Oji kapa3bm koH-qaAMp
arrap Taij arrbm-KeluiK,
apbir KyH cbigbin-KeUi,
ajiT-OH ackan Ajitwh KaH
ajiTbm cipaAaij Typyii-KeUi,
mugajibin-qopin T0HaHbi6-ajiAbi,
Tackap cwga-koBAbi,
apaenyjia ag-oi aAbm
qyryp-qopin qyraH cykTy, l)
eolp-qbpin e3ap cajiAbi,
Teiu Tepm TepiHin-naAbip, 2)
TeMip kyjak Ke3iH-qaAbip ;
apbif nypyrua ok-caAagbiH
ac nelm KypqaHbin-qaAbip
EhM Ajitwh Apbir
cbigwn-KelAi:
« Ajitwh KaH ajgaHWM,
kaiAap nap-qaAwp3aii?»
Ajitwh KaH anqak cOlan-qaAwp :
«KaAapgaH ManwiuHw caHHan-KellM,
kajiak qoHWMHW norin-KeliM.»
Aawh kaMnwjian qopm-cwkTw;
ak qa3w TOJAblpa kaAapgaH BiajMH
• • vr
caHiian-Hopin caiibm ajiAbi
>
kajak qoHwn nOrin noriHiH aJiAw,
qa3af qSpraHHi3)
lake' aTka MyoAypAy,
qwjiac MopraHHi
qakew Ken Ke3ipAi.
EpTiiH napgaH Ajitwh KaH
1) Castr. saktc.
4ader
IpAa HaHbi6-OAbip,
e6ma Kelm aAwii najigan-caJAw,
e3iK aqwn Kipin-KeUi.
«E3au 0Abip3ai}-Ma,
ajigaiiwin Ajtwii Apbir ?»
«K3ilH OAbipfiblH,
5 1 Ajitwh Kan ajiganwMw.
Ac cajibin a3pan-qaAwp
apaga nepin cwuan-qaAwp,
ac qin TOCTbi,
apaga Iiin esipAi.
10 1 «AjigaHbiM Ajitwh Apwr,
qok qokTan-nepiM,
ecTap3aii-Ma? »
«Hog' eenanau,
AjgaiibiM AjiTbm KaH?»
15 «Ha3bi TOJIAbipa kaAapgaH w(5wc Kon,
20
30
35
40
45
50
55
en TOJIAbipa qwgaH e3io"ic Kon,
ICTi6iCTai[ cbikkaH najafiwc qogwji,
ajiT-OH qacka qa3w6wc qeiri
ka6bipgaAaq kapwHAac qogwji,
TygaHw6bic nicTiij qogwji,
qa3bi TOJIAbipa kaAapganbiSwc
qakew qoHHi noji-napap;
en TOJIAbipa e3io"ic
el qoHHi nojibin-napap».
25 | Oji kapa3bm koHwn-qaAwp ,
airap Tai{ aTTbin-KeUi,
apbir KyH cwgwn-KeUi, 4)
ajibin Ajitwh KaH Typyn-KeUi,
60
65
70
3) Castr.:
anene
Tackap cbikfbi;
qanbii} karriH ajuw,
okTblll KOH131H ajiAW.
Ajitwh Apwr emii :
«AjigaHWM AjiTbm Kan,
kaiAap na3'ok napwn-qaAwp3aii?»
«Ai}Han-KeliM,
kycTyi{ ceMi3iH ajibin-KellM,
ai{Hbii{ kapa3bm 8Aip-KellM».
Tajiai kacTi qopTbin-cwkTbi,
kaHaiTbif kyc KopfiaAi,
Taiga kbipiGbmaii qopI6-OAwp,
ai{ Kop6a,Ai AjiTbm Kan,
HaiibiC-OAbip,
75
so
4) Castr. schreibt: &ra ktiii segap kilde.
183
Bulletin de l'Acad&tiie Imperiale
184
cmh ycTyHa HopTbin-KeUi ;
aji koeubigbi,
el hohmh Kopin Typ-qa^bip
apga qonnbii} opTa3biHAa
yc qbijuibir ojiak na3bin-napl;
kajibiH e^iHAa,
kaTTbif coriHAa.
qy3y qogbui;
ny ojiakTbii{ kapagbiHaij
nyjiyT kbmpa Kojin-qaAbip,
kapa MepHiij kapTW3bi
CbiSbipa5) Kojin-qaAbip.
AjiTbm KaH aHbi Kopin,
kapAaij ak cbipajbi
kapajia TapTbm-Typ;
kaHHaq kbi3biji cwpajw,
Kyl-inlan kapa TapTbin-Typ.
«KaAapgaH uemii M&iMMHbi
ka^apbin qipra Topin-Tip,
kanragbi e3iMHi Ke3apra Topin-Tip,
ft *r
Iiia3iHiii| eiwraH cyAy
«• W ..
oAipara KepaK».
Aamh KaiwijbiJiaAbi,
ajga Kipii oi-aan-KelAi,
a^biH hoc TacTaAH,
e6ra Kipa-koHAM,
ajiTbifl cipara OAbipa-TycTy .
Aoakai qakcbi AjTbm Apbir
ac nepm-qaAbip
AjTbm KaH ac qiom-qaAbip,
apaga nep3a icnm-qaAbip,
Heiwa cyp3a Tanca6m-qaAbip.
«Aji§aHbiM AjiTbm Kan,
aaaija TapbiHbin — KelAiH_-Ma?
qlp ac caga qogbiJi-6a?
Ke3ap Ken cap qeraaAi-Ga?
MyHap aAbii{ caga qok noJAbi-6a?
h5 Hema hiai TapbiHbin — KelAii|-Ma?»
«EHai AjrrbiH Apwf,
h<3 Heiwa cen
i_#
ip3aq ,
qaqbiij y3yH, cagbmyaq kbickak,
ho Heiua ceH kaT K131
ho HeMJi ceH nilnapait!
kaAapgaH hictih. iwajibiGbic
5) Cast r. sebera.
85
90
100
105
110
. 115
120
125
kaAapap Heiwa Topin-Tip,
kamagbi hictiii e3i6iCTi
130
Ke3ap Heiwa Topin-Tip
?
O K/ *,
tf tf
nja3mai{ eMraH cyAy
oAipara KepaK;
yc qepAiiij Ke3in — 0Aipa6m.»
Afiakai qakcbi Ajitmh Apwf :
«AAaJbif aAaijHbi aHbi OAip,
yc qwjijibif ojakTbi qep 0Aip-6a;
kayaH-AS caga nojibmp, apgwe nojiap,
95 | lCTiijBaH. cbikkaH najia caga no.nap.»
«Ikki Tyjiyqeyr kaT kM,
ceH ho Heiwa nilnaH3&Hj»
Ajitwh khiJii.iHbiH ka6-ajiAbi,
135
140
xackap cwga
kOHAbl,
kbiiga
cajiAw: «Togbic ajiwn,
Ta^bipak KeliH_ap!»
145
Togbic aabin nypyKTapiH
kojiTbikiapwHa kbi3bin — KeUilap.
«Yjiyr ner kaHbifibic,
HO KepaK HOJIAbI?»
«Ajibin qakcbuap,
Togwc ajiw6biM,
TeK Ta6bipak!
yc qbijubir qbuiac ojiakTbi
150
\J \J
Tin TypgaH
tf
cbih ycTyHa
Ta6bipak agbMbiijap,>>
155
KOKcan
qajlbip
Togwc ajiunTBi.
AjiTbm KaH Tin TypgaH
i
it
tr
cbm ycTyHa
napbin, qajiSak Tac KOAip
100
Kelin,
fr
Cbm ycTyHAa cagbin, Typyn
Apga qoHHbii| apa3biHAa
yc qbuijbir qbuac ojiakrbi
Togwc ajibin koJAaif, nyrTaif
qaAbip
1G5
ka6
ajbin
qepra-Aa TapT6m,
• • %0 \J
KOAipm
Kelilap.
Yc qbijuibir qbuac ojiak:
«KaHHbi3bi kaH Ajitwh KaH,
170
W SS
Kiqir Mernn. no3biMHbi
OAip -6a!
iCTii|Haii cwkkaH najiaij iweH nojiapfibiH,
OAip-6a !•
^i
185
dcs Sciences de Saint - Pe^ersbourg.
IS6
iaAwp3aii
Kelin
\
A-htmh KaH anqak:
((KaAapgaH waJibiMii
kaAapapga qoiliimn
Ten Tatfupak agbuihmap
qa.a6ak Tacka qancbipa
MoiHWH cajbiujap !»
Togbic ajbiii KOAipin
qajioak Tacka qancwpa
cajAWJiap.
Ajibin TopaH Ajitwh KaH
MOJiaT kbUIbPIblH
ka6-ajibin,
yc HbiJiJibi? ojiakiaii
MoiHbm Ke3apra-qop,
afiakai qakcbi Ajitlih Apbif
kbickbip6iHai{ 6) oijian-KeUi:
«AjITOH MaCTblf AjTTblH KaH
yc qbijijbir qbiJiac ojiakrbi
anw oAipraHna,
elir qacTbir
A.iTbiH Apbir MeHi OAip!»
Oijian-Kelin
yc qbixibir qbiJiac ojiakTbin.
ycTyHa qaAbi6-bicTbi.
«Meini| co3imhi ecna3aq,
kaA ok MeHi ny ojiaknbmaii
Ke3in-caji».
AjiTbiH KaH anqak
kbiJibiibiH mprap TacTa6-bicTbi
kaMybi3bm ka6-ajibin,
AjiTbiH ApbirHbi
ikki Tyjimaii
ka6-ajbin cojbin-qaAbip;
i
qeTTipii
kaaiFibi
Ajthh Apbir
Tajbin-napAbi.
Ka6-ajbin TacTa6-bicTbi ;
kbuwnbiH ka6-ajbin
yc qbijuibif ojiakTbiij
MoiHbraaii canqwk,
cankaH aHbiij
kbuibiqw TblHMaAbi8).
«KbUbic caga TbiHMa3a,
6) Castren: kaskarebenag
7) Castren: bolbin.
8) Castren: tenmade.
175 Togbic a3bip MOJiaT qbuaiu
Tbmap noji6a3bin».
^IbiAasbiH kaG-unuk,
KyrypT-qilan Kysypan-qaAbip,
Togbic aibiiiTbi kbipbi3i»in-liaAbip:
180 1 «Ten Taobipak
aqwijap kojiTbigbiii
qbiAa6bmaii qaqapga. »
HbiAasbi TbiHMiH-qaAbip.
qbiAaiu caga TMHMa3a
185 | KypiiiiKHa nicrir ogbiM caga
TMHap noji6a3biH.»
Ag-oi aAbma ajrraHbi6*-ajibin
190
195
205
215
220
225
230
Ajuai cbm ycTyna
kbiiga-cajiAbi :
« Togbic ajibin! qajiSak t63ih
aqbin-nepiijap.»
TapTbin-Kelin, 13aH.iL cipiurin,
qa3bin TapikaHAa,
apaiiuyjia ag-oi aT laaqaiia
kapa qepra Kip-napi;
epiaH TapTkaH qaabra
ipAa H03biAbin-TypAy,
Tacka qilan Ta3buii-TycTy.
Ajitwh KaH kopbigbm-napAbi,
200 | eolH-3ap oijian-CbikTbi ;
yc ibMibir ojiak Togbic aJibinTbiij
kojibmaq cypa-TapTbiHAbi,
Ajitwh KaHga kbiiga-cajiAbi :
235
240
245
«Hogap KyAai Meei qajan-Ty3ypran
caga Ajitwh KaHga,
napbiquau cbikkan na.ia nojiapga;
W -. V
ceH Meei (Uipara noj-qop3ai},
oh qeTTi qep ajiTWHAa
kwpwk KykaT TaijAa
210 1 caga qiuan Kelapra qijplap.
Togwc qep 03apbiHAa
Togbic kyjiac cwinibir
kbi3biJi kop9) aTTbif
250
255
Karrai Ajibin
Togwc kaaHbiq na3bm nilin-qaAbip
a.i6aH aj-qaAbip,
kbipwk KykaT, ojiapHbiii Haiubbiw
Karrai Ajibin
200
9) Castren: kar.
197
Kul let in «lc» l'Acad^mie Imperiale
188
*
TaqA ok Kelapra Hopl&p,
eAiiiHaq Ke3in HwpTaplap,
kaiihu[naii aijbi3bin
cyf-Hiliin inipaplap;
men ceni K6pin-Typyn nojibicnacnbm.»
Eai Ti6lnai{
kapa kopgajiijbiH nojibin
kapa nep ajrrbraa
kajbiJbin Ty3y6-wcTbi.
AjiTbm Kan e6ina Kelin kopbigbiu-naAbip.
«Ho HeMiiHi yc Hbuubir
ojiak colaAi?»
i
«EHajiM Ajitwh Apbir!
oh Herri Hep ajTbiiiAa
kbipbik KykaT ny nepra
cbigapga noplap,
kbi3bu kop aiTbir
KaTTai Ajibin
TO§bic kaHHbiii na3bm irilin
aj6aH ajbin-Ha^bip,
kbipwk Kykarrbiii Hainbi3bi
KaTTai Ajibia
ka^'ok nicTi najiipga
epTan-oK Kelap,
Yc HbUJibir Hbnac cuak
Cbm-Ma, TaiMa-6a10) colaAi,
enajiM Ajithh Apbif ?»
Ac nepin a3pan-ia#bip,
apaga nepin cbikan-naAbip.
Arrap Tag aTkanna,
apwf ") kjth cbikkamja
lKKolaH. iqi3i6-0Abipjiap;
a-rrap TaqHwij co6bmai{,
— ff
apwr KyHnyq ajrabiGbiHan.
yjiyr nei noj-naAbip,
apannyjia Ta6aiibi yjiyf nacka nilan,
aT apaHuyia
TbiHbi yjsyr nel nil an
kojiaG-oflbip,
AjTai CbiHHbiQ ycTyH^a
ajibin nakew KeUi.
«Af«oi aT napa-6a?
10) Castren: senma taimeba.
11) Castr6n: ara.
265
270
275
280
290
295
300
305
AjiTbm KaH TeMAS,-6a?»
Ajibin qakcbi Ajitwh Kan,
oji kbiigaHHbi ecnmaij
Tackap cbiga-koeAbi ;
AjiTai CbWHbi K6p3a,
kbi3bui kop aTTWij ycTyHAa MyHraH
ajibin nakcbi KaTTai Ajibin
Typyn-iaAbip ;
on Herri Hep aaTbiHAa
Awaiibiij na3bm mlin-naTkaH,
kbipbik KykaTTbiif
310
315
\J
yjiyr nena3i KeHAip TyjryHHjr
yjiyr ajbin KykaT MbiRjC ok Kelfip.
Karrai Ajibin, Hainbi3bi,
kaA' ok KelTiplap.
Ajrrbni KaH apaHijyja
ag-oi aflbma ajiTaHbin
AjiTai cbiHHbi
KaTTai ajibin kbiplna nopTbin KeUl,
mp-A& Heina colaoaAi,
HakTaij canTbi KaTTai AjibinTbi,
aAbmaij aqAapa ca6-biCTbi (1).
Kairai Ajibin Typa-koHAbi,
235 I oijian-uelln Ajitwh KaHHbi
HakTaq-ap-ok canTbi,
aAbmaq anjiap' ok canTbi (2);
320
325
330
Ajitwh Kan
ka6bi3bin KypMn-napuap
ff ffTZmm.
Togwc KyH Tapa
ff
>9 ^
Kypa3in
j
*.
335
tr
»
TOgbIC I
Ajttmh KaHHHQ Kjfay ^eTfliH-napi
yc HbiJiJibir qbuac ojiak
cbin ycryHAa ToSbipak nojibin
ky6yjiyn-naAbip ;
kbipwk kykarrbiQ yjyf neuasi
OjiakTbiij naTkaH HepiHan ycTyHa
OAbipbl6-bICTbl 12).
Ajithh KaH kbickbipbin-naAbip :
«KaAapgaH niajibiMHw nepiM,
apbif TbiHbiMHbi caji!
Mem OAipoa
ajiwn nakcbi KaTTai Ajibin!
itiajibiMHbi aji6a3aii,
340
345
12) Bei Castren wird uberall «este» gebraucht
IS!>
des Sciences de Saint- Pe^ersbonrg
100
qoHbiMHH neplM»,
na3bipbin-iaAbip
Karrai Ajwnka.
" - — — i
Yc ibijuibir qbiJiac ojiak
Harbin TbieraHMaAbi,
KykaiTbiq ajiTbiHan.
Typa-koiubi.
«HaTkaHbm nil6iH-Aip». (3)
Yc qbijubif ojiak
Typa-koHAbi ;
kbickbip6maq
KykaT kopbigbin-napAbi ,
• KS
a3agbm KOAipm
• «
?
ajiTbma Kopin-qaAbip:
«KaiAaq cbikTbi?
KM nojiijaH-Ma? AiHa nojnjai|-Ma:
Taq HepAaii CbikTbi-oa,
no3biMHaij cbigapa koHAbi-6a,
kaiAi MeH nil6lH-kajiAbiM?»
KepTieMiH KoqyryH TyAyn-Kopin-naAbip
«IIo3biMHai{ cbikniH-Abip,
Tan. nepAan. cbikkaHbm
nil6aAiM . »
KykaT ny djakn»iq coHaij Kopin,
lancbin 0Abipbi6-naAbip ;
yc HbiMbif ojiak
oijian-napbin
AjITblH KaHHbl
KaTTai AjibinTaq cypa-TapTbitf-aJiAbi ,
KeAap iai6-icti,
no3bi Karrai A-ibinka
kan-TypAy,
ac nelA&ii ka6-ajibin
nepra ca6-bi3a-6epAi,
cackaH nip eAi nok-noJAbi (4),
aAai najigip kaew nok-noJiAbi (5),
Karrai AJibinTbi OAipin-cajibin,
Tapbmbi6-bickaH , TyAap HeiuaaiB Tannit
nopm-naTca, Hep kbiiMbipl Tycry,
KecTiHAa OAwpgaH
KykaT nepm TajaHbin
Typ^6-OAbip§aHAa
Hep kbiiMbipan-^aTkaH ,
yc qbujibif %uac oaak,
KykaTTa^ kopbikniH,
KykaT- cap yAp* ok
Tome XXXI.
350 1 iyrypyn-Keli,iiK,
cagaiu kaGapga erri ;
nogap rypgan KyAai
355
360
365
370
375
380
385
390
\
395
V# V»
rr rr
;
nwiK Ty3ypAy,
yc HbiMbir ojiak
400
*-» v
ny ninnm
ka6-a.n(ibik, Kopin Tanwn
kbigbipbin-naAbip ;
nip capiH KykaT
Kopin kbigbipbiS-ok-^aAbip.
By oJiakTaq
TyTkaH capi KyAai na3bin-Tbip,
KykarraH, TyTkan capiH
Hep ajrrbiHAagbi AiHa na3bin-Tbip :
yc Kyflra TEpa MOJiuak ca-ibin-Tbip
nogap KyAai
KykarabiHaq yc Hbuuibif 13) ojiak
405
410
f/
••
•• _ V
Kypacna3iH.
ff^ep ycTyH neKTao"-ajiiM,
ny^ap
If
Kypacca
nep cbiAan-noji6ac.»
yc Kynra TEpa nogap KyAai,
tooIh AiHa MOJiuak
cajn>in-nepTip nyjiapga.
yc KyHra TEpa nyjiap lKblaq
115
4^o
•■• *•*
qopin-iaAbipjiap ;
yc KyHHyq na3bi
qe Ain-Kel ai .
Kykarabi
ojiak
in KypacTilap,
Tar Tajiajibin-qaAwp,
Tajiai cajigajibin-naAbip,
qep a.iTbiHAa§bi Aina
nyjiapAaij kopbigbin-naAbip,
425
tr
Tenp ycTyHAan
KyAai kopbigwn-naAbip ;
Herri Hbu Kj^pac-napuap,
430
Herri HbUAaii epTin
1
Togwc HbiJiga neAin-napuap
Tbiij TapTbickaHHapwHAa
eAaKTapiHan. nelim
kaHarTbif kyc koh caSbuiwr
asakTapbraaij nelim
kapcakTbif ai{
435
13) Bei Castren tiberall: 4elyg.
13
191
Bulletin de l'Acadeinie Impe>iale
ioa
Kon olin-napl;
kapa <iep KOAipin
qep aiTbrna
tf tf
Ty3yn-napuiap,
yc Hep ajn>mai{
epTi6-0K cwkThiJiap,
aHa^-ap oh Herri Hep aJiTbraa
KykaTTtiij HepiHa
qeAi6-OAfcipjiap ;
yc HbiJiJbir ojak
K6pin-napl3a ,
kapgaHajibir kaja Typyn-iajibip,
oh Herri ^ep ajrrbiHaij
03inTip KyHHyr lepra
ny kaja.
Oji kajaiibiq
\j v/
e3in aibUbin-napgaH Typyn-najibip ;
KykaT aH^ap TapTbiHbin
Kypa3in-iaAbip.
Yc HbiJObir ojak
nilin-napl :
aKykaTTbiq nepi ny kaja
HOJIblHTbip. »
Yc Hbijuibir ojiak
anbi HlllH,
KyHHyr lepra,
rr .« o
TapTbiHbin Kypa3in-iaAbip.
Ai ajbickaHi/a,
hmji epTicKaHD^,,
yc HbbMbif ojiak
nip HeMa nI16iH-napAbi.
IIiliHin-Kel3a,
kapgaHajbif kapa kajanbiif
IcTiHa mpin-naplJiap
KykamwHaq kaa' ok;
kajaHbni IcTiHa Kipin-napgaHAa
coHaq e3iK Ha6biJibin-napAbi ;
kajaHbiQ icTiH^a
ojiakTbiii a3aK,bwa, koJbma
Togbic ka^biJi toh_ MOJaT Ke3a,H
cynj Jjibi ;
bipbigbiHaH. orripa,
kyyagbiHaii Snip' Ok
nee ooa kan Teripra
• • w
Cbinapa 03in-napAbi;
yc HbiJiJibir ojak
480
485
440 | oji ofiaHbi kynakran
Typy5-biCTbi.
KykaT Ke^ap napl,
Kopm-Typ^n
kaTkbip-na^bip.
I
445 I «Ki3i6iHaH_ Tac nip noJinaH_-Ma?»
Co^an. kbiipak ka6-ajibin
Tacka kajbipbin-iaabip,
kajibm ny^yH kaainbiJiaAbi
no3bm no3' ok,
45o I kajibm e^iH ca6biHbin ,
490
495
ft —
KyHHyr qepra
qyrypyn-CbikTbi,
tr ff
rr
KyHHyr Hep/ia nyrypyn
AjiTbiH KaHHbiij HepM
455 I Heain-KeUi.
AjiTbiH KaHHblB. aJlTOH
ackbipjbif HbiJiKbi3bi
ak TajiaiHbnt ku3biHaH_
500
W V
cyr iHin,
460 1 ajTbm Tackburga ,
CbiKbin nap-na^bipjiap.
KykaT oji ibijiijbiJiapHbi
505
Kopin aH^ap nyrypyn-napi
\J V
yjiyr rihit m MajiHbi T03a
4G5 | KOpin nop-naAbip.
Togbic nyc Majrabiij na3bi (6)
510
r f —
ajiTbm TyKTyr ag-oi m
kyjiyHbi noijbiji.
KykaT aHbi nilniK,
470 | ajtija Kipa oijian-KelniK.
Yjyf , KMf, nakcbi, na6aji,
cwgap, akcakTbi, T03a
Kopin-napl,
Ajitwh Apbifra Herri,
475 I AJITWH Apblf HblB.
515
520
• •
• •
• ft
eaariH a%m-Kop3a
najiasbi Hogbu
KykaT Tackap cbiga-koHAbi,
Hepmif TaMbipbm Kopin-Tip.
« Ah. nojibin nyrypyn napgaHbi hokm
yc kbip a3bipa, yc oiHbi Kenip&
kon Tilan h6 pin- qaabip ;
yc kbipHbiq 03apbra^a
525
14) Bei Castren: dogol.
103
des Sciences de Saint - Petersbourg*
194
Terai Typyn-qaAbip ;
oj Teraira oiJian-Kel3li
ak kyjiyHHwij 131 MbiHAa qaAbip.
« A amp , ak kyjyH !
kapa qep kaTTbir nojrap,
kan Terip ny3iK nojiap.
Meimaii kai^ap napbi6-03ap3an ? »
I3i6maii icTan qyrypyn-cbikrbi ,
ak kyjiymiak Taiwan. Taffa,
V ^
kbip^an kbipga kajibin qyrypyn-napTbip
HeTTi Terip qepm
OTTin-Keba
ak kyjyHHbi
apaeiiyj' aTTbir ajibin qakcbi
kaqbip3bin-napTbip ;
KykaT aHbi K6p6"iHai{
kaTkbipbin-Ha^bip :
«Aflbii{MbiHai{ HaiybiM
Memij noji3bm,
kapa kajnap aTTbif
KaTTaiinyjia ajibin;
Ky^ai nyAypran
KyHHyr qepAan ocKaH
KaTTai Ajibin olin-kajgaii ,
na3a nipci
KaTTamiyjia HainbiM
olap-6a, qok-na?»
Ak kyjiyH-Mbmai{
kajrrap aTTbiij
e3iK cwHHan K6pin-napl3a
ak kyjiyHHbii{ nip kajiagaii "
kajiTap aT iki kajibin,
qeAipGm-napTbip.
«AAbiijMbmaij KarraHnyjia HainbiM!
tuqinaK ak kyjiyHnak
anbi-Aa qeTnm;
eHai MeHiia-Aa qogbusaip)
KajLm e^iH
no3bm no3'ok
kaianbiJiaHbin qyrypy n-cbikrbi ,
kajrrap aTTbiij iki kajagaH
nip kajiakka kajibin qyrypyn-cwkTbi ,
ak kyjiyHHbiii leraii Icba
na3bin qyrypyn-napi
>
tf
yc qep 03apmAa
kapa kajrrap aTTbif
530
535
550
570
575
KaTraHuyjia Haiubi3biHbi epTin-Cbikrbi
nip-Ail HeMil cola6aAi;
aHan_-ap ak qa3bijia
ak kyjiyHHbi Kopin-TanTbi, ,
KftpraH qepra qeAiG-OAbip;
ak kyjiyHHbiii nyqy aj6iii-napi.
«Kajiak cem, KykaT,
aAHM ag-oi ackbip Typgan,
580
V ..
qepman. nipa-TaMbip
ot qyjiyn qaH-noji3aM-*
540 iuaM ajiTbm TyKTyf ag
585
— ••
W --
[ eMnannan.
nipap kairan eMin (auch: In)
ajgaH nojraaM-qi!
KyjiyK
i
590
545 Ajithh KaHHbiii ak TaJiaibiHaij
caMjak
.
cyr lCKaH nojraaM-1
Kajiak ceni KykaT
Men caga AiHa
qeiTipauikniH-Ma ?
Hogap Typgan KyAajbiM
ny nyHHaij apwf Kyc ko3a-6ep
ny KykaTTaii
kaiAi nojoa Hm KylyKTy
555 I ajibin-kajiiM. »
Toe qogap KelraHAa.
KykaT qa3a kan-Kelm,
eHnaK tooIh noJigaHAa
ak kyjyH bipan napbiG-OAbip,
560 1 qyrypy6-0Abipbin
cagbi6-ajiAbi Kykarrbi;
cagaM Kelin,
595
600
605
TyAapga qop ,
ak kyjiyH apaHnyjianbin.
565 I Tbiiibi3bi-nbinaii nbipgapwO-biCTbi
Yc KyHra T&pa
G10
Ty6aH Ty3y6-wcTbi.
KykaT ak kyjyHHbi
K6p6lH kajiflbi.
«TaQ qepra KipAi,
Tan. Teripra cukn>i.»
Ily TySaHAa
KykaT a3bin qopm-napAbi ;
615
15) Bei C astro n: eap.
13
105
Bulletin de I'Academie Imperiale
100
rr
•*
- -
i
?
Hern Kynra Tapa a3wn nopin-qaAbip
ak kyjiyHHtiij napgaH qepiH
mla-iogbiji.
CoH^a kajgaH KarraHuyjia
Ty6aHHM eSIpin epTin
ak kyjiynubi kanbip3bi6-ok nap-naAbip.
KykaT ny Ty6aHA&
a3bin elan-Hop-naAbip.
Herri KyHHaij epTKiiHAa,
akcbin a^bin,
ny Ty6aHHbi
iCTiHa TapTbin-iaAbip,
yc KyH aqbuioac
ny Ty6anHbi T03a icTma TapTbi6-aJiAbi ,
akcbmaij a3pan-HaAbip ,
coHaij cwgapAbi.
Co Ty6aH nojibin HaAbin-kaJiAbi ,
ajHbi aibik nojibin,
ak kyjiyHHbi^ 131H
Ta6-ajibin,
aH^ap-ok cypyn ka«ibip3bin-napi.
KykaT MbiH^a kajmra.
Ak kyjyH nilin-napi3a :
«MbiHai|-ap ak Tackburabiij ajrrbiHAa,
ak TajiaiHbii| ka3biHAa
ag-oi aiTbif Ai MepraH
ajibin nap-ipran-Tip
■>
najgbic Ki3i,
napakcanga a%iHuai{ Ki3i,
*• —
aga nap-KopiM.»
Ak kyjiyH
Ai Mepraura qyrypyn-napl ,
ajiubiH Kop3a
ak Tackbu rypyn-qaAwp,
kaHaTTbif kyc
tf
yqygyn ycTyna
cbigwn nojiGm-qaAbip ;
kaHarrbir kyc Tajbin
ff ff
r, it
naHAbipa Ty3yn-MaAwp.
KapcakTbif an kajibin qyrypyn
HaHAbipa Ty3yn-qaAbip
ny TackburabiH.
ycTyHa cbigbin nojiSlH.
Ak kyjiymjak
ak TackbuiHbii[ ycTyHa
Cbigbin-KelAi ;
630
635
640
645
650
655
660
665
620 | 03apbm Kopin Typyn-iaAbip ;
ak TaaaiHbm. ka3biHAa
ajr Typ-qaAbip;
ak opraHiq ajrabiHAa
ajiTbm biCTOJioa,
625 I bicTOJiSa naJigan-cajigaH
ag-oi aT Typyn-iaAbip;
Ajitwh IpraK ak e6mii|
icTiBAa y3yn-qaAbip;
ak kyjiymjak ouan-Kelin ,
najigan-cajrgaH
ag-oi aTTbi
e6ipa qopin-naAbip ,
Kopin epTin-CbikTbi,
najigan-cajigaH
ag-oi aT KiCTiin-qaAbip,
y3yn-iaTkaH Ajitwh IpraK
yckyHbin Tackap cwga-koHAbi ;
K6p3a ak kyjiyHuak
670
675
680
rr rr
nyrypyn-napi.
«Y3yn Kfipom ka.iAbiM,
kaiAaf iakcbi kyjiymiak nap-*iaAbip. »
Aawh cecTi6-ajibin,
esapiHaq TapTbiHbin ajrraHbiS-ajiAbi.
«y3yn-HaAbin K6p6iH-kajJAbiM ,
685
690
rr ..
ak TackbumbiH, ycTyHa
#• —
CblgblO-KOpiM
J
rr rr
ho HeMa cypyn-napi;
qaGaji eTca, na6a3bi erri-m,
KrfinaK ak kyjiyH
ho oo"aji eTKaH
695
ny Ki3a?»
Ak TackbiJiHbiq
ycTyHa Cbigbin-KeM,
kapa kaiTap aiTbif
KaTraHijyjia Kelin-qaAbip
ag-oi aAbm
ak TackbUHbiij
700
03apbiHa neAiu annapbin
TyP5y3yn-cajiAbi ;
Ha,3bm ajibin,
kypjiygyHaH. ok cypbi6-a
705
qaAwp
KaTTaHnyjraebiii a3bip qepAa arrapga
AjiTbm IpraK cagw6-ajiAbi ;
KaTTaHuyjia ny TackbiJiHbi a3bipAbi,
710
107
des Sciences de Saint - Potersbourg1.
TapTtm-Kelin
Ajitwh IpraK aTTbi6-biCTbi.
AHaii Typyn-Kop3a,
KairaHi^yjiaHBi
a^bi no3bi6biHaq qapa arrbiO-biCTbi
Ajitwh IpraK Typyn-Kop3a ,
KykaT Tin Kelin-qaAbip;
4tl3LIU kanqbik,
kypJiygyHaq ok cypywk ,
05WH iaga cajigajiakTa
KykaT qeAin-Kelu ik ,
caGapga kbobicnbrnaq
MaiiHaHMaAM ,
arrapga oknbmait MaijHaHMlH
qaAbin-kajiAbi.
AjiTbiH IpraK a^bma ajrraHAM,
KykaTTbiq coSbraai]
tr if ff
cypy3yn-napi ,
KykaTTbi qeAin-KeUi.
KykaT AjiTbiH IpraKTi
ka6-aJAi>i ,
aAbiHaq aijAapa TapTbiO-aJiAw ,
Kypa3in —
qaAbipjiap
O
ff
• #
qeTTi KyHra 16) Tapa;
\a
If ft
hcttihui KyHyHAa
AjTbm IpraKTi KykaT
OAipin
cajiAbi ,
>
T03yH cora TapTTbi
kokcihih. kaHbmaq
yc ko3oc Mn-cajiAbi;
apbigaHbi ceMipAi, acraHbi tocth.
«AAbip, ak kyjiymiak,
aM-Aa kbipwk hwji Hyryp3aM CbiATp6bm.»
Ak kyjyHuak co6braai{-ok cypyn-napi.
Kwp aTTbif Kapa Moc:
«Yjyf ajibin ny lepmH. ycryHAa,
ny TeripHiit ajiTbiHAa,
Kapa MocTaij,
anai| y.iyf ajibin ecn§,6iH,
Kapa Moc caga noJibi3ap ,
aga-Aa cbiAip KyqyM nap-ok.»
Ak kyjrymjak Kapa Moctwh
nepiaa HeAin
Kapa Moc yjiyf
KelAi.
t
16) Castren gebraucht fast Uberall: kiiqa (kiirja)
108
715
tr
ajiTbiii cipauii[ ycxyiiAa
a.rroii kbLMbif naTkan can-naAwp;
ak kyjiymiak oijian-Kelin ,
kbip aTTbi yc eGipa
*-*
epTin-napAH
5
7G0
apamiyjia kbip aT:
720
725
/
18
730
735
«iiM 17) Kapa Moc
xaobipak cbik!»
Kapa Moc cwga koiiAM.
Kop3a ak kyjiyH qyrypyn-napi.
«IIajaAait iaTkaH canna3aM
uy ak kyjiyHuak™
Kopin-kajiapybiknbiH.
Ag-oi ackbipHbiq
kyjiyHbi okcac,
AjiTbiH KaHHblH;
Toli okcac;
nypyHAa men alan-qOpraniMAii,
ajfbin kajigaH Ajtwh KaH nojigaH;
7G5
70
V-»
740
745
750
755
aiibiij najra3binaij yiyH
obaM, ollM.
Ho HeMa coHaii ka*ibip3bin-Keli-Hl.»
Kwp aAbma ajiTaHAW,
kapa TackbiJiHbiii ycTyHa
cwgapa nyrypTin-KeUi;
ny capbiHaii Kapa Moc
cbigbin-KeUi ,
03apbmai{ KykaT
Cbigapa-keHAbi.
«Kapa M5c yjffr ajibin,
inaga ceii kaAbn-6a,
MeH caga kaAbLi6acnbm.»
«Ak kyjiyHHbi ceH ho eAapra
cypyn-napi3aii? »
KykaT aimij-ap-ok
qyrypin-napi,
Kapa Moc aAbm aijianAtipa TapTbin,
KykaTTbi cypyn-cbikTbi ,
ieAin-KelAi ,
kaMnbi-6bmai{ apga3bniaii-ap canTbi,
KykaT eAi agwpganna
cagaHHaq iiyrypin-CbikTbi.
Ajibin Kapa Moc:
775
780
785
790
795
17) Castren: eiim. Aus &31M.
18) Bei Castren: kulendakte.
199
Bulletin de l'Acad^mie Imperials
200
H&G&i kaMiibi
kbUBic-nbiHaii caoap noa-Tbip
IIa3'ok KykaTTbi
qeAin-KeluiK,
kaMi,ibi3bm Taniopga
kbi3bin-caji4bi ,
kbiJibiqbm cypa TapTbiO-ajiAbi
nelmaij-ap Kykairbi canTbi,
tohwh, ejUH iapa-cairrbi ;
coriHa aH^a Tokrairbi,
19
eAiaaq agbipma
cagaiuiai{ KykaT Kapa Mocrbi
ka6-ajn>in ,
a^bi no3bi- 6biHair
OAipin-cajAbi.
Ak kyjiyH^akTaq-ok
kaqbip3bin-napi ;
ny napbikTbiij ajiTbiHAa
ak kyjiyH iop6EH qep
ka.i6aAbi.
AjiTbm IpraK-nmai{
Kapa MOcTaq nacka
nip Henia Ki3i-Aa
TafibiJiSaAbi ;
qep-6iflaB[ Terip TyriierfiH
qepra qeAin-kajiAbi;
napap *iepi *iok,
HaHAbipa aijaHbin iiyrypI6*-0Abip,
KyHHy eolpa
iyryp-Kelin ,
oj-ok HepiHa Typa-TycTy;
tr tr
qyrypraH i3i-6ieai|
ypT Tajai qapjiaHbin-qaAbip ;
aHbiH. opTa3biHAa
Ke3ilK apbir noJAbi,
oj apbirHbiij
lCTiua Kipi 6-ajiAbi ,
najanagbiH lepra
T9 ff
Ty3ypAi .
Ak kyjyH cypGacTir
kbicka ky6yjibi6-ajiAbi ,
KykaT ypT TajiaiHbiif
kbipma qeAin-KeUi.
«Kajiak! ho iieaia nojinan:
9
19) Castr6n: edeniig aganine.
800
805
810
815
820
825
830
835
840
20
AkkaH cyr-6a, Koiran OT-na?
Kipa-ceripara Hopin TokTaAbi
Maiinagbm cypyn
a3agbmbiij IprartH
ypT Tajiaiga cygyn Kopin-iaAbip ;
kaiua cykkaH, canaHii'ok
y3a,-Kojin qaAbm-kajiAbi.
KykaT kopbigbin-napAbi ,
KeAap napbin Kopin Typyn-iaAbip
«KaiAi ny ypT TajiaiHbi
845
I
850
5 1 r 0
KecqaiK Heiwa nojiiian / »
9
ff
Kopin-Typ3a, ypT TajraiHbin
ka3biHAa kaja Typ-qaAbip,
855
oj kajaHbiq ycTyHii
cbigbin-KelAi
KykaT,
kaja ycTyHaij K6pin-Typ3a,
ak kyjyimak
kwcka ky6yjt§aH
najianajbiH
kynakTan oAbip-qaAbip;
KykaT ojiapHbi Kopin
kajaabin ycTyHai|
8G0
I
8G5
V* O
cenpi6-biCTbi ,
Ke3aK apbirnbiij
tr
opTa3bma TycTy.
Ak kyjiyH kaiAl-Aa
nojapbiH mlom-iaAbip ;
ajia copTanga
ky6yjibiii, naaa3bm bi3bipw6-ajibin
ypT TajiaiHbiq TyoyHii
annapbm ,
kyaiga ky6yjAbipbin ,
870
21
875
tr
tr «-
no3bi ajiTbm TyKTyr
opTaKKa ky6yjibin
tt
ypT Tajiambii] opTa3biHAa
tt tr
qy3yn qop-qaAbip,
KykaTTbiij kaiAl
nojapbiH Kopin.
KykaT ouan-KelniK,
KeM mp-A& Heaia qogbM,
aHAap rilan, MbiHAap Tilan ,
TannaAW.
8S0
885
20) Castren: Kira sagariiga icirep toktade
21) Castren schreibt: ezereb alep.
soi
des Sciences tie Saint - Petersbourc
202
03aptmaQ ceripraH kaja ycTyHaq;
ny capbmaq
agac-Ta qogbui;
ypT Tajiaiga
qbiMtuqagwH cygyn Kopin-qaAbip ;
kaina cykkan, cagann'ok
y3a-Kojin qaAwn-kajiAbi ;
KykaT buigan qopin-qaAbip ;
kaiAi-Aa ncnapbiH nilo"lH-qaAbip,
yc KyHra T&pa qopSm-qaAbip,
HeHua nap Kyqy-6iHaq
ceripM-bicTbi ypT TajaiHbi Keqipa,
03apbiHAa asagbi-obmaH. kojibi
qepAaq TapTbrabin-qaAbin
cbigbin-napABi ,
coH^a Kopom qyrypin-napi.
«AAbip, ak kyjiymiak!
kaiiaH noji3a no3bi-Aa Kelap Maga.»
AijiaHbin KykaT napbi6-biCTbi .
ft
rr rr
ypT Tarawa qy3yn-qopraH
opTak c-Ji-ok ak kyjiyenak;
kapa kaja ycTyHa
Cbigbin Kopin-Typyn-Haflbip.
KykaT yc kbipHbi a3bin-napbin
iep ajiTbma KipI6-biCTbi
Ak kyjiyeyak
Tajai Ty6yH,a,ari
22
tr
Yr
najia3biH qep ycTyHa
annaptin-KeUi,
kyckaijak 6/tfpin,
ciCTan a3bipan-qaAbip.
Ai ajibickamia,
ibn epTicKaHna,
aT OCTl, D03bl octi.
Oji kapa3bm Tymian y3yn-qaAbip,
arrap Tai{ aiTbia-KeUi ,
apbif KyH cbigbin-KeUi;
ojiak Tackap cwga-koHAbi ;
Kop3a
n
X
ajiTbin TyKTyr ag-oi-aT
Typyn-iaflbip ;
Kyiwyc qyraH cygyn- cajrrbip
e3iipiH ypyn-cajiTbip,
Togbic kaAbui kockbiHbm cygyn-cajiTbip,
)
22) Castren: d-ir altene kireb este.
890
895
900
905
910
920
925
Togbic qepAaij kojuiaH TapTbin-caiiTbip;
aAbm eolpa Kopin-qop3a,
KyAai e3apm ajibm ka3bma
930
V Vr
mqiK na3bin-cajTbip,
aAbm aAan-cajiTbip :
Ag-oi aiTbir ajibin AiAOJiai ;
ap aAbm aiaHAa
aijiaiibin HaHapga
935
V v
Tepmin-naAbip.
Agbin-iaTkan (7)
ypT TajiaiHbiij
kbipma yc karran na3bip-qaAbip :
«Kykarrai[ Mem ajmm-kajiga3ai{.»
Ai-6bmai| KyHra qogap
KyAaiga qerri karran
na3bipAbi.
«Ama KykaTraij
ajbin-kajiTbip.
AiAOJiai aTka MyHriiii 23),
aijraHbin qepma
qopin-CbikTbi,
apaHuyjia ag-oi aT
KOK OTTbl
qaobipa-nacnm.
Ag-oi aAbi colan-napl:
«Ajibm TopaH AiAOJiajbui!
kajibm nyAyiwebi qapa-can,
akcbiMHbi napa-TapT,
940
945
950
955
tr tf v
qyrypm-KopiM ;
915 | neKTaei6"-0Abip,
oh qeTTi qepm
960
kapg
kapa kaja,
oji kajaHbi Tajii qyrypin-KoplM.
Yc qwjjibir qbLiac
aaagbiHAa, kojibima Togbic ka^bu
965
■ •
MOJiaT Ke3aHiii
rr w
v
y3a qyrypm-KopiM» TeAip,
«TyAyn-naplgan
qioaK T'iHHaq
noc cajia-6ep!» TCAip.
ApaHuyjia ag-oi aT qyrypra-cbikTbi
qaTkaH Tac qapbumm-qaAbip,
Typgaii agac cbiiibin-qaAbip,
970
23) Bei Castr6n: mihjaiie.
203T
Bulletin de l'Academic Imweriale
204
oh Hem nepHi
oTTipa OCK&H
kaja Tajajibin-naAbip,
koji a3aiiAa TeMip Ke3an
rr
a u
y3ylin-iaAbip
ag-oi arrbiii qyrypi3iHaq.
Yc qbLMbif Hbijiac ojiak:
«Kykar! kai^ap napAbnj?» Te^ip
KbiigbijiaHbi MbiHAa naplgaH
AiAOJiai TynMa3bma
ecTilin-naAbip.
Apamjyjia ag-oi aT
f*
Typa-TycTy.
Ajibin AiAOJiai
24
Ty3a -) - koHAbi .
Ag-oi aTTbiij a3agbra
kynakTan na3bip-*iaAbip :
«ApaHiiyjia Memi| ag-oi aAWM
bo Heiaa nilin Typa-TycTyn?» -
«Aibin TOpaH AiAOJiajbiM,
ajiHbiqAa napigaH nojibiqAa
ho HeMa ceH mla-Aip3ai|?»
«ApaHnyjia ag-oi aAWM,
nip HeMa nila-HogbiJi6"biH.»
«KayaH-Aa Meniq co3imhi
ecTin-iopap3aq-Ma?»
«ApaHnyjia ag-oi aAbiM,
ceaiH, C03iijHi 25) ecnEHAa,
KeMHiq cetera eciaqMiH?)) 26)
Moihwh kynakTan biJigan-naAbip
«EcTap-noj3ai[ colan-neplM.
By naplgaH HOJibiBjia
rr
Ke3aK nopyr nojiap;
ai nopyrHi kbipraaH.
epTin-napl3aij ,
-rogbic kyjiac kapa Tylry
ouan-cbigap.»
«ApaHoyjia af-oi aT
men! qeAa-Hyryp3m,
ajbin nakcw AiAOJiai
Mem neAin aTCbm.»
Ahh cypara KepaK,
24) Castren: tilzii.
a ••
25) Castren: sine sozaq
26) Castren: estagmen.
975
980
985
990
995
1000
1005
oji Tylry eMac,
kwpbik KykaTTtiq
ohm TyijMa3bi
OjbiBi,ibi Kapa,
yjiyr ajibin,
yjiyf-cyMalif
oji nojinan,.
AiAOJiai iopi6-OAbip!
kaJibiHHbir Taiga
1020
»
ft fr
Kipa-qyrypap ;
iI6aK T1H1HH1
nep TapTnaccait;
no3biM-Jia nilraana cypap6iH.
Kajibm TaigaAa
Tbi3biii nepSacnra;
TaigaAaq cbigbin, TackbiJiHbiH.
1025
1030
» „
ny3yriHa nyrypin-napap.
TackbijiHbiij ny3yriHAa
Tbi3bia nep6acniH Mea aga.
Ak na3a nyrypap,
ak na3biAa Tbi3bm nepoacnra.
Ak na3biAa kaja Typyn-naAbip ,
oji kajaBbiH.
1035
o w
e3in anbijibin-napgaH
Typy^n-naAbip.
Oji kaja KiprcUaKTa
TyTcaq, niCTl nojiap.
TyA^n noji0m kaja Kipoaccaq,
olaps&q. »
HOpin-cbikibi, nopyfra neAin-KelAi,
kbiplHan. epTin-napi,
kapa Tylry nyrypin-CbikTbi.
«ApaBnyjia ag-oi aT
1040
1045
rr rr
<
1010
1015
MeHi HeAa-Hyryp3iH ,
ajiwn Tfipaa AiAOJiai
Meill aTCbIH.»
HioaK tibih noc cajia-6epAi,
kajibiHBbir Taiga kocTl'k
Kip Ailap .
KajibiH TaigaAa Tbi3bin nepoaAilap ;
kajibiBHbir TaigaAaq Cbigapa Hyrjfpln
TackbuiBbiH. ny3yriHa iyrypAy,
ak TackbijiAai{ Ty3yn,
ak qa3biAa cypyn-napi,
ak na3biAa apann^jia ag-oi aT
nip KyHByf Hep nypHaAw;
1050
1055
1060
205
des Sciences de Sal lit - Pe^ersbourg
»06
ag-oi ax TyJryAaq
Kel-qyrypAy ;
kapa Tylrym cagbi6-ajibin
It ft
qyrypm-napi.
«A.ibin AiAOJiai
cagaM TyAyn-K6p-AaK!» TeAip.
Kapa Tylry coHan. qeAin-KeUi
kocTl KelraiiAa;
AiAOJiai qa3a kan-kajiAbi;
\s w
lKiiiniaiii
ft tr
a
na.3'ok qerripa qyrypAy,
AiAOJiai naa'ok MaipaHMiH
qaAbin-kajiAw ;
kapa kaja yc kyjiac kaji-napi,
Apannyjia ag-oi ar:
«Akcbi qeTca bi3bipaga» TeAip.
YKKyc-cajiAbi.
Kaja Tylry Kipa-koHAM.
Ag-oi aT bi3bipbin ManjiaHMiH-kajiAbi ;
kajanbiij e3iri qaGbiJibin-napAbi ,
ajiwn AiAOjai Kipap qepw
Tannm qopin-qaAbip,
rr™, 27
e6ipa Keba qyc nyr
qec Toknak qaT-qaAbip.
AiAOJiai oijian-Kelin ,
oji TaknakTbi ka6 ajJAM,
oijian-napbin ,
kapa kajaHbi nee Toknak-ni
kajaHbiij e3iri aqbuia TycTy
Toknagbm TacTafi-bicTbi,
AiAOJiai oji kaja Kipin-napi,
ag-oi aT kbigwpbin-qaAbip :
«Ajibin AiAOJiajbiM,
Kel nap! iweHHaij cypar-nok
Kipin-napi3aii ,
• •
Kip3an
ikki kaH-Kipa kycTap
OJiapHbi epxKaHAa,
aHaq-ap naaa nip ea
aqbin-Kip3aij,
napwc lKKOla nojiap
ojiapew epTKaiiAa,
.s.. 28
;);
yqyHni e3irlHAa ikki kap'aGajiap nojiap.
27) Bei Castren: ibera kilza diis put.
28) Bei Castren: ananar baza bir izik
Tome XXXI.
1065
1070
Ojiap cem qin-cajiap,
ojiapAaij qep kopbiknni,
iiopi6-OAbip3aij ,
cen kopbikna3ai{ ,
OJiap ceHHaq kopbigapjap ;
TopTiinii esiriHa
1105
1110
SJ V
1075
1090
Kipm-napi3aii,
OTTblC kbic OAwp-iaAbip,
« e3aH AiAOJiai ! » nplap ,
ceH qep TancaGa,
kojibiif Tiliplap,
kojibnt qep nep-6a!
kojibiiuibi nep3aq-dK,
; aM Kip!» TeAip.
Ajiwn AiAOJiai Kipin-napi,
kaH-Kipalap, napbiCTap, aoajiap
kopbigbin-qaAbipjiap.
Ioptihui e3iriHa
1080 1 aHMn Kipin-Keka,
OTTbic kbic OAbipbin-qaAwp.
«E3aH, AiAOJiai,
kojibiij nep!» TeAiplap.
Ajiwn AiAOJiai
1085 I ag-oi aiTbiH.
1115
1120
1125
yrpaTKaHm yHAyn-cajiTbip,
kojibiH OTTbic kbicka
nepin-cajiubik;
OTTblC kbic OAbipTa
TapTbi6-ajiAbiJiap.
ApaHnyjia ag-oi aT
Klpa-koHAbi.
«Ajibin AiAOJiai,
Hoga ajibir-3aq?
1095 | kojibiqHbi nep-6a, Ta6iM kai» TeAip
OTTbic kbic nip kbic nojibin-napAbi
nip kbiCTaH.-ap coAaq ky3ypykTbif
nypra kyGyjibio" w) - aJiAbi.
Ag-oi aAbiii K6p6inaij,
lioo | AiAOJiai Typa-konapga ,
Koiyri qepra qancbmbin-napTbip ;
nyp ag-oi arrbi cypyn-cbikTbi ,
1130
1135
1140
1145
ft n
ag-oi aT qyryp-napipbin
con kaja-nakTbi,
kaja3bi-Aa qogwji,
>
29) Castren schreibt: kubulep.
14
»07
Bulletin «le rAcartcmie Impe>iale
aos
AiAO-nai ak qa3biAa
qaJigwckaH OAbipbin qaAbin-kajiUbik
Ag-oi aT qepmq TyHHyrina
rr
Yr Y,
nyrypyn-napi;
rr
rr v*
qep ajiTLma TyHnyrniai£
ag-oi aT Kipin-napi;
qerri qep ajiTbina Ty3yn-KelniK,
qep ajiTbiHaq nap
yaiaKTan cwgbiS-OAbip
Tail Ki3i, Tai| Ama?
Ag-oi aT TaHbin noj6iH-qaAbip.
Kbipma qyrypin-KeM,
nypyH kbipbik KykaT-nbraaij
qajacqaq yc qbiMbif qbuac ojiak
yMaKT&n Cbigbi6"-0Abip.
«Ta6bipak yc qbixabir OJiak,
waga ajrraH!»
Ag-oi aT qaAbin-nepAi.
«Hok, Men caga Myeiwacnin,
kojibm nepraHAa KOqyrm
lepra qancbipnaq.
KykaTTbiij cyMalir
Ojbmnbi Kapa noj-6a?»
CoAaq kpypykTbir
nyp qyrypin-KelAi.
Yc ibuiur ojakTbi KopGlH&q,
rr rr w
nanAbipa auaHbin qyrypm-napi.
Yc qbiMbir qbuiac ojak
kojibm cynyn
coAag. nypHy ka6-ajiAbi,
kaMnbi-6biHai| cojbin-qaAbip.
«CbiHbiq cola: anMa-3aij?
Ki3i6a-3ai}?»
Conai| nyp: «Ki3i61h» Tin
colan-qaAbip.
KykaTTbiq oqbi TyHMa3bi
Ojbmijbi Kapa
MeH nojiuaHjUbm » TeAip.
CoAaq nyp kM nojibin-napAM,
yc qbijuibif ojak-nbmaij
aM Kypa3in-iaAbipj(ap ;
rr
qern m>u Kypa3in-qaAbin
0Aipin-qopi6-biCTbi.
rr _
Yc qbuubir qbuac OJiak
kbipbik KykaiTapHbi
*-/
KyHHyf qepra" Tajia3bin
1150 | cbigwS-OAbip.
Ag-oi aT «niaga MyH»
Tin-qaAwp.
«Hok, MeH caga
1195
qep MyHMacniH»; TeAip
1155 | qa3af Kelraom,
qa3af-ok cbigap6bre.»
4ep ycTyHa" Cbigbin-KelAi,
a3ak ycTyHa Typyn,
1200
rr
qyraiim cygyn-qaAbip ;
H60 I e3apiH qakcua ypyn-qaAbip. •
4
«Amam MyHapSiH caga.»
Ag-oi aTka ajiTaHbift-aJibm.
«AiAOJiai kai^ap nap-qaAbip?»
AjiHbmaii nap ag-oi aT
1205
1210
rr kt
1165 I qyrypi6-OAbip ;
ajibin qakcbmaq
Tiipa T03a nela,TTan-ca jgaH ;
Kel-qa^bip,
KiCTa6-OAbip ;
1170 | «Ajibin qakcbi, aiu KylyK,
e3aH Kelin-qaAbip3aq-Ma?»
1215
yc qbLMbir qbuiac ojiak
AiAOjaiHbii| aAbmaq
Ty3a-koHAbi,
H75 | ny ag-oi aTka
oijian-napbin,
qI6a,K TiHHaq kanrbi,
eoKpa a^biH Kopin qopin-qaAwp,
Kyaai nackaH niqiK e3apiHaij
1180 1 aibm ka3buiAa.
Aamh a^an-cajiTbip :
Ag-oi aTTbif Ai MepraH,
a^bma ajrraebiS-ajibra,
Auojiaiga qopTbin-KeUi
1185 | aAbmaii Ty3a-konbin,
AiAOJiainbi eHHinai|
TyAyn KdAipin-qaAbip;
Koqfri qepra' qancbiHbin-napgaH
1220
1225
1230
1190 J AiAOjaiHbiij ag
colan-qaAbip :
qaAbip
1235
T03a OAipAl
«Ai MepraH, nap! Togbic ajit
AiAOjaiHbii| kbipiHAa 0Aip3aij
no3bi-Aa Typyn-Kelap. »
agbubiii
1240
»©0
des Sciences de $ain< - Peteraboiirg.
aio
Ai MepriiH colan-qaAtip :
«KaiiiaH Togwc ajibinTbi
agHJiLin d\fl,ipnail?»
Ag-oi aT: «IIypyHAa
MeHi cyprSH
kapa kajnap arrbif KairaHHyjia;
aHbiij HOHbiH.ua
Togbic Ki3i 40gbiJi-6a?
Ilap, auaif agbijibin-nep. »
Ai MepriiH aAbraa ajTaHbin
KarraHnyjiaHbiii qepiHa
napiibik ;
1245
♦
1250
M v./
Togwc Ki3i TyAyo-ajibin,
Aiflojiaiga agbubin OAipAi.
AiAOJiai no3H Typy n-Kel ai .
«E3iiH, ajibin t5p§,h!»
AiAojiai kojbm TyAyHbin
e3aiiHacTilap, aTTapbma ajuaHbin,
lKKolaq Hopin-cwkTbiJiap,
qopin-napbin neTTilap.
«Kbipbik KykaTTbiii aigbi
nyH ne^ap,
KaTTaHiiyjiaHbiij ojigw
nyH-oK Kelap;
KykaT- nbmaq Kan-aii u yjia
naiubi nojigamiap,
ojiapHbiij najiajapbi
1255
1200
1265
^ w
*
I
IKK- ok e i a i ii bi nojiap;
apamiy.ua AiAo\naiHbii{
ag-oi a^bi
colan-napl :
«IIyHry KyHAii le^ap MbiHAa,
TeK Ta6blpak
qopio-oAbipnap ! »
Eat napbi6-OAbip3ajiap,
ikki apanuyjia aiTapHbui
TbIHHbI3bl Ta6bI3bI
yjiyf qel-nelan
kojian-Kell.
AjiTai cbiHiibiij ycTyHAa
TogacTbijiap.
Ok-nwHaij aTTbi3anap-6a?
kbijibic-nbmaii Ke3i3aHap-6a?
nelAan. Kypii3ai|ap-6a?
Ai MepriiH: «Kbipbik Kykarraij
kopbiknaHAa,
1270
1275
1280
1285
cipapAaq kopwgap6biH-Ma? TeAip,
03apAiii{ kopbiknaHAa,
olapAaq kopbigap6biH-Ma?» TeAip.
Airaq Ty3a-koHbin,
Kykarrbiij ojgbiua
qancbiebin KypMn-napi,
ajwn TOpaH AiAOjai
KaTTanyyjiaebiij ojigbma
qancbiHbiD Kypa3in-naplJiap;
ai ajibisbin-iaAbip
1290
1295
)
V? V
%ijt epTi3in-qaAbip
?
IT
I
yc HbUHbiij na3biHAa
ikk' ajibinTbi
lKK131-6lHaiJ
OAipAilap,
AiAOJiai-6"biHaB.
Ai MepriiH ikki kapbiHAac
qeplapiHii aijiaHbin
HaHbi6-0Abipjap.
ApaHHyja ag-oi aT
1300
«
1305
tf
ff
Typa-TycTy.
AiAOJiai Ai MepriiH
lKKOlaif a3agbm
kyuakian na3bip-iaAbipjiap
«ApaHiiyjia ag-oi aT,
ho neMa nilin-TypAyii?
ia3bip6lH mlraHiqei colan ^-nep. » —
f^epiqAa MajibiqHbi
ajibin nakcbi cypyn-napi,
HOHbiH.Hbi dAipin-napi:
ajibin TtipaH Ai MepriiH,
cch Ta6bipak nepiija naH!
ceHiii, AiAOJiai
kaT ajap MOJniaq nyH nojinaH.;
nyH kaTTbiipbi ajibin-noji6a3aii,
aAHE[-Aa Tac, nosbiij-Aa" Ta3-ok nojjap3aq,
Mbmaq-ap yc Terip Hep,
TeripAaij ilrM-yok,
ajTbmai{ Tipaii-nok,
TeripSieaii Hepmii opTa3biHAa
ajTbiH Typa Typyn-naAbip,
aHbiij IcTiHAii Ai Apbif a6akai,
nocTbif najia OAbip-iaAbip ;
aaap ceHiif KyAai caJigaH,
1310
1315
1320
1325
1330
30) Castren schrcibt: soliipir.
14*
211
llulletiii de I'Acad^mie Imperial!*
212
31
ceHl oji nojnaij.»
« AjiTbiHaij nackbiqbi-uok,
aiiAap kaiAl nagbi6-ajiuaH_?
aHaij aHjiapbiJibiG-olramia,
Tac nojiwn Typyn-iaAap6biH. »
«LIok! ajibin Top&n AiAOJiai
ai[Aapbijn>i6-ol6accilij,
mgh cent Herripapia mlr&i6iH,
ajiapbin ceii nilap:$iu[;
Kipin-Ketoaij , aoakai
qakcw OAbip-^aAbip ;
ac nepin a3bipip, apauaH nepin cbiijilp
ac mn Toccaij,
apauaH win e3ip3ai{.
««CakbiJiaT ca6i,i3aij,»))
Tin colip,
ceH iep ca(5bic-na;
««yc kaTTan tm3biHaJ,
cem MeH TancaM,
ag-oi aAbiij Mem noji3bm
ceH Men! 'rancaif,
5
'
J
MeH cem hojiim.
CeH aAbiiwbi caji
32
i
MeH H03blMHbI CaJIlM!»»
E3ipi6-OAbipbin,
cakbuiaT qep ca6bic-na!» Te^ip.
A^biHa ajnaHbi6-ajibm
lopin-CbikTbi.
Ai MepraH lepiHa napAbi.
AiAOJiai Teripmij ajTbiHAa TypgaH
Typa HeAin-KclAi;
apaen^Jia ag-oi aT
AiAOJiaiga e3iriH K03iAin-qaAbip
«Mbmaij-ap mp!» Tin.
AiAOJiai e3irm aqwn, Kip-napAH,
aoakai ^akcw Ai Apwf
OAbip-naAbip,
ajbiii AiAOJiai mpr&HAa,
ac nepin a3bipan-naAbip,
apaga nepin cwijian-naAbip ;
w w
ac mn toctm, apaga win e3ipAi.
«Ajibm AiAOJiai, cakbuaT ca6bi3aji-6a?»
« KaiAl ca6bi3ap6bic ? » —
31) Bei Castren: kirep kilzag, abakai.
32) Bei Castren: Sin §der) sal.
1335
1340
1345
1350
1355
1360
1365
«Yc kaTTan ia3biHapga;
ceHi MeH TancaM
?
1375
1370
ag-oi aAbiij Mem noJi3biH;
Mem ceH Tancaij,
MeH cem nojilM;
ceH aAbimibi caji,
MeH II03bIMHbl cajilM ! » 33)
Tackap TypgaH
ag-oi aT
qogbiH ecTin bogan Typ-naAbip:
«KaiAT nyjiapHbi MeKKiilan-KopiM?
Ajbm TOpi-H Ai Mepran
e6iH.Aa ajibinka ajiAbipTbin olin-nap
Eat MeKKal0,n-K6piM.»
TypomaH. ag-oi aT
colan-iaAbip : 34)
«CakbiJiaT iep caGbicnauap,
Ai MepraH e6iH_Aa
ajibinka ajiAbipTbin-Wbip,
Ten Ta6bipak napapga KepaK,
Ai MepraH olin-nap6"a3biH,
cakboaiTbi caCbicnac KepaK. »
Ajibin AiAOJiai cbiga-koHAbi,
apaHnyjia ag-oi aAbma
ajiTaHbi6-ajiAbi,
a6akai Ai Apbir ajiTbi
kapaibigaiga ky6yjiyn
yqygbin-CbikTbi ;
ag-oi aT Mep yci
qyifp-napT,
Ai Apwf Teripmi! ajiTbi
yqygbin-napi.
iojiAa TokTaf nokTa,
nepiHa ^eAin-KelAi,
ajibin TopilH Ai MepriiH
ajibin nakcbiJiapiibi
kon oAipin-Tip,
en-cai nopin apag'win
iiop-qaAbip,
AiAOJiai, Ai Apwr
ep enm Kelr&HAa,
Toi eAin-naAbipJiap,
Herri KyH Toi eTTilap;
1380
1335
1
1390
1395
ft
ff
?
1400
r,
u
1405
1410
1415
33) Castren schreibt: min bozemne salim.
34) Castren: sSliip 4ader.
213
des Sciences «te Saint -Petcrsbourg.
214
Togbic Kyura rapa
qoiibiH CLiijiaAbiJiap;
apamiyjia *kki ag-oi aTTbi
ff
v«
HyraHiutpm cypyn,
e.iaplapiH ajiwn, ca.ibi6-LiCTi>uiap
Teripnii[ ajiTWHAa,
1420
35
9f
nepHiij ycTyn^a
Kyfa,ai najagaii
ajbinrapga
TbiAbiuap nip-Aa iieiwa
iiok nojiAhi.
1425
Anmeekungen.
So schlug ihn , dass er von seinem Rosse herabfiel.
Bei Castren: Zog ihn vom Rosse und schlug ihn.
8. den Vers 327.
Dass er lag, dies weiss er nicht. Bei Castren: Von
dem Liegenden wusste ich nicht.
War kein Fleisch fiir die Elster, zum Essen. Bei
Castren: Die Elster blieb ohne Fleisch zu essen.
5) War kein Blut fiir die Hunde, zum Lecken. Bei
Castren: Der Hund ohne Blut zu lecken.
Verse 512 — 514: Ein Haupt des Viehs, dessen
Anzahl 900 war, war die goldhaarige, weissblaue
Stute, deren Fallen fehlt. Bei Castren: Neun-
hundert Kopfe Vieh sind da. Der goldhaarigen,
weissblauen Stute Fiillen fehlt.
7) Verse 939 — 941: An des fliessenden (ajjhin-HaTkaii)
Feuer-Meers Ufer biickt er sich dreimal. Bei
Castren: Nachdem er fortgegangen, an des Feuer-
Meers Ufer dreimal er sich biickt.
N. Katanoff.
Photometrische Untersuchungen Uber die innere Diffu-
sion des Lichtes. Von 0. Ch wo I son. (Lu le
22 Avril 1886.)
Im physikalischen Cabinet der Akademie der Wis-
senschaften habe ich, in Folge einer Anregung des
Herrn Directors H. Wild, eine experimentelle Unter-
suchung iiber die innere Diffusion des Lichtes begon-
•nen. Der Hauptzweck der von mir bisher ausgefiilirten
35) Castren: ezerlaren alcp sabep eslelar.
besten Beobachtuncsmethoden auf
Arbeiten war — die
zusuchen und in diesem, noch wenig bearbeiteteu
Gebiete srewissermaassen mich zu orientiren. Die Er
gebnisse dieser vorlaufigen Arbeit werden in dem
Nachfolgenden auseinandergesetzt.
Ausser den, gewohnlich als durchsichtig oder un-
durchsichtig bezeichncten Korpern giebt es noch eine ,
gewissermaassen die Mitte haltende Gruppe von Kor-
pern, in welchen eine innere Diffusion des Lichtes
stattfindet. Es sind dies die «truben» Medien, welche
in Got he's Farbenlehre eine so hervorragende Rolle
spielten. Sie konnen in gewissem Sinne in zwei Grup-
pen getheilt werden, wobei jedoch ein und dasselbe
Medium je nach der Dicke der durchstrahlten Schicht
zu der einen oder der anderen Gruppe gehoren wiirde.
Durcli gewisse triibe Medien lassen sich die Conturen
selbst ausserst intensiver Lichtquellen nicht unter-
scheiden, auch nicht fur den Fall, dass die Oberfliichen
der durchstrahlten Schichten polirt sind. Wir wollen
diese Korper als durchscheinende bezeichnen; hier-
her gehort z. B. Milchglas in nicht zu dunnen Schich-
ten. Durch andere Medien lassen sich aber die Con-
turen hellleuch tender Korper wohl unterscheiden, wenn
auch nebenbei eine innere Diffusion des Lichtes statt-
findet; wir wollen diese Korper als halbdurchsich-
tige bezeichnen. Hierher gehoren gewisse triibe Glas-
sorten, die obige Eigenschaft selbst bei bedeutender
Dicke zeigen und ausserst diinne Schichten Milchglas.
Bisher sind es nur feste Korper, in denen innere Licht-
diffusion stattfindet, die von mir untersucht worden.
Es wird interessant sein die Untersuchung auf Fiiis-
sigkeiten auszudehnen und die Resultate mit den bis-
lang erhaltenen zu vergleichen.
Ein Unterschied zwischen durehsicktigen Korpern
(im gewdhnlichen Sinne des Wortes, d. h. solchen, in
welchen gar keine innere Diffusion stattfindet), halb-
durchsichtigen und durchscheinenden muss sich unter
Anderem auch in dem Gesetz zeigen, nach welchem
die Lichtintensitat sich weiterhin iindert, nachdem
der betreffende Korper durchstrahlt wurde. Es sei L
(Fig. 1) eine Lichtquelle, welche das Flachenelement E
einer weissen Wand AB mit einer Intensitiit / be-
leuchtet. Befindet sich zwischen L und E kein Licht
zerstreuendes Medium, so ist JTvon der Form:
I
A
21.5
Bulletin de l'Acadeniie Imperiale
216
vioR
LE. Wird ein, zwar Licht absorbirender, aber
nicht zerstreuender Korper MN (Scheibe) in den Weg
der Strahlen gestellt, so wird I geschwacht; die Grosse
der Schwachung hangt aber nicht davon ab, an welcher
Stelle, zwischen L und E, die Platte MN eingestellt
ist und bleibt also unverandert, wenn dieselbe
z. B. nach M'N' verschoben wird. Ist LB = a und
-+- 6, so ist bei alien Lagen von
BE
also B
a
MN stets :
(1)
I
B
(a
&)
2'
WO
ist.
B
A
K der Schwachungscoefficient der Platte MN
Fig. 1 .
Dies ware der eine extreme Fall.
Der andere extreme Fall wiirde einer Platte
entsprechen, welche nur durchscheinend ware,
bei welcher alles auffallende Licht innen zerstreut
wiirde. Man ist berechtigt zu vermuthen, dass eine
solche Platte weiterhin (nach rechts in Fig. 1) als
*
selbststiindige Lichtquelle zu betrachten ist, deren In-
tensity proportional ist der empfangenen Lichtmenge.
Ist die Platte sehr klein im Vergleich mit a und b,
sodass eine gleichmassige Beleuchtung derselben an-
genommen werden kann, so muss die Beleuchtung in E
offenbar von der Form:
(2)
I
c
aW
sein, also bei constantem LE = a -+- b je nach Lage
der Platte MN in hohem Grade variiren. Diirfte man
dasLambert'scheGesetzfur solche Platten anwenden,
so wiirde die von einem Elemente $d? . dO einer gros-
seren Platte MN, Fig. 2, nach E gelangende Licht-
menge von der Form:
(3)
p dp do . sin a . sin {J
sein. Einige auf diesen Fall bezugliche Ausrechnungen
finden sich weiter unten
5.
Fig. 2.
L
\R
jsr
B
Durch die Formeln (1) und (2) sind zwei, so zu-
sagen, extreme Gesetze ausgedriickt. Es fragt sich, ob
erstens diese Falle in der Natur vorkommen l) und wie,
zweitens, die Verbreitung des Lichtes in den zwischen-
liegenden Fallen stattfindet, wenn wir es z. B. mit
halbdurchsichtigen Korpern zu thun haben, wo direc-
tes Durchdringen des Lichtes und inner e Diffusion
gleichzeitig auftreten 2).
Findet innere Diffusion des Lichtes statt, so ent-
steht die Frage nach der Intensitat des in verschie-
denen Bichtungen austretenden Lichtes und zwar fur,
unter verschiedenen Einfallswinkeln die Platte treffen-
den, Strahlen. Die hierbei an einer etwaig matten Ober-
fliiche beim Ein- und Austritt hinzutretende aussere
Diffusion mtisste sorgfaltig von der inneren Diffusion
getrennt werden.
1.
Die Apparate und Hire Aufsteilong.
Das benutzte Photometer. Die sammtlichen
photometrischen und polarimetrischen Messungen
warden init dem von Herrn Director H. Wild con-
struirten Uranophotometer ausgefiihrt, nachdem
dasselbe in ein gewohnliches Photometer verwandelt
worden war. Eine ausfiihrliche Beschreibung desselben
1) Zo liner vermuthet, class fur Milchglas, wenn es durchschei-
nend beleuchtet wird, das Lambert'sche Emanationsgesetz genau
erfullt sei. Photometrische Untersuchungen, p. 24.
2) Eine analoge Frage Iasst sich, nebenbei bemerkt, auch fur
die Reflexion des Lichtes aufstellen. Ein Spiegel moge sich in der
Entfernung a von einer Lichtquelle befinden; die reflectirten Strahlen
beleuchten in einer Entfernung b vom Spiegel ein Wandelement E.
Fiir einen gut polirten Spiegel wird die Lichtintensitat in E durch (1)
ausgedriickt; fur eine weisse, matte Flache, begabt mit moglichst
vollstandiger iiusserer Diffusion, wurden wir die Formel (2) erhalten.
Zwischen diesen extremen Fallen muss es zwischenliegende geben
halbreflectirende Oberflachen, analog den halbdurchsichtigen Medien
*I7
des Sciences de Saint- Pe^ersbonrg.
am
findet sich in den Melanges phys. et chim., tires du
bulletin de l'Acad. Imper. des sciences de St. Petersb.,
T. IX, p. 443, wo auch auf Seite 473 bereits die Ver-
wandlung desselben in ein gewohnliches Photometer
und die Benutzung und Theorie desselben mitgetheilt
sind. Die wesentlichsten Theile desselben sind in Fig. 3
scizzirt. F ist die runde, allseitig geschlossene, innen
matt-schwarze Messingbiichse ; A die aus 10, nahe
0,5 mm. dicken Glasplatten bestehende Glassaule, deren
Drehung urn eine, zur Ebene der Zeichnung senk-
rechte Axe vermittelst eines an dieser Axe angebrach-
ten Zeigers und einer auf dem Deckel der Buchse
befindlichen Kreistheilung gemessen werden konnte.
B und C sind Senarmont'sche Kalkspath-Prismen,
E ein Savart'sches Polariscop. Die Rohre Fist so
eingestellt, dass das von B kommende Licht die Saule
Fig. 3.
M
- ~i
A unter dem Polarisationswinkel trifft, wenn das re-
flectirte Licht in der Richtung der Axe der Rdhre N
geht. B ist ein unbeweglicher Kreis mit Theilung
(Grade) am Rande. Die Rohre H sammt Polarisator
darin kann mit Hiilfe einiger Griffe G gedreht und die
Grosse den
Drehung
durch einen
an H befestigten
Zeiger auf D abgelesen werden.
chende Platte, die R5hre H gegen eine unveranderliche
Hiilfs-Lichtquelle gerichtet.
Sollte der Apparat als Photometer dienen, so
wurde der Hauptschnitt des Polarisators in B unter
45° zur Einfallsebene auf die Glassaule orientirt (nach
der 1. c. p. 458 angegebenen Methode) und dann A so
eingestellt, dass die von H kommenden Strahlen nach
N reflectirt wurden.
Durch Drehung der Rohre H konnten die in N
beobachteten Farbfransen zum Verschwinden gebracht
werden. Dies geschehe bei einem Winkel a zwischen
dem Hauptschnitt von G und der Einfallsebene auf die
Glassaule, welcher an dem Kreise D abgelesen wurde.
Blieb die durch H eintretendeLichtmenge constant,
so war die zu messende Intensitat I des durch M ein-
tretenden Lichtes proportional cos2a. Es war namlich
bei alien Versuchen die erstere, Iv unpolarisirt, wah-
rend die zweite, 7, aus einem unpolarisirten Theile I0
und einem, stets in der Einfallsebene der Glas-
saule A, polarisirten Theile P bestand. Es war
also :
1
I
0
p.
Das durch G hindurchgegangene Licht hatte die
K
Intensitat -£ Iv wo Kx ein SchwUchungscoefficient we-
nig kleiner als 1, und konnte in die zwei Componenten:
K
2
1 Ix cos2a
-y1 Ix sin-a
und _L zur Einfallsebene der Glassaule zerlegt
werden. Nach der Reflexion werden wir haben:
K
2
3
i^COS^iC2
E
2
- Jj sin9ay2,
wo xr und y2 zwei Constante repriisentiren (1. c. p. 463
und 464).
Das von M eintretende Licht I(
auf f (L -i-
P wrird in B
-i- F) reducirt, dessen entsprechende Com-
ponenten sind, wegen der obenerwahnten Einstellung
von B:
K
4
«
K
4
o
p)
und nach dem Durchgange durch die Glassaule
K
4
P)S
2
K
4
ft
P)4\
Die Bedingungsgleichung fur das Verloschen der
in N beobachteten Fransen ist:
Die Rohre B wurde stets gegen die zu untersu- 1 yJiCOsVa2-*-
K
4
P)S
2
K,
K
2
^lSin2a.^^(/0-HP)^.
ai»
Bulletin fie IMead(;mie Imperiale
22©
Treffen die von H kommenden Strahlen die Saule A
genau unter dem Polarisati<yiswinkel , so ist y2
0
(1. c. p. 464). Da ferner 70
P
I ist, erhalten wir :
(4)
I
2
9
aP-Kx
s°-)K
Ix cos2a = Ccos2a
(f2— skit is* iedenfalls sehr nahe gleich
Der Bruch
Eins (1. c).
Jedenfalls ist bei constantem Iv die Lichtstiirke
I proportional cos2a und dies genugt fur unsere
Zwecke, da wir lediglich die Variationen von I zu
beobachten hatten. Sollte der Apparat als Polari-
meter dazu dienen das Verhaltniss von Pzu J0 zu be-
stimmen, so wurde H geschlossen, die Rohre M dnrch
eine andere ohne Polarisator, ersetzt und durch Dre-
hung der Saule A um einen gewissen Winkel <p, bis
zum Verloschen der Streifen, das Verhaltniss:
(4,a)
♦ •
A
9
nach der 1. c. p. 465 angegebenen Weise, bestimmt.
Die Werthe der Function A sind zwar 1. c. p. 481
gegeben; doch hat Herr Director H. Wild seitdem,
nach genauerer Methode, eine Neubestimmung der
Function Ay ausgefiihrt und habe ich die so erhal-
tenen Zahlen weiterhin benutzt.
Die Aufstel lung. Es sind zwei Aufstellungen be-
nutzt worden, welche kurz als erste und zweite be-
zeicbnet werden sollen. Die erste Aufstellung, bei
welcher nur photometrische Messungen ausgefiihrt
wurden, ist in Fig. 4 scizzirt. Das Photometer war auf
Fig. 4.
i
L
1
1
I
I
1
\
1
I
1
r
£0
\a
1
1
1
1
1
1
1
f
1
1
1
1
1
einen verticalen Fuss so aufgesetzt, dass die in Fig. 3
als Ebene der Zeichnung angenommene Einfallsebene
der Glassaule horizontal lag. In der Kichtung der Axe
der Rohre M stand eine eiserne optische Bank auf
welcher zwei Plattformen sich verschieben liessen. Die
erste trug die untersuchte Platte G, auf der zweiten
stand die Lampe L. Die Platte G steckte in einem Rah-
men, welcher beiderseits eine runde Offnung von
88 mm. Diameter frei liess. Die meisten Platten wur-
den durch Schrauben au einen anderen Rahmen so
befestigt, dass sie einen rechteckigen Ausschnitt von
70 mm. Liinge (horizontal) und 35 mm. Breite be-
deckten. Dieser Rahmen wurde von einem kleinen
Theodoliten getragen, welcher Drehungen der Platte
G sowohl um die verticale als auch um die horizontale
(in der Platte
de) Axe gestattete, wobei die
Drehuneswinkel srenau eemessen werden konnten
Die Hulfspl
G, war
derselben Sorte
wie G. Die Lampen L und Lx enthielten Oleofin und
zeigten die Versuche, dass bei richtiger Behandlung
der Lampen eine genugende Constanz der Lichtinten-
sitaten erreicht werden konnte. tjbrigens wurde in
alien Fallen folgendermaassen manipulirt: wahrendder
Beobachtungen, sowohl bei dieser ersten, als auch bei
der gleich zu besprechenden zweiten Aufstellung, blie-
ben Gx und Lx unverandert; dagegen wurden die Stel-
lungen von G und L verschiedenen Veranderungen
unterworfen. Der Vergleich der von G ausgestrahlten
Lichtintensitaten (entsprechend diesen verschiedenen
Stellungen) untereinander, war ebenZ week einerjeden
einzelnen Beobachtungsreihe. Es wurde von einer
Normalstellung ausgegangen und nach jeder Messung
der Lichtintensitat in anderer Stellung oder hochstens
nach
riick
ei solchen, wurde auf die Normalstellung zu-
mgen. Auf diese Weise konnte der Einfluss
geringer Anderungen in der Leuchtkraft der Lampen
eliminirt werden: fanden erossere
scs
grossere Anderungen statt
wurden die betreffenden Beobachtungen verworfen
G und L wurde selbstverstandlich
justirt, dass bei
Verschieb
b
langs der op
tischen Bank die Centra der Flamme und der Platte G
in der Verl anger ung der Rohrenaxe MN blieben.
Die grosste Sorgfalt wurde verwandt um durch
richtige , Aufstellung von Schutzwanden (aus matt-ge-
schwarzter Pappe, 83 cm. hoch) fremdes Licht und
Reflexe zu vermeiden. Die Versuche wurden in einem
221
des Sciences de Saint- Petersbonrt*.
222
Zimmer ausgefuhrt, in welchem bei Abwesenheit der
Lampen L und Lx vOllige Finsterniss herrschte; selbst
die Nebenzimmer waren verdunkelt worden. Die Stel-
lung der hauptsachlichsten Schutzwande ist in Fig. 4
punctirt angedeutet. Wurden zwischcn L und G Schutz-
wande eingefiigt, um etwaiges von den Seitenwanden
leflectirtes und G treffendes Licht abzuhalten, so wurde
keine merkbare Anderung in der Photometereinstellung
beobachtet. Das von den schwarzen Wan den reflectirte
Licht war also jedenfalls zu vernachlassigen. Zwischen
G und M erwies sich eine Schutzwand gleichfalls als
uberflussig und zwar aus Griiuden, die weiter unten
(s. Prufung des Photometers) erlautert sind. Der von
den Schutzwanden eingeschlossene Raum wurde auch
von oben, so weit thunlich, bedeckt urn das von der
Decke reflectirte Licht abzuhalten und im Zimmer den
moglichsten Grad von Dunkelheit zu erreichen.
Bei der ersten Aufstellung konnten die Entfernun-
gen LG und GM beliebig variirt und auch die Platte G
gedreht werden, doch bildeten die beobachteten aus-
tretenden Strahlen stets die gerade Verliingerung der
einfallenden. Bei der zweiten Aufstellung konnten
Einfallswinkel und Austrittswinkel beliebig und mess-
bar variirt werden; zugleich wurden auch polarime-
trische Messungen gemacht. Diese Aufstellung ist in
Fig. 5, 6 und 7 skizzirt. Das Photometer ist an eine
Fig. 5.
horizontale Axe befestigt, die Ebene der Zeichnung
Fig. 3 liegt also hier vertical. Die Rohren M und N
bleiben horizontal, die Rohre H (Fig. 3) ist nach unten
gerichtet. Fig. 5 und 6 giebt eine Ansicht von oben,
Fig.
7 eine Seitenansicht. T ist ein massiver eiser-
ner Tisch (Theil eines grossen Steinheil'schen Spec-
Tome XXXI.
Fig. <;.
Fig. 7.
trometers), dessen runde Obcrplattc einen Diameter von
67 cm. hat. Durch das Centrum desTisches geht eine
Axe, um welche sich der Messingstreifen S, auf der
Tischplatte schleifend, drehen lasst. Eine am Rande
des Tisches T angebrachte Theilung liess die Grosse
dieser Drehung messen. Durch Holzblocke war die
Lampe L mit dem Streifen S fest verbunden. Der die
Platte G tragende Theodolit war gleichfalls mit die-
sem verbunden- und nahm also an der Drehung dessel-
ben Theil. Sollte, wie dies ja meist der Fall war, bei
constantem Einfallswinkel, nur der Austrittswinkel
verandert werden, so wurde der Streifen S mitsammt
der Lampe L und dem Theodoliten gedreht; um den
Einfallswinkel zu iindern wurde G um die verticale
Axe auf dem Theodoliten gedreht. So konuten beide
Winkel vollig beliebig eingestellt werden. In Fig. 6 ist
eine solche veranderte Stelluug angegeben; Cn ist die
Normale zur Platte G\ in Fig. 7 sind T, G, S nnd.L
in der Stellung skizzirt, welche der Fig. 5 entspricht.
F ist die Seitenansicht der Buchse des Photometers;
die Einfallsebene der Glassaule ist bei dieser
Stellung vertical. M und iVhaben dieselbe Bedeu-
tung, wie in Fig. 3 und 4. Die Rohre H ist nach unten
gerichtet. Die Ebene der Hiilfsplatte Gl bildet mit der
Axe der Rohre H und mit der Ebene der Zeichnung
Fig. 7 einen Winkel von etwa 45°; sie wird auf der
15
S23
Bulletin de rAcademie Imp&riale
224
anderen Seite von der Hiilfslampe Lx beleuchtet. Was
die Justirung dieser Aufstellung betrifft, so kam es vor
Allem darauf an eine richtige Ausgangslage zu erhal-
ten und wurde als solche die Lage angenommen,
welche in
Fig. 5
scizzirt ist: Axe von NM, Centra
des Tisches T und der Lampe L in einer Geraden und
Ebene von G senkrecht dazu. Letzterer Umstand
konnte auf drei Weisen verificirt werden: 1) derStrei-
fen S wurde mit Larape und Theodolit um 60° zuerst
nach rechts, dann nach links gedreht, sodass der Aus-
trittswinkel -f- 60° und — 60° wurde;
dasselbe,
aber die Platte G um den gleichen Winkel zuruckge-
drcht. so dass der Einfallswinkel
wurde;
60° und
60
bei unveranderter Lampenstellung wurde
die Platte G allein zuerst nach rechts, dann nach links
um
60° gedreht. Bei jedem dieser Versuche mussten
bei den je zwei Stellungen gleiche Lichtintensitiiten
beobachtet werden.
Die Stellung der Schutzwande ist in Fig. 5 punctirt
angegeben; bei Seitenstellungen der Lampe wurde
noch eine "Wand K (Fig. 6) benutzt. Das Drehen der
Rohre H und Ablesen der "Winkel auf dem Kreise B
(Fi
g
3), war nicht ohne Schwierigkeit; es dienten dazu
besondere Einschnitte in den Schutzwanden.
Priifung des Photometers. Die mit dem Photo-
meter nach der Formel (4) gemessene Grosse I soil
ein Maass sein fur die Intensitat der von G in der Rich-
tung der Rohrenaxen MN ausgestrahlten Lichtmenge
(also nicht etwa ein Maass der gesammten Beleuch-
tungskraft der Platte G als Lichtquelle betrachtet).
Durch zwei Versuche liess sich nachweisen, dass das
Photometer in der That dieser Bedingung in hohem
Grade geniiete.
Erster Versuch. Bei der ersten Aufstellung
(Fi
wnrden Lampe L und Platte G zusammen
verschoben. Zuerst befand sich die Platte in einer
t
Entfernung von 1 bis 2 Decimetern von der Rohren-
offnung
M und hierbei wurde das Photometer einge-
stellt (die Fransen zum Verloschen gebracht). Bei einer
Verschiebung von G und L um fast einen ganzen
Meter war noch keine Anderung in der Einstellung zu
bemerken; erst bei noch grosserer Entfernung begann
die beobachtete Lichtintensitiit langsam zu sinken.
Zweiter Versuch. Die Platte G (Milchglas)
wurde ohne den obenerwahnten Rahmen frei aufge-
stellt; sie war 80 mm. breit, 120 mm. hocli undstellte
eine nicht ganz gleichformig (in der Mitte starker)
leuchtende Flache dar. Das Photometer wurde einge-
stellt und dann die Platte mit schwarzem Papier be-
deckt, welches in der Mitte einen kreisformigen Aus-
schnitt hatte. Bei einem Radius dieses Ausschnittes
von 9 mm. war noch keine Anderung der im Photo-
meter beobachteten Lichtintensitat I zu bemerken.
Es wurden ferner von der Seite her fiber die Platte
schwarzes Papier geschoben und der Moment bestimmt,
wo sich I zu andern anfing. Es zeigte sich, dass die
Anderung eintrat wenn das Papier von irgend einer
Seite her bis auf 4 mm. dem Centralpunct geniihert
wurde.
Es ist also unzweifelhaft, dass nur die von einer
kleinen Fixirungsfliiche ausgehenden, parallelen Strah-
len in dem Photometer zur "Wirksamkeit gelangen.
Von der Seite herkommende Strahlen bleiben ohne
Einfluss. Dies der Grund, weshalb zum Schutz des
Photometers keine Wande aufzustellen nothig war; ein
anfanglich benutztes complicirtes System von Wanden,
welche zwischen G und dem Photometer aufgestellt
wurden, ist spater, als offenbar iiberflussig, weggelas-
sen worden. Selbst in dem Fig. 6 skizzirten Falle, wo
die Lampe L direct hatte die Offnung der Photo-
meterrohre M beleuchten konnen, war die Zwischen-
setzung der Wand K von kaum merklichem Einflusse.
2.
Methoden dcr Untersuchung.
Die Verbreitung des Lichtes, nach demDurchgange
durch die Platten konnte auf verschiedenen "Wegen
untersucht werden. Es wurden iiberhaupt die folgen-
den Beobachtungsarten benutzt, wobei ein fur alle Mai
^ den Einfalls
5
Y den Austrittswinkel des Lichtes
bei der Platte G (Fig. 8) darstellen soil. Liegen (3 und
Y in derselben Ebene, so sollen beide Winkel nach
I
Fig. 8.
a
22.5
des Sciences de Saint - Petersbourg.
«««
derselben Seite von der Normalen aus positiv gerechnet
werden.
Bei der ersten Aufstellung (Fig. 4) wurde die
Platte G unbeweglich gelassen und nur die Lampe L
verschoben, also die Entfernung GL verandert; es war
(3
T
o.
Es ist wichtig zu bemerken, dass die erste Aufstel-
lung und ebenso die Normalstellung der zweiten
(Fig. 5) nur dann zu benutzen waren, resp. Photome-
ter, Platte und Lampe nur dann in einer geraden Li-
nie liegen konnten, wenn die Platte G durchscheinend,
nicht aber wenn sie halbdurchsicktig war (s. Einlei-
tung).
Falle erblickte man bei
Stellung- der Lampe im Gesicktsfelde des Photometers
die Conturen der
leichformig
einer Einstellung des Photometer
Rede
3in. Wurde aber die Lampe durch eine gL
selbstleuchtende Flache ersetzt, so konnte
derartige Untersuchung auch fur halbdurchsichtige
Korper ausgefuhrt werden.
2) Bei der ersten Aufstellung wurden G und L auf
ihren Platzen gelassen und nur G um die verticale
Axe gedreht. Die austretenden Strahlen bildeten also
die gerade Fortsetzung der einfallenden. Obwohl dies
nur ein specieller Fall des allgemeineren ist, der gleich
erwiihnt werden soil, schien es doch interessant ihn
einer besonderen Untersuchung: zu unterwerfen. Es ist
hier
Bei senkrechter Incidenz der beleuchtenden
Strahlen wurde die Intensitat der nach verschiedenen
Richtungen austretenden Strahlen bestimmt. Es ist in
diesem Falle 0 = o und y veriinderlich.
4) Dasselbe bei schiefer Incidenz d. h. fiir ein ge-
gebenes (J. Hierbei konnten fiir positive y andere (klei-
nere) Werthe als fiir negative erwartet werden. Inte-
ressant miisste es sein, fiir diesen Fall die Intensitat
der nicht horizontal oder, allgemeiner, nicht in der
Einfallsebene austretenden Strahlen zu bestimmen.
*
Eine solche Bestimmung ist aber bisher nur einmal
ausgefuhrt worden und zwar fiir den Fall 3= 90°, wo §
der Winkel zwischen Einfallsebene und Austrittsebene.
Die Drehung des, die Platte G einschliessenden,
Rahmens um eine horizontal Axe ermoglichte es, die
Platte in soldier Stellung zu fixiren,dass die drei Winkel:
1
a
drei gegcbene Werthe annahmen.
Um dies zu erreichcn wurde von der Normallage
(Fig.
ausgegangen. Es sei, Fig. 9, T der Tisch
Fig. 9.
Z
und OM der zum Photometer fiihrende Radius des-
selben. Der Streifen S (Fig. 5) wurde zuerst mit Lampe
und Theodolit um einen Winkel 0 = < HOL gedreht;
hierauf der Rahmen allein um die verticale Axe um
einen Winkel
<LOG zuruckgedreht und end-
lich die Platte G um die horizontal Axe um einen
Winkel o = < GON geneigt; NO ist also die Normale
zur Platte G. — Es ist in diesem Falle:
<LON
<NOH
< (Ebene NOL, Ebene NOH).
Man hat nun die drei Gleichungen:
o
(5)
cosfi
cosy
cosO
cos ^ COS (0
cos(^
4>) cos 0
cos^ cos y -+- sin ^ sin y ■ cos S,
aus welchen die Winkel ^, 0 und o, welche den ge-
gebenen (3, -y und § entsprechen, berechnet werden
konnen. Hier mussen (3 und y beide immer als positiv
und kleiner als 90° genommen werden, wahrend 3 von
0° bis 3G0° variirt.
Es giebt vier Stellungen, welche den gegebenen Be-
dingungen entsprechen, indem die erste Drehung des
Streifens S (um den Winkel 6) nach der einen oder an-
deren Seite ausgefuhrt werden kann und ebenso die
Neigung des Rahmens (um den Winkel o) vorn oder
hinteniiber erfolgen kann, wobei die Normale ON iiber
(wie in Fig. 9) oder unter die horizontale Ebene zu
liegen kommt.
Fur den besonders interessanten Fall § = 90° hat
man die Gleichungen :
(6)
cos (3
cosy
cos#
cos <\> • COS (0
cos(#
4>) cos 0
cos£ -cosy.
15*
227
Bulletin de l'Academie Imperial?
Fur
6
Y
60° erhillt man z. B. cos 0
l .
4'
2
und coso=VO,4, d.h. 0 = 75,5°, <{> = 37,75
und o — 50,8°.
/
Um die aussere Diffusion von der inneren zu
trennen, wurden unter gleichen Umstanden matte und
polirte Platten mit einander verglichen.
6) Auf die vertical aufgestellte Platte liess man voll-
standig polarisirtes Licht horizontal einfallen und be-
i
nach
stimmte fur das austretende Licht den Bruch
Formel (4, a).
Auch hierbei wurden der Einfallswinkel (3 und der
Austrittswinkel y in weiten Grenzen variirt. Das Licht
war bei alien Messungen senkrecht zur Einfallsebene
der Platte G d. h. in verticaler Ebene, also in der
Einfallsebene der Glassaule des Photometers polari-
sirt. Die dabei gebrauchte Einrichtung ist in Fig. 10
Fig. 10.
e
. - ,— — ^+*
G
4'
i
i
i
I
i
l
l
J
skizzirt. S ist der Messingstreifen (Fig. 5), L die
Lampe, G die untersuchte Platte. Ein doppelarmiges
Holzstativ trug die Linse e und den Nicol n, welcher
unschwer richtig einzustellen war.
Es war zum Mindesten anzunehmen, dass die Be-
stimmung des Bruches -y fur das in
schiedene
Richtungen austretende Licht wichtige Fingerzeige er-
geben wiirde, obwohl es nicht moglich ist fiir die wahre
Bedeutung dieses Bruches etwas Bestimmtes anzuge-
ben, ohne zugleich von einer bestimmten Vorstellung
iiber die in der Platte bei der Durchstrahlung statt-
findenden Vorgange auszugehen. Dariiber das Nahere
spiiter.
Um die Wirkune der Dicke der Platten
b
dir
wurden dieselben allmalig immer dtinner ge
schliffen
Beobachtete und wahre Intensitaten. Die Win-
kel p und y wurden von 0° bis ± 60° variirt und nur
einmal bis 70° gegangen. War y nicht gleich 0°, d. h.
stand die Platte nicht senkrecht zur Axe des Photo-
meters, so wurde Licht von einem Flachenstiick er-
halten, welches umgekehrt proportional cos y war. Um
fiir alle y die, demselben Flachenstiick entsprechen-
den, I zu erhalten, miissten die direct beobachteten
Intensitaten i mit cos y multiplicirt werden:
(7) I
% cosy.
Im Weiteren sind stets die bereits berechneten /
angegeben. Bei fast alien Beobachtungen variirte 7 in
Abhangigkeit von y nach einem Gesetz, welches nicht
bedeutend von dem Cosinusgesetz abwich. Die beob-
achteten i variirten daher iiberhaupt nur sehr wenig,
wenn y verandert wurde und folglich ebenso auch die
am Photometer gemessenen Winkel a, Formel (4). Es
kam daher weniger darauf an diese Winkel selbst, als
ihre geringen Diiferenzen mit moglichsterGenauigkeit
zu messen.
Was die Genauigkeit der Messungen betrifft, so
liessen sich in fast alien Fallen die Winkel a mit einer
Genauigkeit von 0,1° einstellen. Vorlaufige Versuche
hatten nun aber gezeigt, dass die grosste relative
Sicherheit in der Einstellung sich erreichen liess, wenn
a zwischen 50° und 65° lag. Fiir die meisten Falle
war a nahe gleich 60° und hier giebt ein Fehler von
0,1
° eine Variation von cos2 a, die 0,6
; betriigt
2 tg. a . Aa). In einigen Fallen, wo die Lichtinten-
sitat selir gering war und das Gesichtsfeld daher sehr
dunlcel erschicn, war die Genauigkeit eine geringere.
i
3.
Erster eitremer Fall. Raucbglas.
In der Einleitung ist als erster extremer Fall
derjenige bezeichnet, welcher eintrifft, wenn in einem
Korper absolut keine Diffusion stattfindet, obwolil die
Absorbtion bedeutend sein kann. Fiir diesen Fall sen-
det die durchstrahlte Platte selbst kein Licht aus; vi-
sirt man also durch eine solche Platte nach einer Licht-
quelle, so muss die Helligkeit der letzteren unveran-
dert bleiben, wenn man die Platte dem Beobachter,
oder von ihm weg der Lichtquelle nahert. Dass solche
Korper wirklich existiren, zeigte sich bei der Unter-
j&
a
Fig. 11.
O
229
des Sciences de Saint - Petersbourg>
230
suchung zweier Rauchglasplatten von 1,35 mm. und
1,5 mm. Dicke.
Es sei L die Lampe, G eine Milchglasplatte von
0,607 mm. Dicke, R das Rauchglas und JfiVder Pho-
tometer; GM war etwa gleich einem Meter. Die Platte
R wurde, einmal dicht an G angelegt und dann gegen
M hin bis dicht an das Photometer verschoben. Es war
nicht die geringste Spur einer Anderung in der Ein-
stellung des Photometers zu bemerken. Bei alien Stel-
lungen des Rauchglases gingen 28,7% des von 6raus-
gestrahlten Lichtes durch dasselbe. Genau das gleiche
Resultat wurde erhalten, als zwei zusammengelegte
Rauchglaser benutzt wurden : bei alien Stellungen der-
selben empfing das Photometer 6,68% der von (?.aus-
gestrahlten Lichtmenge.
Wir werden spater sehen, dass fiir eine halbdurch-
sichtige Platte (statt des Rauchglases) ein ebensolcher
Versuch eine Variation der Lichtstarke ergab von
1636, wenn die Platte dicht an G anlag, bis herunter
zu 40,3 bei einer Entfernung GR=320 mm. Bei der
ersteren Lage wurden 53%,
von
bei der letzten 1,3% der
G erhaltenen Lichtmenge in der Richtung zum
Photometer wieder ausgestrahlt. Ich fuhre dies hier
nur des Vergleiches wegen an und um die Wirkung
der inneren Diffusion zu illustriren.
4.
Ziveiter extremer Fall. Milchsrlas.
Als zweiten extremen Fall haben wir den einer voll-
stilndigen inneren Diffusion bezeichnet, wo direct
durchgehendes Licht nicht vorhanden ist und der
durchstrahlte Korper gleichsam als neue Lichtquelle
betrachtet werden kann, deren Intensitat proportional
ist der Beleuchtung, welcher man ihn aussetzt. Fiir
diesen Fall gelten die Formeln (2) und (3).
Wie bereits in der Einleitung (Anm.) erwahnt wurde,
glaubt Zo liner, dass im Milchglase durch die einge-
streuten Partikelchen von phosphorsaurem Kalk (dem
Glassatz wird fein gemahlenes Knochenmehl beige-
mischt) eine totale Zerstreuung des Lichtes stattfinden
unddaher fiir das wieder ausgestrahlte Licht das Lam-
bert'sche Cosinus-Emanationsgesetz genau giiltig sein
musse. Ich will nun kurz die Resultate einiger Vor-
versuche mit dickeren Milchglasplatten angeben. Wei-
tere Details von Versuchen, die mit Reihen allma-
lig diinner werdender Glaser ausgefiihrt wurden, fol-
gen in den spateren Paragraphen.
1) Das Beleuchtungsgesetz der umgekehr-
ten Quadrate. Es wurde bei der ersten Aufstellnng
(Fig. 4) die Lampe allein verschoben und fiir verschie-
dene GL die Helligkeit I der Platte bestimmt. Dicke
der Platte 1,610 mm. Bei der Berechnung (nach der
Formel I
c
r
2 J
wo G eine Constante und r
GL)
wurde die Flammenbreite berucksichtigt und GL von
der Platte bis zum Centrum der runden Flamme (Cy-
linderdocht) gemessen. Da die Richtigkeit dieser Mes-
sungsmethode keine unzweifelhafte ist, so konnten ge-
ringe Differenzen zwischen Beobachtung und Berech-
nung hierin eine Erklarung finden. Im Nachfolgenden
gebe ich mehrere Beobachtungsreihen; die sinkenden
Zahlen fiir die Intensititten entsprechen wach sonde n
Entfernungen GL.
d. 15. Sept 84. d. 17. Sept. 84. d. 19. Oct. 84. d. 9. Jan. 85.
Beob. Berechn. Beob. Berechn. Beob. Berechn. Beob. Berechn.
100 100
100
100
100
100
100
100
13,3 13,4, 73,69 72,52 44,92 44,44 42,44 42,97
59,08 59,24
26,47 26,95
12,67 12,69
4,12 4,53.
Die vierte von diesen Beobachtungsreihen wurde
ausgefiihrt als der Photometer an horizontaler Axe
befestigtwar d. h. in der zweiten Aufstellung (s. Fig. 5).
Mit diinneren Platten wurden folgende Beobachtungen
gemacht:
Dicke der Milchglasplatte 0,607 mm.
I
d. 12. Marz 85.
Beob.
100
35,46
Berechn.
100
36,00.
Dicke der Milchglasplatte 0,317 mm.
d. 12. Marz 85.
Beob.
100
35,78
Berechn
100
36,00
Es wurde ferner das Gesetz gepriift fiir den Fall
nicht senkrechter Incidenz (£ nicht Null) und den Fall
nicht senkrechter Ausstrahlung ft nicht Null).
231
Bulletin de I'Academie Imperiale
232
Erster Fall. Senkrechte Incidenz
seitliche Ausstrahlung (y = 50° ungefahr)
d. 21. Oct. 84.
o), aber
Beob.
100
44,05
Berechn.
100
44,44.
der Platte bedeutet unci zwar ware 8 = 8, cos
wo
sin 60°
sin (*!
l
V-
dem Brechungsexponent des Glases
ware. Es seien nun die, den 6 Fallen I und II ent-
sprechenden beobachteten Lichtintensitaten :
Zweiter Fall. Schiefe Incidenz ((3=50° ungefiihr),
senkrechte Ausstrahlung (y
0).
d. 23. Oct. 84.
Beob.
100
44,36
Berechn*
10a
44,44.
1.
11
A. .
B . .
G . .
Dann mtisste
.1
.la
./a
A-
B1.
a
e
x$
e l
e
x(*i-«)
Wir dtirfen aus diesen Versuchen wohlfolgern, dass
fiir nur durchscheinende aber nicht durchsich-
tige Milchglasplatten, die dicker als 0,32 ram.
sind, das Gesetz der Quadrate erfullt ist.
2) Schiefer Durchgang des Lichtes (y
Zu den ersten orientirenden Vorversuchen gehbrte
auch der folgende, welcher entscheiden sollte, ob fiir
die Milchglasplatte iiberhaupt von einem Durchgange
des Lichtes in schiefer Richtune die Rede sein konnte.
sein, wo x der Schwachungscoefficient des Milchglases.
Die Beobachtung zeigte aber, dass die, der Stellung II
entsprechenden Lichtintensitaten, den, der Stellung I
entsprechenden, proportional waren; symbolisch, leiclit
verstandlich, ausgedriickt, war also:
A
A
B
9i
c
und hieraus folgt sofort:
d. h. die,
a
in den Stellungen
I und II durch-
Die Platte wurde in der Fig. 5 angegebenen Stellung strahlten Schichten hatten gleiche Dicken.
beobachtet, dann um 60° urn die verticale Axe ge-
dreht und fiir diese beiden Stellungen die Ibestimmt.
Die Verbreitung des Lichtes ist also bei schiefem
Auffallen nicht dur'ch die Linien LM in Fig. 12, II
Dasselbe wurde dann fur eine doppelte und fur erne ausgedruckt. Es findet vielmehr auch bei schie-
dreifache Platte ausgefuhrt. Die sechs Falle sind in fem Auffallen des Lichtes nur senkrechte
Fig. 12 skizzirt. Fande in der Lage II Durchstrahlung hurchstrahlung statt, wie dies in Fig. 13 ange-
in der Richtung des gebrochenen Strahles statt, so deutet ist Dies wird durdl die? wdter unten sub 5
witre die durchstrahlte Schicht 8t> 8, wo 8 die Dicke angegeDenen Resultate bestatigt.
Fig. 12
Fig. 13
I.
II.
A
f
L
2 E
I
M
L
d
^
M
Um dies Resultat direct zu priifen wurde (d. 27 Nov.
84) der folgende Versuch gemacht (s. Fig. 14). £ ist
Fig. 14.
IT
L~<X
#
233
des Sciences de Saint- Pel ersbourg
234
eine Lampe, H ein Convexglas, FG eine in einer I racteristische Zahl wurde das Verluiltniss a der Inten-
Wand SS steckende Rohre. Das aus dieser hervor-
kommende Strahlenbiindel fiel auf eine 10 mm. dicke,
aus mehreren zusammengelegten Scheiben gebildete
Milchglasplatte und zwar unter einem Einfallswinkel
§
78,4
O
Die Seite AB war mit schwarzem Papier
bedeckt, in welchem sich ein kreisformiger Ausschnitt
befand, dessen Diameter ab= 15 mm. war. Dies war
also das seitwarts beleuchtete Stiick der Oberflache.
, Auf der entgegengesetzten Seite DC der Platte zeigte
sich ein heller Fleck mw, vollig genau gegeniiber ab.
Er blieb unbeweglich auf derselben Stelle, soviel man
die Platte ABCB audi hin und her drehte. Der Dia-
meter dieses Fleckes war nicht merklich grosser als
15 mm., nur seine Rander erschienen verwaschen.
Von analoger Bedeutung ist der folgende Versuch.
Schreibt man auf eine Milchglasplatte schwarze Buch-
staben oder Figuren, so erscheint auf der anderen Seite
ein nur wenig verwaschener Schatten derselben; dieser
andert seinen Ort nicht, wie schief audi das Licht auf
die Platte auffallen mag.
Hierher gehort auch der folgende Versuch: eine
ziemlich dicke Milchglasplatte (d — 1,4 mm.), durch
welche
man natiirlich Nichts sehen kann (dies ist be-
reits bei d = 0,2 mm. nicht mehr moglich) wird auf
eine bedruckte Seite direct aufgelegt — man kann die
Schrift deutlich lesen.
3) Durchgang von polarisirtem Licht. Auf eine
Milchglasplatte von 1,610 mm. Dicke liess man, nach
der Fig. 10 skizzirten Methode, vollstandig polarisir-
tes Licht einfallen. In dem austretenden Lichte
liess sich keine Spur von Polarisation nachwei-
sen. Fiel auf die Platte naturliches Licht, so enthielt
das austretende bei y = 60 etwa 8% _L zur Einfalls-
ebene polarisirtes Licht, ungefahr soviel, wie es nach
der Fresnel'schen Theorie bei einem Brechungswinkel
von 60 enthalten musste.
4) Das Emanationsgesetz bei senkrechterln-
cidenz I
Eine Milchglasplatte von 1,610 mm.
wurde wie in Fig. 5 angegeben aufgestellt und dann
der Streifen S mitsammt der Lampe L und dem das
Glas tragenden Theodoliten um den Winkel y nach der
einen oder anderen Seite gedreht. Die hierbei direct
beobachteten Lichtintensitiiten sanken, wenn auch lang-
sam; hieraus folgt nach Formel (4), dass die / sclmel-
ler als nach dem Cosinus-Gesetz abnehmen. Als cha-
sitat bei y = 60° zu der bei y = o, in Trocenten
ausgedriickt, betrachtet. Es ist also syrabolisch ge-
schrieben:
(8)
a
Y = 60
Y = 0
o
•100
Fig. 15.
A
B
100 (Fig. 15)
B
L
a.
n &
M
Ware, wie Zollner vermuthet, fur Milchglas das
Cosinus-Gesetz giiltig, so musste
a
50
sein. Es wurde aber bei der untersuchten Platte fiir a
ein Werth gefunden zwischen 43 und 44. Dass dies
nicht etwa ein Mittelwerth ist, welcher fiir dickere
Platten dem Grenzwerth 50 zustrebt, zeigte sich spa-
ter, als Platten von verschiedener Dicke untersucht
wurden. Fiir a wurde stets ein und derselbe Worth
gefunden, obwohl die Dicke der Platten von 0,3 mm.
bis 3,33 mm. (Doppelplatte) variirte. Nur fiir noch
diinnere Platten wurde ein anderes Resultat erhalten.
Wir sind also wohl berecbtigt auszusprechen, dass fiir
Milchelas
(9)
44>o> 43
Das Lambert'sche Emanationsgesetz ist fu
Milchglas nicht giiltig, die Intensitat sinkt
ler, als es nach diesem Gesetz der Fall seio
Die fur
T
60
O
zwischen
nd 44 liegende, Zahl a scheint
Bedeutung zu sein und nicht etwa bloss fiir den spe
ciellen untersuchten Korper Giiltigkeit zu haben, wii
wir spater sehen werden. Es wurde dasselbe a erhal
ten, gleichviel ob die Milchglasplatte glatt oder matt-
geschliffen war.
5) Das Emanationsgesetz bei schiefer Inci-
denz. Allgemein zeigte es sich, dass fiir dickere Plat-
ten bei schiefer Incidenz fast genau dasselbe Emana-
tionsgesetz gilt, wie bei senkrechter. Da bei wachsen-
235
Bulletin tie rAcaoemie Imperiale
236
dem Einfallswinkel
die Abweichungen von dem
Cosinus-Gesetz, also die Anderungen in der direct beob-
achteten Lichtintensitiit, nur sehr langsam auftreten,
wurde als characteristisch fiir die meisten Platten nur
60° untersucht. Das Maximum ist bei
der Fall
Y
o und nach beiden Seiten sinkt I und zwar stets
schneller als nach dem Cosinus-Gesetz. Bei einer Platte
von 2,56 mm. Dicke war nach beiden Seiten das Sin-
-60
Fur
60 und y
ken gleichschnell und fur y
war I durch 43,3 ausgedruckt (100 bei y
diinnere Platten war I bei negativen y grosser, als bei
positiven. Als Maass
dieses Uberwiegens wurde eine
zweite characteristische Grosse, b, eingefuhrt, das Ver-
haltniss der Lichtstarke bei y
Tf
— 60 zn der bei
60° (immer (3 = 60° vorausgesetzt) in Procen-
ten ausgedruckt. Es war also:
o
(10).
b
y
60
Y
60
100
c
D
100 (Fig. 16).
Fur dickere Platten war 6 = 100; fur diinnere
grosser als 100. In diesem Falle war (s. Fig. 16):
Fig. 16.
C
E
<a
und
E
> a.
So wurde fur eine Platte von 1,114 mm. Dicke
E
42,43 und
c
E
45,32
gefunden, wahrend fiir dieselbe a = 43,85 war
Die Grosse b war gleich:
b
45,32
42,43
•100
106,81.
Es iiberwiegt also G fiber D (Fig. 16) urn 6,8%.
Nach der § 2, 4 angegebenen Methode wurde noch
die Intensitat I fiir Strahlen bestimmt, welche nicht
in der Einfallsebene austreten, sondern in einer zu
dieser scnkrechten. Es wurden die I verglichen fiir
P
T
60°,
a
o
o
und (3
T
60°, a
90°. [Letzteres, wenn die Platte
nach der einen und dann wenu sie nach der anderen
Seite geneigt war].
Es war nicht der geringste Unterschied zu bemer-
ken. Fasst man die Resultate der vier in diesem
summarisch angegebenen Beobachtungen zusammen,
so darf man wohl sagen :
Durchscheinend beleuchtetes Miichglas, so-
wohl mattes, als auch polirtes, kann als selbst-
stlindige Lichtquelle betrachtet werden, deren
Intensitat proportional ihrer Beleuchtung ist.
Mit wachsendem Emanationswinkel sinkt die
Intensitat I des ausgestrahlten Lichtes schnel-
ler, als nach dem Lambert'schen Cosinus-Ge-
setz {I=I0 cosy). Fiir y=60° ist 7=0,435 I0,
statt 1= 0,5 70, wie es bei der Gultigkeit die-
ses Gesetzes sein miisste.
5.
Bereclinimu der Leuchtkraft durchscheinender beleuchteter
Platten, wenn sie dem Lambert'schen Gesetz genugen.
Wir sahen, dass beleuchtetes Miichglas, den aus-
sersten Gegenzatz zum Rauchglas bildend, als selbst-
leuchtende Lichtquelle betrachtet werden kann. Obwohl
das Lambert'sche Gesetz fur dasselbe nur anna-
hernd Gultigkeit hat, schien es doch nicht uninteres-
sant, fiir den Fall der Gultigkeit desselben die Be-
leuchtung eines Punctes E (Fig. 2) zu berechnen, wenn
eine durchscheinende Platte MN zwischen diesen und
die Lichtquelle L gebracht wurde. Die Platte sei rund
und habe den Radius r. Bei Zugrundelegung der Ele-
mentarformel (3) erhalt man fiir die gesammte von
der Platte MN zum Puncte E gelangende Lichtmenge
i den Ausdruck:
2*
(11)
I
pdp sin a . sin p . do
pH2
2*Kdb
p
p<^p
(a
P2)2 (b
3
2\l
p2)
237
des Sciences de Saiiit-P^tersbourg.
23*
•
Die Beleuchtung eines Elementes E der Wand AB erhalt man dagegen nach der
Formel (s. Fig. 2):
2rc
(12)
I
p dp sin a . sin (J . cos i) . do
9 *>
K ist ein von L und MN abhangiger constanter
Factor.
Fiir eine sehr kleine Platte, wenn r im Vergleiche
mit a und b verschwindend ist, erhalt man, da cos tq
(Fig. 2) gleich eins wird:
(13)
I
t
K
:rr
a2b2 '
also einen Ausdruck von der Form (2).
Behalt man die erste auftretende Potenz der Briiche
a
und
r
, bei, so erhalt man (s. Fig. 17):
2%Kab*~
prfp
(<*2 •+- P2)'J l*2 -»- P2)2
Fig. 17.
%
K
7i r
(14).
a262
3
4
•
J
K
Tir
a2b2
1
3 r
4 o2
62
,)}
K-^r{l
a2b2
K
izr
a2b2
1
8
4
(tg2^
3
4
t«3+
tg >) }
«g3?)|
Fiir eine
dl
grosse Platte MN
den merkwurdigen Ausdruck
oo
(15)
%
2xK
(a
b)
Die gesammte nach E hingelangende Lichtmenge
ist also in diesem Falle umgekehrt proportional dem
Quadrat der Entfernung von der ursprunglichen Licht-
quelle L und unabhangig von der Lage der Platte MN,
Unter i konnte man physicalisch die Gesammtbe-
leuchtung einer in E befindlichen sehr kleinen Kugel-
oberflache verstehen.
Die
Beleuchtung I eines Fiachenelementes E der
Wand AB wird dagegen durch die viel verwickelteren
Ausdriicke:
(16)../
tzK
2b2
a
Yb2
dab* . Yb2
— -arrsin —
a
a
6
(a-t-fc)
(6 — a)2
j -..&>
und
(17).. i
dargestellt
nK
2&2 -+- a2
3a62
Ya2- &2
lg
a
Ya2—b2
b
(a -i- bf
(« - b)
b<
I
zK
(20)
(a -+- &)2 (6 — af
a
2
21
2
(29
Fur
b
(18)
I
8nK
5 (2a)s
Wird die Entfernung LE verandert und zugleich
die unendlich grosse Platte MN so verschoben, dass
unverandert bleibt, so andert sich I umgekehrt p
portional dem Quadrat der Entfernung LE, wie n
ohne Weiteres aus (16) und (17) sieht.
b
a
Was endlich den Fall einer Ifeliebig g
PI
betrifft
weder sehr klein. noch unend
lich gross ist, so erhalt man sehr verwickelte Formeln
Es ist (s. Fi
%
2-kK pq (a2 -+- b2) — ab (p
92)
(19)
(a -4- b)
pq (a — b)
oder
%
2xK (cos^ — cos 9) (a2 cos 9 — o2cos<J>)
(a -♦- b)
cos 9 cos 4» («
6)
und
p*)ab2
3ao2
<fl>
Yb2
arcsm
p
a
bq
VF=
a
b>a
1
irBT
(a -+- b)2 (a
b)
26
2
9*2
(2q
p2) ab2
Sab2
222>
Ya2 — b*
OP
Ya2— b2) b
(a — Ya2 — b2) q
}...&<
Tome XXXI.
16
230
Bulletin <le TAcademie Imp^rialc
24©
Fiir den Specialfall a
also auch p
q und
?
t|» erhalt man bei beliebig grosser Platte:
%
2tzK
(21)
I
(2a)2
8tzK
5 (2a)2
- COS 4t|>]
cos 5<|/J.
dem Radius der Kugel
Man sieht aus diesen Formeln, dass dcr Schwachungs-
coefficient solcher Platten nicht etwa oline Weiteres
durch Einsetzen derselben zwisehen eine Lichtquelle
und eine beleuchtete Oberflache, bestimmt werden
kann. Selbst bei sehr grossen Platten, deren Randwir-
kung vernachlassigt werden kann, hangt die erwiihnte
Bcleuchtung von der Stellung der Platte ab.
Wird die urspriingliche Lichtquelle von einer hohl-
kugelformigen Masse aus dem betreffenden Stoffe urn-
geben, so ist die aussere Beleuchtung unabhangig von
auch fiir den Fall, dass die
Entferuung der Wand von der Kugel von derselben
Ordnung ist, wie dieser Radius. In diesem Falle kann
die Grosse der iiusseren Beleuchtung dazu dienen den
Sckwachungscoefficient des Stoffes, aus dem die Kugel
besteht, zu bestimmen.
Dasselbe kann geschehen durch directes Aneinan-
derlegen von zwei oder mehreren Platten.
§6.
Erste Versochsreihe mit successive thinner geschlifl'enen
Platten.
Da die erste Versuchsreihe, was Vollstandigkeit und
Genauigkeit der Beobachtungen betrifft, hinter der
I.
II.
ill.
I
IV.
v.
$
«
Oberfl.
1
2
3
4
5
6
matt
pol .
matt
rauh
pol.
matt
d
mm.
2,129
1,967
1,114
0,803
0,775
0,607
a
Y=60
Y = 0
100^1
/3=o
43,85
43,59
43,88
43,33
b
*
r
60
Y
60
o
100
zweiten weit zurucksteht, sollen die Resultate nur
summarisch angegeben werden. Sie sind in der folgen-
den Tabelle enthalten:
d
2,560 mm
1,990 »
1,537 »
0,987 »
a
43,3
43,5
44,6
44,3
b
100
Ist das senkrecht auffal-
lende Licht polarisirt, so ist
1 06 (?) >im austretenden Licht keine
Spur von Polarisation nach-
106
107
weisbar.
Die Abweichung vom Lambert' sell en Gesetz
50) ist fur alle Platten nahe dieselbe. Sammtliche
Platten hatten matte Oberflachen. Der fiir die zweite
Platte gefundene Werth b ist wohl unzweifelhaft zu
gross.
7.
Zweite Versuchsreihe mit successive dunner geschlifl'enen
Flatten. Allgemeine Ibersicht.
Aus einer grosseren Miichglasplatte wurden (vom
Mechaniker des Cabinets H. Petermann) successive
immer dunnere Platten geschliffen, im Ganzen 10. Die
Dicke von As 1 betrug 2,129 mm., die von JVs 10 nur
0,162 mm. Die Oberflachen wurden abwechselnd matt
gelassen oder polirt. Einer Platte — JVs 4 — wurdekiinst-
lich eine moglichst rauhe Oberflache gegeben.
In der folgenden Tabelle beiindet sich eine Tiber-
sicht der wesentlichsten bei der Untersuchung jener
10 Platten erhaltenen Resultate. Die Platte As 10 wird
weiter unten ausfiihrlich behandelt werden.
VI.
VII.
VIII.
IX.
x.
Das auffallende Licht ist
zur Einfalls-
ebene vollstandig polarisirt.
100
102,6
106,8
100
109,8
106,9
3=60 1 (S
Y
0
0°
p
Y
0'
60°
P
Y
60°
0°
Y
60'
60°
P
Y
60
60
matt
pol.
matt
0,383
0,317
0,306
42,62 (?)
44,02
43,38
107,8
1 2 3,5 Us.'gSJ
[40,01-1
110,3
11,0
22,0
17,3
10
10,0
21,0
15,5
14,4
11,5
13,3
7,5
pol.
0,162
22,0
16,0
32,1
238 K] 58,5
39,0
39,0
21,0
50,8
241
des Sciences de Saint - Pelersbourg.
212
Colonne I enthalt die fortlaufenden Nummern der
Platten, Col. II
Col. Ill — ihre Dicken in Millimetern. Col. IV und V
geben die oben besproclienen characteristischen Zahlen
Angaben iiber ihre Oberflachen,
d b: Col. VI— X die Grosse
p
I
100, (s. 4, a\ den
Antheil im austretenden Lichte, wenn das
zur Einfallsebene der Platte (also in der
auffallende
Einfallsebene der Photometer-Glassaule) polarisirt ist.
Die Platten konnen in 3 Gruppen getheilt werden,
wie es die horizontalen Querstriche in der Tabelle an-
deuten; doch wollen wir schon jetzt aus den gesammten
Zahlen einige naheliegende Folgerungen ziehen.
• 1) Die Abweichung vom Lambert'schenEmana-
tionsgesetz, characterisirt durch die Grosse a, ist
bereits bei einer Platte von 0,306 mm. Dicke dieselbe,
wie fiir die dicksten Platten (vergl. die Tabelle im vo-
dem y d. h. also auch in dem seitlich ausgesandten
Lichte auftrat. Bei
rigen
oder
Der Zustand der Oberflache (polirt, m;
) hat hierbei keinen Einfluss. Im Mittel
a
43,4.
Die GrOsse b
welche die, zwischen den Fallen
ig. 16) obwaltende Verschiedenheit
ffallendster Abhangickeit von dem Zu-
Werthe von
p
i
100.
O'b
G und D
misst, ist in
stand der Oberflache. Durch Mattschleifen der Ober-
fiache wird jener Unterschied bedeutend reducirt, oder
gar vollig aufgehoben, wie es bei der rauhen Platte
As 4 der Fall war. Bei JVs 6 und 7 ist b kleiner, als bei
As 5 und ebenso bei As 9 kleiner als bei As 8.
Bei den drei letzten Platten (As 8 — 10) sind neben
b die den Fallen G und D (Fig. 1 6) direct entsprechen-
den Zbeigefugt; I fur den Fall E gleich 100 gesetzt.
3) Fallt polarisirtes Licht auf die Platte, so tritt im
ausgestrahlten Lichte die erste Spur von Polarisation
bei einer Plattendicke zwischen 0,4 mm. und 0,6 mm. I 1) Bei senkrechtem Auffallen des polarisirten Lichtes
60 , war die Lichtstiirke zu
gering und Polarisation nicht messbar. Wir wendon
uns zu den genauer untersuchten
Plattea .V; 8 und 9, die von fast gleicher Dicke,
aber die erste polirt, die zweite matt, waren.
Die bedeutende Grosse von 6, Assymetrie bei schie-
fem Auffallen beweisend, steht in bester Ubereinstim-
mung mit dem Auftreten bedeutender Mengen durch-
gehenden polarisirten Lichtes. Jene Assymetrie und
dies Durchgehen sind bei der matten Platte bedeutend
verringert.
Da die polirte Platte mehr Interesse erwecken muss,
als die matte Platte, wenden wir uns speciell zur Be-
trachtung des durch As 8 hindurchgegangenen polari-
sirten Lichtes. As 9 ergab analoge, nur weniger scharf
ausgepragte Resultate.
Tabelle sind die Resultate zu-
In der
folgenden
sammengestellt.
Platte As 8 (d = 0,317 mm.), polirt
y-
—60°
—45°
—30°
0°
30°
45°
60°
P
0
21,0
,.
22,0 —
22,0
30
24,0
_
22,0
18,0 15,5
16,5
45
24,0
21.4 —
9
18,0
15,5
60
22,0
19,5
14,4
^^^■^■^^^v^^f
~
13,3
. Zwei Bemerkungen sind es nun vor allein, die sicli
bei Betrachtung dieser Zahlen sofort aufdriingen.
auf. Uber die erste Gruppe von Platten, As 1
A^6,
liisst sich Nichts Weiteres angeben. Sic ist characteri-
sirt
durch das ganzliche Fehlen von durchsehendem
o
polarisirtem Lichte.
0) findet sich der gleiche Bruchtheil -j polarisirten
Lichtes in alien, nach verschiedenen Richtungen aus-
gesandten, Strahlen, wenn man in einer Ebene bleibt,
die _L ist zur Polarisationsebene des Lichtes.
8
2) Fur alle Winkel y
§ wird derselbe Werth
fur
Die zweite Gruppe der Milchglasplatteo (d = 0,30G mm. bis
p
i
erhalten.
d
0,383 mm.). Das durehgehende polarisirte Licht
9.
Bei der Platte As 7 wurde zum ersten Mai durch- Dje Milchglasplatte J« 10 (<l = 0,162 mm.). Allgemeine
scheinendes polarisirtes Iiicht beobachtet und hier
fbersirht,
zeigte sich bereits das unerwartete Resultat, dass die Die sammtlichen photometrischen und polarimetri-
Polarisation nicht etwa nur bei Y = o, sondern bei je- 1 schen 1-ieobachtungen an dieser Platte sind in der nach-
16*
243
lUilletin de VAcadcmie Imp^riale
244
folgenden Ubersiclit angegeben. Der Einfallswinkel (3
und der Austrittswinkel y batten die Werthe 0
15
30°, 45° und 60°. Die Polarisation ist jedoch nicht
fill* alle y gemessen worden.
I. L
Y =
— 60°
-45°
— 30°
-15°
0°
15°
30°
45°
60°
100csy=
50
70,7
86,6
96,6
100
96,6
86,6
70,7 50
0°
32,1
51,6
69,1
85,1 100 85,1
69,1
L
51,6
32,1
15
41,8
67,0 87,5 HI
100 88,5
68,3
49,0
31,6
30
51,8
76,1
102,9
100,8
100
83,0
63,6
47,1
28,3
45
60,3
95,8
104
108
100
84,5
66,7
47,3
27,9
60
68,6
96,8
116,8
113
100
86,2
67,4
47,6
28,8
II.
p
I
•100.
0°
39,0
15
49,0
30
53,0
45
51,7
60
50,8
42,5 48,5
53,0 54,2
53,0
53,0
57,8
46,8
51,5
58,1
58,5
56,8(?)
49,0
43,5
39,0
51,5 48,5 42,5
49,4
36,0
37,2
39,0
26,3
39,0
34,5
26,6
22,0
21,0
Die Zablen der zweiten Tabelle geben fur das aus-
tretende Licht die Grosse -r in Procenten aussedriickt.
J
Das einfallende ist senkrecbt zur Einfallsebene pola-
risirt.
Die Tabelle I zeigt die Vertheilung der Lichtinten-
sitaten fur senkrechte und geneigte Incidenzen. Die
Zahlen, welche 7 = — §, also den Fallen entspreclien,
wo das beobachtete austretende Licht die Richtung
des einfallenden hat, sind in beiden Tabellen hervor-
gehoben. Bei grossen Einfallswinkeln entspreclien sie
in I nicht mehr den Maxirais ((3 = 45°, 60°) der Licht-
starke. Es ist, als hatte man es bei schiefer Incidenz
mit zwei iibereinandergelagerten Lichtvertheilungen
zu thun, von denen die eine ihr Maximum bei y = 0,
die andere bei 7
p hat.
Fiir
positive y ist die Lichtvertheilung bei alien
Einfallswinkeln (3 ziemlich die gleiche.
Zu wichtigen Folgerungen fuhrt die nahere Be-
trachtung der in der Tabelle II angegebenen Zahlen.
10.
Erste Folgerung aus den Zahlen der Tabelle II.
Es sei 8 der Winkel zwischen den einfallenden und
den beobachteten austretenden Strahlen (Fig. 1 8), also
5
0°, wenn 7
0 ist, oder allgemein:
(22)
s
T
Fig. 18.
Die in einer, von rechts oben nach links unten ver-
laufenden Diagonalreihe, stehenden Zahlen beziehen
sich auf constante 8. Es ist nun im hochsten Grade auf-
fallend, dass die, gleichen S entsprechenden, Zahlen
ziemlich nahe constant sind. Urn dies deutlicher zu
zeigen ordnen wir die Zahlen der Tab. II nach den S
in folgender Tabelle:
III.
55
30
15
8
42,5
49,0
0
IY
P)
30
55
60
90°
120
48,5
51,5
Y
0°
58,5
48,5
42,5
39,0
— ■ ■
53,0| 54,2
15
58,1
49,4
39,0
53,0 53,0
30
57,8
49,0
1
37,2
26,6
— ■
51,7
45
53,0
—
43,5
36,0 26,3
'
60
50,8
46,8
39,0 28,5
21.0
Gleiche 8 entspreclien gleichen Ablenkungen
der
Strahlen und es scheint daher, dass man fur diese
Platte sagen kann, dass gleich stark abgelenkte
Strahlen gleiche relative Quantitaten polari-
sirten Lichtes behalten haben.
Bei *
0
0
die Ablenkung Null
eine grossere Inconstanz, aber hier konnte es sonder-
bar erscheinen, dass die Zahlen nicht noch viel schnel-
ler sinken. Die Zahlen der Colonne a = 0° entspreclien
dem Falle, dass die Platte urn ihre verticale Axe ge-
dreht wird, bei der Fig. 5 ski/zirten Anfangsstellung.
Geht man von der Ausicht aus, dass fur diesen Fall
a
245
des Sciences de Saint- Petersbourg.
346
P der direct (ohne Diffusion) durchgegangene Theil
des Lichtes ist, so ist es nicht unmoglich, dass die von
uns gefundene Zahl (50,8) darin ihre Erkliirung findet,
dass die durchgehenden Strahlen fiir den betrachtetcn I (23) .
Fall den Fig. 19 angegebenen Weg nehmen. Beieinem
Q
Brechungscoefticienten y ware der Winkel 9 = 35°20',
Der Winkel 8' zwischcn dem bereits eingetretenen
und dem eben austretenden Strahl ist (s. Fig. 21):
8'
7
sin0'
i
sin (3; sin y'
i
S1HY
Fig. 21
cos <p
0,82 und folglich ~
1,22. Das Verhiilt-
niss der in den Richtungen d und d' durchgehenden
p
relativen Quantitiiten T ^ aDer gleich
I
setzt man ji — 1,6, so erhiilt man
Fig. 19.
df_
d
58,5 _
50,8 =
1,19.
1,15;
Um das gefundene Resultat deutlicher hervorzuhe-
ben, sind in Fig. 20 noch die, den Zahlen der Golonne
8
7
60° entsprechenden Strahlenwege ge-
zeiclinet.
Fig. 20
(l=o. y^so'.
fl= is'j y^s". ft
fj
=3o:f- y=30
P
=■«*.- -. iy- is.
ft- 60?; 1/ Of
Wollte man an dies Resultat weitere Folgerungen
kniipfen, so miisste man die in den Momenten desEin-
tritts und Austritts der Strahlen stattfindenden Bre-
cliungen in Betracht Ziehen, Die iunerhalb der Platte
stattfindende Ablenkung der Strahlen ist viel geringer
als (3
T
Die Zahlen, welche in Tabelle II links von den un-
terstrichenen stehen, entsprechen Ablenkungen nach
der anderen Seite, als sie in Fig. 19 skizzirt sind.
Hier finden sich in den Diagonalreihen bedeutende Ab-
weichungen (die betreffenden Zahlen stehen in Tab. Ill
links von den 7), die aber ihre vollstiindige Erkliirung
finden, wenn man statt der Gesammtablenkung p -+- y
nur die eben erwiihnte innere in Betracht zieht.
p
Betrachtet man -j in Abhiingigkeit von 5 statt von 8,
so wird die Ubereinstimmung jedc nfalls noch grosser.
Die Zahlen der Tabelle III, welche 8 = 60° ent-
sprechen und welche bci Fig. 20 nochinals in einer
horizon talen Reihe angefuhrt sind, entsprechen z. B,
folgenden Werthen von 8' (wenn n
3
angenommen
wird).
35,2
38°
39
38
35,2°.
Die mittleren, scheinbar zu kleinen Zahlen jener
Reihe entsprechen also in der That grosseren 8' d. h.
grosseren inneren Ablenkungen.
Die drei Zahlen:
26.6
26,3
28,5
der nachsten Colonne in Tab. Ill (8 = 90°) entsprechen
den 8':
47,5
47,5
45,2°.
Fur das Sinken der, 8 = 0, also auch 8' = 0 ent-
sprechenden, Zahlen bleibt aber nur die oben bereits
angefiihrte Erkliirung des liingeren Weges.
Was nun endlich die obenerwiihnten Zahlen in der
Tabelle III, welche negativen 8 entsprechen, betrifft,
eben sie, mit den entsprechen
9
55
30
15
y
(24)
42,5
49,0
48,5(51,5
54,2
o3,0
53,0
28
25
53,0
51,7
19,5°
18
15,7
10
9,5
8,5
7,2
P
Grosseren 8 entsprechen kleinere j ; nur die letz-
teo Zahlen sind zu klein, offenbar analog dem Falle
S47
|
Bulletin de lMcad^mie Imperiale
248
8
o, wegen des langeren Weges. Aus demselbenl Ordnet man die
Grunde wird auch die letzte Zahl (46,8) der Colonne
3 aa 30° in Tabelle III zu klein sein.
Den oben ausgesprochenen Satz fiber die Abhangig-
keit der ubrigbleibenden polarisirten Strahlen von der
Grosse der Ablenkung 8 konnen wir jetzt mit relativ
grbsserem Rechte so fassen: Strahlen, welchein-
nerhalb der Platte gleich grosse Ablenkungen
3' crfahren haben, behalten gleiche relative
Quantitaten -j polarisirten Lichtes. Beigerin-
gen Ablenkungen (bis etwa 3' = 16°) wird das
P
Verhaltniss -j
weil dann der durchlaufene Weg jedenfalls ein
grosserer sein muss.
verringert, wenn (J gross ist,
11.
Zweite Folgerung aus den Zahlen der Tabelle II.
Wir sahen, dass mit wachsender Ablenkung 3 das
Verhaltniss
p
i
kleiner wird. Ein Blick auf die Ta-
belle III geniigt urn den auffallenden Umstand zu be-
p
merken, dass dies Sinken von-j- nalie proportio-
nal den 8 verlauft.
In abgerundeten Zahlen haben wir namlich:
8
0
30
60
120
P
I
100
60
50
40
20,
«
d. h. eine Verminderung des Bruehes
p
i
urn je
l
6
seines Anfangswerthes bei jedem Wachsen von 8
um 30°
Dies fiihrt zu dem Werthe
p
i
o gerade
bei 3
180
o
Das Verhaltniss
p
I
ware somit
proportional dem Winkel 180° — 3 oder propor-
tional dem Winkel zwischen dem eintretenden
d d
beobaeht
d
Strahl
diesen Winkel g
o
gerechnet. wenn d
beiden Strahlen dieselbe R
o
hab
Die
erwahnte Proportionalitiit ist aber nur ganz roh
handen. Dem Winkel §
entspricht 8'
Bei diesem S'
d. h. 8
Y
41,8
8
Y
90
83
83,6
0
P
o.
p
i
nicht nach den 8, sondern nach
den 8', so findet sich innerhalb der Beobachtungen,
welche nur bis 3' = 70,4° (entsprechend 3 =
60
60°
120°) reichen, ebenfalls in roher Annahe-
rung
von
i
3'
Proportionalitiit zwischen der Verminderung
p
I
und dem Winkel 3'. Hier wiirde man aber
o erst fur den physisch unmoglichen Winkel
105° erhalten. Fernere Versuche mussen ent-
scheiden, ob die -j- den 8 oder den 3' proportional
i
sincl
falls iiberhaupt eine derartige Gesetzmiissig-
keit existirt.
12.
Polariscopische Untersiirhiuig des durchgeheoden polarisirten
Lichtes.
Bei alien polarimetrischen Versuchen war das auf-
fallende Licht J_ zur Einfallsebene polarisirt und das
austretende Licht wurde nur in dieserselben Ebene
untersucht. - .
Uber die anderen Falle, wenn das einfallende Licht
der Einfallsebene polarisirt, oder das austretende
in einer zu dieser senkrechten Ebene Meet, wurden.
behufs vorlaufiger Orientirung nur
'pische
Vorversuche gemacht, deren Resultate hier kurz
gegeben werden s
Milchglasplatte JV
Die Versuche wurden an der
ausgefuhrt; ihre Dicke
Fallt auf die Platte naturliches Licht
das, sehr schief austretende. Licht
zur
Austrittsebene polarisirt; audi fur den Fall schiefer
Incidenz, wenn die Austrittsebene
ebene.
Einfalls
Zur Abkurzun
r>j
die erstere die A. -Ebene
die letztere die E.-EbeneunddiePolarisationseb
P. -Ebene nennen. Da die Platte bei alien Yen
vertical und die E.-Ebene horizontal war, so
es bequem sein, die Lagen der P. -Ebene durch
cal oder horizontal zu bezeichnen.
durfte
I. Das polar
Licht fallt senkrecht auf
die Platte. Die P. -Ebene
H
A.-Eb
Dies ist der Fall, auf
welchen sich die Zahlen der Colonnen VI und VII
(Platte M 8) im
tretenden Lichtes
Verticals
beziehen. Die P.- Ebene des
;ale A.-Ebe
ittswinkel y wird die I
Mit wachsendem Aus-
»
«49
des Sciences de Saint -Pe^ersbourK.
250
dann Null und bei
zontal, das Licht al
IT. Das Solaris
&
sem y ist die P.-Ebene hor
zur A.-Ebene polarisirt.
Licht fallt schief auf d
Platte; der Einfallswinkel ist etwa 65°. Die E.-Ebene
ist horizontal.
A. Die P.-Ebene ist vertical d. li. J_ zur
E.-Ebene.
Horizontale A.-Ebene. Dies ist der Fall, auf
welchen sich die Zahlen der Colonnen VIIL IX und X
(1. c.) beziehen. Die P.-Ebene ist vertical.
Verticale A.-Ebene. Mit wachsendem y wird
die Polarisation schwacher; die P.-Ebene drelit sich
und bei grossem y ist die P.-Ebene horizontal d. h.
_L zur A.-Ebene.
B. Die P.-Ebene ist horizontal, also das Licht
in der E.-Ebene polarisirt. Dieser Fall kam bei den
polarimetrischen Versuchen nicht vor.
a) Horizontale A.-Ebene. Fur y=o ist die P.-Ebene
horizontal. Mit wachsendem y wird die Polarisation
schnell geringer. Bei grossera positiven y ist sie
Null, bei grossem negativen fast Null.
Verticale A.-Ebene. Das Licht bleibt in der
E.-Ebene d. h. also _L zur A.-Ebene polarisirt und
wird die Polarisation mit wachsendem y immer grosser.
13.
Hiitersuiiiuiig eioes halbdurchsichtigen «lberfangglases»
(verre plaque).
und das dickere Milchgl
Das Rauchglas
bilden die extremen Falle, von welchen im
Rede ist und welche durch die Formeln (1) und
characterisirt sind. Ich habe noch zwei Korper un
sucht, welche zu den nicht extremen Fallen gehf
die
und nach dem
bezeichnet wei
Gesagt
durchscheinend
war
erne
Uberfan
rden konnten. Der erste Korper
Schichten bestehende Glasplatte, sogen
verre plaque), belgischer Fabrication
D
dickere Schicht bestand
ewohnlichem farb
losen Glas: die dunnere aus einem, oberflachlich rein
weiss erscheinenden, Glasflusse. Die Dicke dieser
Schicht wurde durch Abschleifen derselben als gleich
0,390 mm. gefunden.
Die Platte ist entschieden durchscheinend; ein Theil
des auffallenden Lichtes wird zerstreut. ein anderer
j
geht
frei durch. Halt man die Platte dicht
Flamme, so ist diese nicht zu sehen, weil die intensiv
beleuchtete Platte zhviel zerstivutes Licht giebt. Ent-
fernt man die Platte von der Flamme, so tret in zuerst
die Conturen der letzteren liervor. Desto weiter man
die Platte entfernt, desto deutlichcr sieht man alio
Details der Flamme, des Dochtes etc. Das erste Sicht-
barwerden der Flammenconturen findet . unabhiingig
von der Leuchtkraft der Flamme, stits bei einer and
derselben Entfernung statt, worin eine hubsche Be-
stiitigung des Fcchncr'schen psychophysischen Gc-
setzes sich nachweisen liisst.
Eine Milchglasplatte von der lliilfte der Dicke die-
ser weissen Schicht ist noch vollig undurchsichtig.
Wir haben es also jedenfalls hier mit einem
anderen Stoffe zu thun, in welchem die zer-
streuende Masse minder dicht vertheilt ist.
Doppelplatte. Zwei Flatten wnrden mit den weissen
Seiten zusaramengelegt. Die so entstandene Doppel-
platte war nur durchscheinend und konnte man keine
Flammenconturen durch dieselbe erkennen.
Die photometrische Untersuchung derselben ergab:
0
60
0
I
100
44,09
7
0
60
60
I
100
44,34
also nach unseren fruheren Bezeichnungen (8) und (1 0)
a
44,09
b
100.
Fiel auf die Platte vollstandig polarisirtcs Licht, so
war in dem normal ausgestrahlten Lichte keine Spur
Polarisation zu bemerken.
Das Resultat stimmt also sehr gut mit dem fur
dickes Milchglas erhaltenen, insbesondere was die
Grosse der Zahl a betrifft.
Einfache Platte. Da man bei gerader Durchsicht
§) das Bild der Flamme im Gesichtsfelde sah,
konnte bei dieser Lage von Einstellung des Photometers
keine Rede sein. Die dadurch entstandenen Liicken in
der Beobachtung sind in der folgenden Tabelle durch
ausgefiillt. Bei der ersten Beobachtungsreihe,
o) entspricht,
welche der senkrechten Incidenz
fehlte der, y = o entsprechende, Vergleichwerth von J,
welcher oben stets gleich 100 angenommen wurde. Es
wurden daher die I mit dem, y=15° entsprechenden,
Werthe verglichen und dieser hierbei gleich 96,6 =
251
Bulletin <le V Academic? Imperial?
100 cos 15° gesetzt, womit aber nicht etwa gesagt
sein soil, class 1= 100 bei 7 = 0 sei.
Ein Vergleich zwischen den Zalilen dieser Ta-
belle IV und denen der Tabellel,§9, zeigt einen enor-
men Unterschied in der Verbreitungsart des Lichtes
ira diinnen Milchglas und in dera jetzt untersuchten
weissen Glas. Dieser Unterschied liisst sich dahin
formuliren, dass sich beim Milchglas ein, von der Rich-
tang des geraden Strahlendurchganges nach beiden
Seiten stark ausdehnender, Lichtiiberschuss
zeigt, wahrend bei dem Uberfangglas dieser Uber-
schuss auf einen sehr schmalen Raum concentrirt
bleibt. In Tab. I iiberwiegen die Zahlen der linken
Seite sehr bedeutend, wahrend in Tab. IV der Unter-
schied nur ein geringer ist.
Fiir p
45
o
finden wir bei 7
60° und
Y = -*-60° in Tab. I die Zahlen 60,3 und 27,9; in
Tab. IV dagegen 46,3 und 42,9.
IV.
—60°
-45°
—30°
-15°
0°
15°
30°
45°
60°
= Y
43,0
66,5
■ . -_
96,6
+
96,6 —
66,5
1 P
43,0 0°
45,0
68,1
-+-
98,5
100
94,0 83,6
64,1
42,8
30
46,3
-+-
88,9
96,8
100
93,3
81,0
64,6
42,9
45
70,3
88,6
98,1
100
94,1
80,1
64,9
42,7
60
p
Der Bruch -j bei, J_ zur Einfallsebene polarisirtem,
1
auffallenden Lichte ist bei
messen worden.
30" und 60 ge-
Beip
0 wurde gefunden:
p
1
T
0
10
30
50
60
und ferner bei (J = 30° und 0
V.
100
25,7
19,5
17,5
18,7
20,0
60
P
I
100
60
45
30
15
0'
15
30
45'
60'
Y
20,0
19,5
19,3
18,6
18,0 16,2
15,4
14,3 11,4
13,3
9,3
13,8
9,5
15,4
12,1
30°
60
14.
Intersuchung einer halbdurchsichtigen ItlilchglaspIaKe
(d
1,841 mm.).
Diese Platte war noch bedeutend durchsichtiger,
als die zuletzt betrachtete. Trotz ihrer Dicke konnte
man durch sie hindurch sogar mittelmassig beleuch-
tete Gegenstande erkennen. Das durchscheinende Licht
war rothlich, das reflectirte schwach blaulich gefarbt.
Die Platte diente unter anderem dazu die Wirkung
der Oberflachendiffusion zu untersuchen. Es wurden
zwei Flatten aus einem Stiick nebeneinander ausge-
schnitten. JV?. I blieb mit glatter Oberflache; JV*?. II wurde
matt geschliffen. As II war nur durchscheinend; die
Conturen selbst heller Flammen waren, wie bei alien
matten Glasern, nicht zu unterscheiden. Die Dicke
von JV? II war 1,723 mm.
Vergleich der polirten Platte I mit der mat-
ten JV?. II. Bei der polirten Platte konnte die In ten-
sitat des in gerader Richtung durchgehenden Lichtes
wieder nicht bestimmt werden, da man im Gesichts-
felde das sehr intensive Bild der Flamme sah. Eine
sichere Messung war fiir den Fall
0 erst bei
7
7 auszufuhren. Es wurden nun fiir verschiedene
y die von I und II ausgestrahlten I und I
lirt, m =
tate :
po-
matt) verglichen. Folgendes sind die Resul-
0.
I
7
0°
7
10
15
30
60
p
I
m
Sehr grosse Zahl
1,11
0,921
0,972
1,08
1,09.
Die Zahl fiir 7 = 0° Hess sich, wie gesagt, nicht be-
stimmen, doch muss sie uber 20 gewesen sein. Die
angefuhrten Zahlen zeigen dass die Lichtmenge, welche
mit hoher Intensitat, aber in Form eines schmalen
Centralbundels die polirte Platte durchsetzt und fur
das Auge das deutliche Bild giebt, bei der matten
Platte in einen Conus mit breiter Offnung auseinander-
gezogen wird. In Folge dessen iiberwiegt schon bei
geringem Emissionswinkel y die Helligkeit der matten
Platte, es wird 1 > I Bei grosseren Winkeln wird
5$>3
des Sciences de Saint - Pelerabourg
25#
Das gesammte
aber I wieder etvvas grosser als lm.
hindurchgelassene Licht ist aber bei beiden Platten
nahe dasselbe. Legt man namlich die beiden Platten
nach einander an eine durchscheinend hell leuchtende
Milchglasplatte (As 6, s.
beobachtet die Intensitat bei |3
fast ganz
d
T
gleiche Werthe.
Es ergeben
0,607 mm.) and
= o, so crlnilt man
namlich bei
senkrecht durcheehendem Lichte:
G
(25)
{
f Milchglas As 6 -*- As II (matt).
I
Milchglas Jfc 6
As I (polirt)
I
I
m
P
100
102,9
Wahrend also das concentrirte Licht einer
entfernteu Flamme bei
Y = o fur
I
v
J
eine
m
sehr grosse Zalil giebt (iiber 20), giebt das
breite dicht an die Platten angelegte leuch-
tendeMilchglas fur diesen Bruch eine kaum von
Eins unterschiedene Zahl.
Hierin mag vielleicht ein Fingerzeig liegen, der
auf eine nicht unmogliche Quelle von Fehlern bei
photometrischen Untersuchungen hinweist. Verglich
man Im und I wie sie in (25) gegeben sind mit dem 7,
welches die Milchglasplatte As 6 allein gab, so zeigte
es sich, dass die Platten As I und As II im Mittel
p
53,4% des Lichtes durchgehen liessen — wohlverstan-
den ist hier von dem gesammten, in alien Richtungen
In gerader Richtung
6
durchgehenden Lichte die Rede.
geht bei der polirten Platte unvergleichlich meln
Licht hindurch, als bei der matten.
Von wie grosser Wichtigkeit
dieser Umstand ist,
wenn es sich um die Bestimmung des Schwachungs-
coefficientenhandelt, braucht wohl kaumausfiihrlich
hervorgehoben zu werden. Sowohl die polirte, als audi
die matte Platte wurden photometrisch und polari-
metrisch untersucht; es sollen zuerst die Resultate an-
gegeben werden, welche fur die, an und fur sich we-
niger interessante, matte Platte gefunden wurden.
15.
Die matte halbdurchsichtige Milchglasplatte Xi II.
Bei den photometrischen Messungen zeigte es sich,
o
die Lichtvertheilung
dass bei schiefer Incidenz, 0
auf der positiven Seite (y > o) ganz den Character
hat, der bei dicken durchscheinenden Milchglasplatten
(§ 7) gefunden wurde. Bei Vergrosserung der y sank
Tome XXXI.
die beobachtete Intensitat nur ganz langsam; die I
sanken also etwas schncller, als es nach dem Cosinus-
Gesetz sein musste. Bei schiefer Incidenz und posi-
tiven y, wurde daher, wie bei dickeren Milchglasplatten
(§ 7) nur der Worth fur y = -+- 60° bestimmt.
VI. /.
32,3
16,0
50,7
56,6
46,0
77,0
81
6J,0
Mill
91,0
71,8
10 .0
100
100
100
100
74,8
30°
45°
60*
= y
61,0
lii.O
32,3
P
0°
11,5
30
64,2
13,4
42,4
45
60
VII.
p
I
. 100.
60
45
FL°
30'
0
30
45
R«
HO'
P
P
0°
30
45
60
8,8
14,3
17,0
16,5
21,0
20,0
!»,0 29,8
25,0
15,0
0
6,7
0
0
9,0
8,8
2,7
0
0
Vergleicht man Tab. VI mit Tab. I (§9), so zeigt
sich in der ersten Reihe fast vollige Gleichheit, in den
weiteren aber, besonders fur positive y totale Ver-
schiedenheit; dasselbe findet man bei Vergleich der
Tabellen II und VII.
16.
Die polirte hall>durihsicht%e Milchglasplatte A* I.
In gerader Richtung konnten photometrische Unter-
suchungen nicht ausgefuhrt werden; die Werthe von/
bei y
Ubrigen. Polarimetrische Messungen sind aber doch
gemacht worden; sie ergaben eine enorme Quantitat
(72,5%) durchgehenden, polarisirten Lichtes. Bei
as h- 60° wieder-
^ waren sehr gross im Vergleiche mit alien
schiefer Incidenz erhielt man fur y = -+-
um eine 43 nahe Zahl und polarisirt unveriindert
durchgegangenes Licht nur in nachster Nahe derLinie
des geraden Durchganges.
17
255
ISuIletin de IMcadomio Imperials
»5G
*
Die photometrische Untersuchung ergab folgende "Werthe der I:
VIII.
*-
Y
60
48'
45
35
30'
12
0'
12
30
35
45
48
60'
0
45
60
43,6
49,7
72,0
65,2
83,8
87 0
100
Die sehr grossen Zahlen, welche 7
ent-
spreclien, sind durch
ersetzt.
Die polarimetrischen Messungen ergaben folgend
Werthe
P
I
100
IX.
Y =
—60°
-45°
—30°
—15°
0°
15°
30°
45°
60°
0°
45
60
14,2
22,7
72,5
72,5
9,3
9,3
1
72,5
0
■
9,3
0
9
14,2
9,3
Bei alien 7
wurde derselbe enorm hohe
Werth von
P
100 beobachtet. Die Seitenzerstreuung
des polarisirten Lichtes war aber nur eine geringe,
Mit der polirten Platte JVs I sind noch weitere Ver-
suche ausgefuhrt worden, urn das im Glase zerstreute
Liclit, von dem direct durchgehenden zu trennen.
Fig. 22.
M
n
/
i~
6
P
-c
E
Versuchsreihe (Fig. 22). Als Lichtquelle
diente die beleuchtete Milchglasplatte A
§
d
Radius
Fi
durch M bezeichnet. Nach dieser Lichtquelle wurde
mit dem Photometer P visirt und zwar durch die po-
lirte halbdurchsichtige Platte As I hindurch; diese ist
durch R, die Lampe durch L bezeichnet. Die Entfer-
nung J/i? — r wurde von 40 mm. bis 320 mm. va-
riirt. Die directe Beobachtung ergab fur die Tntensi-
taten / die folgenden "Werthe:
100
100
100
82,1
78,3
65,2
X.
62,5
43,6
42,7
43,2
40 mm
80
120
160
200
240
320
»
»
»
»
»
»
I
231
100
68,59
57,00
48,34
43,84
40,30.
Bei weiterer Anderung von r blieb I wesentlich
constant.
"Wurde die Platte It ganz fortgenommen, so wurde
1
3064
erhalten. Da wir nun friiher gefunden haben, dass die
Platte R dicht an M angelegt 53% des von M ausge-
henden Lichtes weiter ausstrahlt, so folgt, dass, wenn
wir r
0 gemacht hatten, wir 1= 3064 . 0,53
1636
gefunden hatten. "Wir konnen also der Tabelle IX noch
die Zahlen:
(26)
I
0 mm. 1636
hinzufiigen.
Beim Entfernen der Platte R von der Platte M
sinkt also die beobachtete Lichtstarke zuerst enorm
schnell, dann langsamer, um sehr bald fast constant
zu werden.
Das nach P gelangende Liclit besteht aus zwei Thei-
len. Der erste, durchgehende, bleibt (bei alien Entfer-
nungen r) constant, wie wir es im § 3 beim Ranch*
glase gesehen haben; wir wollen diesen Theil durch A
bezeichnen. Der zweite Theil wird von der Platte R
ausgesandt und ist proportional der Beleuchtung der-
selben durch die Platte M. Bei grossem r ist der
zweite Theil nur gering; bei kleinem r dagegen iiber-
wiegt er den anderen um das 40 fache.
2.57
des Sciences «le Saint- Petersbouri;.
»5S
Ware die Platte M gleichf6rmigleuchtend;sowurdc
die im Centrum von R stattfindende Beleuclitung urn-
gekehrt proportional der Grosse r2-*-
<T
2
sein, wo a der
Kadius von M ist. Fur r> 100 mm. kann a-2 im Ver-
gleich mit r2 fuglich vernachlassigt werden. Da M aber
nicht gleichformig beleuchtct ist, so wird es ungefahr
wie eine Scheibe leuchten, deren Radius etwas kleiner,
als a
20 mm. ist.
Wir setzen also:
(27)
I=^A
B
r2-+- x2 '
Urn audi fur r = 40 mm. einigermaassen tjbercin-
stimmung zwischen Rechnung und Beobachtung zu
finden muss x < a angenommen werden und setzen
wir:
x
16 mm.
Die Werthe der Tabelle X ergeben nach der Me
thode der kieinsten Quadrate fur A und B die Werthe
(28)
A
B
35, 3G
457300
Diese Werthe setzen wir in (27) ein und finden
I Beob.
I Berechn.
40
80
120
160
200
240
320
231 282,5
100 102,8
68,59
57,0
67,32
53,8
48,34 47,47
43,84 44,02
40,30 40,57.
Fur r = o erhalt man 1= 1822, wahrend 1636
beobachtet wurde. Zum Mindesten also Grossen einer
Ordnung. Fur kleine r liess sich tlbereinstimmung
zwischen Beobachtung und Rechnung audi nicht er-
warten, da die Beleuclitung von R durch 3/ sich ver-
wickelter, als durch (27) ausdrucken muss.
Die Zahlen (28) zeigen, dass 35,36 Lichteinheiten
(bei r
80 mm. haben wir 1= 100 gesetzt) durch
die Platte frei hindurchgehen. Etwa bei r = 1 1 2 mm.
ist dieser Theil gleich dem von der Platte direct aus-
gestrahlten; bei r
80 mm. ist er nur noch wenig
uber ein Drittel (35%), bei r
40 mm. bildet er
etwa
i
7
und bei r
o nur noch
i
45
dagegen bei
r
320 mm, bereits 87% des ganzen L
Zweite Versuchsreihe (Fig. 23). Es sind cinige
Vorsuche gemncht worden bei umgekehrter Anordnung
I ig. 23.
/'
L
c
r
T
der Plattim; R und M haben dieselbe Bedeutung wie
friiher. Es wurde also die Intensitat I dor, durch die
Platte R hindurch beleuchteten Milchglasjdatte M
beobachtet. Dies J muss wiederum aus zwei Theilen
bestchen, deren Form durch (1) und (2) im § 1 gegc-
ben ist, wo a
e
?
b
r ist. Wir setzen also, aller-
dings nur nitherungsweise:
(29)
I
A
B
(r -*- p)*
r*P
2*
Werden r und p miteinander vertauscht, so muss
I unveriindert bleiben und dies wurde in der That
beobachtet. Folgendes sind die gefundenen Resultate:
XI.
p
100 mm
r
I Beob.
1 Berechn
75
75
100
75
125
150
»
»
»
»
»
»
50 mm. 120,2 114,7
75
100
75
125
75
75
»
»
»
»
»
»
100 .
63,86
63,3
43,27 . .
28,40 (?).
44,2
34,2.
Die letztere Zahl ist
sehr unsicher, das Gesichts-
feld wrar iiusserst dunkel und die Eiustellung des Pho-
tometers sehr schwierig. Setzt man
A
1500,
B
4700,
so erhalt man fiir drei mittlere Zahlen eine ziemliche
Ubereinstimmung, wie aus den obigen unter I be-
stehenden Zahlen
17.
Vergleich der an tier Platten erhaltenen Beobachtongs-
resultate.
Die vier Platten sind: das dicke Milchglas ( 7),
das dunnste Milchglas . 10(^9
fangglas
1 3), das U ber-
14) und die polirte halbdurchsichtige
Milchglasplatte (^ 17). Als funfte kann die matt*-
17*
(§
J
*59
Bulletin de rAcad^mie Imperials
20O
halbdurchsichtige Milchglasplatte erwahnt werden, Licht geht auch fast nur in dieser Richtung hindurch.
welche aber nur zum Studiuni der Oberfliichendiffusion
ft
Material giebt.
I. Die dicke Milchglasplatte. Sie ist als Grenz-
fall zu betrachten und (lurch folgende Eigenschaften
characterisirt :
Mit waclisendem Emanationswinkel 7 sinkt die
Lichtintensitat I scbneller als nach dem Cosinus-Gesetz.
• ■
Bei 7
60° ist I der 0,435-te Theil von der bei
T
0°.
2) Die Emanation ist unabhangig von dem Einfalls-
winkel des Lichtes.
3) Fiel vollig polarisirtes Licht auf die Platte, so
war das austretende Licht vollig unpolarisirt.
II. Die dunne Milchglasplatte JV; 10
0,162 mm.). Das ausgestrahlte Licht kann als aus
zwei Theiien bestehend betrachtet werden, deren er-
ster den sub I angegebenen Eigenschaften . entspricht.
Zu diesem kommt aber ein bedeutender Uberschuss
hinzu, der sich nach beiden Seiten von der Richtung
der einfallenden Strahlen bedeutcnd ausbreitet und
vielleicht bis zu den grossten 7 reicht. Bei schiefer
Incidenz entsteht hierdurch ein sehr bedeutendes
Uberwiegen der / auf der eincn Seite der Normale,
gegen die auf der andern.
Polarisirtes Licht geht bei alien Incidenzen und bei
alien y in bedeutender Menge hindurch.
III. Uberfangglas. Die wirksame Schicht ist
0,390 mm. dick. Man sieht das Bild einer Flamme
hindurch. In der Richtung der auffallenden Strahlen
geht eine grosse Lichtmenge hindurch; der Uber-
schuss ist nur wenig nach den Seiten verbreitet, in
Folge dessen bei schiefer Incidenz die eine Seite
nur wenig die andere uberwiegt —
nahe der Richtung der einfallenden Strahlen. Bei
schiefer Incidenz erhiilt man fur positive y eine Licht-
vertheilung, wie sie in 1, 1 characterisirt ist. Das letz-
tere ist auch mit den polarisirten durchgehenden
Strahlen der Fall; doch findet man fur diese nicht
unerhebliche, aber fast fur alle y constante Werthc.
Man kann daher auf das Vorhandensein eines tiber
ausser, natiirlich,
fast gleichformig
• *
vertheilten Uberschusses
alle 7
schliessen.
IV. Polirte halbdurchsichtige Milchglas-
**
platte. Der Uberschuss ist fast vtillig in der Rich-
tungder einfallenden Strahlen concentrirt. Polarisirtes
Bei schiefer Incidenz und positivem 7 erhiilt man das-
selbe, wie As III.
Sammtliche Platten bestehen aus wesentlich glei-
chem Stoffe
gewohnliche Glasmasse, welcher fein
vertheiltes Knochenmehl, also phosphorsaurer Kalk
beigemengt ist. Die Dichtigkeit dieser Beimengung
ist bei den Platten I und II am grossten, bei III ge-
ringer und bei IV noch geringer.
©
b
©
18.
Allgemeine Bemerkungen.
Ursache der Diffusion. Zollner weist («Photo-
metrische Untersuchungen» p. 24 u.f.) auf das Milch-
glas als auf einen Korper hin, fiir welchcn das Lam-
bert'sche Cosinus-Emanationsgesetz gelten miisse.
Dieses wird auf bekannte Weise theoretisch fiir den
Fall abgeleitet, dass das Licht aus einer gewissen
*
Tiefe des Korpers dringe. Beim Milchglas sind nun,
nach Zollner's Ansicht, (lurch die in der Masse
gleichmassig vertheilten, das Licht nach alien Seiten
zerstreuenden Partikelchen von phosphorsaurem Kalk,
die theoretisch geforderten Bedingungen gewisser-
maassen kiinstlich erfullt. Fiir die Richtigkeit des Ema-
nationsgesetzcs spricht die in der Mitte und am Rande
gleichfOrmige Helligkeit halbkugelformig fiber die
Flamme gewolbter Lampenschirme aus Milchglas.
«Aus diesem Umstande wird man nun auch auf die
fiir den Fall
schliessen diirfen, wo das Milchglas, anstatt von durch-
gehendem, von auffallendem Lichte erleuchtet wird.»
Wir sah en dass bei den Platten III und IV, in
welchen die Dichte der eingestreuten Partikelchen
eine verhiiltnissmassis geringe ist, der Lichtiiberschuss
Richtigkeit des Emanationsgesetzes
& t>
to
sich urn die Richtung der einfallenden Strahlen con-
centrirt; in der etwas dichteren Platte III scheint er
etwas weiter und, ausser der ervvahnten Richtung,
ziemlich gleichformig verbreitet zu sein. In der viel
dichteren Platte II findet sich ein, sozusagen inten-
siver Uberschuss mit starker Verbreitung nach beiden
Seiten.
Das
Lambert'sche E
in diesem
&
Wie
bereits angefulirt wurde, hat Z
vermuthet, dass fur Milchglas das Lambert'sche Ge-
setz richtig sein rausse. Wir fanden in alien Fallen
2«I
des Sciences de Saitit- Petcrsbourts.
»<**
eine Abweichung und zwar sinkt die Intensitat des
ausgestrahlten Lichtes in dem Falle, wo die Platte so
dick und dicht ist, dass sicher die Grenze weiterer
Anderung des Emanationsgesetzes erreichtist, schneller
als nach dem Lambert'schen Cosinus-Gesetz. Was
den Zollner'schen Hinweis auf die Lampenglocken
betrifft, so durfte der Contrast gegen den dunkelen
Hintergrund eine Rolle spielen. Projecirt man den
Rand einer Glocke auf die Mitte einer anderen, so
erscheint, mir wenigstens, in der That der Rand we-
niger hell als die Mitte. Ob dies seitliehen Beleuch-
tungen oder anderen stdrenden Ursachen zuzuschrei-
ben war, miisste durch genauere Messungen ent-
schieden werden.
E. Lommel hat das Emanationsgesetz fur den Fall
durchsichtiger gliihender Korper aufgestellt und so
eine Verallgemeinerung des Lambert'schen Gesetzes
durchgefiihrt 3), doch lassen sich seine Endformeln
wohl kaum auf unseren Fall anwenden.
Fur beleuchtete Oberflachen fand Bouguer be-
kanntlich eine sehr grosse Abweichung von dem Lam-
bert'schen Gesetz und zwar bei mattem Silber, Gyps
und hollandischem Papier («eher cos2<p, als cos(p» sagt
Zo liner, 1. c. p. 22). Ahnliche Resultate erhielt Ko-
nonowitsch fur weisses Papier (Carton) und Marmor.
Hydrologische Untersuchungen XLV. — XLVIII. Von
Prof. Dr. Carl Schmidt in Dorpat. iLu le 12 Avril
. 1886).
XLV. Wasser aus dem Sec Zizik-uor.
4C°36' n. Br.
!»3°20' o. L. v. Grcenw.
N. W. Mongolei.
:> 110'= 1 648,9 Meter Meeresh.lje.
(17. (29.) April 1878. 6 hor.l _»'r>:V'o.L.v.(Jreenw.
Bestimmung Rafailow's) — geschopft von Ilerrn G.
N. Potanin1) 4. (16.) April 1877.
«Dieser kleine Gebirgs-See liegt inmitten des Altai 2) ;
sein Wasser ist bittersalzig, am Boden krystallisirt
Salz. Die Ufer sind flach, 7 bis 10 Worst vom Nord-
[ und Sud-Abhange des Nam-daba- und Djetcliiin-daba-
Passes entfernt. Er ist etwa 10 Worst lang, abtiusslos;
seine Ufer Salzmoraste».
Mit dioser Darstellung Potanin's stimtnt das Re-
fiberwiegenden
Glaubersalz-Gehaltes des Zizik-nor-Wassers iiber-
ein. Dassclbe scheint jedoch an der Schopf-Stelle stark
durch Schneewasser verdiinnt worden zu sein. Die
Bei der theoretischen
Begrundung
des P^nanations-
gesetzes, besonders fur den Fall des Milchgiases, miisste
auf folgende Umstande Gewicht gelegt werden. Beim
Austritt der Strahlen findet Brechung derselben statt,
begleitet von entsprechender Schwachung (Lommel,
1. c. p. 458 — 459); die Strahlen, welche den sammt-
lichen, zwischen den Werthen e und e-t-Ae liegenden
inneren Einfallswinkeln entsprechen, werden nach dem
Austritt auf einen breiteren und langeren Raum ver-
theilt. Eine bcdeutende Menge Licht wird total reflec-
tirt und verandert den Character der inneren Beleuch-
tung der Grenzschicht
Untersuchun
o
und weitere Versuche nach den fruheren und nach
neuen
7
noch nicht angewandten Methoden werden
hoffentlich iiber das Wesen der inneren Diffusion wei-
tere Aufklarung schaffen.
3) Wiedemann's Annalen T. X, 1880, p. 453
sultat der Analyse hinsichtlich des
Analyse ergiebt
2
M. Sal
gloich
dem des finnischon Meerbusens vor Kronstadt, wobei
an eine «Krystallisation von Salz am Boden des See's»
nicht zu denken ist.
Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos,Volum.-Gew.
bei20°C. = l,0023i.
h
Analytische Data.
93,061 grm. Wasser gab en 0,1152 Chlorsilber
0,30609 p. M. Chlor.
192,621 grm. Wasser 0,5855 Ba S04 ^= 1,04364
p. M. SOs.
199,260 grm. Wasser 0,0248 CaO == 0,08890 p.
M. Ca.
391,881 grm. (Filtrat von b u. c) 0,0356
Si02 = 0,09085 p. M. Si02.
0,1446 MgS04 = 0,07380 p. M. Mg.
0,6330 KC1
NaCl.
0,0577 K2Pt Cl6
02361 p. M. K.
61857 p. M. Na.
w
1881, I, p. 112 u. 362 (Russisch: «OiepKH c-feBepo3anaaHofi Moh-
roahiu), Resultate der Expedition der Kaiserl.Geograph.Gesellschaft
187G— 77.
2) Gobirgskette nSrdlich der Gobi und des ca. 3 Breitengrade siid-
lielier den Zizik-nor-Meridian schneidenden Tjan-schan-Ruckens.
263
Bulletin de 1' Academic Imperiale
1,000,000 grm. Wasser (ca. 1 Cubikmeter) enthalten:
2«4
Elementarbestandtheile.
G r u p p
rung
Kaliura K
Natrium Na. . . .
Calcium Ca. . . .
Magnesium Mg. .
ChlorCl
Schwefelsaure SO
Kohlensaure d. Bicarbonate C204
Kieselsiiure SiO
Sauerstoffaequiv. d. S03 u. C204
3
2
Mineralbestandtheile
Wasser, Spur organ. Subst. . .
Summa
23,61
Kaliumsulfat ILSO
2
4
618,57 1 Natriumsulfat Na2S04
88,90 1 Chlornatrium NaCl
Chlorcalcium CaCl
73,80
2
2^5
306,09 Chlormagnesium MgCl
1043,64 Magnesiumbicarbonat MgC20
146,96 1 Kieselsiiure SiO
90,85
235,45
2
1000000,00
52,57
1810,25
80,55
246,53
133,36
213,76
90,85
2627,87
997372,13
1000000,00
Das Verhaltniss der Sulfate zu den Chloriden gleicht
dem der Glaubersalz-Seeen des mittlern Jenissei (Mi-
nussinsker Kreis), zunachst des Tagarski See's3).
Reconstruct man aus dem Abdampfsalze des letz-
teren das Wasser durch Berechnung des Kesselsteins
als Bicarbonat-Gemenges, so erhalt man in 100 Th.
wasserfreier Mineralbestandtheile:
Elementarbestandtheile.
G
u
p p l r u n g
Kalium K . . . . ,
Natrium Na . .
Calcium Ca . . . .
Magnesium Mg. .
Eisen Fe
Schwefelsaure SO
Chlor CI
Brom Br
Kohlensaure der Bicar-
bonate C904
3
Kieselsiiure SiO,
2
* . •
Sauerstoffaequiv- d.SO
3
und C20
4
Summa .
Zizik-nor,
0,899
23,538
3,383
2,808
39,715
11,648
5,592
3,457
8,960
100,000
Tagarski.
27,778
2,9
ol
45,459
12,849
0,019
0,458
0,050
9,185
100,000
0,161 Kaliumsulfat KoS04
2
Natriumsulfat Na2SO
4
1,025 Chlornatrium NaCl.
Chlorcalcium CaCl
2
0,085 Chlormagnes. MgCl2.
Brommagnes MgBr2.
Magnesiumbicarbonat
M
to
c2o5
Eisenbicarbon.FeC90
Kieselsiiure SiO
2
\
Summa .
Zizik-nor.
2,001
68,887
3,065
9,381
5,075
8,134
3,457
100,000
Tagarski.
0,358
80,427
4,329
2,842
11,252
0,022
0,448
0,272
0,050
100,000
3) 15 Werst von der Stadt Minussinsk j f°o% ";^ry Greenwich,! cf' BulIetin T- XXVIII, p. 477 (1883).
265
des Sciences de Saint - Pe^ersboiirg.
-nm
XLVI. Wasser des Turkjuil-See's
am Nord-Abhange des Tjan-schan
43°24' n. Br.
94°9' o. L. v. Greenw.
(63°49' 6. L. v. Pulkowa).
Geschopft von Herrn G. N. Potanin4) am 2. (14.)
Juni 1877, dessen Schilderung nachstehende Charak-
teristik des Seebeckens entnommen ist:
«Dieser Salzsee erstreckt sich W — 0 auf 6 Werst
Lange; das Wasser ist salzig, an den Ufern krystalli-
sirt Salz, das als Kochsalz benutzt wird.
Rings um den See wachst Lasiagrostis wongholica
(Mongolisch: «Deressu»)5), auf dem Salzthonboden im
weiteren Umkreise Halophyten, auf dem Sandboden
eine Astragalus-. Art der Gruppe Tragacanthae (Mon-
golisch: «Zagan ortut»), Thermopsis lanceolata,Nitraria
ScJioberi und Cynomorium coccineum. Ausserbalb dieser
Zone umgiebt den See harte Steppe, bedeckt mit Stein-
schutt, der sich zu dem den See umgebenden Felsgiir-
tel emporzieht. N. und W. vom See ist diese Steppe von
naturlichen Rieselfurchen durchschnitten, in denen die
mit goldgelben Bliithen uberdeckte Caragana traga-
canthoides D. C. wurzelt. An's Nordufer des See's
treten die Felshohen naher heran, deren Quellen zu
einem kleinen Bache zusammenrieselnd, in den See
munden, eine grune, mit Weidengebtisch , Potentilla
anserina, Primula sibirica, Orchis salina Turcz, Po-
lygonum bistorta bedeckte Oase bildend. Der sudliehe
Gebirgsstock «Karluk-tag» ist mit ewigem
Schnee
bedeckt, der nordliche naher zum See herantretende
ist niedriger, nackter Fels.
Das Wasser ist klar, farblos, schwach alkalisch,
Geschmack stark salzig. Inhalt der Flasche 881,87 grm.
Soole A plus Krystallabsatz B.
Vol. Gew. bei 21° C. = 1,23411
999,504 p. M. Soole A
0,496 p. M. Krystallabsatz B
in 1000,000 Gesammtwasser A
B
4) G. N. Potanin, Skizzen der Nord-West-M ongolei I, p. 174.
N.-O.-Ende des See's 6 hor. 16' 28" o. L. v. Greenwich nach Rafai-
ow's Bestimmung vom 15. (27.) Juni 1878 1. c. p. 354, 360 und 363.
5) Grasart aus der Familie der Gramineen in der Mongolei
sehr haufig und gesellschaftlich wachsend — botan. Bestimmung
Al. Bunge's.
Analytische Data.
A. Soole:
a) 4,6193 grm. Soole A mit Silbernitrat und Ba-
ryumnitrat gefitllt gebcn 2,6634 grm. AgCl
AgBr
576,2948 p. M. AgCl-+-A«Br des Wassers A
i:
und 0,4065 grm. BaS04 = 30,1994 p. M. SO, des
Wassers A-+-B.
98,7288 grm. Soole A mit Chlorwasser-t- Chlo-
roform colorimetrisch 0,00025 Brom = 0.00253 p.
M. Br. = 0,00595 p. M. AgBr mithin 576,2889 p. M.
AgCl
142,4991 p. M. CI des Wassers A
B.
c) 8,1343 Soole A 0,4737 Mg2P207= 12,5933
P
M. Mg des Wassers A
B.
d) 141,474 Soole A mit BaCl2 Oberschuss und
Alcohol, dann Platinchlorid 0,0301 K2PtCl6
0,0482 p. M. K des Wassers A-t-
33,01 44 NaCl=9 1 ,9724 p. M. Na des Wassers A-+-B.
B. Krystallabsatz mit viel Wasser ausgewaschen,
das Waschwasser eingedampft 0.0525 CaSO
0,06640 CaS04 -*- 2 aq. in 881,87 grm. A
B
0,01544
0,03088
0.00618
Ca )
SO
0
3
in 881,87 grm. A
B
0,0753 p. M. CaS04 ■+■ 2 aq. des Gesammtwas-
sers A
B
B
0,0175 p. M. Ca
0,0350 » » S03 J des Gesamratwassers A
0,0070 » » 0
Der mit Wasser ausgelaugte Riickstand bei 140
0,3714 grm. = 0,4211 p. M. A
B, in
trocken
HC1 unter starker CO, Entwickelung loslich:
0,0448 CaO = 0,0363 p. M. Ca aeq. 0.0907)
p. M. CaC03 1
0,0550 Mg2PA=°)°135P-M-Mgae(l-0'()472(A-+B-
von
p. M. MgC03J
0,0048 Fe203 = 0,0038 — p. M. Fe
aeq. 0,0079
aeq. 0,0109
3
sio2
Mff,PnO
Fe.CO
FeCa05
M. SiO, von A
p. M.
p. M.
von A
B
B
p. M. P205 von A-+-B
■
Das Wasser des Turkjuil-See's ist mithin eine Chlor
natrium- Glaubersalz- und Chlormagnesium-reiche ge
sattigte Salzsoole, deren Gypsgehalt als Incrustatioi
des Bodens grosstentheils herauskrystallisirte.
»67
Bulletin de 1* Academic Imperiale
263
1,000,000 grm. Wasser enthalten:
Elementarbestandtheile
Kalium K
Natrium Na . . .
Calcium Ca . . .
Magnesium Mg.
Eisen Fe
Kieselsaure SiO
Sauerstoffaeq. d. S03, C204, P20
Schwefelsiiure SO
2
2W5
3
Chlor CI
Brom Br
Kohlensaure d. Bicarbonate C204
Phosphorsaure P205
Mineralbestandtheile
Wasser
Summa
48,2
91972,4
53,8
12606,8
3,8
71,1
8218,3
30199,4
142499,1
2 5
1198o',4
1000000,0
Gruppirung.
Kaliumsulfat K2S04
Natriumsulfat Na2S04
Chlornatrium NaCl
Chlorcalcium CaCl2
Cblormagnesium MgCl2. . . .
Brom magnesium MgBr2. . . .
Calciumphosphat CaP206 . . .
Magnesiumbicarbonat MgC205
Eisenbicarbonat FeC205. . . .
Kieselsaure Si02
Summe der Mineralsalze ....
Wasser
Summa
107,4
53534,5
189421,0
148,6
36941,7
2,9
1,1
17417,5
10,8
71,1
297656,6
702343,4
1000000,0
Verdeicht man die Zusammensetzung des Zizik-nor-
to
b
Wasser's mit dem des Turkjuil-See's, so ergiebt sich
dass ersteres relativ reicher an Kalium, Calcium, Schwe-
felsaure, Kohlensaure, Kieselsaure, letzteres (Turkjuil)
dagegen reicber an Natrium, Magnesium und Chlor ist.
Auf 1 00 Theile Wasser enthalt Turkjuil-See-Wasser:
i
7,622 Th. Na2SO
26,971 » NaCl
i
wahrend bei 0° und 10° gesattigte Glaubersalz- und
Kochsalzlosungen enthalten auf 100 Theile Wasser:
o°c.
10° c.
Natriumsulfat Na2S04
. . 5,02 . . . 9,00
Chlornatrium NaCl. . . . 35,52 . . . 35,76
Im Winter wird unter 6° der Glaubersalz-Uber-
schuss als Na2S04, 10 aq. herauskrystallisiren, wahrend
alles Chlornatrium gelost bleibt. A us 100 Theilen
Turkjuil-See-Wasser krystallisiren bei 0° heraus 5,902
Theile NaS04, 10 aq. — aus 1 Cubikmeter Turkjuil-
See-Wasser mithin 76,27 Kilogramme Glaubersalz,
dessen grosse Krystalle durch Siebschopfer ausgebriickt
und erforderlichenfalls entsprechende technische Ver-
■
wen dung zur Glas-Soda-Seifen-Fabrikation u. A. m.
finden konnen.
»6»
des Sciences de *iaiii<-Pe*ersbour«.
«7©
100 Theile wasserfreie Mineralbestandtheile des Turkjuil-Sce-Wassers enthalten:
Elementarbestandtheili
Kalium K
Natrium Na
Calcium Ca
Magnesium Mg
Eisen Fe
Schwefelsaure S03 . . .
Chlor CI
Brom Br
Kohlensaure der Bicar-
bonate C,0, . . . .
Phosphorsaure P205 . .
Sauerstoffaequiv. der
so3 , c2o4 , p2o5 .
Kieselsaure Si02 . . . .
|a_ t i, *■■■■.
Summe der Mineral-
bestandtheiie . . .
Turkjuil.
0,016
30,899
0,018
4,235
0,001
10,146
47,874
0,001
4,025
Spur
2,761
0,024
100,000
Baluktii-
Kul «).
0,321
23,129
5,243
4,653
Spur
22,672
37,688
0,026
1,417
Spur
4,792
0,059
<;
r u {> p i r ii n g.
Kaliumsulfat K2S04. .
Natriumsulfat NaoS04
Chlornatrium NaCl. .
Chlorcaleium CaCl2. .
Ghlormagnes. MgCl2 .
Ilrommagnes. MgBr2.
( alciumphosphat
CaP206
Magnesiu m bicarbonat
MgC205
Eisenbicarbonat
FeC205
Kieselsaure Si02 . . .
100,000 Summe der Salze .
Turkjuil
0,036
17,985
(13,638
0,050
12,411
0,001
Spur
5,851
0,001
0,024
100,000
Baluktu-
Kill.
0,711
39,676
26,065
14,538
1(1,857
0,030
Spur
2,061
Spur
0,059
1 00,000
Das mit dem Turkjuil-Soolwasser zusammenge-
llte Wasser des Baltiktii-Kul- See's reprasentirt
le friihere Bildunesstufe des ersteren vor seiner
Concentration
ch Sommerverdampfi
vollstandigen Herauskrj
des Gv
bis zum
>ses und
Kaliumsulfates. Beide verdanken wahrscheinlich dem-
selben Umsetzungsprocesse von Gyps mit Soda und
gelosten Kali-Natron-Silicaten , — den Verwitterungs-
und Auslaugungs-Produkten des Tjan-schan und seiner
Parallelketten — zu Glaubersalz und Calciumcarbonat
Kalkzeolithen, ihre Entstehung. Wird Balul
Kul-Wasser eingedampft
Cal
ciumcarbonat, dann Gyps und Kaliumsulfat, endlicli
Chlornatrium oder im Winter Glaubersalz, heraus; es
hinterbleibt eine dem Turkjuil -Wasser ahnliche Mut-
terlauge.
Fliessen, bei gleichzeitiger starker Sommerver-
dunstung Quellen und Bache hinein, wie es beim
Turkjuil-See nach Potanin's Darstellung namentlich
der nordlichen niedrigeren Parallelkette des
von
Tjan-schan her stattfindet, so wird die Mutterlauge
entsprechend Glaubersalzreicher.
6)
}
westlich vnn Ssemipalatinsk. Vergl. Bulletin T. XXVIII, p. 475 (1883).
Tome XXXI.
XLY1I. Wasser der Thermen am Fusse des Schoeegelrirges
Otehan-Chairehan.
47° 40' n. Br.
97° 30' 6. L.*v. Greenw.
5000' = 1524 Meter Meereshohe
Geschopft von Herrn G. N. Pot
25. Juli
(6. August) 1877.
Uber Lag
und Umgebung
dieser Thermen be
hochverdienter Reisender
«Die Quellen liegen im Thalgrunde zwischen dem
Ufer des Ostlichen Armes des Arscliani-Gol-Flusses
und deraNordabhangedesBaga-otschirwani-Hoch-
gebirgsgipfels. Sie entspringen aus Rissen im rothen
sy
Granit und bilden
Grupp
nordliche und eine siidliche, etwa 50 Sch
von
einander entfe
jede
zu
6 Q
Das Wasser
zeigt starken Schwefelgeruch. Seine Temperatur
iibersteigt 40° C. — Lcider war das Thermometer
nicht hoher getheilt.
Die Quellen zerfallen in Trink- und Bade-Quellen;
aus letzteren werden iiber 20 Wannen gefiillt, d. h.
lanjr und
»
n die Erde gegrabene Kasten etwa 2 Arschin
1 Arschin tief. Wahrend der Badezeit sind
7) Skizzeu der N.-W.-Mongolei, I, p. 232
18
sm
Bulletin de I'Academie Imp&riale
*7«
diese «Wannen» von einem baumwollenen Zelte fiber-
dacht. Jede Quelle ist von einem Steinwall umkreist,
nach aussen von Strauchwerk und Stangengeflecht um-
schlossen, dessen Hohe den Maassstab fiir den Werth
und die Warme der Quellen bildet: bei den heissesten
iibersteigt seine Hohe 2 Faden. . .»
Am 25. Juli nahte die «Badesaison» ihrem Schlusse —
es waren nur noch 25 Kranke und 1 «Lama-Doktor»
anwesend sie sassen je 1 bis 3 Stunden in den
Wannen, je nach der Vorschrift des «Doktors». . . .
In Folge der hohen Lage treten mitunter schon im
Juli kalte Sturme und Schneefall ein.
Das in der wohlverkorkten Champagnerflasche ent-
haltene Wasser war klar, farblos, schwach nach Schwe-
*
felwasserstoff riechend.
Volum.-Gewicht bei 20° C. == 1,000325.
Analytische Data.
. Wasser gaben 0,0386 hellbraun
liches AeCl -+- AffnS
AgCl
M. Chlor
00039 p. M.HS
M.ILS
2
b) 187,884 grm. Wasser direkt mit 10 Cc. Baryt-
wasser
= 0,2230 BaO
0,0243 BaSO
0,0694 BaCO
4
3
p. M. SO
n. M. CO
3
2-
Wasser
0,0045 CaO
0,0039 MgSO
0.1338 KC1
00577 o. M. Ca
4
NaCl
00140 p. M. Mg
0.1228 KoPtCl
M. K
6
06808
)) ))
Na
0467 SiO
2
08389 d. M. SiO
2
0,0009 FeqO„ = 0,001 13 p. M. Fe
0,0005 P205 = 0,00090 p. M. P20
1,000000 grammen — c. 1 Cubikmeter Thermalwasser enthalten:
Quellentemperatur.
Otchan-
Chairckan
flber 40° C.
Kachmanow
42,5° C.
Wildbad
Gastein
Trincheras
Venezuela
Reykjahlid
Solfatara
Kalium K. . . .
Natrium Na . .
Calcium Ca . .
Magnesium Mg
Eisen Fe . . . .
Chlor CI
35,34
68,08
29,20
84,50
3,35
32,98
55,83
Schwefelsaure S03 . . .
Schwefelwasserst. H2S2
Phosphorsaure P205 . .
Kohlensaure der Bicar-
bonate C204
Sauerstoffaequiv.
S03, C204, P205 . . .
Kieselsaure SiO
44,41
0,90
Mg0,49
Fe 0,34
52,26
28,19
123,59
6,12
NH420,00
Ca 37,39
15,16 Mg 21,32
34,0
70,13
• •
21,74
83,89
53,65
19,32
48,86
28,25
49,60
0,20
30,07
0,016
0,018
21,97
PA 0,53
C2O4178,10
38,25
127,0
234,50
H2S 8,20
Summe der Mineralbe-
standtheile
49,41
41,71
359,8
388,10
435,33
Freie Kohlensaure CO
Volum.-Gewicht. . . .
,000325
berechnet!
1,000214 1,000335
1,0003
8) Kachmanow-Wasser geschopft Sommer 1882 von Herm N. A. 27,77 S03 — mithin wahrscheinliche Gesammt - Schwefelsaure des
Ssokolow und B. K. Poljanow, in Dorpat angelangt Marz 1883.
Schwefelwasserstoff ist wahrscheinlich nicht praformirt, sondern
durch Reduktionswirkung einiger Thermal- Algen wahrend des Trans-
ports aus der Schwefelsaure gebildet. 11,47 HS sind aequivalent
frischen Rachmanow - Wassers = 28,11 grm. S03 im Cubikmeter
Wasser
502 (1883).
saure).
9) Berechnet — direkt gefunden 44,83 C02 (Gesammt- Kohlen-
5873
des Sciences de Saint -Petersbourj?.
271
Gruppirung.
1,000000 grammen — c. 1 Cubikmeter Thermalwasser enthalten:
Quellentemperatur.
Otchan-
Chairchau
iibcr 40° C.
Rachmanow
42,5° C.
Wildbad
6a8tein
47,8° C.
Trinchcras
Venezuela
96,9° C.
4
Kaliumsulfat K2S04. . .
Natriumsulfat Na2S04 .
Ainmoniumsulf. N2H8S04
Calciumsulfat CaS04. .
Magnesiumsulfat MgSO
Chlorkalium KC1 ....
Chlornatrium NaCl. . .
Bromnatrium NaBr. . .
Jodnatrium NaJ
Chlorlithiura LiCl. . . .
Natriumbicarb. NaoCo0
Iteykjahlid
Solfatara
100° C.
78,68
14,72
0,74
13,50
208,50
92,12
8,18
25,9
39,3
7,46
32,94
42,80
2~2V5
Baryumbicarb. BaC205 .
Strontiumbicarb . SrC205
Calciumbicarb. CaC205.
Magnesiumbicarbonat
Mg.C205. .......
Eisenbicarbonat FeC205
Kaliumsulfhydriir KHS
Natriumsulfhydr. NaHS
Kieselsaure SiO
Aluminium sulfatALS,0
87,12
74,84
2,70
92,0
19,87
13,75
2
2~3VI2
7,46
3,23
0,66
83,89
Thonerde A100
3
Calciumphosphat CaP20
6
1,26
1,98
5,54
15,15
48,86
28,08
2,59
0,69
28,9
49,60
A10P00
0,70
19,2
24,0
49,34
0,02
0,01
0,20
8,67
0,78
1,97
188,12
13,63
26,74
73,33
127,12
106,62
127,0
80,85
2,37
14,08
A12P20
0.91
8
)
8
CaCl2 3,5
Na2B304
41,71
32,61
5,37
0,38
H2S 8,20
Summe.
389,01
169,04 349,16
359,8 388,10
435,33
Das Therm ahv
von Otchan-Ch
ist I und Natriumsulfat , armer an Kaliumsulfat , frei
bequemen Vergleichs halber mit 4 Gebirgs-Ther-
rassern annahernd gleicher Concentration und dem
rerdiinnteren des Belucha- Altai (Rachmanow)
Mit letzterem hat es den
zusammengestellt worden
relativ bedeutenden Gehalt an Kieselsaur
d Na
Natriumbicarbonat, eingedampft nur schwach alkalisch
Ragaz-Pfafe
ist
reicher an Calciumbicar
triurabicarbonat gemein, unterscheidet sich jedoch
wesentlich durch den viel hi
fat
(Chlornatr
fast feh 1 en
viel hoheren Gehalt an Si
(Kaliumsulfat, Natriumsulfat) und Chlorid
die dem Rachmanow-Thermalw
Wildbad- Gastein ist viel reicher an Glaubersalz,
armer an Kaliumsulfat, Chlornatrium und Kieselsaure,
frei von Natriumbicarbonat, auf ein kleines Volumen
gedampft mithin nicht
tark alkalisch
wie
Rachmanow und Otchan-Chairchan
Trincheras (Venezuela) ist reicher an Kieselsaure
bonat, Magnesiumbicarbonat, armer an Kaliumsulfat,
Natriumbicarbonat und Kieselsaure.
Reykjahlid (Island) ist ein siedendes Sulfat- und
Schwefelwasserstoff-Wasser, frei von Chloriden, relativ
reich an Ammoniakalaun, Gyps und Bittersalz, armer
an Kieselsaure. Durch den bedeutenden Ammonium-
sulfat- Gehalt und die saure Reaktion des Eindampf-
ruckstandes von den meisten Theiothermen charakte-
ristisch unterschieden, bildet es den Ubergang zu den
Alaun- und Vitriolwassern Tosk ana's (Allume, Boc-
cheggiano, Colombajo), Buxton («Orchard Alum
Spring»10), Harrogate (« Ancient Alum Well»H) u. A.
10) J. C. Thvesh, Chemical News, XL, 226 (1882).
11) R.H.Davis, Journal of the Chemical-Society, XXX IX,19(1881).
18*
»?5
Bulletin de I'Academie Imp* rialo
270
Das Wasser der Tanla-Thermen 12), Temperatur
52° C, am Siid-Abhange des Tanla-Gipfels, Tibet
15600' bis 16000' (4755 bis 4877 Meter) iiber dera
Meeresspiegel entspringend — ist bedeutend concen-
trirter als Otehan-Chairchan und Rachmanow (1076,0
bis 1341,6 grin. Mineralbestandtheile im Cubikmeter),
enthaJt absolut und relativ weniger Kalium, Chlor
und Kieselsaure, mehr Natrium, Calcium,
Kohlensaure der Bicarbonate, absolut mehr, relativ
zum Gesaramtgehalt an Mineralbestandtheilen weniger
Schwefelsaure als Otehan-Chairchan.
Neu Michailow 13) (Amur-Littoralgebiet) Wasser-
temperatur 49
247,4 grm. Mineralbestandtheile
im Cubikmeter — Bagneres de Luchon14) (Pyrenaen,
source Ba}en) Wasserteraperatur 44° — 243,4 grm.
Mineralbestandtheile im Cubikmeter. — PI o m b i e res15)
(source des Dames) Wassertemperatur 35° C. — 322,0
grm. Mineralbestandtheile im Cubikmeter. — Amelie
les Bains16) (Aries — source GrosEscaldadou) Wasser-
temperatur 62,2° C. — 304,1 grm. Mineralbestand-
theile im Cubikmeter Thermalwasser enthalten weniger
Mineralbestandtheile als Otehan-Chairchan. Alle ent-
halten absolut und relativ weniger Kalium und Kiesel-
saure als Otehan-Chairchan.
Bohrbrunnenwasser vom Gute Jama bei Dor-
pat, in Devon-Dolomiten und Sandsteinen aus
235 Fuss =7 1,6 Meter Tiefe, 38'= 11,6 Meter uber
den 0 Punkt des Embach-Pegels der Dorpater Stein-
■
brucke emporsteigend, enthalt bei gleicher Gesammt-
menge Mineralbestandtheile % des Kalium, % des Na-
trium, y5 der Schwefelsaure, V6 des Chlors, l/12 der Kie-
selsaure, dagegen 6 mal so viel Calcium, 1 6 mal so viel
Magnesium als Otchan-Chairchan-Thermalwasser. Bei
3° C. Lufttemperatur und 8,7° C. Wassertemperatur
ergab dasselbe, am 17. (29.) December 1884 zur Ana-
lyse gepumpt, in 1
Dasselbe ist als typisches Normal- Quellwasser unserer
Mittel-Devonschichten, d. h. als mittleres Auslauge-
produkt unserer Mittel-Devon-Dolomit-Thone und
Sandsteine durch kohlensaurehaltige atmospharische
Wasserniederschlage : Regen, Thau, Nebel etc. aufzu-
fassen und seine Parallele mit dem Sycnit-Granit-
Wasserextrakte der Tjan-s-chan-Gruppe von beson-
derem Interesse.
Stunde 36,9 Cubikmeter Wasser.
1,000000 grm. — c. 1 Cubikmeter Wasser enthalten grm. Mineralbestandtheile:
Quellentemperatur.
Dorpat
Bohrbrunnen
Devon-Dolomit-
Thon u. Sandst.
8,7° C
Ncu-
Michailow-
Amur-
Littoral. 13).
49° C.
Bagnerea
de Luchon
(Pyrenaen.14).
44° C.
Plombu-res
source
des Dames 15).
35° C.
Amelie
]es Bains
(Aries !»).
62,2° C.
Tanla (Tibet)
4755 Meter
iiber dem
Meere.
52° C.
Kalium K . . . .
Natrium Na. . .
Ammonium NH4
Calcium Ca . . .
Magnesium Mg
Eisen Fe
Chlor CI
Schwefelsaure SO
3
Schwefelwasserstoff H2S2
Phosphor»aure P„0
2~5
8,41
34,18
0,65
32,07
21,99
0,17
9,75
8,53
10,5
51,9
3
Salpetersaure N20
2^5
Kohlensaure der Bicarbonate C204. . . .
Sauerstoffaeq. d. S03, P205, N265, C204
Kieselsaure SiO
2
0,1
1,10
205,31
39,21
7,28
9,9
27,0
68,9
17,9
61,3
78,5
7,6
50,2
32,9
16,7
3,0
55,8
3,7
60,9
10,7
4,5
Spur
5,7
115,7
7,7
49,8
96,2
27,3
61,0
~ *
Fe20
3
Al2O34,0
26,7
27,6
5,1
27,5
199,3
140,5
19,3
Fe 0,6
?
32,8
58,0
Summe der Mineralbestandtheile
368,78
247,4
10,7
74,2
2,3
?
r,94,2
140,9
32,1
244,7
321,8
?
1341,6
12) Cf. Bulletin, T. XXVIII, p. 9 bis 15 und 500—516, Tabelle
(1883). Auf letzterer ist zu bericbtigen: T. XXVIII, p. 12:
B
C
B
C
Bicarbonate C204 — statt: 0,5375—0,1542 lie*: 0,6942-0,5542
und p. 13: Natriumbicarbonat Na^Os — statt: 0,3778 lies: 0,5345
Summe der Miueralsalze — Statt: 1,1849 lies: 1,3416.
13) Von Luedorf, die heissen Quellen am Amur bei Neu-Mi-
chailowsk, 1882.
14) E.Filhol, Jouru.de Pharm. etde Chimie(3)XX181-88(l851)
15) D. Moissenet, Ann. des Mines (5) XVII, 11 (1860).
16) A. P.Poggiale, Journ. de Pharm. et de Chimie (3) XXXIV,
163 (1858). Die Rubrik «alumine et oxyde de fer» muss vorlaufig,
in Ermangelung neuorer Analysen «iinaiifgelost» bleiben.
Auf 100 grarnmen Chlor enthalten, nach abnehmendem relativen Schwefelsaure-Gehalt geordnet
Quellentemperatur.
Kalium K . . .
Natrium Na. .
Ammonium NH
4
• •
• •
Lithium Li
Calcium Ca. .
Magnesium Mg .
Eisen Fe
Aluminium Al . .
Schweferlsaure SO
Chlor CI
Brom und Jod . . .
Schwefelwasserstoff
3
HS
Phosphorsaure
PA-
• •
♦ •
Kohlensiiure d. Bi-
carbonate C204.
Sauerstoffaeq. SOs,
PA, cao4, n2o
2
Kieselsaure SiO
Borsaure Ba03 .
Salpetersiiure N20
5
5
Summe der Mine-
ralbestandtheile.
Wildbad
Gastein.
C.
195,9
750,6
98,2
9,5
17
722,6 17)
100,0
1379,2
252,5
1265,0
4345,6
257,0
1862,6
1313,1
180,4
5,6
693,5
100,0
21,5
6487,9
1316,8
300,0
48,0
790,9
139,0
58,4
646,7
100,0
1249,4
354,5
792,2
12538,6
4179,3
21,5
299,7
1,6
27,7
1,7
1,2
0,6
438,4
100,0
1,5
68,5
100,2
175,9
1238,6
Neu-
Michailow-
(Amur-
Littoralgeb.)
49° C.
106,1
524,2
272,7
100,0
695,9
180,8
619,2
2498,9
Amelie
les Bains
62,2° C.
21,4
433,3
Fe2O815,0
A1203
103,4
100,0
19,1
217,2
Dorpat
Bohrbrunnen
8,7° C.
86,3
350,6
6,7
Fe
Al
328,9
225,5
1,7
87,5
100,0
1,3
2105,8
402,2
74,7
1,1
3782,4
Otchan-
Chairchan
ttber 40° C.
63,3
121,9
10,3
2,5
79,5
100,0
1,6
125,6
38,9
150,3
696,8
Ragaz-
Pfafers.
37,5° C.
Bagneres Trincheras
de Luchon Venezuela
11,1
109,7
0,1
173,8
50,4
2,8
0,6
73,1
100,0
0,1
1,8
592,3
127,2
46,8
0,9
44° C.
156,4
15,1
65,5
100,0
33,3
6,0
111,2
1290,6
487,5
96,6° C.
20,0
84,5
16,0
6,2
58,6
100,0
76,0
40,0
219,0
620,3
2.
m
tt
a
ft
ft
9
0
s
n
17) Racbmanow • Thermalwasser
100
berechnet, welches wahrscheinlich weder SchwefelwasserstoflF noch Sulfhydriir pra-
formirt enthalt. Uber die Griinde dieser Annahme vergl. Bulletin, T. XXVIII,
hier auf die ursprungliche Gesammt-Scbwefelsaure des frischen Thermalwassers | p. 497—502(1883) und Aumerkung zur vorhergehenden Tabelle.
W
279
Bulletin de l'Acad^mle Imp£rlale
2§0
XLVIII. Wasser des Salzsee's Nesamersajnschtseheje (nicht
zufrierender See).
In Nord-Tibet 12300 Fuss
3749 Meter uber dem Meeresspiegel.
Geschopft von Herrn General N. M. von Prze-
walski am 8. (20.) December 1884. In Dorpat ein-
getroffen Marz 1886.
Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos, blaut ohne
vorherige Concentration gerothetes Lakmuspapier,
braunt Curcumapapier.
Volum.-Gewicht bei 18,6° C. (aq. gleicher Tempe-
ratur
1 9,8448
17,7820
grm.
mit Sprengel's Apparat bestimmt
1,116005.
Analytische Data.
a) 19,8448 grm. Wasser eingetrocknet bei 200° C.
2,9059 grm. schwach gegliiht 2,8825 = 145,2522 p.
M. Salzriickstand , davon beim Wiederauflosen in
Wasser zuriickbleibende Magnesia aeq. 0,1780 Mg2P
3,23356 p. M. MgO = 4,43469 p. M. CI— 0
mithin walire Sum me wasserfreier nicht fluchtiger
2
Salze
149,6869 p. M. Magnesia-Rest aeq. 0,5589
Mg2P207 = 8,03730 p. M. Mg Summe.
h) 1,4458 grm. Wasser direkt mit Silbernitrat
1,000,000 grm. Wasser enthalten:
Elementarbestandtheile.
Kalium K
Natrium Na
Ammonium NH4
Calcium Ca
Magnesium Mg
Chlor CI
Brom Br
Schwefelsaure S03
Borsiiure B203
Kohlensaure der Bicarbon. C204
Kieselsaure Si02
Sauerstoffaeq. d. S03, B203, C204
508,68
45691,34
10,30
17,47
8037,30
90096,46
0,46
3457,60
10,03
1670,90
10,48
997,62
Salpetersaure 0,5268 AgCl
M. AgCl -+-
AgBr
364,3658 p.
AgBr.
c) 215,547 grm. Wasser auf ca.lOOCc.abdestillirt,
Ruckstand mit einigen Tropfen Chlorwasserstoffsaure
angesauert, mit etwas Chlorwasser-+-Chloroform colori-
metrisch bestimmt 0,0001 Brom=0,00046p.M.Brom
demnach
AgCl
aeq.
0,00108 p.M.AgBr
364,36472 p. M. = 90,09646 p. M. Chlor
mit BaCl2 2,1706 BaS04
3,45760 p. M. S03.
Filtrat mit Barytwasser neutralisirt, durch das
gleiche Volumen Alcohol gefallt, mit 50°/0 Alcohol aus-
gewaschen, gegluht 0,0069 BaB204= 0,01003 p.M.
B203.
Borsaureanhydrid
Filtrat mit Platinchlorid 0,6839 K2PtCl6 (rein,
frei von Rubidium und Caesium) = 0,50868 p. M. Ka-
lium aeq. 969,61 p. M. KC1. Das Destillat mit etwas
verdiinnter Salzsaure eingetrocknet, mit PtCl4— 0,0273
Platinsalmiak (NH4)9PtCl
6
0,00973 p. M. Ammoniak NH3
aeq. 0,01030 p. M. Ammonium NH4.
114,477 grm. Wasser direkt mit Ammonium-
oxalat 0,0028 CaO = 0,01747 p. M. Calcium;
0,0012 Si02
KC1
NaCl
0,01048 p. M. SiO, und 13,2893
45691,34 p. M. Na.
Gruppirung.
Kaliumsulfat K2S04
Natriumsulfat Na2S04
Chlornatrium NaCl
Chlorammonium NH4C1
Chlorcalcium CaCl2
Chlormagnesium MgCl2
Brommagnesium MgBr2
Magnesiumborat MgBo204 . . . .
Magnesiumbicarbonat MgC205 .
Kiesels&ure Si02
1132,55
5216,30
111694,00
30,60
48,43
29928,81
0,53
15,78
2431,16
10,48
Summe wasserfr. Bestandtheile .
150508,64
Beim Abdampfen entweichen NH3 und CO
2
845,18
Berechneter wasserfreier bei 120° trockner Abdampfriickstand . . .
• •
149663,46
Das Offenbleiben des See's bei starkem Froste erklart sich aus
der Zusammensetzung des Soolwassers. Brora ist nur spurweise,
dagegen Salraiak und Borsaure in deutlich nachweisbaren und be-
stimmbaren Mengen vorhanden. Rubidium und Caesium fehlen —
das aus dem Platindoppelchloride durch Reduktion im "Wasserstoff-
strome erhaltene KCln-RbCl (?) ergiebt mit Silbernitrat gefallt
192,2°/0 seines Gewichtes Chlorsilber, das AgCl Aequivalent reinen
Chlorkaliums. Calcium und Kieselsaure sind nur in sehr geringer
Menge vorhanden. Der relative (auf je 100 grin. Chlor bezogene)
Kalium-Gehalt dieses Hochgebirgs-Salzsee's ist geringer, als der
desOceanwassers, des Caspi, Aral und Kukunor16). Vergl. seinen
relativenGehaltanSchwefelsaure,Calcium,NatriumundBrom.
Folgende tJbersiclits-Tabelle wird den Vereleich erleichtern.
1,000,000 grammen Wasser enthalten:
Nesamer-
sajuschtscheje
Nord-Tibet
12S00' liber
dem Mcere.
Ocean
Mittel.
Kaspi.
Chlor CI
Brora Br
Schwefelsaure S03
Kalium K
Natrium Na . . .
Calcium Ca
Magnesium Mg .
90096,46
0,46
3457,60
508,68
45691,34
17,47
8037,30
18218,7
44,0
2148,1
288,9
10128,7
376,4
1233,6
5440,5
7,1
2586,6
70,3
3197,4
296,5
772,7
Summe der Mincralbestandtheile
150508,64
32924,2
12977,2
Auf 100 crrammen Chlor enthalten dieselben:
r>
Chlor CI
Brom Br
Schwefelsaure S03
Kalium K
Natrium Na
Calcium Ca
Magnesium Mg . .
100,000
0,0005
3,838
0,565
50,714
0,019
8,921
100,000
0,241
11,790
1,586
55,594
2,066
6,771
Summe der Mincralbestandtheile
167,053
180,717
238,530
Aral.
Kukunor
(Herbst).
Todtes Meer.
300 Meter
Tiefe 19).
Urmiah-See.
5116' iiber
demMeere20)
Great salt
lake, Utah *)
3833,5
2 9
278o'6
58,5
2456,2
458,0
596,5
4288,9
3,9
1592,0
115,9
3277,7
189,<.
310,8
174985
7093
523
4386
14300
17269
41428
128476
Spur
9273
923
76437
579
583!»
10908,!*
11146,3
278135
22
.382
4,54 :»
284.567
259.887
158,948
173,871
18) Ct Bulletin, T. XXVIII, p. 476 (1883) und Melanges, XII. 12.
19) A.Terreil, Analyse des am 18.Marz 1864 von L.Lartet 5 Meilen ostlicb von
Wadj Mrabba aus 800 M. Tief< gesclmpft. uW.nsers. Compt.-rend . LX II, 1329 (!$••).
20) II. Abieh, Mem. de l'Acad. Imp. des Sciences de St.-F ersb aug, <Vm" Serie,
T.VII, p. 23 < 1856), im 1 .lunar 1865 am westlichen See-Ufer geschdpft: Spec. Qew.
bei 18° C. = 1,18136 (Wasser gleicli.r Temperatur= 1). Nach It. A Inch's brieflicher
Mittboilung der analytischen Data:
a) 27,534 grm. I'rmiahwasser = 14,306 grin. AgCI.
<rrm. Urmiahwasser
arm. Urmiahwasser
d) 2l.'»3l grm. I'i miahwaater
e) 23,102 grm. Urmiahwasser
neu benclim t — die
83031
Spur
8215
2408
49755
252
3774
149078
100,000
100,000
Spur
Spur
7,218
9.893
0,718
2,000
59,495
59,9_>3
0,451
0,304
4,545
179,545
= 0,020 CaO.
= 0.71'. lg,P2Or
= 0,«49 BaSO*
= () 133 grm. K,PtClf.
Originalabhandlung enthalt eini Dmckfebler.
21) Allan, in Tinted St ites geologic il exploration of th fortieth parallel, 11,433,
(1877s bei Blat krockpoiut 1869 geschopft. Spektral-analytisch Lithium, Brom Bor-
saure nachweisbar.
s
a
ft
m
m
s
?
i
■
*
e
n
*i
2S3
Bulletin cle l*Acad^mie Imperial*'
2§4
Zum Wasser des Todten Meeres bildet das Wasser
des «Nesamersajuschtscheje» Salzsee's den vollstandig-
sten Gegensatz. Wahrend jenes das Bromreichste
bekannte Soolwasser bildet , in welchem zerfliessliches
Chlormagnesium und Chlorcalcium (Tachhydrit) neben
Chlorkalium — Chlormagnesium (Carnallit) weitaus
iiberwiegen, nachdem die Sulfate als Gypslager gross-
tentheils herauskrystallisirt waren, enthalt letzteres
(«Nesamersajuschtscheje») nur Spuren Brom und Cal-
cium, nur y8 des Kalium, dagegen das Dreifache
Natrium, die nahezu 7fache Schwefelsaure-Menge
des Todten Meeres.
Mit dem Urmiah und Great salt lake (Utah) hat
«Nesaraersajuschtscheje» den ausserst gerin-
gen Brom-Gehalt gemein. Beide erstere sind absolut
wie relativ zum Chlor viel reicher an Sulfaten (Glau-
bersalz) als Nesamersajuschtscheje — der Great salt
lake (Utah) enthalt fast 4 mal so viel Kalium, als
Nesamersajuschtscheje, wahrend Urmiah Kalium-
arm ist und in seiner Zusammensetzung den Minus-
sinsker Seeen22) (mittlerer Jenissei) gleicht.
Hinsiclitlich der geographischen , geologischen und
anderweitigen Beziehungen dieses «nie zufrieren-
den» Hochgebirgs-Salzsee's verweise ich auf die Mit-
theilungen unseres hochverdienten Reisenden, die
demnachst verdffentlicht werden. Es dtirfte in densel-
ben auch der tibetanische Name dieses See's er-
wahnt werden, dem hier die Russische Ubersetzung :
« He3ainep3aiom,ee o3epo» substituirt worden ist.
Sur la transformation d'une equation differentielle de
I'ordre pair a la forme d'une equation isoperime-
trique. Par B. Imchenetsky. (Lu le 13 mai 1886.)
1. II a ete demontre par Jacobi, qu'une equation
differentielle isoperimetrique
dV
d_dV
dx dy'
d* dV
dx1 dy"
• •
nn a* dV_
' dxndyW
0(1)
ou V est une fonction de sc, y, y\ . . . yKn\ non lineaire
par rapport a «/(n) = ^-|, peut toujours dtre trans-
22) Cf. Bulletin, T. XXVIII, p. 473—516 (1883) z. B.A» XXXVIII
« Dschabalak-Kul » I. c. p. 485.
formee en un systeme d'equations de la forme cano-
nique
dpi
dx
dH
Jm
dqs ' dx
dH
dm
)
(2)
U etant une fonction connue de x, plt q1 , . . . , j?n, qn
et i
1, 2, .. ., n1).
Nous nous proposons de montrer, dans cet ecrit,
quelles conditions sont necessaires et suffisantes pour
la transformation d'une equation differentielle de
I'ordre pair
y
(2")
f {%, y,y\ • • • , v
(2n~iy
(3)
en une equation de la forme isoperimetrique (1) et,
partant, en un systeme d'equations de la forme cano-
nique (2).
Se trouvant en possession de la methode generale
de cette transformation et en l'appliquant, quand cela
sera possible, a l'equation donnee (3) de I'ordre pair,
on pourra profiter, pour son integration, des avan-
tages considerables qui appartiennent, comme on sait,
a la forme canonique des equations differentielles.
2. Notre probleme de la transformation ci-dessus
mentionnee, s'exprime par l'equation
dV
dy
dx dy'
• • •
n dn dV
dxn dyW
v-to
(2»)
f), (4)
V et \k designant deux fonctions inconnues de %, y,
y\ ... yn) et f la fonction donnee, dans le second
membre de l'equation (3).
Les valeurs convenables de V et de pi etant obte-
nues et substitutes dans l'equation (4) celle-ci deviendra
identique en x, y,y\ . . . , y{2n) et, differentiee partielle-
ment par rapport a ces variables, elle donnera d'autres
identites.
En effectuant ces differentiations, pour eviter la
complication, il faut
des regies particulieres
qu
ne donne pas ordinairement dans les Traites
de calcul differentiel, mais qui peuvent etre exprimees
Dar la formule suivante
1) Jacobi (Vorles. fiber Dynamik). Nachgelassene Abhandlung:
De oequationu?n differenticdium isoperimetricarum transformatio-
nibus earumque reductions ad aequationem differ entialem particdem
primi ordinis non linearem.
des Sciences de Saint •P^tersbourg.
286
d dm
dy(k) dxm
? to i/,y\.--,y
t»)
dm d<?
dxm dy(k)
m
dm
dcp
dxm
dy(k—1)
m{m—l) dm— 2
1.2 dx1n~ 2
| qui, d'apres la theorie de Jacobi, definit le dernier
facteur Jf du systeme d'eqnations
dy
dyfi— 2)
»i(m
l)...(»-j+l) d»»-*
<?9
m
1 . 2 . . . i
dx dy(k-m-*-»
d
dx™—* dy(*— ')
• •
dy(k—m
i A)
Le nombre des termes de cette formule n'est pas
toujours egal a m -*- 1; car l'indice k — i de la va-
riable y{k l\ dans
la derivee
d«p
dy'*— ')
r, n'etant jamais
negatif et plus grand que n, il faut supposer egaux
au zero tous les termes de la formule (A) ou les condi-
tions 0 < & — i < w ne sont pas remplies pour i = 0,
1, 2, ..., m.
La demonstration de la formule (A) est fort simple.
D'abord, il est facile de la verifier pour m= 1. Et
ensuite, en la supposant vraie pour une valeur deter-
ininee quelconque du nombre m, on s'assure aisement
qu'elle existe alors pour cette valeur de m augmentee
d'une unite.
3. En differential successivement l'equation (4)
par rapport a y
(VI)
et ky
(2«
,} a l'aide de la formule (A)
on aura
i)"
dW
dyWdyW
V-
(5)
et
l)nn
d
dW
dx dy'nUy'n)
H-
df
dy(2»— l)
(6)
II suit de l'equation (5) que la valeur de y. ne peut
pas contenir les derivees de y
a n; c'est pourquoi on a suppose
duisant l'equation (6).
de
du.
dy'™-1)
ordre superieur
0, en de-
Si Ton substitue dans l'equation (6) la valeur (5)
de p., on obtient
dx
dy
y
<>y
(2ti 2)
* -
y(2«-l
tfy(»"-'
equivalent a l'equation donnee (3), on ne trouve que
cette difference entre jxn et M : la valeur de M peut
generalement etre une fonction de x, y, y, . . . , y{2n "
tandis que, d'apres la remarque deja faite plus haut,
la valeur de \>. ne peut contenir les derivees de y que
de l'ordre non superieur a n. Done,
si on peut obtenir la valeur du dernier fac-
teur M du systeme d'equation (9) ne contenant
les derivees de y de l'ordre superieur a w,
alors, en posant
V-
VM
(10)
on aura le facteur ^ de la transformation iso-
perimetrique.
La valeur demandee du dernier facteur M s'ob-
tiendra facilement de l'equation (8), si la d< i ivee par-
tielle
df
dy(2»-l)
-. est en meme temjis la derivee complete,
par rapport a x, d'une certaine expression en x, y,
y, ... de l'ordre differentiel non superieur a w; e'est-
a-dire, si l'equation de condition d'Euler
d°-f
d
dy
dy
an
\
Ddy
dx dy&n— 1%'
m
d
m
d*f
dxm dy(2«— O^otj
0
(11)
est satisfaite identiquement pour m = ou < n-t- 1.
Done la condition necessaire (1 1) peut etre consideree
comme equivalente a (7).
4. Passons, maintenant, a la recherche de la valeur
n
dx
V-
df
dy{in—i)
0
ou
d log u.n
dx
df
dy(in~l)
0
(7)
l'equation qui definit le facteur jx de notre trans-
formation isoperimetrique.
En comparant l'equation (7) avec l'equation connue
dlogM
dec
df
dy(in~x)
0
(8)
de F, en supposant la condition (11) satisfaite et la
valeur de ji, tiree de l'equation (7), substitute dans
les equations (4) et (5).
II faut remarquer d'abord qu'il suffit d'obtenir la
valeur particuliere (V) de V, satisfaisant a l'equation
(4), pour avoir tout de suite sa valeur generale.
En effet cette valeur generale sera
V
(V)
d.Tl
dx
(12)
t
si IT designe une fonction arbitraire de x7 y, y
*
• » • *
y{n i) parCequ'on sait que
V
dx
Tome XXXI.
19
2S7
Bulletin de lMcademii' Imperiale
est la valeur la plus generate satisfaisant a 1' equation
(1), c'est-a-dire a l'equation (4) sans second membre.
On peut se figurer la valeur particuliere (V) de Fin-
tegrale de liquation (4) comme une somme
(y)
V
n
K
i
♦ •
V.
0
(13)
composee des expressions differentielles Fn, V
n— i' •••'
Yx , V0 des ordres respectifs w, n — 1 , . . . , 1 , 0 en de-
rivees de y, V0 designant siraplement une fonction
de x et y. On remarquera facilement, que le terme Vn
existe necessaireraent dans cette somme, tandis que
les autres y peuvent manquer en partie ou totalement.
5. Pour obtenir d'abord le terme V„ de la somme
(13), on deduit de l'equation (5)
V
lfjV'JV^"'
U
(14)
II est bien entendu que pendant Integration par-
tielle par rapport a y{ ' on considere les autres va-
riables %, y, y
3
• )
V
(«■
,} comme des constantes ; done
on a
U
a
(»)
ftr,
(15)
ou a et £ sont des fonctions inconnues de %, y, y,
.,2/
(n— 1)
Desi
&
j
grale double
abreger l'ecriture, par W l'inte-
\<)y(n)Wdy{n) et convenons de repre-
par le symbole I(n) V operation
d_
dy
dxdt/
d* d
dxzdy
n dn d
dxn dyW
qui est appliquee a la fonction V dans le premier
membre de l'equation isoperimetrique (1).
A l'aide de ce symbole l'equation (4) s'ecrira
lm[V]
\*-(y
(2»)
(4')
et, en y substituant
V
i)"j<v"V»
(«)
U
TV
on aura
Pn) [W]
jw [ u j
)h{y
(2«)
f),
d'ou Ton tire
jt»> (- jj]
(16)
en posant
F
v-(y
(2nj
1^ [W]
(17)
II est facile de faire voir que le premier membre
de l'equation (16) ne contient pas les derivees de y de
l'ordre superieur a 2n— 2. En effet, U etant gene-
ralement de la forme (15), on a
J(n) [ U]
da
dy
n — \
dyy
dx \dy'
dy
* y > h- •
dn
d0L
dxn
dy(
n — i)
(
iT~M
dx
Mais on peut ecrire
dxn
d"-1 /dp
dxn-l\dx
dy
y
dy
d$ ,/«-i)
dy<n
*V k
done l'egalite precSdente deviendra
Im[U]
da
dy
dyv
d_ /da
dx\dy'
n
1 d
n
n dn
dfi
dxn l \dx
dxn
ap /
y
dy'*
da
dyln—V
ty
dy(n—i) if
d'ou Ton voit que y{2n~ 2) est la plus haute derivee de
y qui peut figurer en Im [U] et il en sera de meme,
si Ton y suppose (3 = 0.
Nous admettrons cette hypothese (3 = 0 , pour sim-
plifier la recherche de la valeur particuliere de V, en
vertu de quoi il faudra ecrire I(n~ ^[U] au lieu de
/^'[F], si £7 = a sera une expression differentielle de
l'ordre n — 1, ou bien^ — changer I{n)[U] en l{n
TO)
m
si U
a sera une expression differentielle de l'ordre
n
m.
Mais il faut savoir d'abord l'ordre differentiel de
l'expression F, du second membre de l'equation (16),
pour pouvoir faire une supposition determinee sur
l'ordre differentiel de la fonction inconnue TJ.
6. On trouve sans peine que dans l'expression (17)
de F les termes en y{ ' et en y
(2n—i)
se detruissent
mutuellement. En effet, a l'aide de la formule (A) on a
dF
dy&n)
v<
d2W
et
dyk") dtp)
dF
ty{zn— l)
V-
df
dy{2Tl—l)
l)"fl
d
d*W
dx dyW dyln)
V-
df
<fy(2»
1)
n
dix
dx
deux expressions se reduisant identiquement a zero
en vertu des equations (5) et (7).
D'autre part, quelque hypothese que Ton fasse
il est clair que
m) et
«t)
sur l'ordre differentiel n — m de
P
n
m)
[U] sera toujours de Tordre pair 2(w —
lineaire par rapport a la plus haute derivee y2{n
2S9
del Sciences de Saint -Petcrsboiirtj
a»o
Done, notre probleme de transformation iso-
perimetrique serait impossible, si l'expression
(17) de Fn'avait pas la forme suivante
F
V-
2(« — ««)
ou m peut avoir une des valeurs 1, 2, ..., w. '
En supposant la condition necessaire (18) satisfaite,
il faut poser
U
K
m>
en designant par Vn
m
une fonction inconnue de sc,
De cette maniere on aura un nouveau probleme,
exprime par l'equation
j{n
m)
ik
m
v
m
2(n — m)
fj . ;. - (19)
analogue an probleme primitif, qui s'exprime par
l'equation (4'). Mais il y a cette difference entre eux,
que l'ordre de l'equation (19) est moindre de 2m unites
et que le facteur jx.m de son second membre est connu
a priori. Cette derniere circonstance donne lieu a deux
nouvelles conditions necessaires:
(
n \n — m
d°~V,
n — m
dy(n
m)
dy(n
m)
v-
m
et
(20)
m
p-
#
m
m
dy*<*
m)
0
alogues
obtient en differen
tiant l'equation ( 1 9) par rapport a y2{n
m)
eth,y
an — m\ — {
La premiere des equations (20) montre que p. doit
de l'ordre differentiel
fi
pl
cette condition est remplie, la valeur de p.m doit en-
core satisfaire a la seconde des equations (20).
7. Dans ce qui precede nous avons obtenu la forme
generate des conditions necessaires pour la solution du
probleme considere et il est aise a voir qu'elles sont
en meme temps suffisantes.
En supposant satisfaite la condition (11)
tire
quation (7) la valeur du facteur
et ensuite on
aura
V
n
tyf*&j*ifc
de la somme (13) de l'ordre differentiel supe
rieur.
Si l'on suppose les conditions (18) et (20) remplies
•
on a
V
n—m
(
1 T~m j dy
(n—m)
m
{n — n%)
de l'ordre
(13).
qui suit V
la somme
A l'aide de la valeur de V
n — m
on transformer
\
l'equation (19) de la meme maniere, conunc au n o
on a transforme l'equation (J) en (16), a I'aid de la
valeur W
K-
Si Ton trouve, pour l'equation transformee, les condi-
tions analogues a (18) et a (2<>) satisfaites, on aura
un terme nouveau de la somme (13) de lordre infe-
rieur a n
m et qui suit lc terme Vn
m'
En continuant ainsi et en supposant que les condi-
tions analogues a (18) et a (20) seront toujours sa-
tisfaites, ce qui arrivera necessaircment si le probleme
est possible, on obtiendra sa solution generale
V
V
n
yv
n — m
d.U
dx '
in
ou, comme il est dit plus haut, II est une fonction
arbitraire de x, y,y, ..., y(n~t} et le nonibre destermes
de la somme > V m peut varier de zero a n,
n — in r
m
Le cas le plus simple se presente alors, quand on
trouve, d'apres la formule (17), que l'expression F
est une fonction f0 de # et y, qui peut en particulier
se reduire a zero.
LI est evident qu'alors la somme \ Vn_m se reduira
•
in
a un seul terme VQ — \f0 dy, qui s'evanouit, si f0
0.
Cette circonstance se rencontre toujours dans le
cas particulier n
1.
Par consequent, si Ton connait une valeur M du
dernier facteur du systeme
dx
f
ty
/to y, y')
r\ ?
l'equation du second ordre
y
rf
ft«, y» v)
o,
multiplied par M} se ramene toujours a la forme iso-
perimetrique
dV
dy
dx dy'
0.
Je m'empresse de citer un travail recent de Mr. le
professeur N. Sonine2) ou cette meme remarque a
ete faite sur ce cas iparticulier de la transforma-
2) 06-b onpe^-fcaeHin MaKCHMajibHux-b it
HJOCKHX-L KpHBWXT, (§ 8) H. il. COHHHa.
Bapniasa.
MHHHMaJIbHHXTj CBOHCTB1>
Yhhb. H3B. 1886 r. J6 1.
SOI
Ilulletiit
Academic* Imperiale des Sciences de Saint-Pe^ersbourjy
29fc
tion isoperimetrique; mais selon ma connaissance, 1 1' equation (a) devient
le probleme general de cette transformation n'a pas
encore ete discute.
8. Pour completer l'explication de la theorie pre-
cedente nous allons l'appliquer a un exemple parti-
culier. Soit
y
IV
2*
y
3 y*
rv.
n
2y
y
i y
"2
6 y
lyy'2
2 y
y'2 y"
y
y2y
n
y
n
0
l'equation differentielle du 4-me ordre que Ton demande
de ramcner, s'il est possible, a la forme isoperi-
inStrique.
II faut poser l'equation
I(2> [ U]
F
J* {- y j
v-iy
IV
a
(a)
ou V et {jl designent des functions inconnues de a?, ?/,
f ft A.
y,y et
\ y
2
y"
y1
v)y
m
"3
2y_
3 y'2
y-y
t!%
1-9
6 y
iyy
'2
9*9"
y1
y2y'
On a l'equation
2 y"
9
n
d . log (x2
eta
df
dy
rrt
0
de laquelle on obtiendra y.. En effet,
df
dy
in
2
y"
y
in
v
y
n
done
d log p.
y"
dy'
yr
dy
y
et, par consequent,
V-
C
y
if
yy
1 1
C designant une constante arbitraire.
Ensuite on peut poser
V
V,
2
V.
0
d.n
dx
3
V2, Vly V0 designant des expressions differentielles,
en derivees de y% des ordres respectifs 2, 1 , 0 et II
une fonction arbitraire de x, y, y.
On a
V.
2
f %" f v- ¥
eu yy'
et si Ton fait
V
V.
2
u
ou
F
v-to
IV
Im[VJ.
II est aise d'exprimer en y et en ses derivees les
quantites y-{yn — f) et 7(2)[F] et leur difference sera
F
G(
yy
//
W2
y)-
On voit que F, ne contenant pas les derivees yn et
y et etant lineaire par rapport a y , remplit les condi-
tions demandees par la theorie.
On peut done supposer que U designe une fonction
inconnue de x, y, y et changer I(2)[U] en 7(1)[Z7].
Par suite l'equation (b) deviendra
j«wi
ou JJL
Cy et f,
2 y
rr
«.
(c)
1. Ces deux quantity
satisfont egalement aux conditions exigees par la theo-
rie , savoir m ne contient pas les derivees de y supe-
rieurs a y\ (ix et fx satisfont a l'equation
dx
p-
dy'
0.
Done on a
j"<yjVi<y
1
\Cyy
'2
3
et on peut poser
V
V
i
vr
Par consequent au lieu de l'equation (c) nous aurons
ou
F
1
n.vt]
v-i (y"
F
1
(i)
Im[VX
■
Par la derniere formule on trouve facilement
F
Cy,
done on peut supposer que Z7t ne contient pas les de-
rivees y, de sorte que l'equation (d) devient
Z(0W]
Cy ou
De la, par
dy
Cy
V
1
V.
0
<y.
Done, en reunissant les resultats precedents, on
posant
quation
2
y
"3
3yy
yy
.'>
y
2
2/0
dx
?
dx dy'
dP dF
0
quivalente a l'equation differentielle proposee
Paru le 18 octobre 1886.
T. XXXI* M° 3
BULLETIN
IMP1RIUJ DES
..
ST.-PiTEItSBOCRG.
tone mi.
(FeuHUs 20—*U27.)
i
■
COSTESC.
Page.
F. J. Wiedemann, Additions et rectifications au dictionnaire syren-allemand et votiak-
allemand de 1880 293-337
V. Bianchi, Contributions a la connaissance ornithologique des ramifications occidentales
de Pamyr et de l'Alai 337—39'
A. Namk, A propos de l'ouvra.ue: Claudii Galoni Pergameni scripta minora, Vol. I
(Lipsiae 1884) 39G— 414
ImprimS par ordre de FAcadfonie Imperial e des sciences*
Decembre 1886.
CL Vess61ofski, Secretaire perpetuel
Imprimerie de l'Acadfrnie Imperial e des sciences.
(Vass.-Ostr,, 9e ligne, J6 12.)
BULLET [IV
IlIPERIALE
Zusatze und Berichtigungen zu dem syrjanisch-deut
schen und wotjakisch-deutschen Wdrterbuch 1 880
Von F. J. Wiedemann. (Lu le 29 avril 1886.)
zugekom-
Seit 1880, wo mein syrjaiiisches und wotjakisches
Wdrterbuch ira Drucke fertig und herausgegeben wur-
de, ist mir noch Manches an Wortern und Texten
Gedrucktes sowohl wie Handschriftliches
men, das Material bot zur Bereicherung dieses Worter-
buches. Von Druckschriften sind besonders hervorzu-
heben: fiir das Syrjanische eine von dem hiesigen
Gymnasiallehrer Herrn Lytkin, einem geborenen Syr-
janen, welche unter dem Titel «3wpaHCKiH Kpan n 3H-
pancKiH fl3biKt» (Land und Sprache der Syrjanen)
unter Anderem auch mancherlei Texte enthalt, theils
von dem Verfasser selbst angefertigte, theils aus dem
Volksmunde gesammelte, und von demselben die Li-
turgie der griechischen Kirche; fiir das Wotjakische
einige von der fleissigen «orthodoxen Missionsgesell-
schaft» in Kasan herausgegebene Schriften, ferner eine
« ethnographische Studie uber die Wotjaken» von dem
Dr. Max Buch im XII Bande der «Acta Societatis
scient. fennicae» in Helsingfors, von dem Dr. Ami n off
unter den Wotjaken gesammelte Rathsel und SprQche,
im ersten Heft der Zeitschrift der neu gestifteten
«Finnisch-ugrischen Gesellschaft» eben da, «Bbm>Bo-
thkobi> Capanyjibcnaro y-fc3Aa» (das Leben der Wotja-
ken im Kreise Sarapul) von Koschurnikow, «Kpe-
meHHbie Bothkh Ka3aHCKaro yta
Wotjaken des Kreises Kasan) von
ie getauften
Miropolski, und
g
zum Theil audi schon vor 1880 ersehienene
Artikel in verschiedenen russischen Zeitschriften.
Das aus den angefuhrten Schriften und aus anderen
Quellen Geschopfte hat einstweilen nur zur Bereiche-
g meines Handexemplars gedient
Ein Werk wie
das in Rede stehende hat naturlich keinen gr
Leserkreis, und ich kann, schon im zweiundachtzi
wohl nicht darauf rechnei
rechnen das
bei einer zweiten Auf-
Lebensjahre stehend, wohl nicl
neu gesammelte Material noch
lage zu verwerthen. Ich habe mich daher entschlos
Tome XXXI.
f
ST-rETERSBOURG
sen es in dem « Bulletin » unscrer Akademie zu ver-
offentlichen und auf diesem Wege den dafiir sich in-
teressirenden Besitzern des Worterbuches zuganglich
zu machen. Da in diesem das Syrjanische olmehin
schon einen viel grosseren Raum einnimmt als das
Wotjakische, so ist in den Zusatzen dieses verhaltniss-
niiissig reichlicher bedacht als jenes.
Die eingeklammerten Worter sind nicht ganz neu
hinzugekommen, sondern bilden schon Artikel des
Worterbuches, die hier nur noch mehr oder weniger
Zusatze erhalten haben.
Sy rj anisch.
A.
alavastrovoi (P) alabastern.
aros Lebensalter.
(artalny), artalom Gedanke.
as-vyityny, as-vyitom = as-vyialny, as-vyi.
(avgus), avgust August.
B.
(baksiny) schreien.
(bara) und.
(bed), iz-bed' Schieferstift, Griffel.
beresta (P) Birkenrinde.
berezliva (P) sparsam.
(bergodny), bergodom Abzug.
bogoroditsa (P) Mutter Gottes.
(bolk) Kibitke.
(bolksa) Kibitken-
bonj(3d, nin-b. Bastmatte.
(bobot) (P) falsch, betrugerisch.
borjSdny richten, verfolgen, borjodan-lun, Gerichtstag
borjodtsiny recJiten, processiren.
bozitasnv (I) fluchen.
brostok
bostrok.
bumaga Papier.
bur-juvoralny (P) das Evangelium predigen.
bur-kolomtysny wollen, geruhen.
bur-lun Giite, Gnade.
20
295
Bulletin de l'Acadeinle Imperials
»96
bur-setom Almosen, Geschenk, — segensreich, b.-s.-tor
Gabe, Geschenk.
bur-siny statt bnrsiny.
bura-todom Dankbarkeit , Erkenntliclikeit .
burasem-lun Friede.
*
burot (P) Recht, GerecMigkeit,
bursedny segnen.
byd-in, davon als Adverb byd-ino etc. — bydlao etc.
byd-tor Alles.
bydtas Garten.
D.
dastodtsiny = daSedtsiny.
(dekab), dekabr December.
(denga) halbe Kopeke.
(dert), d'ert ja.
deyjasil = devesil.
t
(dod') Fuhrwerk, jur-vyla d. Kibitke, laikan-d. Kutsche,
tsors-vylsa d. Achsenfuhrwerk, t.-v. vor-d. Wagen.
dolodny = dolydmodny.
dolodtsiny erfreut, erquickt, erleicMert , getrostet werden.
dolyd-in Paradies.
(donguz), dongus, tyngus-d. (?) Schwein.
(dor) jugdan-d. Morgenddmmerung .
dorsan-in
dortsan-in.
dorsiny = dortsiny, — dorsis Sclimied.
(doz), gorsa-d. Krug, juan-d. Trinkgefdss, Glas, l'a-
pyd d. Teller, pozalan-d. Kasserolle, pym-va-d.
TJieemaschine , sa-va-d., sod-va-d. Tintenfass, so-
jan-d. Schusselj tsynodan-d. Rducherfass .
(dora), jur-ulsod-d. Kissenuberzug .
druzka (P) Freundin.
dys-lun Faidheit.
dyzjos
(dzal) Schlittenkufe, giztan-d. Lineal.
dzera vidzny ansehen.
dzimbyl'tny schmeicheln , liebkosen.
dzon vidzan olan vylan (Grussformel)
(dzormyny) bluhen.
(dzormalny)
dzurkjalny (dzurkjavny) knistern, knarren.
dzonsalny (P) = dzendyny.
dzumyda-in Tiefe.
E.
(ebostom) gichtbrucJiig, gelahmt.
elinsa griechisch.
em-bur a vermogend, reich.
em-burtom arm.
em-lun Dasein. Wesen.
emyi
a weseriliaft, oti-e.-l. gleichartig
byd-dyrji e. ewig.
em.
(eskyny), bura eskys glaubig, veskyda e. rech
eskytom-tui Unglaube.
eskom-tui, in abu-e.-t. Unglaube.
etsom soldi.
G.
(gaza lun) Festtag.
gazora (P) froh.
gazorasny (P) = gazmyny.
gaztom-lun Betrubniss, Langeweile.
(gizod), veza-bur-juor-g. Evangelium.
giztan-jitan-puktan-in Druckerei.
(glist) (P), glista Eingeweidewurm.
(gognitny), juron g. den Kopf schiitteln.
gorny = gorodny, gorom Geschrei.
gorot (P) Geschrei.
gospodsvuitny Jierrschen, regieren.
gogorot (P) Umgegend.
gogresoo (I) rund.
(gormog), vol-g. scharfe Fetthenne (Sedum acre).
griva (P) Mahne.
I.
ierei Geistlicher, Pri ester, ydzyd i. Hohepriester.
(in), enoltbma in Wiiste, kelman-in Bethaus, —
in 6 anstatt.
ina-arta Beamier.
my u
>
intas Land, Gegend.
(isa, iska), bur-i. wohlriechend \ b.-i.-tor Rducherwerk
islaltyny (islavtyny)
itseti Kindheit.
(iz), jugyd-i. Brillant
Sandstein.
islalny.
sod
i&tift, lya i.
i, ki-pom-i.-k. Handmi
der Fluss Ishma.
(izny), izys Mutter .
J.
(jai), bal'a-j., yz-j. Schaffleisch , kukan-j. Kalbfleisch,
mos-j. Rindfleisch, pors-j. Schweinefleisch.
jaisisny Fleisch iverden.
janvar Januar.
297
des Sciences de Saint -PetersbourK.
298
jazytsnik (P) Heide.
jem der Fluss Wym.
jem-dyn die Stadt Ustwymsk.
jenmodny gottlich maclien, vergottern.
jensa gottlich.
jeparkia Eparchie.
jepiskop Bischof.
jepiskopsa Bischofs-.
(jitny), giztan-pas vylo jitny puktyny drucken
jokmyl'siny
yl'ttsiny
jomala Gott (der heidnischen Sijrj
Schwefelhdlzchen
Jog
Jegy
(joktyny), jokty§ Tamer.
(jortod), jortod vidzis Gartner.
(jotkysny), tselttsiny j. Idugnen, verldugnen.
(jualny), j. todmalny forschen, sich erkundigen, vcrhdren
(jugyd), mu-j. Welt, Weltall.
(jukalny) theilen.
(jumol), som-j. susssauer.
juoktodny trdnken, zu trinJcen geben , vordny j. bewirthen
(jurodz) Kopfgestell.
K.
kad-dyrsa zeitweilig.
(kai) (viz-k) Ammer [Emberiza).
kamen (P) Steinkrankheit .
(kar), (ki-k.) Handriicken, kok-k. Fussblatt.
kartas, in das-k. Dekapolis.
katyny (I) = kajodny.
kayny (I)
kaj ny.
kaztylom-lun, in buron-k.-l. Dankbarkeit.
kaztyloma, in buron k. dankbar.
kaztylsiny = kazty£ny.
(kaztyny) sich erinnern, (bur5n-k.) danken.
(kedzoltny) verachten.
kenak (P) Schvagerin.
keran-tor Werkzeng, Gerdth.
(kerny), ki-pyd-kerys Handwerker, iziin-k. Steinhauer.
(kidmodny) zuruck stossen, verachten.
kimalny (kiraavny) betasten.
kindzi
kindza.
(kiska) Huthand.
kist (P) Traube.
kisttsem Austreten d
kod-lun Ahnlichkeit.
W<
Ueberschwcmmung .
(kod'a) -dhnlichy -artig, jugyd-k. lichtartig, sondy-k.
somiendbilich, dzol'ajas-k. trie die Kinder.
(kok), kort-k. Schlittschuh.
(koktom) lahn.
(koktommyny) lahm werden.
(kola kylny), kol'a-kylyS Nachtigall.
kolmGdsiny (kovmodsiny) , kolmodtsiny (kovniodtMiiy)
Lust bekornmen.
(kolmyny) (P) wollen, noting haben, branch* ».
kolmysm (kovmysny) wollen, kolim scnut frciwittig,
(kolny), kolom Wille, bur-k. Wohlge fallen , Wohlwollen.
kom der Fliiss Kama.
(korior) Armuth.
(kor), kor . . . kor bald . . . bald, kor-taj wenn ndmlich.
(korja), kuim-k. Klee (Trifolium).
korost (P) Reisig, Strauchholz.
koselt (P) Miss.
koskos Hufte.
*
(kost), kyk-vidz-k. FlcischessensseU (ztmschen ztcc'<
Fasten).
koza Ziege.
kozel Ziegenbock.
kozlbnok (P) Zickel.
koltom (kovtGm) == koltym.
(kom), vylsa kok-k. StiefeL
kort (P) Biindel, jur-si-k. Kopfbinde.
(kurtalny), kortaluma Gefangener.
(kortod), kynom-ulsa k. Bauchriemen. pukod-vyla k.
Sattelgurt.
kortoda gebunden.
ko£ =
krinka
ko\
krintsa.
krukyl Haken, hakenformige Spitze.
kudjasa mit Korben versehen.
(kufriy), myrdjyS kulis Rduber.
kultumla-lun Unstcrblichkeit.
(kum), izan-kum Miihle.
kunsuk (P) Flockasche.
(kustyny) beschneiden.
kutikob leichter Schlag.
Kuz mdnnl. Name (Cosimus).
(kya), asyl-k. Morgenrothe.
(kyjan), tieri-k. Fischfang, Fischerei, Netz (z. Fischen).
(kyjny, kyjys), tseri-k. Fischer.
kyk-tsuzomjas Zwillinge.
(kyl), votsa-k. kutny zur Rechenschaft zichen.
299
Bulletin «le 1* lca<I<*mio Imperial*'
300
kylmos Sinn
Gerede maehen. Get
(kylny), kor-kylom Geschmack, Geschmackssinn
kylan-tui Sinn.
kylot (P) Gerucht, Gereo
kylottsiny (P) sprechen,
breiten .
(kylzyny), kylzys gehorsam.
(kyn) halt.
(kyntyny), kyntom Erkdltung.
(kyny), kyys" Weber.
vitod-1. Freitag, ydzyd-nolod-1. Grundonnerstag,
ydzyd yitod-1. Gharfreitag.
lun-dor Suden.
lun-dorsa sildlich.
ver- Tup Tup (vom Patschen durch den Koth).
M.
majbyrtalny (maibyrtavny) = maibyrtny, maibyrtalom
Lobgesang, Hymne.
malalom Gefulil, Tastsinn.
kyts
kyts, jur-k. Kranz, kort-kok-k. Schlittschuh. maty nah.
kytslol (kytslov) = kytsol, sily-k. Kragen.
kytslola rund, Kreis-.
kytsod
kyts 4., jur-k. Krone.
(kyttsodz) {unit der Negation) bis, so lange bis.
L.
(lad, jen-1.) Gottesfurcht, j.-l. todys gottesfurchtig, fromm.
»
lantmyny, 1. gazniyny sich trosten.
(lapa), (ki-1.) Handriicken.
(ledzny), as ordaz 1. bei sich auf nehmen.
leptodny = leptyny.
(leptysny), vylo-leptysem Stolz, Vberhebung .
(lettsiny) erlassen werden, vergeben werden.
(I'ok- km) SchlecMigkeit , Bosheit.
Toka (P) deswegen.
(lola), pez-1. besessen.
matsa nah, benachbart.
med' (P) Kupfer.
(memitsa), vaon izan m. Wassermuhle, tolOn izan m.
WindmiiHe .
mitropolitsa Metropoliten-.
mitsmasny schon sein, hubsch sein.
mogmysny,
davon mogmy^ein Lage, Verhaltniss
Noth.
*
monak Monch.
monastyr Kloster.
monastyrsa Kloster-.
(morta), morta mortos einander, Einer den Andern.
mortsa menschlich.
(moz), mozon (als Postposition) wie, gleichsam wie.
(modzlasny), vistasny-rn., modzlasny vistasny Busse thun.
mudzmyny
mudzny.
(munny), dynty m. vergehen, voruber gehen.
(lolziny), nan lolzema der Teig ist aufgegangen, bara- munty^ny kommen, her an nahen.
lolzem Auferstehung.
(lony), bara-loom Wied ergeburt .
lodos Schopfen, Schopf-, l.-doz Schopfloffel .
log-tsuzoma grimmig.
Ionian, jur-1. Schddel.
(Ion) Stille, Windstille.
(lun), bad'a-veza-lun, dzorydza-v.-l. Palmsonntag, gos-
podlon vezsem-1. Verklarung Christi, jenmos tsuz-
tyslon bur-juor-setom -1. Maria Verkundigung ,
j. ti. tsuzan-1. Maria Geburt, j. tl. vitikoo vajo
dom-1. Maria Reinigung, jogyd-sizim-1. Oster-
tvoche, jugyd ydzyd veza-1. Ostern, Kristoslon
leptysem-L, K. leptysan-l. Christi Himmelfahrt,
K. pyrttsan-1 Epiphanias, K. tiuzan-1. Weihnacht,
noftd-1. Donnerstag, perna-leptora-1. Kreuzer-
hohung, vetymynod-1. Pfingsten, veza-1. Sonntag,
veza-kuima-1. Trinitatis, veza-lol-1. Allerheiligen,
muos (I) = mos.
(murtas, raurtos) Wegstrecke, Werst.
(musa 2.), m. olny lieben, vylty-musaos kerny ehe-
brechen.
musmodny lieben, uz-musmodom Arbeit samkeit .
musmom-lun Liebe.
(mus), (mala-ra.) Hummel, (P) Bremse (st. bafa-mos?).
(myi), myion ko (c. negat.) durchaus nicht, keinesivegs.
(mylkydtomasny), mylkydtomasem Unvernunft, Irrsinn.
myna bezahlt, losgekauft, frei.
■rdjyny
myr.
myrdmodny
myryl (P)
myssan Waschgefdss, ki-m. Handbecken, Waschschale
(niyzdyny), borjodny m. verurtheilen .
(myzmyny), kulom vylo myzmoma er hat den Tod ver
dient.
myzsiny = myzmyny, myzsem Siinde.
301
des Sciences de Sainf-Petersfoourg.
302
N.
nadz-lun Geiz, Sparsamkeit.
(nem), n. pomaSem Ende der Welt.
nemja ewig.
nilzan Schwitzbad.
(mma) - namig , sy-n. der und der.
(nimalny), nimalom Buhm, Preis.
(nirtan) Sage.
(nirtny) sdgen.
nitkal Mitkal (Baumwollenzeug) .
(noga), mukod.-n. andersartig, neu.
nojabr November.
(norasalny), nomsalom Schwangerschaft , scherzw.
noiiedtsiny = noiiasny.
iioztOm (P) = nostom.
nobaSan-vuzasan-in Kaufplatz, Markt.
nozonikon allmahlich.
(nurgyny) mu/rren.
(liuzodny) fortsetsen.
(nyrom) 'well. st. nyr-om, vgl. vom.
0.
Ode weiblicher Name (Awdotja).
okt'abr October.
9
(olan-in), kuljas-o. Holle.
oFjaln}
oTgyny.
olmo Apfd, olmo-pu Apfelbaum.
(olmodtsiny), olmodtsem Wohnung, Aufenthalt.
(olny), bur olom Gluck, WoMergehen, omoi o. Ungluck
(omol), omol-kutys Feind.
* •
0.
(oksiny), oksem Sammlung, Versammlung, borjodan o
Gericht.
Oksyny herrschen.
oltod Facher, Wedel.
(ot-vyiodny) , ot-vyiodtog, ot-vyiodtom unvergleichlich
oti-ema gleichen Wesens.
oz(P)
voz, gor-ozjes
am Pflug.
P.
pamet'nik (P) Denkmal.
(pas) Kalender, giztan-p. Buchstab.
(pasjalny) zielen, aufs Korn nehmen
(pasjyny), pasjom Zeichen.
(paskom), vyly-p. Oberkleid, Rock.
patriark Patriarch.
Pedesoi mannl. und iveibl. Name(Theodosins,TJi' <><icsia)
perjysny sich heraus arbeitcn.
pesok (P) Sand.
pezlalny (pezlavny) = pezalny.
(pi), pyrtan-pi Pflegesohn, Adoptivsohn.
(pian) Kinder, por6-p. Ferkel.
(pidzos) Absatz, Glied, Knoten (im Habit).
Pilip mannl. Name (Philipp).
pimiam Weihrauch.
(phiol) Egge.
(pirag, pirog), jai-p. Fleischpastete .
piskodan Pfriem.
(polan) furchtsam, feig, — Feigling.
pologa furchtbar, furchterlich.
(pom), vodz-p. Anfang, Bcginn.
pondos Anfang.
pondosa einen Anfang habend.
pondyny = pondodny.
porok (P) Fehler.
(potska) Niere.
(potsos), t&eri-p. Fischwehr, Wehr.
potstar (P) PostknecU.
(pozny), pozem moglich, abu p. unmoglich.
pozem
pozbni.
(pol), gizan-p. Schreibtafel.
Poras (P) weibl. Name (Praskowj*
(porjalny), porjalom Luge, Betrug
potas
potOd
pravnutska (P) Urenkelin.
Proto mannl. Name (Protogon).
propoveduitny predigen.
Tschetwerik (ein Hohlmaass).
pukasa von einer Statur.
puklodny ausbreiten.
puktylsiny = puktySny.
(puktyny), kol5m p. fur nothig erachten
gleich setzen, vet •gleichen. »
• •
kod
ktysny), syly oz puktys es ist nicM verbindlich fi
Beere (sveciell Preisselbeet
pydy
pyisa
PJ
♦ t
kySny eindring
(PJ
tozdyseind p. bekummern, beunruh
be
lastig
pyrtfldny = pyrtny
303
Bulletin de l'Academie Imperials
304
(pyzan) Sessel, Thron.
(pyz), odon munan p. Dampfschiff.
radmyny froh werden.
falzyny (ravzyny) = ralzyny.
ramot (P) Sanftmuth.
resnitsa (P) Wimper.
rezjodny = rezgyny.
(rfldja) im Trab, im Trab gehend.
(rdmyd) grau.
ros Wuchs.
rod.
rodja.
rot
rotja
rudz schwach.
rumanitsa = rumana.
rysak (P) Traber.
(rytja-vyl) Abenddammerung .
S.
(sabYa) Messerfisch (Oyprinus cultratus).
sajog
sajod.
(sam) Weise.
sam-nog Gewohnheit.
Sam-tsupod Abtheilung, Glasse.
(sama) gewohnlich.
(seky) = sek .
sentabr September.
(seralny), seralys Spotter.
*
seralsiny = seralny.
serebro (P) Silber.
(ses§a) ferner, und.
seton
set.
(setny) gewahren, erlauben.
sluna (V) = dzu Loch, Vertiefung.
Soia lehmig, ihonig.
solmodny (sovmodny) salzen.
solmodtsiny (sovmodtsiny) sdlzig werden.
solonitsa (P) Salzfass.
som (I) und die Ableitungen davon = som etc
(sorlasriy) sich versehen.
(sossiny, sussiny) zurucknehmen , wegnehmen.
solmottsiny (P), in bur-s. sich erbarmen.
solGm-lun, in bur-s\ Gutherzigkeit , Gilte.
Soma hinter einander.
(sorny) keif en, zanken, sorom, soran
Faselei, dummes Geschwcitz.
?
Gekeife
>
(stupen) Stufe.
subota
subota.
(sultny), votsa sultys" Wider saclier .
sultot (P) = sultodan.
suodtsiny umher schlendern, sich umher treiben.
suponalny (P) den Kummetriemen an ziehen, dasKummet
zusammen Ziehen.
svad'bovoi (P) hochzeitlich.
symot (P) Host.
sysjaskon = sysjasan.
S.
V
s
- dzyn
sanga Pfannkuchen.
(sat), s.-tietvert funf und zwanzig Kopeken,
halber Rubel.
sebyr Becke.
sedyskytyny bemerkbar machen, zeigen, beleliren.
(sogalny), sogalom Krankheit, sogalys krank.
sogmodny = sogodny.
sogmodtsiny, sogmysny, sogny, sogysmyny = sogsiny
(soj) Korper, Leib, veza s. Meliquie.
(sojmyny), soimom Abgezehrtheit, Bldsse.
soitom korperlos.
(sor), ju-sor Bach, Fluss.
(sor), soro* vony besturzt werden.
V »• • •
soryon
V ••
sory.
sud-vylja Glucks-.
suodny nennen.
surin Schwager, Bruder der Frau.
surol lufttrocken.
suskodtsiny == susodtsiny.
(sy), jola sy Echo.
syts! stl-stilll
f
T.
tai.
) denn, ndmlich, myi-tai
tal'ny = tal'alny .
(tas) Gegend, tasyn an, langs.
(tasa) an oder bei etwas befindlich
tatarin (P) Kratzdistel (Cirsium).
(telega) Karren.
temja (P) Scheitel.
(tetiny), 1yd t. rechnen.
tipiktyny zittern.
titsa (I) Vogel.
toblos Eingewickeltes , Platzchen.
(todny), bur tody 6 dankbar.
305
des Sciences de Saint -P^tersbourg.
3 On
tsep (P) Kette.
tsyrs (P) = tsors.
tseglasis zerh
Schnarrwachtel (Grex)
(tser)
sich werft
tser.
■ tsen.
erkjol) ausgestreckt
(tsim)
dzim
(tsipan) Huhn, ai-t. Hahn.
tsitser feiner Regen.
(tsorp, t£orp) (P) Riickenwirbel, Wirbelknochen .
(tsoktyny) erlauben, tsoktom Gesetz, Befehl, abu-t
torn, tsoktytora Gesetzwidrigkeit, Ubertretung
(tsots), t.-kesjalyS MitknecH.
(tsotsja) gemeinschaftlich.
(tyr-lun), bur-t.-l. Freigcbigkeit.
(tyrtny) becndigen.
tyskos Gefccht, SchlacU.
U.
udzjbsalny (udzjosavny) schuldhj scin
uksusnitsa (P) Essigflasche .
ulmo, ulmos Apfel.
ultyrttsiny erniedrigt werden.
(ultys) Tinier es.
urpyii Klotz.
V.
(va), sod- v. Tinte.
(vartan), doran-v. Schmiedcha miner.
(vartny), vartny viny erschlagen.
(varys), tsalkan-v. Habicht.
tsotsjalny (tsotsj
tvny) sich vereinigen ,
Gemeinschdft .
Olieim. Mutterbruder
oz-in) Mutter schw ester
ikos Ruf.
ukosttsiny) krdhen.
ukyla)
sich verbinden, | ( vatskan) i>osse/, TFac/^e^kvajt-v.) Schnarrwachtel (?)
veko (P) Augenlid.
velot (P) Lehre.
(velt), gyna jur-v. Miitze.
(vera), (jur-v.) Geddchtniss .
(vermasny), vermasis Kampfer, Raufbold.
tsukla
vermos
vermog
tsul'eb = tsul'k.
tsulotny (P) (die Zeii) zu bringen.
tsuskys Igel.
(tsuzoma), log-t. grimmig.
tsyrs
vermosa stark, kraftig, abu v. schwach.
(vermyny), vermoma moglich, abu v. unmoglkh.
vernoi treu, zuverlassig.
tsors.
tui-vezsan Kreuzweg.
(tuia), ai-t. Kunstler.
•s
tuja
tuj
tujmodny = tujodny.
tujmodtsiny = tujodtsiny
(tujsiny), gebuhren,
vers (I) = verst.
(veSkSdny), veskodys Arzt.
veSkodlyny == veskodny, vol-veskodlan Leine, Lenkseil
(ve£kyd) Redlichkeitf abu veskydon falschlich.
(veskyda), v. olys gerecht, rechtschaff'en.
veskyd-tui = veskyd sbst.
tujny
tujsem-lun Wiirdigkeit, abu-t. Unwurdigkcit
(tuktas) Geschwidst.
>y)
rathen
tunjalny (tunjavny) = tunalny
(tuny), tuan bydman (Grussfor
= turi.
tufa (P) =
tydos Bild.
tydosa irgend wie aussehend, sog-t. traurig ausseJiend
saner
tyko
tykos
typ, typ-pu
veskydmyny gerecht werden, gerechtfertigt werden.
Vetja Wjatka.
vezaalom-lun Neid.
vezog Eifer, Neid.
, mylkyd-v.-t. Weisheit.
(vezsiny), gospod'lon vezsem-lun Verklarung
(vezyn) krumm, schrdg, schief.
(vidtsisny), votsa vidtsisem Zank, Streit.
(vidzan), dod'-v. Wagenscheune, Remise. £u-v. Kom
scJieune, Kornkasten.
vidzaon sicMbarlich, offentlich
(vidzedny), vidzedem Blick.
(vidzedtsmy)
vidzes Wache
vidzisny
307
Bulletin de I'Academie Imperial©
30§
vidzmodtsiny erscheinen, sich zeigen.
vidzSa munter, wachsam.
(vidzsisny) wachen.
Vikul mdnnl. Name.
vinogradnik (P) Weinberg.
(vira) -bliitig.
virdalan Blitz.
(vi§em), kid-v. Chiragra, Handgicht.
viser der Fluss Wischera.
(viSny), solomoi viSe (mit jylys construirt) mir thut leid
(vistodny) bekennen.
(vitny), (vitom) Leid.
vnutska (P) Fnkelin,
(vodz) vorderes Ende, Vordertheil, Vordersteven
(asyl-v.) Anbruch des Morgens, vom-v. Ausfluss
rohre am Fasse.
vodzoltyny zuvor kommen.
(vodzos) Lohn.
vodzsOs
vodzos.
voisalny (voisavny) iibemackten.
(vom), (nyr-vom) Mund.
vorota (P) T * forte.
(vorsan), kytslola v. Reihen, Beihentanz
vorsmySny sich iris Spielen vertiefen.
(vorsny), vorsys scherzhaft, lustig.
(vosny), ylasem-vosom Versuchung.
vossiny verloren sein, in der Irre gehen.
votssos
vodzos.
vottsiny pflilcken, sammeln (Beeren).
(voz), vozjas Heugabel.
(voza) sbst. Gabel.
(vozalny), vezoron v. zweifeln, Bedenken tragen.
vozlasny = vozalny.
(voipfidtsiny) = voipsiny.
vonny = vonalny.
voreg (I) Feind, s. vrag.
votssiny = votiedtsiny.
vottsiny ass vottsiny.
votty (U) vorher.
(vudzny), tsoktomos v. das Gesetz iibertreten.
vugorttsiny schldfrig werden. '
(vunodny), bur vunodys" undankbar, b. vunodOm Un-
dankbarkeit.
I
vunodtsem Vergesseriheit .
(vurny), kom-kot vurys Schuster.
(vuz), tiuzan-v. Generation, Geschlecht.
vu^tomsiny ausgereutet werden.
vuztomtyny ausreuten.
(vj#-tyra), as-v.-t. eigensinnig.
(vylys), vom-v. Gaumen.
(vyn), tyska-v. Heer, Soldaten, Krieger.
vyn-tui, tyska-v.-t. Heer, Heerschaar, Armee.
vyndodny = vynddny.
vynmodny = vynddny.
vzduk
zduk.
Y.
(ybsa) wild.
(yb6s), mod dorian vostan y. Flugelp forte , Flugelthur.
ydzdalny (ydzdavny) stolz sein, sich uberheben, ydMalom
Stolz.
(ydzyd) Herr.
ylalsiny = ylasny, ylalny.
ylOd, ylodlan-lun Schalkheit, Hinterlist.
(ylog), ylog vistalyS falscher Zeuge, (ylogo pyrtny) ver-
suchen, uberlisten.
ylsog Versuchung, Tauschung.
yrskoba schnell, hitzig.
(ysmodtsiny) liistem werden.
(ysto) dass.
(yts!) si!
ytskan-in = ytskas-in.
(ytskas-in, ytskos), turyn-y. Mdhwiese, Heuschlag.
t
Z
zapoved (P) Gebot.
(zduk) Minute.
(zeldzyk, zevdzyk) lieber.
zora
zofa-turyn.
(zy), ma-zy-ai Brohne.
zyMun Fleiss.
zyrsiny, zyl'ziny
zylhy.
Z.
zabry (P) Kiemen der Fische
zertvennik Altar.
(zynjan) Glockenblume .
Wot j akisch.
A.
(abi) Grossmutter, — Schwiegermutter des Mannes
adarynyny geloben, adarynon Gelubde.
ad'iny etc. = adziny und die Ableitungen.
30<>
des Sciences dc Saint- Pctfersbourg.
:no
Adyl mannl. Name
adzontem blind.
aeson
aison.
(agar) wenn, wenn nun aber.
agar da
agar.
(ai), tubat-ai Stammvater.
aison, aeson, asjan, osjan Kopfbedeckung der We'iber
in Form einer abgekilrzten Pyr amide.
akaska Ostern.
akojaski , zin ein dreitiigiges Fr Hidings f est (Freitag,
Sonnabend, Sonntag), ivohl dasselbe mil dem vor-
hergehenden Worte.
aktyk Schluss, Letztes, Rest.
akyr kiinftig.
alatsa gestreifte Leinewand.
albast ein boser, neckischer Geist.
(aldany) an locken, verlocken.
aldartaz Betriiger.
aldatyny
aldany.
allak
avlak.
alida ein boser Waldgeist.
altynatyny vergolden.
(ana) Feldstreifen, Feldbreite.
(anai), tsuz-a. Grossmutter.
Andrei mannl. Name.
an
ana
ang, Kinnlade, a.-ly doss.,
Wange
ana.
Apa mannl. Name.
(apai), tsuz-a. alt er e Mutt ersch wester, badzim a. jiingere.
(ar), vil'-ar Neujahr.
(ar, ar) ar-torli allerlei.
argamat Zelter, Passgdnger.
arjan Butter milch, liber fr or ene und mit der zertrum-
merten Eisschicht susammengeklopfte Milch.
armys jdhrlich.
(arna) biger-a. Freitag.
artana
ardana.
askyny st. adziskyny.
asjan s. aison.
atalmaz (eine schone Wiesenblume).
ataltsi ein wohlriechendes Gras (Anthoxanthum odo-
aulak
ratum ?).
= avlak.
(az), dorem-az Bruststuck am Hemde; — az erste, az-
lan luyny gelingen.
azab
azap.
azan der Ruf vom Minaret.
(azap), azap adziny zn leiden hah n.
(azaplany) qufilen', leiden, :u U I en haben.
(azgyn I Schlecktigke'rf .
aziny schlecht warden.
azlaysen vorher.
azmak niedrig.
B.
badagauz ug vyh ky cr halt sein Wort nicht.
bad'an Elmer.
(badzim) alter, erstgeboren.
badzimlyk Erstgeburt.
badzym
bagada
badzim
bagada.
bagalma Apfel.
bagyl, bagyles = babyl, baby]
Bairaet. Bairan mdnnlirhe Na
(bak) stumm.
bakel' luyny verzeihen.
baskots, baskyt = baskyts.
(bastyny), dunen b. kaufen.
basylyny ruhig werden, sich beruhigen
batman zehn Pfund.
bazyny sich aufrichten.
begloj Ldufling, Vagabund.
betske.
bektse, bektse
beralj askyny = berg
bereketo aeseanet.
berektysky
berykty
(beryktyskyny) sich verwandeln
betske = betske.
binaljaskyljany, birialjaskyny sich ein wickeln, sich rer-
hiillen .
binalton Fusslappen.
biz (weisse) Schminke.
bodvk
body.
borSan, borsany etc. = vorsan , vorsany etc.
borsatyny ein schliessen lassen.
borys-vetlys erster Theil der Hochzeitfeier .
botan Plumpkeide.
(bor), borlaii zuruck.
bordzedny zum Weinen bringen.
brato Gebriider.
budnik Minze {Mentha).
bujol
bujou.
Tome XXXI
21
311
Bulletin de 1'Academie Imperlale
bul Kohle.
bulgan was da ist, vorhanden.
bulyk Magenschmerz, Kolik.
burany sturmen.
burlak Arbeiter auf Schiffen.
butmar um den Hals gehende Schnur mit dem
butmarka Leibschnur mit Kammen.
(byd), by den by den im Ganzen.
(bydmyny) um kommen, adzem bydmemte Hass.
(bydsa), bydsa, byttysa so gross tvie, so viel ivie.
(bydtyny) c. Gerund, fur <ivollendsn>.
bydzym etc. = badzim.
(byrgy) metallene Rohre.
byrkentsi Schleier.
byrtet Zipfel des Kopftuches.
byrtyny bendhen.
bytsy Leuchtkdfer, Johannisw iirmchen .
byttysa
byziny
bydsa.
biziny.
D.
da und, aber.
d'ad'a Vater.
danly ehnmrdig, beruhmt.
darali Seide, Seidenzeug.
Darja weibl. Name.
dei, dejmyny = doi, doimyny.
313
(den), den utis Priesler.
dera, derem == dora, dorem.
(deulet) Gnade, Segen, Uberfluss.
deiilet, deiileto = deulet, deuleto.
diakon Diakon.
dolkany stump f werden.
clolkatyny stump f maclien.
dongyskyny sich bewegen, sich schieben, riicken (intr.)
doros
doros.
doska Tafel.
dbskyt
d'zosky t .
(clodi), d. kuston Maria Verkundigung
d'ol
w
--J
Dora toeibl. Name.
(dorem), nyl-kysno-d. Weiberhemd, pijos-d. Manner-
. hemd, sod-d., sot-d. Jacke, Kamisol ohne Armel,
— leinener Oberrock {?).
duade Segen.
dukta
dukja.
dulany argerlich werden.
(dunja), jugyt-d. Aufenthaltsort der Seligen, Himmel.
durmek = jurmek.
d'urt
jurt.
dusjet ein Halsschmuck (swei mit einer Schnur fiber
den Hals gehdngte , mit Milnzen bendhte Lein-
tvandstreifen zu beiden Seiten des «gurnes»).
d'uvany =juany.
duzany, d'uzyt = dzuzany, dzuzyt.
d'ft =
d'ydy
d'yn
J".
dzijyn.
(dyn), dynaz zu Hause, nach Hause.
(dyr 1.) vgl. S. dert.
(dyr 2.), voi-d. Buttenvoclie , Gamevalwoche.
(dyrja), ta d. jetzt, heut zu Tage.
dz . . . (die so anlautenden Wdrter s. audi unterj . . .)
dzardyny Morgen werden.
dzes
dzets.
(dzets), d. karyny heiligen.
dzetsjiralny, dzetsyralny sich schaukeln.
dzetsi
dzizi 2.
dzeziny = zeziny.
dziget ehrlich, redlich.
dzigetlyk Ehrlichkeit, Rechtschaffenheit.
dzijin, dzin, dzyjyn Versammlang , Gcmeinde.
dzil'kyndyryny an spannen.
dzingyr dzangyr laut tonend, Ming klang.
dz'olgri
dzorgyli.
(dzoskyt), d. karyny beengenf sich drdngen.
dzok, dztik FuJir.
P •• A V
dzizi 2.
dzumalanyny, in kyk-kylo dzumalanys Heuchler.
dzumart, zuraart freigebig.
dzumyny
zumany.
dzutkam Zeug mit gewebten Mustern
dzuzda == dzuzda.
dzyjyn
dzijin.
u
u •
zazi
dzadz (S) WandbreU , Regal
(dzokatyny) drucken.
dzek.
dzui.
dzok:
dzujy
dzutytyny auf heben etc. lassen {vgl. dzutyny)
(dzyt), d.-pal Westen.
313
des Sciences de Saint -Petersbouri;
E.
cbyr Geist, geistiges Wesen.
egsany reifen (tr.), Beifen auf
egyr
egyzen
ogyr
lgyzen
ener und die Ableitungen = eiier etc.
eiiertsak
enertsak.
erkyjaskyny lieb tverden.
(erkyn), erkin frei
(erkynlyk) Freiheit.
erton Strumpfband.
(eryk), erke nach Wohlge fallen
Esenkul mannl. Name.
(eryksyz) unfreiwillig.
(es) Verstand, Besinnung.
(esep), eseb Termin, Anzahl,
Estek mannl. Name.
Verstand.
evol, evol
evyl.
(evyltem), e. ponna ohne Grund, fdlschlich.
ezel' ezel'tem = ezel', ezel'tem.
ezylyskyny schmelzen (intr.)
i
G.
gad el' gerecht.
gadel'lek Gerechtigkeit.
gajtan mit Miinzen bendhte seidene Sclmur.
gasalo auf dem Bucken (liegend).
gertyny, kirtyny stricken.
gidka, gidk'- az = gid ,"* gid- az.
godkany gackern, falzen.
Glaz die Stadt Glasoiv.
gonzyrtyny traben.
gordomyny roth werden.
goryb buckelig.
gozlyny schreiben.
gozmo streifig, gestrcift.
g
guduri.
goY Bose.
gol'dyrtny donnem, krachen.
Golzan tveibl. Name.
gor Acker n.
(gorany), g. poton (ein Fest)
gorlany girren.
gorsok
gratityny liniiren.
gorsok.
311
grifel', gripel' Griffel.
(gu), je-gu Eiskeller.
gulbets Baum zwischen Wand und Ofen.
gulkqi (glukoi?) taub.
gumer = gumyr.
(gunii), gurau, uzy-g. Angelika, pytsal-g. Flintenlauf.
•
gumur
gumyr.
gurnes mit Miinzen bendhter Lcinwandstrcifen, auf
der Brust am Halsbande.
gur Lied.
gur-ulo, in tsuz-g.-u. mit gelber Brust.
(gurt), tserka-g. Kirclidorf.
(guz-dor) Fest am Montag nach Ostern.
guzjany bleichen (intr.), dora g. cin Fest sur Zeii der
Leinwandbleiche .
guzlany rauschen.
gurlany sich belustigen.
gy
g«
gyltyny glatten, — abspiilen.
gyry
gyryk =
gyryny
gys Berg.
gora.
: gyrk.
goryny
I.
iktse
itsi.
ikym, ikem
ilmer
ityra.
indzi
inmar.
inzy.
integyny sich qualen.
(inty), kur-adzon-i. Ort der Pein, Hotte.
inzelka Weinbecre, i.-vu Wein.
ipostas Person, gottliches Wesen.
ipostaso -personig, kvin-i. drei Personen enthaltcnd,
dreieinig.
iska alterer Bruder.
(itsi-mon) jiingere Schwester des Mannes, Frau des
j linger en Mannesbruders .
itseineii = itsi-mon.
J.
(jaby) Mattensack (Kul), Balg.
jake oder.
(jal), j. karyny aus ruhen.
(jal 2.) Mcihne.
(jalbaryny) sich beugen, sich nrbeug
21*
315
Bulletin de I'/tead^inie Imperial o
310
( j am) Herrlichkeit .
jamsyk Postknecht.
(jara), tyl-j. Brandwunde.
jarsyny zufrieden scln.
jate, Java gut.
(jen), j. sedtyny Rath wissen, sich zu ratJien ivissen.
(jetyny) zu kommen, zu fallen.
(jez) Metall.
jezany mit Draht versehen, oder beziehen.
(jir), jir-murt Oberer, BefeUshabcr , tsilym-j. Pfeifen-
Jcopf.
jiradz Kopfkissen, j.-pu Kopfbettgestell.
jivatyny=jyvatyny.
jomys
jon =
.1 e my s .
jen
jugany
Jigany.
(jugdyny), jugdera Verkldrung.
jumol
jumal.
juno stark, geivaltig.
(juon), tol-j. Winterfest (24J)ecbr.)1 guzem-j. Sommer-
fest, (29 Juni), sizil-j. Herbstfest (1 Octbr.).
jurany deuten.
jurmek Wiesel, Kaninchen (?)
(jurt), surestsi-pyron-j. Gastlians.
jusman Umzug junger Burschen unci Mddchen an Fei-
ertagen mit Tanz und Gesang, besonders in Hdu-
sern, wo Kinder sind.
juz Wange.
m)
JUS
jyg karyny geivandt sein.
jyrjyny=jirjyny.
jy vor == jivor.
K.
(kab), kut-k. Leisten f. Bastschuhe.
(kaban) Getreideschober, Getreidefuder.
Kabo mdnnl. Name.
kabusta
kubista.
(kader) Werth.
(kaderlany) ehren.
kaderlatyny ehren lassen.
(kadertem) unanstdndig.
kagarlany verfluchen.
(kagaz), gozlem-k.
kaisy) ivilde Taube (?).
apier
(kakyt) Agat, Karneol.
kalai Blech.
kal'amper Nelke (?).
kalyp der Leisten.
kamali-kal mit Silbermunzen bendJites
Mddchen.
kamzol Kamisol.
\er der
kanol
kanil'.
kapkan Falle.
kaptsilyk Gnade, Milde.
karalty (?), in ulon-k. Wohnung.
karol
karaul.
(kart), tor-k. Oberpriester , Opferpriestei
kartok Kartoffel.
*
(karyny), subboia k. den Sabbat halten.
k
as
kats.
katantsi
katantsi.
kandan verdorrtes Gras.
kaz Vogel.
(kazak) Brdutigamsfiihrer auf der Hochzeit
(kebit) Laden, Bude.
kebits
kedzi
kebit.
kezi.
keliny liegen.
kern schlecht, gering.
(kema), kema ulem bere nach langer Zeit.
(ken), vil'-k. junge, sett iveniger als einem Jahr verhei-
rathete Frau.
kendzali
keniali.
(kenir), kvaka-k. Coriander?
(kenos), der untere Stock (ju-k.) ist fur Getreide, der
obere (azbar-k.) enthdlt Zimmer (korka-k.), ivelche
als Sommer wohnung dienen.
keremet Opferstelle, Opfer, — bdse Gottheit.
keremetka
das Fuselol veranlasste Krankheit
der Sauft
(kesek) als Zugnetz gebrauchtes Stuck groben Leinen-
, og k. inty
og kesek vad'es
allg
kesi
kets
kisy,
kets
ketspn = kj
(ketse), kot k. was f\
all.
ketses
kets
(kezi), kur-k. Bohne.
kiamat-tore der Richter der Todten.
kibet
kebit.
317
des Science* de Sainl - lV'tf<»r«lH>urg.
318
kika, kitska iveibliche Kopfbedeckung mit einem Itinten
herabhangenden Tuche.
kilet roth, fuchsroth.
kiliny
keliny.
Kimofei mannl. Name (Thimotheus) .
kininy
kyniny.
kirt-ven Stricknadel.
kirtyny s. gertyny.
kisal', kisel' sauerlicher Mehlbrci.
kiston Todtenopfer', Trankopfer.
kitai Baumivollenzeug , Nanking.
kitska s. kika.
kizyr und die Ableitungen = kizer etc.
kobla Stufe.
kodfato wunderbar.
kokalny ein teigen.
koliny und die Ableitungen == keliny etc.
kol'osa Rod.
komali
kamali.
(krvz), k. tyl Nebentcind.
(ku), kot ku immer.
kudoi schlecht.
kudfavoi lockig.
( Kiii), kfii, nai'i-k. Brotsrhaufcl.
k u i ky = kuiki.
kujaskon Trankopfer, Todtcnopfcr,
kuksaskyny.
kuktsany = kuktsany.
(kules), kulesys" wenigstens.
kulits Schlussel.
(kulono), k. oyvl unsterblich.
(kmn), k.-ataj Pathe, Taufvater.
kumyska ungercinigter Branntwcin.
(kuno) kunoe vetlyny besuchcn.
(kunoka), auch st. kuno-kva Gasthaus
kunyl Umarmung (?).
kupyrjany
upyrt}
konalo = konal.
(kor), suri-k. Tragbalken.
(korbon), k.-inty Opferstelle, Altar.
(korka) = kerka (S), Zimmer, sod-k. Rauchstube, ulon-k
das ganze Jalir hindurch bewohntes Haus, bus-k
im Winter unbeivohntes, zok-k. Bethaus.
(kort-tsogany) kort-tsogjany.
kosak Thiirpfosten, Fensterstock.
kosako mit dem «kosak» versehen.
ku
Bctracht.
y), kot (kyt) k. dass., r& verdriesst.
halmig.
skys Op ferpri ester.
nekan Bi rkensch ammm , Fucrschivamm.
yny) verlangen nach etw.
, ukniyso k. aus neun (st. siebcn) Baststrrif
flocHener Schuh.
W-
koso
kotso.
kostan angesehene Person, Opferpriester.
(kotkyny) falzen, vgl. godkyny.
(kotso) Schecke.
kozma ein boser Waldgeist.
(koze) bei.
kober, koberany = keber etc.
kezi.
koj, koi Zustand (?), daron kojon, kojyn als Post-
position im Sinne des ehstnischen Essivs, trie nyl
kojon als Jungfrau, sukyr k. als Blinder, blind,
ulep k. lebendig; vgl. (S) kod', koid.
kuttsany = kut^any.
kutyrtyskvny glauben.
(kutyskon), goryny k. Fest nach der Saaf
i
So>
treides.
Kuchen, Fischpastete
kiiz und die Ableitung
kuz
kuzirsy
kuzayn langs, entlang.
kuzyny auf schichten.
gid-utis der Hofgcist
(kuzo) ein Reicher; — korka
k
k. Ha
Waldi
(koky) (nuny-k.) Tragkorb fur Kinder.
kokyys Wiegen-.
(korton), jir-k. Stirnbinde, dorem-kus-k. Hemdschnar,
kozi
krod
Hemdgurt .
kezi .
dcr Bar
(kva) Zelt, Jwrte.
kvadz
kvaz.
gurt-k.
= vo-
z
krez .
(kvala) SommerhiUte, KochhQtte, Zelt;
saskon-k. Tempel, Bethaus, badziin g.-k. meh-
reren Ddrfern gemeinschaftlkhes Bethaus.
(kvaldem) Bruch, Spaltwng.
kygeti link.
kyktojes Zcit von zivei Tagtn.
311)
Bulletin de l*Academie Imporiale
320
kyktyny verdoppeln, kyktem das Boppelte, Zwiefache.
(kyl) Spruch, Zauberformel, (madiskon-k.) Bathsel, kyr-
zan-k. Lied, Gesang.
(kyl), bergan-k. Drehkrankheit , k.-doj ein boser Geist,
welcher krank macht.
kyljaskyny die Sprache wieder bekommen.
(kyr), bus-k. Wiiste, Einode.
kyryz liegende Harfe, Gusli, vgl. krez, krodz.
kyryz
kryz.
\
(kyskany) siehen.
(kyskyny), tamak k. Tabak rauchen.
(kys), tsyrty-k. Halsschmuck .
kys! (scheucliend) .
(kyset), pitsi k. Brustlatz, pel'-k. von den Weibem ge~
tragener r other Kattunstreifen urn den Kopf.
kystyr kastyr! (v. Rascheln).
kytai = kitai.
a
kyti, kytti ivo hindurch.
kyts-pu = kys-pu.
kytseftyk Schimmer, Schneeglanz.
(kyzmet), k. karyny dienen.
kyzynyny angezogen werden.
L.
lag W aid.
lakyttem hdsslich, unfreundlieh
(lapeg) klein von Wuchs.
(laptsa), laptsa Ehebett.
lapuska Klette.
ledziny
leziny
rek
lok bos, schlecht
lekatyny stossen oder stechen
lektsi, lektsi der Bose.
lel'any zwinkem.
fernta, lenta Band.
letsket Wiege.
lineika Lineal.
Foinys Gestrduch.
10
iy.
lobtytyny = loptytyny.
(lud) Wold, heiliger Bain, badzim 1. dass. mehreren
Dor fern gemeinsam; = keremet boser Geist.
(fiigy) Klette.
ftikatyny sammeln lassen.
(luny), luyz ke no sei es nun.
lusjany
lusjyny.
(lutskyny), lutskemen Heimlich.
(lym 1.), (lym-sir) lym-syr Mittag, Siiden, l.-s.-pal
Siiden .
(lym 2.) Siippe.
lyntyr lontyr! (vom Auftreten).
M.
mad'
mad'on .
maigany Stangen auf richten.
majaljany betasten.
majaljaskyny = majaljasyny.
majyg
majeg
(make) irgend etwas.
(malpany), dzets malpam Segen
manara Minaret.
manda = mende.
maner Form.
manet Werth von einem Bubel.
Marja weibl. Name.
Matron weibl. Name.
matsit Metsched.
meda =
medam.
mende, manda Knecht, Magd.
mertsiny, mertsiny splitterig werden
(meza), ana-m. Feldrain.
mitsiny = mitsiny.
mogatyny auf halten, verzogern.
momy
morjo
mumy
mofo.
mot ausgelassen, wild.
(mozmytyny), mozmytys Heiland, Better.
raos
mus.
(mudor) Opferschrank in der Kochhutte, Gotze, m.-utis
Opferpriester .
mudortsi
mudor-utis.
mudrana = mudran.
mufy = muli, pos
= muli, pos-pu-m. Haselnuss.
ni), m. kal'tsina Mutter des Gottes inmar, guduri-m
Gottin des Bonner s, sundy-m. Gottin der Sonne
itso) ein Ballspiel.
o) Schornstein.
t), jir-m. Oberer, Vorgesetzter , juon-m.
palas
geist.
■m. Stiufcr
lud-m. boser Waldgeist, vu-m. Wasser
Musko
Muskou
mutson '= mytyskon
321
des Sciences de Saint- IVterahonrc.
32*
(muts), vuys m. Insel.
(muze), muze, auch st. myzen.
.. w
mus
mus.
(mydlan), myd-mydlan hierhin und dorthin.
(mylkyd), solen mylyz-kydyz kil'em cr iviirde zornig,
mylkyd ponyny verlangen.
(my Iky do), badzim-m. ubermuthig, stolz.
myntso = muntso.
myntsyktjaskyny = myntsyktjany.
myrk, myryk = myr (S) Baumstumpf.
mys
S. Riicken.
raytskon s. mytsyskon.
mytsySkon, niytskon, mutson, in vyle-ni. Opfer, v.-m.-
dzek Opfertisch.
N.
nakaz, nakazjany = nakas etc.
(liala), kud 11. bis wann, wie lange.
rialtas
rialtaz.
(naii), kvar-ii. Pfannkuchen , pel'- 11 . gckochte Tortchen.
napes Dickes, Bodensatz.
nedela Woche.
ne\
nol.
nerad argerlich, verdriesslicli.
nimjaljany
nimjany
(nyd), sulo-n. PeitscheiistuL
nygyli Kngel, iz-n. rund<r Stein.
(nyl), kazak-n. Brautfiikrerin bci der HocIieeU.
nyn, nynal, nvna/'e = nun etc.
(nypy), nypyet Tragetneh.
(nyr), tyl-n. Schnuppc.
0.
obiri Darrscheune, Riege.
Obraska mannl. Name (Ambrosius).
obyda
obid, o.-kysno Hexe.
odig, odik
odigeti
= odyg.
odygeti .
Odokta wcihl. Name (Awdotja).
(odyg), odyg og irgend cm.
(og), og ogez bere Eincr nach dem Andcren
• A
oginen
ogine.
oktet, in jir-si-o. Haarflechtc, Zopf.
(olip) vgl. alipa (S).
orl'anka Schrift und Adlcr (cin Spiel).
ortsontem unvergdnglich.
ortsiny und die Ableitungen = ortsiny etc
ost, oste = osta.
(osany) passen, nach dem Sinne sein.
(osatyny) nach bilden.
(nin), nin, n. puppy junge Linde (zur Bastgewinnung 0SJan s- <Lison.
nono mit Brilsten versehen, — Mutter.
nonok
nony
(n5l) Wurfpfeil.
numor, numores = nomyr, nomyres.
(nuiia), iiules-n., tsatsa-n. (
gottheit, — der Bar
kuzo) eine Wald
(oson) Kleiderhaken .
osytyny auf hdngen lassen .
oti, otti dort hindurch.
otsorany, otsoratyny = utsiranv etc.
otti s. oti.
(oz, ozi), ozi luyz ko no dessenungcachtct , ozi ozi so
und so.
badzira-n. Ostern, keremet-n. Festtag nach der | ozbor Einzaunung.
Ernte, tulys-n. Festtag nach der Saat im Friih-
jahr, vol-n. Sommerfest (20. Mi), nunal adziny I 5(J, bitten.
0.
leben, eine Lebensart fiih
ryka dimin. von nuny.
-t Schlitten.
rtytyny) uberschwemmen
rytyny) bedecken.
(ojany) fluthen, schwimmen.
(Omez), gord 6. Himbeere.
orektsan, oryktsan etc. = oryktsan etc
(Oryktsany) betrugen.
oryktsaskyny irren, sich tauschen.
tyskyny,c?a^nurytyskem,nurtskem Verwimmg, ^^ mfe^ einm^
Krebs, fressendes Geschwiir
Faulenzer
P.
etyny tragen
padza
padza.
•• »4
nuna
nun, nuna.
(pagza), pagdza Treppe.
383
Bulletin <le l'/tcadeniie Imperial©
324
paidatem unvortheilhaft, unniitz.
paky Messer (kleines).
(pal 2), pala, pal azisen von fern, og pala bei Seite, og
palan auf der Seite, zur Seite.
palas s. murt.
palat Pritsclie (unter der Stuhendccke) .
palats
palas.
paldyny schvdrmen (von Bienen).
pal'tkaskyny iiber laufen, iiber fliessen.
(papa), sod-p. Adler.
par en Bursch.
(pars, parys), paris, kyr-p. Wildschwein .
paskany = patskany.
paskatyny = patskatyny.
paspurt Pass.
pater Quartier, Wohnung.
Paviol mannl. Name.
pazaskyny sich verbreiten.
pegdziny = pegziny.
peizdyny = pezdyny.
pel'at (mit Zalilen z. B.) kviii p. in drei Theile etc.
(pel'es), kut-p. Strippe am Bastschuh.
peljany = poljany.
perepets kleiner Pfannkuchen.
peres = poreS.
pertsyny, pertsytyny = portsiny etc.
pes-aj
pets-ai.
pester, petster geflochtener Korb, Kober.
Petka mannl. Name.
petlasan, petlo, petlon, petlos = pedlasan etc.
petset
petsat.
petseto, petseto mit einem Siegel versehen, versiegelt.
petster s. pester.
petsurka Ofennische.
(pi), kazak-pi Brautigamsfuhrer bei der Hochzeit.
(ptfdyny) sich bewolken.
(pinal), $m&\jnng.
(pirog) Torte.
pis
pis.
Pitas mannl. Name.
pitsi
pitsi.
pity res rund.
(pizni) Dohne.
plas
pies.
podjas Schreiber.
podmes Bienenstock.
(podon), dzu-podon Ofenherd.
(ponyny), kyl p. sich besprcchen, verabreden.
portyny durchbohren, durchdringen , bohren.
(poskes) metallenes Armband.
(posky), jar-po£ky Uferschwalbe.
(posky) AusscMag, Flechte.
postyny alt oder hinfallig werden, sich ah nutzen.
(postern) abgenutzt.
posul Pfand, Weihgeschenk, Exvoto.
posiljaskyny sich zu schaffen machen, sich ab qualen.
potsi
poktsi.
(potyny), svjatoi p. heilig gesprochen werden, kytse pote
tynyd was diinkt dich.
poz
pony
pyz.
punu.
* •
pus.
pyti.
pos =
poti =
(poz), suron-p. Lederhandschuh , vyrt-venen p. gestrick-
ter Handschuh.
(prittsa, prittsa) Ungemach.
psalom Psalm.
psaltir Psalter.
(pu), vamen-p. Achse.
pudora-pus Familienzeichen , Hausmarke.
pukala sitzend.
(pukran, pukron) (an Feiertagen getragen).
(pukton), sus-tyl-p. Leuchter.
(puktyny) errichten, griinden, ein setzen. .
pukyl'o Ball, Kugel.
(pukys) Bolzen (der Armbrust), Bogenpfeil, vgl. liol.
(pun), sereg-p. Brand, Feuerbrand,
pup
pop.
(puran) Fdhre.
(pus) Kerbstock, p. ponyny bezeichnen, an kerben.
pustol Tuch, (Zeug).
(pus, pus-muli) Eichel.
put karyny spalten.
putet
puteg.
(puts), kener-p. Zaunstange.
putsany ein dringen.
puzy == puzi.
puzmo Kiefer-.
puznyny heulen.
pykjany hinan reichen.
pyktjaskyny == pykjany.
pynet, pyny == punet, punu.
325
do* Science* «le Saint -Petcrf»l»oiir£.
:**«
(pyrgyny) zerbrechen (intr.)
(pyrontem), vu-p. wasscrdicht.
pyrti dutch.
pyrtsy Hintere, Steiss.
pyryskyny sich ein lasscn.
pysal
pytsal.
pytsany st. pydsany
(pytsal), pu-p, Armbrust.
pyzer Schdben (v. Flachs, Hanf).
pyzni
pizni.
11.
rakato
rakat.
rakim Barmherzigkeit.
rakmat, in oi rakmat habe Dank
ranziny
ranzyny
ranzitinv = ranzytyny.
rat
rad, raten der Reihe nach
rizalyk Zufriedenlieit .
S.
sagynyny ehren, achten; — sich langiveilen (?).
(salam), s. verany griissen (in Auftrag Jemandes)
lang
f diese Weise
san Achtung, Beachtung, sane ponyny ehren.
sanjany ehren.
sano geachtet, geehrt.
santem verachtet, san tern karyny verachten, missach
ten, verunehren.
? &
<*yn
sarai Scheune.
sarana Lilie.
(saska), tialma-s. Trollblumc (Trollius).
saskany singen (v. Vogeln).
(saz) Wachsein.
seion Gliickwmisch.
sekyt und die Ableitungen davon = soky
seY
sil' 1 .
semol'o Schober.
sendra, sendyra Pritsche.
senys
ser
synis
ser.
(serak) rasch.
sest
ses.
(sesyrmyny) sich beschddigen.
Tome XXXI.
(set) Sctznctz.
ety iiht r den Bikkvn hang< ml Kopfbwd
(si) Suite, kr< -si Darnisaifc.
siktan Pfriem.
silo
silo.
simvol Glanbensbck< nntniss.
sin
sin.
sinmaskyny missgonnen, beneiden.
sirektjany, sirektjatyny = s< rekjanv etc.
sirmet
sermct.
sityny, sijytyny essen lasscn, zu esscn geben.
siyoy = sinv.
skrypka Violine.
smolojany = ysmolojany.
(so) = sy, syja (S), soyn, so ponna datum, deswegen,
so bereze, so bere darnach, darauf.
sogy Hecliel.
sor.
sor
I ory g
sotysem
tsoryg.
sotsera.
sokori, sokyri = sukuri.
(sokyto), s. dyr Schwanger
sol
sol.
soryny, sOryskyny = seryny etc.
sotyny ein holen, ereilen.
sozjalton, sozjany, sozjatyny = sezjalton etc.
stabes Schiissel.
suansi, suantsi = suantsi.
sukman ivollener Bock.
sukyri
sukuri.
sulmas Knmmetkissen.
sulvor karyny bitten.
sulyk Tuch (iiber dem aison geiragm und hinten herab-
hdngend).
sulys IdngUche Schiissel, Midde.
^uraok
Sumyk.
umori ein Theil des Sphmrades.
sunep, sunepes = suned, sunedes.
sur), kvar-s. Fest Petri und Pauli (29. Juni).
suran Riihrholz, gur-s. Schiirstange.
surany urn riihren, schiiren.
surestsi Beisender.
surlo-tui Erntefest im Spdtherbst.
sursy-vu Birkenwasser .
sury, suro
sum.
suryni Stange (2 — 3 Faden lang)
22
327
Bulletin de I* Academic Imp* riale
3*8
sutaltyny
sutyny
su
sui
su 1. 2.
SUI.
* .
sures
sures
suziny
suziny 2.
(svjatoi) fromm.
sydzan, m tsilym-s. Pfeifenrdumer (st. suzan?)
sykal
yskal.
(sylyny), badagauz ug sylysky er halt nicht Wort
synany priifen, versuchen.
syndyk
sandyk.
syr, syr syr dichtes Gestrilpp.
sabardi ausgebreitet.
sabur leinener Sommerrock
saksylyk Unreinigkeit .
u
Saktos mdnnl. Name.
V 1 W
salas
salas.
sali Heine Steine, Kies.
saltrak nur, lauter.
samsurka weibliche Kopfbedeckung .
sana
tsana.
j
sap sufdllig, gerade.
sap sap! trab trab.
(sedyny) merken, bemerken.
(sedyskyny) bemerken.
sedyskytyny, sodskytyny bemerkbar maclien
belehrm.
(seklany) irre werden, Anstoss nehmen.
seklanyny === seklany.
seksyz = segtem.
seksyzlanyny = seksyzlany.
sektem, Sektenilyk = segtem etc.
(ser 2.) Schleif stein, typo I. versteinertes Hols.
serbet Honigwasser, L'niumade.
sidon Schmaus.
siktein un zweifelhaft .
stfa s. silla.
sifk sal'k (von Rascheln).
silla, sil'a
syfe.
sirany, syrany Mduse fangen.
sebyr (S).
?
(sobyr)
sogjany
sogol Stutser.
(soner), soneren wahrlich, sonere pottyny rechtfertigen
(sort), s.-my6kon Fest beim Waschen der Gespinnste
sory, soryak mitten dutch.
sot-dorem s. dorem.
stsog = tsog.
styk Bajonett.
(sug) schlimm.
sugomyny traurig werden.
(sukkyny) scharfen (Sensen).
(sum), sum potymon erfreidich
(sumes)
somos (S).
sumit karyny renommiren, Handel suchen
= sudo.
= sikys.
sudo =
sykys =
synyr junge Saat.
synkyt Nebel.
syr, syrany s. Sir etc
T.
(ta), ta bereze darnach, darauf.
taban (st. taba-nan) Pfannkuchen aus Hafermehl.
tabynyny (c. Allat.) verehren.
tag tag! (Gdnsegeschrei).
(tagan) Gestell sum Aufhdngen, murt oson t. Galgen.
taktj a
tamak
takja Kdppchen der Mddchen.
tamak.
(tamga) Familienzeichen, Hausmarke, Eigenthumssei-
chen, Hands eichen.
(tanyklyk), t. karyny seugen, Zeugniss ab legen.
(tanka) Eubel.
tapsyryny ubergeben, ividmen.
tati Kopftuch der Mddchen.
(tatyulany) skli befreunden.
tatyulandyryny befreunden, versohnen.
tazarynyny rein werden.
(tegis) tegyz eben.
(tektsytyny) hervor springen lassen.
telbugo, telvugo Leine, Lenkseil.
temani lange.
tehke
tanka.
(terki), terke Teller.
tertyny, teryny = tortyny etc.
teskyt
tseskyt.
(tod), t. kutyny eingedenk sein, tode uskytytyny erin-
nern.
toledz, toloz
tolez.
(tolez), (kvaka-t.) Mars, (os-t.) April.
329
des Sciences de Saint- Pctershourg.
330
Toton mannl. Name
to
ty.
told'yny, toljyny windigen, aus wetter n.
tolo Feld, vgl. tarlau.
(tore), kiamat-t. Todtenrichter .
(torly), kyk-t. zweierlei, (odyg-t.) einerlei, raa-t. wel-
cherlei.
= tusak.
tozem, tozys ordentlich, gehorig, gerecht.
(tozotem) unordentlich , wust.
(tsabei), sod t. Buchweizen, vadz-t. Weizen.
tsafyr Teufel.
tseljaskyny springen.
(tsigyny) zerreissen (tr.)
tsike Geist der Verstorbenen .
(tsil'pam) Gelander.
tsilym Pfeife (zmn Rauchen).
tsipsyny, tsipsyny pfeifen, piepen.
(tsirdyny) singen (von Vogeln).
(tSoz), ta tsoze bis jetzt.
t£ukyndyrtyny taufen lassen.
(tsukynyny) sich taufen lassen.
tsumon Trog.
tSutsi Blutgeschwur .
tsutyskyny hinken.
(tsuzon), gur-t. Ofenbesen.
tsabyny klatschen.
tsag, tsagyny = ts
tsai Thee.
tsalyny.
tsaliny
tsalma Leinewandstreifen urn den Kopf der jungen
Frauen .
tsas tsas ! (von fallendem Laub) .
tseber = tsebef .
tserko
tserk.
tsersyny = tsersyny.
tsertekys mit Munzen benahter Brustschmuck
tseskyt = tseskyt.
tsetse = tsetsi.
tsidyr dicht, zusammengeballt .
tsilter Schnitzwerk.
tsiltero mit Schnitzwerk verziert.
tsilym
tsilym, t. kyskyny rauchen.
tsilymtsi Baucher.
tsingulio klingelnd.
tsipsyny = tsipsyny.
tsirkemlyk Mutli.
tsokmor = tsokmor.
tsortyny = tSorjany.
tsoz
t£oz.
tsostem fimiisch.
tsozaSkyny sich vermehren.
tsuan Feier der Abholung der Ncuvermuhlten aus dcm
Elternhause, wo sie bis zur Buttenvoche (Came-
m
valswoche) als Gast lebte.
tsuas Tschuwasch.
tsudys Haarknoten an den Seiten des Kopfes.
(tsuk), t.-azeja friih Morgens, morgen.
tsuskyny = tsutskyny.
tsuz
tsuz.
tsybor bunt.
tsygyny = tsogyny.
(tsyn) heilig.
tsynajak Theetasse.
tsynnany = tsynany.
tsyno-murt eine seit mehr als einem Jahr Verhcirathete
(nicht mehr vil'-ken^.
tserekjany etc.
tsyrekjany etc.
tsyresyny = tsyrysyny.
tsyri pyri ganz klein.
tsyrs bitter.
t§yzektyny roth werden
tue.
tuala
tubalgy, tubylgy Spierstaude (Spiraea).
tubat
tubat.
tudz Spierstaude (Spiraea).
(tue) jetzig, heurig.
(tug), uko-t. bunte Feiertagsmiitze der Madchcn
(tugan), t. karyny ehren.
tugyny = tudyny.
(tui), tui Metallsaite .
(tuklatsi), tuklasti Brautwerberin.
tukmats Fdrberkamille (?).
tiinotsi
tuno.
(tup) Ball.
(tupany) gleichen.
tuptany passen.
turi braun (v. Pferden)
tori.
tiirly
torly.
turto Femerstange.
tygyzlany bedrangen, verfolgen.
tygyzlyk Bedrdngniss, Verfolgung.
22*
331
Bulletin de l'Acacleiiiie Imperiale
333
tylaskon Brandopfer, Feueropfer.
tynys"
tynyo.
tynyslanyny ruhig sein, Frieden geben
typo
typyo.
(tyryny), put'skys t. gerulirt werden, — tyrera (c. Ml.)
uberdrussig.
tyrytyny bezahlen lassen.
tysatski Dorfpolizeimeister.
uzmak, uzmak Paradies
uzy
uzy.
uzym Winter saat.
V.
u.
ua
va.
ubir boser Zauberer, Hexenmeister .
«g
ugoi.
(ugoi) ndmlich.
nil ach.
(ujany), iijyny, — treiben (st. uljany?).
ujez Kreis.
(ujol) ivach, munter, — Munterkeit.
ukmyso neun enthaltend.
(uko) Silberfaden (zum Sticken).
(ukoes), ukojo mit Silber gestickt.
(ukojany) mit Silber sticken.
(ulemo), dzets-u. fromm.
uljan, in kurek-puz-u. Fest beim Hafersden.
ullasan imten, von unten,
ultes, in jir-u. Kopfkissen.
illy Unteres, Tieferes.
ulzany
ulziny.
umoitemlanyny = umojtemlany.
urbet ein boser Feldgeist.
urniytyny reizen, unithend machen.
urodlygySkyny boshaft werden.
(urom) Mensch.
urys
urs.
vadz
vaz\ vadz-tsabei Weizen.
vaktsi = vaktsi.
(valatyny), valatysa sotyny deuten.
valla£an oben, von oben.
(valtse), v. karyny zusammen setzen, vereinigen.
(vandyny) schlacMen.
VanuSka mdnnl. Name.
varmes-babai Scixwieger mutter des Mannes.
vasil, in mus-v. Bienenschwarm , vgl. tscheremissisch
nasyl Generation.
vaskala
vazkala.
(usiny), sin use der bose Blick trifft.
(uskytyny), sin-uskytem der bose Blick.
(usto) Herr (Ehrentitel) .
(ustyny), mylkyd u. erheitern.
iisjano, iisjany, iisjaskyny = usjano etc.
(utiny) regieren, halten, behalten, — (uti£), lud-u.
kvala-u., vorsud-u., mudor-u. Opferpriester .
utiskytyny beobachten lassen.
utsy
vaskyny, vaskytyny = vaziny, vazkytyny.
(vatet) Sacrament, h. Abendmahl.
vatsyl jung.
vaziskyny, vaziskytyny === vazkyny, vazkytyny.
(vazkala), v. dyrja vor Alters.
vedeno Fest am 24. Novbr.
(vednam), vediiam angezauberter Schaden.
vediiaray = vednamy.
(vedyn), v. raurt, vednas boser Zauberer.
(veil), kirt-v. Stricknadel.
ver
vir.
?
utsu.
utsyrtyny
utsiratyny
utyny
utyny.
(verany), azlaysen v. vorher sagen, denez serysa veras
Irrlehrer.
(ves 1 .) oft.
(ves* 2.), ki-v. Armband von Perlen, tsyrty-v. Hals-
perlen.
(vetlyny) damit urn gehen (etw. zu thun).
vetlys s. borys.
(vettos) zivanzig Quadratfaden.
vetyl Farse, Kuli welche nicht gekalbt hat.
vezy und die Ableitungen davon — viizy etc.
(vil), v.-ken Neuvermahlte (seit weniger als einem Jahre).
(vis) eine Spanne, vier Werschok.
visak etc. = vots etc.
vizim, vizym == viz.
voldet und die Ableitungen davon = veldet etc.
volnoi frei.
vol'tsyny gleiten.
I
volyt
volit.
(vordyny), erhallen, halten; — sud vordys s. vorsud.
333
des Sciences de Saint -PcWcrshoiirg.
33 1
voronka TricMer.
mudor
(vorsatyny) ein schliessen lassen.
(vorsud) = sud-vordys Schutzgott, Gotze,
Opferschrank, kleiner Schrank aufdem Wandbrett
in der Kochhutte.
vortany, vortaskyny, vortyny, vortytyny = vortany etc.
vot! siehe da.
zerektsaskyny sich drelien.
vots
vots.
(voz) Last , Fuhr.
vozany bewahren, auf bewahren.
(vozit), vozite vutyny beschamen, schelten.
(voz) jung.
(vozo), vozo-dyr die Zeit vom 20. Juni bis zum 1. Juli
und 25. Becbr. bis 6. Januar.
(voztyny) bezahlen.
voldet mil den Ableitungen = veldet etc.
vortyny sick tummeln, sich an strengen.
vortytyny sich bewegen lassen, tummeln, jagen.
(vu), in-vu ein boser Geist, (surs-v.) Birkcnwasser
(surd-vu?).
(vudor) Reiher (?).
Niederung
drehen
( vuny) ,
taty
-glcich
friedlichem Leben
(vutyny) berichten.
(vyz), v.-ul Raum unter dem Fussbode
(vyzi), (vyziyn) unten bei, unter, vyziaz
nieder
Y.
(ym), badzim-ym Grossmaul.
(ymit) Hoffnung, Verheissung
ymitlandyryny verheissen.
yraitlanyny hoffen.
yrtsag Stange, Hebebaum.
yskyny
ytskyny.
ystyrtyny Ziehen.
Z.
Zaber mdnnl. Name.
zabod = zavod.
zamana = zaman.
zangari grun, blau.
zar Giirtel.
zerebei Stossel, Morserkeule.
ze§
dzets.
zin dreitagiges FruWngsfest
zolotoi golden.
(zoryny) herab fallen, kvaz zore cs regnet.
zod
zud.
(zu), tsilym-z. Pfeifenrohr.
zudany, zudaskyny schleifen, zudaSkon zud SchlcifsUm
zumyny
zumany
zuop Gliick, Heil, — gli'tcklich, unrersehrt.
zuopo glilcklich — recht. brav, gcrecht.
zybka Schaukelwkgc.
zybyn Oberrock der Weiber, kitaj-z. b< tumwolUncr .
i.
zal' zal'! (von fliessendem Wasser).
zegatvny hindern, aufhalten.
zil'tyr da zal'tyr mU (icriiusch.
zil'tyrtyny erklingen.
zivot VieJi. Kleinvieh.
4
zon! (von zerbrechenden Gegenstiinden) .
zozon, z.-pyz Hafermehl.
zok
dzek.
(zugyskon) Krieg.
zujy==dzui.
znmart = dzumart.
zumatska Blindekuhspiel.
zyngyres, zyrigyrjany, zyngyrtny = dzingyres etc.
2yz Fussboden = dzadz (S), zyz-ul Raum unter dem
Fussboden.
Ich benutze diese Gelesrenheit audi noch zur Angabe
&
6
und Berichtigung einiger entstellender, niclit schon
von dem Leser selbst leicht zu verbessernder Fehler,
wclche tlieils schon bei der Redaction des Manuscripts,
theils beim Satz hinein gekommen waren und auch bei
der letzten Corrector noch ubersehen wurdeu.
Der wimderlichste und argerlichste Fehler ist ein
mit russischen anstatt rait den fur das Syrjanische und
Wotjakische hier zu Grunde gelegten lateinischen
Buchstaben geschriebenes Wort. Die raeisten von mir
benutzten schriftlichen Quellen haben Russen zu Ver-
fassern, welche naturlich auch fiir das Si rjiinische und
Wotjakische
ihres Alpliabets bedient liaben. Bei
335
Bulletin de I*Aeademie Imperiale
330
der Transscription nun so vieler tausend Worter aus
dem einen Alphabet in das andere ist es unvermeid-
lich, dass bei der Bezeichnung der Laute, die man im
Sinne hat, Hand und Feder sich in das falsche Alpha-
bet verirren, das man mit dem richtigen immer zu-
gleich vor Augen hat, und aueh Anderen ist es, wie sie
mir versichert haben, ebenso gegangen. Das russische
Alphabet hat aber ausser den ihm eigenthumlichen
Zeichen auch viele mit den lateinischen gleiche, zum
Theil mit derselben Bedeutung wie dort (a, d, e, i, k, o),
zum Theil aber auch einen verschiedenen Laut be-
zeichnend (b, c, m, n, p
lateinischen v, s
t, P,
r, i), und wenn bei dem obigen Versehen Bucbstaben
dieser letzteren Art concurriren, so kommt natilrlich
ein ganz anderes Wort auf das Papier, als man im
Sinne gehabt. Meistens wurden Fehler dieser Art, auch
ohne dass gerade welche von den dem lateinischen
Alphabet ganz fremden Zeichen vor gekommen wa-
ren sogleich nach dem Niederschreiben bemerkt und
oder
spater die
Wdrter in die alphabetische Ordnung gebracht wurden;
dass mir bei «nops» (st. pors wie S. 344) die Unmog-
lichkeit nicht ebenso augenfallig gewesen ist wie bei
anderen ahnlich verschriebenen Wortern, kann ich
mir nur dadurch erklaren, dass es in dieser verun-
Gestalt an klingt — wie so viele andere
an ein gleichbedeutendes Wort der ver-
gluckten
Worter
ups
de
wandten ehstnischen Sprache, namlich <
Almlichkeit mit «nops'» noch grosser erscheint, wenn
man beriicksichtigt , dass schon im Ehstnischen selbst
bisweilen an die Stelle des in einem grossen Theil
des Sprachgebietes stummen anlautenden «h» dialek-
tisch ein «n» tritt, wie «nakkama» (an fangen) st. «hak-
kama» (gesprochen «akkama»). Es ist also S. 2, a
Z. 14 pors zu lesen st. nops und S. 197, b die Zeile 15
zu streichen.
0
Noch einige Fehler gewohnlicher Art, die keiner
iteren BefUrwortung bedurfen, sind die folgenden:
8.
))
))
»
»
»
»
43,a
55,a
59,b
72,a
78,b
98Jb
Z. 10 v. u, I. boryiitny st. boryiitny.
6 I. saran st. saram.
2 u. 5 v. u. I. gormog st. gormod
5 von «g.» an zu streichen.
8 v. u. I. sorny st. sorny.
2 I. machen st. werden.
5 v. it. zu streichen.
»
»
0
»
» 101, a » 3 v. w. I. zynodtsan st. zyniidt
S. 112,b Z. 12 v. u. zu streichen.
» 113, a »
19 I. Helligkeit st. Helligzeit.
» 124,a » 10 I. kruksan st. krusksan.
» 146,b » 3 von «Hermelin» an zu streichen.
» 176, a » 16 I. Kuhr st. Kuh.
5 v. u. I. muo duzgyny st. muiid uzgynj
» 187, a »
» 235 ,b »
» 240 fi »
» 2 6 8, a »
5
8
7
10
nal'dny st. naldny.
u. I. pon st. pom.
pokot st. pokot.
u.l. Pftugbrett st. Pflugsch
ryskobtyny st. ryskoptyny.
» 277, b » 18 I. V]
» 290 fi » 9 I. os st. os.
13 v. u. zu streichen.
» 301,b » 3 zu streichen.
» 324,b » 12 v. u. I. sotsmyny st. sotsmyny.
» 329,b » 5 I. Schwager , Bruder der Frau st
«
suryn».
» 336,b » 6 I. tuiod st. tujod.
» 338,b » 1 I. tatsaitny st. tatsaitny.
» 347, b » 4 I. tolys st. tolys.
»
353,a
»
3 I. tsaprasny st. tSapasny.
»
» 354,a » 5 v. u. I. tsegjalny st. ttsegjalny.
» 357,b » 3 I. tserodittom st. tsereditt5m.
» 385, b » 2 v. u. I. tyron st. tyriim.
» 389,a » 1 v. u. und bZ.l bis 5 I. udzjos, udzjosa,
udzjoso, udzjosasny st. udzjoz etc.
397, b » 2 v. u. I. vaksyny st. vaksiny.
» 418, b » 3 v. u. I. asyl-v. st. azyl-v., zel-v.
» 420,b » 11 I. kyskalan st. kyska-lan.
» 423, b » 1 I. vork-va st. verk-va.
» 430, a » 12 v. u. zu streichen, desgl. b Z. 6.
» 43 4, b » 11 v. u. I. vyjym s£. vyjyn.
» 445,a » 17 I. zeldzyk st. zelzeldzyk.
» 450,b » 6 v. u. I. Vflugbrett st. Pflugschar.
»
455,b
»
3 v. u. I. zul'liny st. zul'liuy.
» 470,a » 15,16 «sa,d-&or'6mSchlafrock»zu strc'chen.
7 v. u. I. dugdiidny st. dngdodny.
» 478,b » 2 v. u. I. jamsyz st. jamsys.
»
488,b
»
5 I. tsogany st. tSagany.
» 516, b » 17 I. pot st. pote.
» 532, a
»
14, 13 v. u. I. sOdyny, Sodyskytv ny, (Sods-
kytyny), sodytyny = scdyny, §edys-
kytyny, sedytyny.
» 532,b » 19 v. u. I. sudzimyny st. sudzimyuy.
» 537,a » 10 I. tsabei st. tsabli.
» 543, b » 2 v. u. I. tupyttem st. tapyttem.
337
des Sciences dc Saint -PcWersboiirt*.
33*
8. 549 fi Z. 8 v. u. zu streicJien.
» 551 ,a » 5 v. u. I. (vaz) Spelt st. (vaz) Spalt.
» 552,a » 2 v. u. zu streicJien.
» 7 v. u. «(em Hohlmaass)» zu streicJien
b
» 560, a » tf, 7, 5 v. u. zu streicJien.
» 561.b »
5 ?. zerebei st. zerebe.
» 643, b » 12 I. 97 st. 47.
Alles in Allem enth< die Sainrnlung (Herni Dr.
Kegel's lOExemplare mit eingerechnet) — 388Balge,
die 136 Arten angehoren.
Von dieser Anzahl sind 54 Stuck in Samarkand
(7 Ex.), Dscham (14 Ex.), in der K arschinskischen
Steppe (26 Ex.) und in Gusar (7 Ex.), d. h. in deni
Steppenlande Buchara's gesammelt. Die ubrigen 334
sind im gebirgigen Theile des Chanats, oder, phy-
sisch-geographisch richtiger ausgedriickt, in den
Zur Ornis der westlichen Auslaufer des Pamir und
des Alai. Von V. Bianchi. (Lu le 27 mai 1886.)
Die vorliegende Abhandlung ist das Resultat der
Durchmusterung einer kleinen Sammlung l) von Vo-
gelbalgen aus dem ostlichen Theile des Chanats von
Buchara, die mir der Director des Zoologischen Mu-
>
seums der Akademie der Wissenschaften , Herr Dr»
A. Strauch mit gewohnter Liberalitat zur Verfugung
gestellt hatte.
Das Gebiet, wo die Sammlung zusammengebracht
worden, erstreckt sich vom Amu-Darja nordwarts, bis
zum sogenannten Kaschgar-Dawan oder der Turkestani-
schen Gebirgskette mit Ausschluss jedoch der letzte-
ren; den am meisten nach Westen gelegenen Punkt
bildet die Stadt Karschi, nach Osten — der Berg Tup-
tschek, der etwas weniger als urn einen Breitegrad
nach Westen hin vom Gletscher Fedschenko's ent-
fernt ist. Die Gegend liegt mithin in einem in orni-
thologischer Hinsicht fast unerforschten Gebiete; so
viel mir bekannt ist, haben hier nur V. R us sow und
Dr. A. Kegel gesammelt, beide verhaltnissmassig nur
sehr wenig, besonders letzterer: die von ihm einge-
sandten Exemplare (die sich in schlechter Verfassung
befinden) wurden mir, wie audi einige Balge aus der
Russow'schen Sammlung von Herrn Th. Pleske
freundlichst zur Disposition gestellt.
Aus dem eben angegebenen Grunde interessirte
mich diese Sammlung in hohem Grade, ich wurde
aber bei naherer Durchsicht derselben ziemlich ent-
tauscht, da dieselbe ohne System zusammengebracht
worden ist und Lticken' aufweist.
westlichen Auslaufern des Pamir und des Alai, er-
beutet. Von den oben erwahnten 54 Exemplaren sind
21 Arten Ostlich von Gusar nicht angetroffen worden,
da aber einerseits die Mehrzahl derselben fur die Steppe
nicht characteristisch ist, andererseits im gebirgigen
Theile des Chanats auch Steppenland mit seinen Arer-
tretern existirt, so liielt ich mich fur befugt, diese 21
Arten der Liste der Vogel der Auslaufer des Pamir
und des Alai einzuverleiben ohne Bedenken zu hegen
die Physiognomic der Avifauna derselben zu entstellen.
Ich nehtne folglich in dieser Gegend das Vorlian-
densein aller 136 Arten an. Diese Anzahl bildet im
Hinblick auf die Fauna des nordlich angrenzenden
russischen Turkestan nur wenig mehr, als ein Drittel
aller wahrscheinlich in dem betreifenden Gebiete vor-
kommenden Arten.
Von den in Ost-Buchara aufgefundenen 136 Arten
fuhrt Dr. Severtzow (Journ. Orn. 1875) nur fol-
gende nicht an: 1) Saxicola FhiscM, Heugl., 2) Pra-
1) Diese Sammluug hat das Zoologische Museum von Ilorrn
Grum-Grzimailo gekauft.
tincola caprata (Linn .),
Cyan ecula leucocyana ,
Brehm, 4) Herbirocula neglecta (Hume), 5) Acan-
tliopneuste nitida (Bly th), 6) Troclialopterum lineatum,
Vig., 7) MicrocicUa Scoaleri (Vig.), und 8) Nisaetus
fasciafus (Vie ill.). —
— Mittlerweile hat V- Russow
P. caprata und H. neglecta aus Turkestan mitgebracht
(der
erstere Vogel
stammt von Tschinas, der letz-
tere vom See Iskanderkul) und H. Seebohm ein
Exemplar des MicrocicUa Scoaleri aus der Umgegend
von Samarkand erhalten. Mithin sind von unseren
136 Arten, so viel ich weiss, im russischen Theile
von Turkestan nur 5 nicht gefunden worden, namlich:
S. FhiscJiL
C. leucocyana, 3) Ac. nitida,
4) Troclialopterum lineatum und 5) N. fasciatus. Von
diesen letzteren fiinf Arten wurde T. lineatum schon
fruher von Russow beim Eisernen Thore am Fusse
des Baissun-Tau erbeutet und ein Exemplar des Ni-
saetus fasciatus stammt von Dr. Regel.
330
Kulletiii «!«' riead^mic Imp^riale
340
Auf diese Weise kann man mit grosser Wahr-
scheinlichkeit behaupten , dass die Avifauna der west-
lichen Auslaufer des Pamir und des Alai dieselbe isfc ,
wie die der anliegenden Berge jenseits des Gebirgs-
zuges, der unter dem Namen Kaschgar-Dawan be-
kannt ist.
Dieses ist eigentlich die einzige Schlussfolgerung,
zu der mich das Studium dieser Sammlung gebracht
hat: da beinahe zwei Drittel der Vertreter der Fauna
unseres Gebietes fehlen, so vermag man die Ahnlich-
keit derselben mit der benachbarten nur in dem Falle
zu erkennen, wenn die Fauna des Nachbargebietes
vollstandig erforscht ist, was glucklicherweise in Bezug
auf die Fauna von Turkestan der Fall ist. Bei dieser,
dennoch etwas riskirten, Schlussfolgerung laufen wir
dem ungeachtet Gefahr, einen Fehler zu begehen:
erstens sind wir nicht im Stande alle die Formen auf-
zuflihren, welche sich nicht bis nach Turkestan ver-
breiten; zweitens konnen unter den fehlenden zwei
Dritteln (obwohl dies wenig wahrscheinlich ist) ende-
mische Formen kleiner Bergvogel, die Standvogel sind,
vorkommen; drittens endlich ist ein grosserer Zusatz
von Formen, die dem Himalaya eigen sind, moglich; —
Alles dies kann die Almlichkeit der Fauna des in
Rede stehenden Gebietes mit der Turkestanischen
vermindern.
In noch grosserem Maasse sind diese Bemerkungen
in Bezug auf andere, weniger oder noch garnicht er-
forschte, Nachbargebiete am Platz.
Im westlichen Himalaya sind circa 100 von den
obenerwithnten 136 Arten gefunden worden, aber die
Himalaya-Provinz wird scharf abgesondert durch den
Zusatz von rein endemischen Formen, welche selbst
einem ungeubten Sammler nicht leicht entgehen konn-
ten. — Ungefahr dieselbe Anzahl fand man in Afgha-
nistan, einem Lande, das bis jetzt wenig erforscht ist,
namentlich dessen nordlicher Theil,welcher unmittelbar
an das in Rede stehende Gebiet grenzt. — Im Pamir
und der Alai-Steppe fand Dr. Severtzow etwa die
Halfte der Arten, die unsere Sammlung aufweist;
iibrigens halt es schwer das Hochplateau des Alai und
Pamir, deren Thaler in einer Hohe von 11 — 13. 500'
elegen sind, mit deren verhaltnissmassig niedrigen
AusliLufern zu vergleichen: man miisste in diesem Falle
alle Fundorte von unter 10,000' Hohe ausser Acht
der Steppenfauna der am Caspimeer gelegenen "Wiisteu
unstatthaft; — und in den Bergen von Chorassan sind
die Forschungen erst kiirzlich begonnen.
Bedeukt man schliesslich, dass mir eigene Beobach-
tungen fehlen und dass ich dadurch gezwungen worden
bin, nach Balgen und den dazu gehorigen Etiquetten
nur muthmaasslich den Character des jeweiligen Vor-
kommens der Vogel zu bestimmen, so wird man ein-
sehen, aus welchem Grunde ich mich jeglicher Schluss-
folgerungen, die wohl erwunscht waren, enthalte.
Die Details sind bei jeder Art angegeben, ich halte
es aber nicht fur uberflussig, auf folgende in geographi-
scher Hinsicht interessante Formen besonders hinzu-
weisen : Saxicola Finschi, Gyanecula leucocyana , Her-
bivocida neglecta, Acanthopneuste nitida, Trochalopte-
rum lineatum, Microcichla Scouleri, Gyanistes flavi-
pectus, BhodopecJiys sanguined, Nisaetus fasciatus etc.;
dagegen in systematischer Hinsicht auf folgende: C.
flavipectus, Scops obsoleta, Scelospizias cenchroides
und manche andere.
Es sei mir gestattet, noch einige Worte hinsichtlich
der Bearbeitung des Materials hinzuzufiigen.
Ich hielt es fur nothig bei jeder Art kurze Citate
anzufuhren, vermittelst welcher die Genesis der Be-
stimmung einer jeden Art leicht zu verfolgcn ist.
Dasselbe bezweckt die in vielen Fallen in systernati-
schen Anmerkungen angegebene Motivirung. Ich habe
endlich bei einigen Exemplaren die permanente Num-
mer des ornithologischen Catalogs des Zoologischen
Museums nur aus dem Grunde angegeben, um das
betreffende Exemplar zu jeder Zeit leicht auffinden
und verificiren zu konnen.
Ich habe alle Exemplare mit ihren Daten aufge-
zithlt, da das Befolgen dieser Regel, meiner Meinung
nach, fiir das Studium der geographischen Verbrei-
tung und der periodischen Erscheinungen iiberaus
vvichtig ist.
Die Daten sind alten Styls.
Ferner mochte ich noch den Umstand entschuldigt
wissen, dass die Maassangaben bei mir bald in Milli-
metern, bald in englischen Zoll angefiihrt werden.
Diese scheinbare Inconsequenz findet jedoch in Fol-
gendem eine Erklarung : wahrend ich selbst mich des
metrischen Systems bediene, stent bei englischen Au-
toren stets das Zollmaass in Gebrauch, beim Vergleich
lassen. — Aus eben demselben Grunde ist ein Vergleich I von Maassangaben mit solchen aus englischen Quellen,
341
des Sciences <le Saint - Petcrsbourg.
312
hab
)
&
ab
Maass in ein anderes iiberzufuhi
enelischen Zolles bedient.
ebenfalls des
Fast alle Namen der Fundorte konnte ich auf der
Karte auffinden und nur einigc
schafte
erden auf
K
deutende Oft-
en wold niclit
fiber die ungefahre geograpbische L
b
dieser letzteren kann man aus der bcigefii
route urtheilen.
Die Originaletiquetten waren in russischer Sprache
geschrieben, bei ihrer Wiedergabe mit lateinischen
Lettern habe ich mich an die deutsche Orthographic
gehalten. Der Name Eines Fundortes iibrigens bedarf
einer besonderen Bemerkung: der Ort, an dem zwi-
schen dem 9. und 11. Juni gesammelt wurde, ist auf
den cinzelnen Etiquetten Tobi-dara genannt und auf
der Karte finde ich ihn als Tabi-dara vermerkt, wah-
rend in der Marschroute des HerrnGrum-Grzimailo
(H3BicTia PyccK. Teorp. 06m,. i. XXI (1 885), Bwn. VI.
cxp. 579—
582) 2) augenscheinlich dieser selbe
Ort
Tawildar odor Tabi-dag genannt wird; ich fuhre diesen
Fundort in der Schreibweise der Etiquetten an.
Marschroute des Hcrrn Grum-Grzimailo im Jahre 1885.
15
28
22. III. Samarkand.
29. III. Dscham.
30. III. Karschi-Steppe, zwischen Dscham und
Ak-Kuschuch.
IV. Karschi-Steppe, Brunnen Gamisch 20
1
9
Werst von Karschi.
1. IV. Ibid., Brunnen Taschli, 40 W. v
3. IV. Karschi.
7. IV. Jange, am Wege von Karschi
Gusar.
10. IV. Gusar.
11. IV. Tengi-Charain.
12. IV. Tschaschraa-Chafisdschan.
13. IV. Engpass Tschak-Tschak odcr Eisei
K
nach
14
Thor;
13. IV. Schur-ab
15. IV. Sser-ob.
Ak-Rabat
17
2) Da diese Marschroute nur einen Theil tier Daten und Fund
orte enthalt, so ist die nachfolgeude hauptsachlich nacb den Eti
quetten, mit manchen Zusatzen meinerseits , urn die Lage der Ort
.chaften miner zu erkliiren, zusammengestellt.
Tome XXXI.
24
5
16. IV. Lailjakan.
19. IV. Schir-abad.
20. IV. WYg von Schir-abad zum Fluss Surchan,
21. IV. Ak-Kurgan am Fl. Surchan.
22. IV. Kum- Kurgan am Fl. Surchan; Kap-
tugai.
23. IV. Garm- Kurgan am Fl. Surchan.
26. IV. Kokaity- Kurgan am Fl. Surchan.
29. IV. Sary-Dschuj.
30. IV.
3. V.
6. V. Engpass Kara-Kuss im Babadagh i/.wi-
schen den Fliissen Surchab und Ka-
Regar.
Karatag .
firnagan).
am Flusse Kafir-
8
12
nagan.
17
7. V. Schurjan-Tugai
8. V. Ak-Metschet
10. V. Dschidda-bach
14. V. Kabadian.
15. V. Fluss Wachsch, westliches Ufer.
18. V. Kurgan-Tjube \ am 5s t lie hen Ufei-
19. V. San-Tuda
d. Wachsch.
21
22. V. Kischlak Baljan am Flusse Ktschi-Sur-
chan (Nebenfluss von Ak-Su, unweit
von der Stadt Kuljab mundend).
31. V. Baldschuan.
8. VI. Karnak (am Ak-Su?).
11. VI. Tabi-dar am Fl. Chingob.
11. VI. Fluss Chingob.
12. VI. Kischlak Inku.
13. VI. Fluss Sagri-Daschte; Kischlak Sagri-
Dascht.
14u.l8. VI, Sagri-Dascht-Pass, 10,000'; Flusse
29
7
9
C h u m bo u
(10,000').
und
Bida - Abdschabar
19. VI. Fluss Sagri-Daschte (Ruckweg).
23. VI. Ischtiun
24. VI. Lairan
25. VI. Nossany
am rechten Ufer d. Fl
Chingob.
26. VI. Gardaui-Kaftar-Pass.
27.VI— 2.VII. Berg Tuptschek.
1
3. VII. Chysch-Kuljak-Pass im Peter's I Ge-
birge.
5. VII. Nordlicher Abhang des Peter's 1 Ge-
. birges; Fluss Sinde-Kul (4. VII);
Kalai-Ljabi-ob (4. VII); Obi-Nasa-
rok, Fl. Kara Saur (5. VII). '
23
343
Bulletin de l'Academic Imperiale
344
11
13
21
—12. VII. Obi-Garm am Fl. Surchab, sud-wcst-
licli von Garm.
—20. Vll. Obi-Garm, Faisabad, Kafirnagan, Dju-
schambe, Karatag und Sary-Dschuj.
—25. VII. Langs dem Laufe des Flusses Sang-
Girdan bis Lagari-Murda.
23. VII. Saryni-Sakli am Sang-Girdan.
—29. VII. Lagari-Murda-Pass.
30.VII— 8.VIII. Tasch-Kurgan ; Schaar; Tchim-Kur-
gan; Dschara.
\). VIII. Samarkand. *
25
1. Turdus viscivorus. Linn.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 185 (Key), 194; Dresser,
a. juv
B. Eur., II, tab. 1.
Tuptschek
2. VII.
b. juv. Lagari-Murda-Pass 26. VII. .
Das Exemplar a triigt noeh das Ncstkleid, wahrend
bei dem Exemplar b schon einige Federn auf der Brust
mausern.
2. Merula merula (Linn.).
t
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 233 (Key), 235; Dresser,
B. Eur., II, tab. 13.
a. $ adit. Fluss Sang-Girdan 21. VII.
Das einzige stark mausernde Exemplar, das uns
vorliegt, ist die typische M. menAa und nicht M.
maxima Seebohm (Cat. B. Brit. Mus., V, p. 405).
3. Merula atrigularis (Temm.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 235 (Key), 267.
a <3 semiad. Dscham 29. Ill (JV° 10116).
Uber die Halsseiten unseres Exemplares, welches
em stark abgestossenes Fruhlingskleid tragt, erstrecken
sicli schwarze langliche Streifen und der Hals ist von
schmutzig-weisser Farbung oline dunkle Schaftstriche.
Es ist alsu der Hals nicht gefleckt, wie nach Se-
vertzow, bei M. mystacinas, welcher noch 1883
die Selbststandigkeit dieser Form zu vertheidigen
suchte.
4. Monticola saxatilis (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 313 (Key), 331; Dresser,
B. Eur., II, tab. 16 u. 17.
a. 2 adit. Tschasclima— Chafisdschan 12. IV.
b. 2 adit.
c. $ adit.
d. $ adit.
e. $ adit.
$ adit.
g. $ adit.
Ji. $ adit.
i. $ adit.
k. juv.
I. $ adit.
Engpass Tschak-Tschak ,
Ak- Rabat (Eisernes Thor) 13. IV.
Sser-ob
Schir-abad
Karnak
Karnak
Inku
Fl. Sagri-Dascht
Ischtiun
15. IV
19. IV
7. VI
7. VI
12. VI
19. VI
23. VI
\
Alle im April erlegten Mitnnchen (c, d, e, f) und
Weibchen («, V) tragen noch die Spuren des Winter-
kleides, welche sich darin aussern, dass die Federn
auf der Brust, auf dem Bauch und- auf dem Rucken
am Ende weiss umsaumt sind. Da die Weibchen uber-
haupt bunter gefarbt sind, so erscheinen diese Saume
bei ihnen nicht so scharf prononcirt, wie bei den
Mannchen. Diese
Umsaumung
fehlt beinahe schon
vollstiindig bei alien Exemplaren (#, h, i, I), welche in
der ersten Halfte des Juni erbeutet wurden.
Die Steuerfedem des jungen Exemplars (k) haben
nur drei Viertel der Lange erreicht, so dass man an-
nen muss, dass dieses Exemplar Anfang Juni das
nehinen muss,
Nest verlassen hat. Die breiten
S
auf alien
Schwungfedern
rostfarbig - weis
lassen die Jun
o
dieser Art von den Weibchen, bei welchen diese Saume
entlich auf
Schwungfedern erster Ordnun
sehr schmal sind, leicht unterscheiden
5. Monticola cyanea (L.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp.313 (Key), 316, Dresser,
B. Eur., II, tab. 18.
a. 5 adit.
b. $ adit.
c. $ adit.
d. 2 adit.
e.
6
Sser-ob
ibd.
ibd.
Karatag
15. IV.
15. IV.
15. IV.
3. V.
Sarym-Sakli 23.VII.
Dresser meint, dass das erwachsene Weibchen
in der Farbung dem Mannchen gleicht, was jedoch nach
Hume (Stray Feathers, X, p. 109, footnote) nur aus-
345
des Sciences de Saint - Pel ersbourg.
nahmsweise der Fall ist. Unser Exemplar (d) ist oben
einfarbig schwarzbraun, unten mit Ausnahme der Sei-
ten gefleckt, zur Unterkehle wird die Fleckung eine
geringere. Auf dem Kinn, der Kehle, Gurgel und Ober-
brust ist jede Feder am Schaftthcile hell und von
einem dunklen Saume urageben; auf den Schwung-
federn sind die Federsaume kaum merklicli.
Die schwarzlichen und weisslichen Riinder der
blauen Federn sind als Spuren des Winterkleides bei
dem Exemplar a noch sehr stark, bei b und c schon
weniger stark prononcirt. Die vorherrschende Farbung
des Exemplars e ist blau, doch besitzt jede Feder am
Ende zwei Saume, einen schwarzlichen und einen
weisslichen und sind die Schwungfedern hell einge-
fasst; die Schwung- und Steuerfedern mausern nicht,
das Kleingefieder dagegen sehr stark und gehoren
alle Federn schon dem Herbstkleide an; es ist ein
junges Exemplar.
6. Cinclus asiaticus, Swains.
Cat. B. Brit. Mus., VI, pp. 307 (Key), 314; Gould,
B. Asia, IV, tab. 21.
a. $ adit. Ischtiun 23. VI (A° 10042).
b.
juv. Tuptschek 30. VI (As 10041).
tragi ein stark abgestossenes
Das alte Exemplar
Gefieder.
Das junge Exemplar habe ich mit einem unzweifel-
haft zu dieser Art gehdrigen Jungen, welches Russow
mit den alten Vogeln erlegte, verglichen und als zu
dieser Art gehorij; erkannt.
7. Cinclus leucogaster, Bp.
Cat. B. Brit. Mus., VI, pp. 307 (Key), 314; Gould,
B. Asia, IV, tab. 24.
a. $ adit. Tuptschek 28. VI (H 10040).
Unser Exemplar tragt ein abgestossenes, jedoch der
Mauser noch nicht unterworfenes Kleid.
8. Saxicola oenanthe (L.).
Dresser, B. Eur., II, tab. 21.
a. 9 adit.
Dseham
29. Ill
b. $ juv. Lagari-Murda-Pass 29. VII.
Das Exemplar a hat noch nicht das Friihlingskleid
angelegt, da die braunen Enden der grauen Federn
340
auf dem Oberkorper noch nicht abgestossen sind
Das Exemplar b tragt schon das Herbstkleid, doch
mausern noch die Federn auf dem Kopf sehr stark.
9. Saxicola morio. II. u. Ehr.
Cat. B. Brit, Mus., V, }>p. 364 (Key), 372; Severt-
zow, Turkcst. Jevotn., tab. VIII, fig. 1 — 4 (S. (alas);
Henderson und Hume, Lahore to Yarkand,tab. XIII
(S. Henderson i).
«.<3adlt.
b. 6 adit.
c. i adit.
d. $ adit.
e. 6 adit.
Dseham
ibd.
Karschi
Baldschuan
29.111 (AH 0043).
29. III.
3. IV.
31. V (AH 0046).
Laeari
b
-Murda-Pass29.VII.
f. 3 adit. autum. Lagari-Murda-Pass 27.VII (A» 1 0044).
g. S juv. autum. Lagari-Murda-Pass 2 7. VI I (AH 0045).
Die alten im Fruhlinge erbeuteten Mannchen (a
stimmen am,besten mit der Abbildung bei Severtzow
(1. c. fig. 1) uberein und unterscheiden sich ziemlich
auflfallend von derjenigen bei Gould (B. Asia, IV,
tab. 29) und Dresser, (B. Eur., II, tab. 33, fig. I8).
Der Farbung des Kopfes und der Oberseite ist niim-
lich bei ihnen in viel grosserer Menge ein grau-brau-
ner Ton beigemischt. Beim Exemplar c treten schwarze
Federn mit braunen Enden in grosserer Anzahl, als
bei a und b auf; beim Exemplar e fehlen diese braunen
Enden wie auf den weissen, so auch auf den schwarzen
Federn beinahe vollstandig.Nach der Farbung der hellen
Stellen haben unsereExemplare auf dieseWeise eine ent-
fernte Ahnlichkeit mit der Abbildung von S. capistrata
bei Gould (1. c. tab. 28), doch unterscheiden sie sich
von dieser Art sofort dadurch, dass die zweite Schwinge
langer als die 6. und kiirzer als die 5. ist, wahrend bei
S. capistrata dieselbe Schwinge kiirzer als die 6. ist
und die 7. an Lange iiberragt. Das erwahnte Verhalt-
niss der Schwingen ist bei alien unseren Exemplaren
ein constantes. Ich halte unser Exemplar f, welches
auf der Oberseite noch mausert, fiir ein ausgewach-
senes Mannchen im Herbstkleide; es ist der Abbil-
und
dung dieser Art bei Severtzow
c. fig.
Hume (1. c.) hochst ahnlich. Mit der letzteren Abbil-
dung stiinmt auch vollstandig das junge (g) beinahe
ganz ausgemauserte Mannchen im Herbstkleide uber-
ein. Nach einirehendem Vergleich erwiesen sich diese
3) Nee tig. 2 = lugt »<> (Lie lit.).
23*
\
347
Bulletin de IMcad£niie Imperiale
348
Exemplare als identisch mit einigen Balgen, welche
Russow erlegt und an Ort und Stelle bestiramt hatte.
Das alte Weibchen d in sehr abgetragenem Kleide ist
der fig. 2 bei Severtzow sehr ahnlich; dieses Exem-
plar ist mit einem Weibchen der S. leucomela Pall,
identisch, welches Herr Kibort bei Krasnojarsk erlegt
hat, wo ausser ihr keine andere Art vorkommt, mit
der sie verwechselt werden konnte.
Dr. N..A. Severtzow (Ibis, 1883, p. 69) suchte
noch 1883 die Unterschiede zwischen 8. morio und
8. leucomela nachzuweisen, aber vergeblich, denn
Seebohm (cf. ibd. footnote) konnte zwischen diesen
Arten die erwahnten Unterschiede nicht finden. Die
Unterschiede, welche Biddulph angiebt und die darin
bestehen sollen, dass die Innenfahne der Schwungfe-
dern erster Ordnung bei S. morio schwarz, bei S. leu-
comela dagegen weiss gefarbt ist, sind ebenfalls irrig
und daher werthlos. Biddulph hat namlich augen-
scheinlich die Arbeit von Blanford und Dresser
(P. Z. S. 1874, p. 225) benutzt, wo als 8. leucomela
die 8. lugens Licht. beschrieben ist. Hume (Stray
Feathers, IX, p. 320 footnote) vertheidigt die Selbst-
stilndigkeit seiner S. Hendersoni bis in die letzte Zeit.
o. $ juv.
Tuptschek
30. VI (.B 10048)
c. $ juv. Lagari-Murda-Pass. 27. VII.
d. $ juv
ibd.
27. VII.
Das erwachsene Mannchen (a) in ziemlich abgetra-
genem Gefieder unterscheidet sich von der Abbildung
dieser Art bei Dresser (Weibchen im Herbstkleide)
nur durch einen mehr prononcirten grauen Anflug.
Die jungen Exemplare (b und d) tragen das gefleckte
Nestgefieder und hat bei ihnen die Mauser noch nicht
begonnen. Das Exemplar c befindet sich in voller
Mauser und gehbren die moisten Federn schon dem
Herbstkleide an.
10. Saxicola deserti, Temm.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 383; Dresser,
B. Eur., II, tab. 27.
a. 9 adit, Sser-ob 14. IV ($ 10057).
Diese Art ist mit & montana leieht zu verwech-
seln, doch ist bei dieser letzteren die Innenfahne der
zum Schafte weiss,
wahrend bei S. deserti die weisse Farbe auf der In-
nenfahne der erwahnten Federn nur als breiter Rand
Schwingen erster Ordnung bis
auftritt
Die Liinge des Flug
//
betragt 3,6 , diej
nige des Schwanzes 2,7''. Nach Seebohm betragt die
Fittigliinge der Weibchen von S, deserti 3,5 bis 3,3",
bei den Weibchen von 8. montana dagegen schwankt
dieselbe zwischen 3.9 und 3.6".
3,6". Unser Exerapla
ein nur wenig abgetragenes Winterkleid und
desshalb einen etwas liinseren Flfigel haben.
mag
Cat.
11. Saxicola isabellina. Cretzm.
B. Brit. Mus., V, pp. 365 (Key), 399; Dresser,
B. Eur., II, tab. 22.
a. 6 adit. Sagri-Dascht, Fluss Bida-
*
12. Saxicola Finschi. Heugl.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 388: Dresser,
B. Eur., II, tab. 207 (S. erythraea).
a. <$ adit. Tschaschma-Chafisdschan 1 2. IV (.V; 10058).
Diese Art ist in der Vertheilung der weisscn Far-
bung auf der Oberseite (von dem Schnabel bis zu den
Schwanzdeckfedern) der S. melanoleuca im Friihlings-
kleide ahnlich, doch unterscheidet sich diese letztere
Art sehr auffallend von ihr durch eine weissgefarbte
Stelle zwischen dem schwarzen Hals und dem Fltt-
gelbug, wahrend S. Finschi seitlich vom Kinn bis zur
Fltigelspitze durchgiingig schwarz gefarbt ist.
Die Federn des Exemplars b sind im Ganzen ziem-
lich stark abgestossen.
Bis jetzt ist Tschaschma-Chafisdschan der ausserste
Fundort dieser Art im Nordwesten und ist sie fur
Turkestan, so viel mir bekannt. noch
wiesenj im
Siidosten ist ihre Verb
nicht nachg
unsr bis Ka
dahar und Quetta, wo sie Swinhoe (lb
p. 107) sammelte, verfolgt.
13. Saxicola opistholeuca, Strick.
Cat. B
Mus., V, pp. 364 (K
B. Asia, IV. tab. I
376; Gould,
a. $ adit. Tengi-Charam
b. 6 adit.
ibd.
11. IV (M10049).
11. IV.
Abdschabar 18. VI (M 10047). fieder noch wenig ab
c. $ adit, Kara-Kuss (Engpass
im Baba-Dagh) 6. V.
Bei den mir vorliegenden Exemplaren ist das Ge
349
des Sciences dc Sninf - IV*er*bourg.
S50
14. Pratincola caprata (L.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 179 (Key), 1«)5.
a. $ adit. Kurgan-Tuebe 18. V (As 10050).
Die Federn unseres einzigen Exemplars sincl nur
wenig abgetragen.
Diese ostliche Art erreicht im Siidwesten ihres Ver-
breitungsbezirkes das sudostliche Persien und kommt
in Nordwesten bis zum A trek und der Chiwinischen
Oase, wo sie von Bogdanow 4) gesammelt wurde, vor.
Im Turkestan ist dieser Wiesenschmatzer, nach Mit-
theilung von Herrn Th. Pleske, von Russow ge-
funden worden.
15. Pratincola maura (Pall.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 179 (Key), 188; Gould.
B. vYsia, IV, tab. 34 (P. indica).
a
. 6 adit.
Dscham
28. III.
b. $ adit. Lailjakan 16. IV ($ 10052)
c. (<S)5) juv. Baljan 22. V (B 10051)
d. (9) juv.
«. (2) juv.
ibd.
ibd.
22. V.
22. V.
■
Das Kleid der alten Exemplare (a und b) ist wenig
abgetragen; auf dem schwarzcn Riicken sind noch
viele Federn von den rostfarbigen Randern der Win-
tor tracht umsaumt.
Zwei rostfarbene eben zuni Vorscliein tretende Fe-
dern auf der Brust des Exemplars c geben mir die
Moglichkeit auch die Jungen im Nestkleide als zu
dieser Art gehorig anzusprechen.
16. Ruticilla phoenicura (L.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 335 (Key), 336; Dresser,
B. Eur., II, tab. 41.
a. 6 adit, Schir-abad 17. IV (J6 10053).
Das einzige Exemplar ist in abgetragenem Friih-
lingskleide.
Die zweite Schwinge dieser Art ist grosser als
die 6., wiihrend bei der folgenden Art dieselbe kleiner
als die 7. ist.
4) O'icpKii npwpoAbi XHBiiHCKaro oannca h necKOBt Kn3bnn>-
Kywb. TaniKGHT-B, 1882, CTp. 75, 83.
5) Die von mir in Klammorn gesetzten Geschlechtzeichen halte
ich filr nicht ganz siclier.
17. Ruticilla rufiventris (Vicill.).
Cat. B. Brit. Mas., V, pp. 335 (Key), 342; Moore,
P. Z. S. 1851, pi. LVII (R. }>hoenicur<ridcs); Dresser,
B. Eur., II, tab. 43.
o. 6 adit.
b. 9 adit.
Inku
Ischtiun
12. VI
• •
10117).
c.
d. 6
23. VI (Jg 10054).
juv. Fluss Sang-Girdan 22. VII (A° 10056).
Lagari-Murda-Pass 20.711 (As 10055).
Das alte Mannchen (a) mag nach seinem einfarbig-
schwarzen Mantel zu der Form R. atrata Jard. et
Selb. c) gehoren.
Das alte Weibchen (b) habe ich nach ein em Exem-
plar, welches Russow zusammen mit dem Mannchen
erbeutete, bestimmt. Ein anderes Weibchen (d) in fast
ausgemausertem Herbstkleide ist jeneni, trotz anderer
Nuancen in der Fiirbung, in der Grosse und den plasti-
schen Merkmalen vollstiindig gleich. In diesen Merk-
malen stimmt auch das Junge (c), welches das
fleckte Nestkleid trligt, mit den erwahnten Weibchen
iibcrein.
Abgesehen von dem Unterschiede in der Fiirbung,
scheint das Weibchen von R. rufiventris (V.) auch noch
kleiner als dasjenige von R. erythronota (Eversm.) zu
sein.
Im Langenverhaltniss der Schwingen schemes
sich diese zwei Arten nicht von einander zu unter-
scheiden.
Das junge Exemplar (c), welches das gefleckte Nest-
kleid trftgt und noch nicht (22. VII) zu mausern be-
gonncn hat, liisst eine zweimalige Brut vermuthen.
Ich fiige noch die Ausmessungen und das Verhalt-
niss der Schwingen von 6 R. rufiventris und 2 R.
erythronota bei.
a.
R. rufiventris
$ adit.
^chwanz- Liingenverhalt.
liinge. der Schwingen.
mm.
84,75
b. 2 adit. Grum-Grzi- 79,00
nun.
68,00 7>2>8
61,50 7>2>8
c. 9 (aut
d.
juv
mailo j 79,00| 63,00 |7>2>8
7> 2 fas
| 77,00- 60,00
e. 5 adit. \ Russow; einf 81,00; 63,00
60,50
2 adit. \ gepaartes PaarJ 79,50
R. erythronota
a. 6 adit. \ Russow; ein) 85,50
b. $ adit, j gepaartes Paar^ 83,00
8
9
70,00 7>2>8
71,00 7>2>8
6) Cf. N. Zarourlnoi, Oiseaux de la Cofitr&e Trans-Caspienne
p. 37, Bemerkung von M. Mcuzluer.
351
Bulletin de 1* Academic Imperials
352
18. Cyanecula caerulecula (Pall.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 294 (Key) 308; Dresser,
B. Eur., II, tab. 49 (C. suecica).
a. $ adit. Dscham 28. Ill (Jfc 10060).
Das Gefieder ist nur wenig abgestossen.
i.
19. Cyanecula leucocyana, Brehm.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 294 (Key) 311 (E. ci/a-
necula)-, Dresser, B. Eur., II, tab. 48 (G. Wolfi).
a. $ adit.
6. 6 adit. (?)
Sagri-Dascht-Pass 1 4. VI (As 10061).
Tuptschek
27. VI (& 10059).
Die Bestimmung des Exemplars b bietet einige
Schwierigkeiten, da der weisse Kehlfleck einen schwa-
chen rostfarbigen Anflug hat nnd daher die Mfiglich-
keit nicht ausgeschlossen ist, dass wir es mit einera
Bastard von G. leucocyana und G. caerulecula zu thun
haben ; jedenfalls aber steht es der G. leucocyana viel
niiher. Der Reisende hat es als Weibchen notirt, doch
muss ich diese Gcschlechtsbestimmung eutschieden fur
irrthiimlich halten, da sogar bei hahnenfedrigen Weib-
chen der blaue Kehlfleck niemals so intensiv und un-
unterbrochen auftritt.
Das Exemplar von Scully, welches in Gilgit gcsam-
melt wurde, scheint nacli derFarbung des Kehlsternes
auch kein typisches zu sein, da Biddulph (S. F. IX,
p. 330) von ihra sagt: «a faint rufous tinge appears at
the base of the satin-white feathers, looking very much
as if there were a change of colour in the feather ».
Das Gefieder der mir vorliegenden Balge ist ziem-
lich stark abgetragen.
Ich weiss nicht, ob diese Blaukehlchen-Form fur
Turkestan schon nachgewiesen ist. Wie es scheint, He-
gen die am meisten ostlichen Fundorte dieser Art im
westlichen Theil der himalayanischen Provinz der Re-
gio aemodo-serica (Severtzow): Scully (Str. Feath.
IX, p. 330) fand sie in Gilgit am 15. April (3. IV n.
Jul. Kal.) auf dem Durchzuge (einzelnes Exemplar) und
nacli Biddulph war sie «very common on both sides
of the Digar pass, between the Nobra and Indus val-
leys during the last week 7) of June» (Str. F. X, p. 268).
7) Also Mitte Juni. vielleicht brflteud.
20. Calliope pectoralis, Gould.
Cat. B. Brit. Mus., V, p. 294 (Key.), 306; Gould,
B. Asia, IV, tab. 39.
a. & adit.
b. $ adit.
c. $ adit.
Tuptschek
ibd.
ibd.
27. VI (JS 10062).
l.VII.
2.VII(JYs 10064).
d. $ adit. Chysch-Kuljak-Pass,
iiber 10000' 3. VII (JS 10063).
6. 9 adit.
$ adit.
g. $.adlt.
h. 8 adit.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
3. VII.
3. VII.
3. VII.
3. VII.
Alle Exemplare sind in abgetragenem Sommerkleid
und mausern noch nicht.
21. Irania gutturalis (Guerin).
Cat. B. Brit. Mus., V, p. 304; Dresser, B. Eur., II,
tabb. 53 und 54.
a. S adit
b. 9 adit
Karnak
ibd.
7. VI (j\» 10065).
8. VI (M 10068).
c. S adit. Fluss Sagri-Dascht 13. VII {B 10066).
d. 2 adit
ibd.
13. VII (.Vs 10067).
Alle Exemplare sind in abgetragenem Sommerkleid
und keines mausert.
22. Daulias Hafizi (Severtzow).
r
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 293 (Key), 297 (Eri-
thacus Golzii): Blanford, Eastern Persia, II, tab. X,
fig. 2 (optima); Radde, Ornis Caucasica, tab. XV
a. S adit.
(fig. mala).
Gusar
U. IV.
b. S adit. Schir-abad 18. IV (As 10069).
c. $ adit.
ibd.
Karnak
18. IV.
7. VI.
d. $ adit.
e. 2 adit. Fluss Chingob 11. VI (B 10070).
$ adit.
ibd.
11. VI.
Die Bestimmung
des Geschlechtes ist bei alien
Exemplaren, welche ein nur wenig abgetragenes Kleid
haben, zweifelhaft.
Bei den Exemplaren a und b ist die Abortivschwinge
gleich den grossen Fliigeldeckfedern und 2
bei den
tibrigen Bfilgen (c
5>6;
ist dieselbe etwas
353
•
des Sciences do Saint- Pete rfthourg.
351
1 ■ '■'
langer (nicht einmal urn 0,1 ") al
und 2 > 5 > 6. Die unteren Schwanzdeckfedern sincl des Fliigels6) zwischen 2,4f>
die Fliigeldeckfedern j wechseln
doch variirt bei dieser letzteren die Lani:<
in alien Ubergangen von weiss bis rostfarbig gefarbt
beim Exemplar b ist auf denselben eine Wellenzeich
5
2,3"<62,5
58,5 mm.),
h
bemerken
23. Sylvia cinerea fuscipilea, Sever tzow.
Sylvia cinerea p. fuscipilea Sevcrtzovv, Journ. f.
Orn. 1875, p. 176.
Sylvia fuscipilea Seebohm, Ibis 1884, p. 427;
id. Hist. Brit. Birds, I, p. 406.
Sylvia cinerea fuscipilea Zaroudnoi", Oiseaux
Trans-Casp. 1885, p. 41.
a. S adit. Tuptschek 28. VI.
b.
c.
adit
$ adit
d. £ adit
e. $ adit
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
29. VI.
30.VI(J6 10071).
30. VI.
30. VI (A» 10072).
Wenn man diese Form als ostliche Unterart der
gemeinen S. cinerea anerkennt, so miissen alle unsere
Exemplare als zu derselben gehorig angesprochen
wer den .
Die Balge sind in abgetragenem Kleide und liaben
noch nicht zu mausern begonnen.
24. Sylvia currusa affinis, Blyth.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), V).
a. $ adit. Sser-ob
15. IV ($101 65).
b. $ adit. Kara-Kuss, im Baba-dagh 6.V ($10166).
c. S adit.
d. $ adit.
e. 9 adit.
S adit.
g. $ adit.
Baldschuan
ibd.
Karnak
Ischtiun
ibd.
30. V (V* 10073).
30. V.
7. VI.
23. VI.
28. VT($ 10074).
Die ostliche Form unserer S. curruca unterscheidet
sich von dieser letzteren nur dadurch, dass bei ihr die
zweite Schwinge kiirzer als die 6. und langer als die 7.,
wahrend bei S. curruca
die 6. und kiirzer als di<
dieselbe Schwinge liimrer als
t>
Die Farbung der Oberseite dei
und An
fang Mai erlegten Exemplare
und b)
w&prend dieselbe bei unseren sieben Exeinplarcn von
S. affinis von 2,73 - 2,:>_>" (6l>,5 . 1 nun.) botnigt
Die Fittiglange bei den Exeinplarcn a und b ist 2,6.
und 2,58" ((i7,5 und 65,5 mm.).
Von alien inir vurliegenden Excinplaren mausert
nur das am 7. Juni erlcgte Weibcheo (e): bei ilim ge-
horen schon alle kleinen Federn dem llcrbstkleide an,
die frischen Steucrfedern, namentlich die ausseren , sind
noch kurz, wahrend die Schwingen noch nicht alle
mausern. Wahrscheinlich war dieses Weibcheo ledig
geblieben, da sogar die am 23. Juni erbeuteten noch
nicht augefangen liaben zu mausern.
25. Sylvia orphaea Jerdoni (Blyth).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), 16; Nicholson,
P. Z. S. 1851, p. 195, pi. XLIII (Artamus cucidlatus).
a. $ adit. Sser-ob 14. IV (10075).
b. $ adit.
ibd.
14. IV.
3. V.
c. (6) adit. Karata
d. $ adit. Tabi-dar 10. VI (10076).
e. $ adit.
$ adit.
g. 2 adit.
ibd.
ibd.
Inku
10. VI.
10. VI.
12. VI.
Alle Exemplare gehoren der ostlichen Form der
S. orphea an ; sie unterscheiden sich von der Abbilduug
bei Dresser (B. Eur., II, tab. 64) nur dadurch, dass
bei ihnen die Farbung auf der Unterseite einen sehr
schwachen isabellfarbenen und auf den Seiten einen
Sie stimmen vollstandiir mit
bleigrauen
Anflug hat.
und halte ich diese Farbung fur diejenige der Winter -
tracht: die Ende Mai erbeuteten Exemplare sind oben
der Abbildung bei Nicholson (1. c), welcher die Art
falschlicherweise in eine andere Gattung stellt, tiber-
ein, nur schcint mir diese Zeichnung urn ein Geringes
die natiirliche Grosse dieser Art zu iibertreffen und
der Schnabel ist jedenfalls zu gross und dick wieder-
gegeben.
Die Liiuge des Schnabels (d. h. des Culmen), welche
nach Seebohm (Cat. B. Br. ftfcis., 1. c.) als bestes Crite-
rium dieser Art angesehen werden muss, betriigt beim
id variirt bei
'. DieLang<
Exemplar /*0,<i 7 ". beim Exempl
8
gefarbt
Auf diese Weise kann man, glaube
alien iibrigen B
des Fliigels va
des Schwanzes
6
0,78
3,07
0
diej
3
a
diese Art im Winterkleide mit S.
8) Of. Seebohm, Cat. B. Brit. Mus., V, p. 5 (Key).
355
Bulletin <le I* icadY'inic Imperial*'
350
Das Kleid aller Exemplare ist mehr oder weniger
stark abgestossen. Herr Zarudnoi brachte diese Form
aus dem Transcapi-Gebiet mit, wahrend Nikolsky die-
selbe in Nord-Persien (Firjusc bei Budsclmurt 14. u.
12.VH, 85) erbcutete. Der Schnabel des alten Exem-
plars von Nikolsky raisst 0,78", derjenige des jungen
(.V; 10077) nur 0,(30".
26. Adophoneus nisorius (Bechst.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), 6; Dresser, B.
Eur., II, tab. 68.
Tabi-dara
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
a. $ adit.
b. $ adit.
c. 6 adit.
d. $ adit.
e. $ adit.
$ adit.
g. $ adit.
h. $ adit.
i. S adit.
j. $ adit.
k. $ adit. Nordl. Abhang Peters I-Gebirge,
Fluss Kara-Saur
9. VI.
9. VI.
10. VI.
10. VI.
10. VI.
10. VI.
10. VI.
11. VI.
11. VI.
11. VI.
5. VII.
Alle Exemplare sind in einem mehr oder weniger
stark abgetragenen Kleide.
27. Herbivocula indica (Jerd.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 121 (Key), 126.
a. $ juv. Lagari-Murda-Pass 28. VII (J6 10078).
b. $ juv.
ibd.
28. VII (B 10079).
Ich habe Gelegenlieit gehabt die mir vorliegenden
Exemplare mit Balgen dieser Art, welche von Rus-
sow gesammelt
und von Herrn Seebohm bestimmt
worden sind, zu vergleichen.
Bei beiden Exemplaren fangen auf der Brust Fe-
derkiele an sich zu zeigen und die frischen, aber
nicht mausernden, Scliwingen und Steuerfedern wei-
sen darauf bin, dass wir es mit jungen Exemplaren,
die ihr Nestkleid vermausern, zu thun liaben.
28. Herbivocula neglecta (Hume).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 121 (Key), 131;
a. adit. Lagari-Murda-Pass 26. VII (J& 10080).
Dieses Exemplar habe ich ebenfalls mit Balgen aus
der Russow'schen Sammlung, welche von Herrn See-
bohm bestimmt worden sind, verglichen.
Einige Scliwingen und das Kleingefieder mausem
sehr stark, wahrend die Steuerfedern schon ausgemau-
I
sert haben.
Diese Art wurde schon fruher am Iskander-Kul
(6. VIII) von Russow gesammelt. Unsere Kenntniss
der geographischen Verbreitung dieser Art westlich
von Turkestan, wo sie zweifelsohne als Brutvogel vor-
kommt, ist in letzter Zeit durch die Funde von Za-
rudno'i 9) und Lorenz 10) sehr wesentlich erAveitert
worden. Ersterer hat sie auf dem Kopepet-Dagh er-
boutet und ich besitze einen Balg yon ihm aus den
Bergen der Umgegend von Aschabad, wahrend Herr
Lorenz dieselbe fur den nordlichen Caucasus nach-
gewiesen hat.
29. Acanthopneuste nitida (Blyth),
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 39 (Key), 43.
a. (6) adit, Dscham 28. Ill (JV» 10113). .
Das mir vorliegende Exemplar in ziemlich frischem
Gefieder stimmt vollstandig mit einem Balge meiner
Sammlung, welchen Herr Zarudnoi im Juli bei Ascha-
bad erbeutet hat, iiberein.
Die Verbreitung dieser Art im Westen scheint mit
derjenigen der vorigen Art zusammen zu fallen; we-
nigstens theilt Herr Mcnzbier11) mit, dass Herr Lo-
renz im Fruhjahre 1885 A. nitida im nordwestlichen
Caucasus gefunden habe.
■
30. Acanthopneuste viridana (Blyth).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 39 (Key), 44; Henderson
u. Hume, Lahore to Yarkand, pi. XIX.
a. 8 adit. Tuptschek 28. VI (J\S 10114).
Unser Exemplar, welches ein nur wenig abgestos-
scnes Kleid tragt, habe ich mit Exemplaren dieser Art
aus der Russow'schen Sammlung verglichen; die letz-
teren waren von Herrn Seebohm bestimmt.
Cat
31. Iduna languida (H. u. Ehr.).
Brit. Mus., V, pp. 76 (Key), 80:
B. Eur., II, tab. 83.
D
$ adit. Baldschuan
V (M 10084)
Durch Ver
s
dieses Exempl
iiberhaupt
aller Iduna unserer Sammlung, mit Russow'schen
9) Ois. de la contr. Trans-Caspienne, p. 40. Sep. Abdr. aus Bull.
Soc. Nat. Mosc. 1885, .\j 2.
10) Ibidem, Anmerkung von M. Menzbier.
11) Zarudnoi, 1. c, p. 40, Anmerkung.
357
des Sciences de Main* - Pctersbourg.
:I5S
Exemplaren, vvelche durch Herm Scebolnn's Hande
gegangen sind, konnte ich meine Bestimmung einer
Controlle untenverfen. Diese Art und Iduna olivetorum
besitzen eine Abortivschwinge, welche ktirzer oder urn
hochstens 0,05" grosser als die grossen Flugeldeck-
federn ist, docli ist die Form dieser Schwinge eine von
den Acrocephalus-Arten vollstandig verschiedene, was
auch die Moglichkeit giebt, diese beiden Species von
den Arten der letzteren Gattung zu unterschciden.
Das Exemplar ist in abgetragenem Kleide.
Der
Flugel misst 77,0, der Sclrwanz 6,50 mm.; Reiheniblge
der Scliwingen 3>4>5>2>6>7.
c. $ adit. Dschidda-llach. Flnss
d. 6 adit.
Kafirnagan
Haljan
10. V.
22. V i.V 10082)
32. Iduna pallida (H. u. Ehr.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 76 (Key); 82; Dresser
B.Eur., II, tab. 80, fig. 1.
a. 6 adit. Kara-Kuss, Engpass im
?
Baba-dagh 6.V (.V; 10081).
b, 6 adit.
Ak-Metschet
s.V.
Auch diese Art lialte ich mit Exemplaren aus der
Russow'schen Bammlung, welche von HerrnSeebohm
bestimmt und von Urn. Th. Pleske mir freundlichst
zur Untersuchuug iiberlassen worden sind, zn ver-
gleichen Gelegenhcit gehabt. An alien diesen Exem-
plaren, so wie auch* an den Balgen, die von Herrn Za-
rudnoi gesammelt worden sind und theilweise sich
jetzt in meincr Sammlung bctinden, konnte ich mich
uberzeugen, dass in den meisten Fallen (bei 1 1 Exem-
plaren an 10) die zweite Schwinge in der Grosse zwi-
schen cfer 6. und 7. steht und nur bei einem Balge fand
ich dieselbe um ein Geringes kleiner als die 6. Schwinge.
Das Vcrhaltniss der Scliwingen ist also grosstentheils
dasjenige der Idun<t caliyata und nur beim Verhiilt-
niss 5 > 2 > 6 kann man diese Art mit Iduna Ian-
guida und Iduna opaca (nach Schwingenforniel) ver-
Tabelle der Naasse mid Schwiiigcnverhaltnissf
von Iduna languida, pallida, caligata und rama.
A
Iduna:
Gesammelt
von:
Coll. von:
Fittig- Schwanz-
liinge. I lange.
Keihenfolge «lei Scliwingen.
i
languida
do.
pallida
do.
do.
do.
do.
do.
do.
do.
do.
do.
do.
do.(juv.)
do.
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16 caligata
17
is
19
20
do.
rama
do.
• do.
a
240
a
b
c
d
416
420
375
481
417
318
419
1339
1345
a
717
489
426
427
Grum-Grz.
Russow
Grum-Grz.
id.
id.
id.
Russow
id.
id.
id.
id.
id.
id.
Zarudnoi
id.
Grum-Grz.
Russow
id.
id.
id.
Acad.Petr
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
mm.
77,0
76,0
66,0
67,0
67,0
68,0
69,0
65,5
68,0
67,0
68,0
66,0
66,0
mm.
65,0
67,0
55,0
56,0
56,0
57,0
60,0
60,0
57,0
59,0
56,0
defect.
3>4>5>2>6>7>8
3
4>5>2>6>7>8
4 fast
3>5>6>7
2>8
4
4
4
4
4
4
4
4
4
»
»
»
3
3>5>6>2>7>8
3>5>6>2>7>8
3>5>6>2=7>8
5>2fast=6>7>8
3>5>6>2>7>8
3>5>6>2>7>8
3>5>6>2>7>8
3>5>6>2>7>8
3>5>6>2>7>8
Bianchi 61,0
,5,0 4=3>5>6>2>7>8
ibd.
AcaclPetr. 60,0
66,0
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
60,05
60,0
58,5
62,0
52,0
54,0
50,0
50x0
55,0
50,0
55,0
4
4
1
4
3
3
3
7>8
3>5>6>2>7>8
3>5>6>2>7>8
3>5>6>2
3>5>6>2>7>8
4
4
4
5>6>7>2>8>9
5>6>7>2>8>9
5>6>7>8>2>9
wechseln. Docli
die erstere durch die auffallende
Kurze ihrer Abortivschwinge sen
Tome XXXI.
wahrend sich die letztere durch ihren stark platt-
gedruckten Schnabel und ihre Verbreitung (Sud-
24
3.5!>
Kill let in fie IMcadtfinle Imperial**
360
Spanien , Nordwest- und West-Africa) von unserer
Ait geniigend unterscheidet. Beira Schwingeuverhalt-
niss 5 > 6 > 2 > 7 kann man Id. pallida, nur mit
Id. caligata verwechseln, doch ist diese letztere klei-
ner, als die erstere Art: bei Id. caligata ist die Flii-
gcllange immer kurzer, als 61,0 mm. (2,4 )t wahrend
bei pallida dieselbe dieses Maass immer iibersteigt.
Iduna rama endlich,hat ein sehr charakteristischesVer-
Lltniss der Schwingen , und zwa* ist die zweite klei-
ir als die 7. oder sogar als die 8.
Alle Exemplare sind in mehr oder weniger abge-
h
•D
Kleide
33. Iduna caligata (Licht.).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 77 (Key), 85; Dresser,
B. Eur., II, tab. 84.
a. 6 adit. Lagari-Murda-Pass 28. VII (Jfe 10083).
Dieses Exemplar, welches ein stark abgestossenes
Gefieder tragt, hat noch nicht zu mausern begonnen.
34. Aedon galactodes familiaris (Menetr.).
pollicaris, remigum 2-da.quam 5-ta aut 6-ta minor cv-
rostro longiore , pedibus gracilioribus. C. turdoides dif-
fert, statura majore, remigum 2-da et 3-tia longis-
simis, pedibus validioribus, longioribus, rostro breviore
et paulo altiore».
36. Acrocephalus dumetorum. Blyth.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 89 (Key), 104; Dresser,
B. Eur., II, tab. 86, fig. 2.
a. S adit. Kara-Kuss im Baba-dagh 6. V.
b. S adit.
c. 5 adit.
Ak-Metschet
Obi-Garm
8.V(J\Tsl0086).
11. VII.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), 36; Dresser, B. f sdn
d. 8 adit. Lagari-Murda-Pass 27. VII.
Ich habe die mir vorliegenden Exemplare mit Biil-
gen dieser Art aus Turkestan (Russow), aus Achal-
Teke (Zarudnoi), aus Nord-Persien (Nikolski) und
aus dem Petersburger- und Twerschen Gouvernement
(Bianchi) verglichen und unter ihnen keine Unter-
■
schiede auffinden konnen.
Das Kleid der Exemplare a und b ist nur wenig
abgetragen, dasjenige der Exemplare c und c^jedoch
schon sehr stark abgestossen ohne der Mauser unter-
Eur., II, tab. 82 fig. 2.
a. & adit. Ak-Kurgan 21. IV.
b. 5 adit. Kokaity-Kurgan 24. IV.
Diese- Bulge tragen ein nur wenig abgestossenes
Kleid.
37. Accentor altaicus, Brandt.
Cat. B. Brit. Mus., VII, pp. 649 (Key), 660; Gould,
B. Asia, IV, pi. 49.
a. 6 adit. Sagry-Dascht-Pass, Fluss
35. Acrocephalus stentoreus (H. u. Ehr.).
b. $ adit
Chumbou, 10,000' 14. VI.
ibd.
ibd.
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 88 (Key) 98; Stafford k 2 adit.
Allen, Ibis, 1804, pi. I; Henderson a. Hume, Lah. d. 2 adit. Sagri-Dascht, Fl. Bid
14. VMM 10090)
14. VI.
to Yark., tab. XVI (A. brunnescens) .
a. $ adit. Kokaity-Kurgan 25. IV (J\» 10085)
$ adit
Abdschabar 18. VI (A
ibd
8. VI
b. S adit.
c. $ adit.
Baljan
ibd.
21. V.
21. V.
f. $ adit. Cliysch-Kuljak-Pass
Bei alien drei Balgen ist die zweite Schwinge kiir-
zer als die 5. und sind die Beine dunkel geflirbt; die
Lansre des Flugels betraat bei a—
g. $ adit
Die ii
fiber 10,000' 3.VII(JVs
ibd
VI I ($10088)
3,52", bei b— 3,49
Juli erlegten Exemplare haben noch
i begonnen.
und bei c — 3,47 . Daher spreche ich meine Exem-
plare als zu dieser Art gehorig an und sehe das Ver-
haltniss der Schwingen als bestes Merkmal fiir dieselbe
an. Hemprich und Ehrenberg haben diese Art auf
folgende Weise diagnostisirt : «Habitu et colore Our-
ritcae{Sghiae)tuydoidisimi\\imdi, sed paulo inferior, sex-
38. Tichodroma muraria (Linn.).
Dresser, B. Eur., Ill, tab. 123.
a. ($>)juv. Sagri-Dascht-Pass 13. VI
Das Exemplar tragt das Nestkleid.
12) Die Cursivschiit't gekurt mir an.
301
des Sciences dv Saint -P^tersbourg
36»
39. Myiophoneus Temminckii. Vigors.
Cat. B. Brit. Mus., VII, pp. 6 (Key), 7; Gould, Cent.
a. 2 adit
b. $ juv.
c
$ adit
d. $ juv.
e. S adit.
$ adit.
/«. $ juv.
Him. B., pi. 21..
Karnak
Fluss Sagri-Dascht
Ischtiun
. ibd.
Lairan
ibd.
ibd.
Nosany
7. VI.
19. VI.
23. VI.
23. VI.
24. VI.
24. VI.
24. VI.
25. VI.
i. $ juv. Nordl. Abhang Peter's I-Ge-
birge, Fl. Sinde-Kul 4.VII.
Obi-Garm
1 1 .VII.
j. $ juv.
Die alten Exemplare sind in einem abgetragencn
Kleide, die Jungen im Nestkleide; sogar das am 11.
Juli erlegte Junge hat mit der Mauser nocb nicht be-
gonnen; bei dem am 19. Juni geschossencn ist der
Schwanz sclion vollstiindig ausgewach'sen.
40. Trochalopterum lineatum (Vigors).
Cat. B. Brit. Mus.
5
pp. 356 (Key), 377; Hen-
derson a. Hume, Lahore to Yarkand, tab. VIII.
I
a. $ adit. Fluss Sang-Girdan 21. VII (J6 10091).
6.(9) juv.
c(2) juv.
ibd.
ibd.
21.VII($ 10092)
21. VII.
Die Enden der Steuerfedern sind bei dem von Hen-
derson und Hume abgebildeten Vogel grauweiss; bei
unseren jungen Exemplareu sind dieselben jedoch dun-
kelaschgrau und beim Weibchen hellaschgrau gefiirbt.
Das Gefieder des Weibchens , welches noch nicht zu
mausern begonnen hat, ist vollstandig abgestossen;
die Jungen tragen das frische Nestkleid.
Schon fruher ist diese Art fiir den gebirgigen Theil
Buchara's von Russow, welcher sie am 9. October am
Fusse des Baussun-Tau (Eisernes Thor) erlegte, nach-
gevviesen. Dieser Fundort bildet, so viel mir bekannt
ist, den nord-ostlichsten Punkt der Verhreitung die-
ser Art; die mir vorliegenden Exemplare sind mehr
ostlich, im Gissar, erbeutet. Sowohl im Norden, im
russischen Turkestan, als audi im Osten, auf dem
Pamir, kommt I. lineatum schon nicht mehr vor. Bis
nach Buchara verbreitet sich also diese himalayanische
Art aller Wahrscheinlichkeit nach tiber den uner-
forschten Badakschan und Hindukusch. In Gilgit and
weiter nach Siidosten, auf alien GebirgazUgen des Hi-
malaya-Systems, kommt sie, wie es sclicint, iiberall
als Standvogel vor.
41. Microcichla Scouleri (Vigors).
Cat. B. Brit. Mus., IX, pp. 312 (Key of Genera),
p. 322; Gould, B. Asia, IV, tab. 71.
a. $ adit. Kischlak Sagri-Dascht 13. VI (.V- 10093).
b.
juv. Fluss Sang-Girdan
22.VII(J\° 10091).
manche weisse Brustfedero tragen
Die Federn des ervvachsenen Exemplars (a) siml
ziemlich abgestossen ; das Junge triigt dasjenige Kleid,
in welchem diese Art als H. atriceps beschrieben
wurde und ist bei ihm die ganze Oberseiti1 des Kop-
fes schwarz, die Unterseite. vom Schnabel bis zum
Schwanz weiss,
dunkle Enden.
Seebohm (Ibis 1882, p. 423) erhielt ein Exem-
plar dieser Art aus Samarkand; unser junges Exemplar
ist in Gissar (Provinz), das alte in Darwas erbeutet;
weiter sudostlich ist M'. Scouleri von Scully in Gil-
git gefunden worden. Auf diese Weise, hat diese hi-
malayanische Art in Ost- Buchara ungefahr dieselbe
Verbreitung, wie Trochalopterum lineatum.
42. Aegithalus coronatus, Severtzow.
Aegithalus coronatus, Severtzow, Turkest. Zevotn.
p. 136, tab. IX, fig. 3.
Aegithalus atricapillus , id., ibd. p. 137, tab. IX.
fig. 4 und 5.
a. $ adit. Karnak 8. VI (J£ 10095).
b. ($) juv. Nossany 25. VI [M 10096).
c. (?) juv.
ibd.
25. VI.
d.(9) juv. Obi-Garm 11. VII.
e. juv.
(9) juv.
9- juv.
h. juv.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
12. VII (As 10097).
12. VII.
12. VII ($10098).
12. VII.
Die jungen Exemplare im Nestkleide sind der Fig. 5
bei Severtzow sehr ahnlich. Doch sind mir die un-
terscheidenden Charaktere der jungen A. coronatus,
wenn solche iiberhaupt vorhanden sind, nicht bekannt
und kann
daher fiir die Richtiekeit der
&
niimg niclit einstehen.
24*
363
Bulletin <1e I'Acad^niie Imp^riale
364
43. Parus cinereus bocchariensis. Lie lit.
Seebohm, Hist. Brit. Birds. I, p. 463.
a. S adit. Kabadian 14. V ($ 10099).
b. S adit.
c. S adit.
d. ($) juv.
ibd.
ib (1 .
ibd.
14. V.
14. V.
14. V.
Allor Wahrscheinlichkeit nach gehoren meine
Exemplare zu diescr Form und nicht zu P. cinereus,
Vieill.
Die Exemplare a, b und c zeigen
ein abgetra-
genes Kleid und hat bei ihnen die Mauser noch nicht
to
begonnen; das junge Exemplar d tragt das Nestkleid.
Beim letzteren ist der Kopf sclivvarzbraun ohne me-
tallischen Glanz; der schwarzbraune Kehlfleck und der
Streifen, welcher nur bis zur Mitte der Unterseite
geht, sind viel schmaler als bei alten Exemplaren, bei
welchen der Streifen sich bis auf den Bauch erstreekt.
44. Cyanistes flavipectus, Severtzow.
Severtzow, Turkest. Zevotn. p. 133, tab. VIII, %. 7;
M en z bier, Bull. Soc. Z.France, tome IX, 1884, p. 278.
a. $ adit.
Karnak
7. VI.
b. $ juv. Lagari-Murda-Pass 25. VII (J\ls 10118).
Das Federkleid des alten Exemplars (a) ist stark
abgestossen, aber noch ohne Anzeichen von Mauser;
das Junge tragt das Nestkleid, doch zeigen sich auf
der Brust schon neue Kiele.
Die Fundorte dieser zwei Exemplare in Gissar und
Darwas erweitern etwas den Verbreitungsbezirk die-
ser Art nach Stiden.
-
Da eine ausfuhrliche Beschreibung der Jungen von
G. flavipectus nicht existirt, so habe ich eine solche
nach dem mir vorliegenden Balge abgefasst.
Stirn und seitliche Scheitelstreifen blass fahlgelb:
Scheitel hellschieferfarben ; Wangen, Kinn, Kehle,
Ohrgegend und Halsseiten von blasser fahlgelber Far-
bung; auf dem Kinn und der Kehle steht ein ziemlich
deutlich prononcirter Fleck, welcher von dem dunklen
durchscheinenden Basaltheile der Federn gebildet
wird; von der Halsoberseite erstreekt sich jederseits
auf die Halsseiten ein schmaler, langer braunlich-
grauer Streifen, welcher jedoch mit dem dunklen Kehl-
fleck nicht zusammenfallt. Auf dem oberen Theile des
Kuckens steht ein verwaschener matter Fleck. Mittel-
riicken und Schulterfedern sind hellbraunlich mit Bei-
mischung von Gelb; Hinterrucken und Burzelgegend
derMittelriicken mit blaulich
&
mischung; Oberschwanzdeckfedern noch heller. Brust,
fahlgelber
b
Bauch und Unterschwanzdeckfedern von
Farbung. Kleine Fltigeldeckfedern von der Farbung
des Ruckens; grosse Fltigeldeckfedern dunkelblau mit
c. 7 mm. breiten gelblichweissen Enden. Die Aussen-
fahne der Handschwingen (mit Ausnahme der ersten,
deren Aussenfahne durchgangig weiss ist) im Basaltheile
ultramarinblau . im Endtheile weiss;
weiss; die Innenfahnen
derselben grau mit einem weissen Saume an der Basis.
Die Armschwingen sind auf ihrer Aussenfahne ultra-
arinblau
5
f ihrer
Seite
Innenfahne grau gefiirbt mit
Die Enden der Armschwingen
sind in einer Breite von 2 mm. weiss; die zwei ilusser-
sten Armschwingen besitzen ein grosseres weisses
Ende, wobei die weisse Farbuno; auf der Innenfahne
j
o
einen breiteren Endsaum , als auf der Aussenfahne
r
bildet 13). Die ausserste Steuerfeder ist langs der
ganzen Aussenfahne und auf der Innenfahne bis zur
Halfte weiss, die folgende jederseits ist auf der Aus-
senseite bis zur
Mitte weiss gefarbt
und auf ihrer
Innenfahne steht nur auf dem Endtheile ein grosser
weisser Keilfleck; auf der dritten Steuerfeder ist end-
lich auf der Endhalfte nur ein unregelmassiger weisser
Fleck zu sehen. Alle ubrigen Schwanzfedern sind ul-
tramarinblau, am Schafttheile dunkler gefiirbt.
45. Uphophanes rufonuchalis (Blyth).
Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 4 (Key), 29; Gould, B
Asia, II, pi. 60.
a. £ adit. Sarym-Sakli 23. VII.
b. $ adit.
c. $ adit.
d. $ adit. I
e. 6 adit.
$ adit.
g. $ juv.
h. 2 adit.
i. $ adit.
k. 2 juv.
ibd.
ibd.
23. VII.
23. VII.
jagari-Murda-Pass 25. VII.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
25. VII.
25. VII.
25. VII.
25. VII.
26. VII.
26. VII.
13) Durch diesen letzteren Umstand unterschcidot sich uuser
Vogel von alien anderen Cyanistes- Arten, mit Ausnahme von C.cyo-
nns und C. tianschanicits , welche ihrerseits von C. flavipectus in
der Farbung des Hcbwanzes abweichen.
#
365
des Sciences de Saint - Petersfoourg.
30(i
Z. 9 adit. Lagari-Murda-Pass 27. VII.
m. $ adit,
w. $ adit.
ibd.
ibd.
28. VII.
29. VII.
Unter den mir vorliegenden Exemplaren fand sicb
L. Beavani, Blyth nicht vor. Die Lange des Fliigels
variirt zwischen 2,8 und 3jl.
Das junge Exemplar g tragt noch zieralich viele
schwarzbraune Federn des Nestkleides auf dem vor-
deren Theile der Unterseite und namentlich auf dem
Kopf, wo iibrigens audi schon einige Federn mit me-
tallischem Glanz aufgetreten sind. Beim Exemplar h
sind nur noch wenige Federn des Nestkleides auf dem
Kopf stehen geblieben. Die alten Exemplare m und n
sind schon beinahe ganz vermausert, wahrend all<
anderen sich noch in voller Mauser befinden.
46. Sitta syriaca, Ehrenb.
Cat. B. Brit. Mus., VIII, pp. 341 (Key), 346.
a. $ adit. Tengi-Charam 11. IV.
b. $ adit. Sser-ob
15. IV.
Ich halte die mir vorliegenden Spechtmeisen, welche
beide im abgetragenen Kleide sind, fur diese Art, da
bei ihnen die Flugellange 3,45" und 3,26" betragt,
wahrend dieselbe bei S. Neumayeri immer kleiner als
3,00" ist. So muss ich z. B. fur letztere Art eine von
Herrn Nikolski in Nord-Persien erbeutete Specht-
meise ansprechen, da ich bei ihr eine Flijgellange von
n
nur 2,87" gefunden habe.
47. Motacilla alba, Linn.
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 458 (Key), 407; Dresser,
B. Eur.. Ill, tab. 125, fig. 1; Gould, B. Asia, IV,
tab. 62 (M. duklimensis).
a. $ adit. Weg von Karschi nach Gusar 7. IV (J\fs 1011 5).
Ich kann nicht mit Gewissheit behaupten, dass un-
ser Exemplar nicht vielleicht M. duldiunensis ist, da
ich die letztere nicht zu unterscheiden verstehe. Mei-
ner Ansicht nach kann weder die Grosse, noch die Far-
bung der Oberseite (bei unserem Exemplar ist sie dun-
kelgrau), noch diegelbliche Farbung der Gesiclitsthcil
(bei Jungen) Anhaltspunkte zur Unterscheidung diese
beiden Formen liefern.
Der Balg ist im Sommerkleide,
e
48. Motacilla personata. Gould.
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 458 (Key), 479. tab. V,
fig. 3; Gould, B. Asia, IV, tab. 63.
a. & adit. Baldschuan 30. V.
Das Exemplar trilgt das Sommcrkleid.
49. Calobates melanope (Pall.).
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 459 (Key), 497; Dresser,
B. Eur., Ill, tab. 128.
a. 6 adit. Kischlak Sagri-Dascht 13. VI.
Sharpe (Cat. B. Brit. Mus., X, p. 459 (Key)) ftthrt
den viel grelleren Ton der gelben Farbung auf den
Unterschwanzdeckfedern im Verhaltniss zu der Far-
bung der iibrigen Unterseite als Merkmal fur diese
Art an. Mir scheint jedoch der Contrast in der Far-
bung zwischen dem gelben Biirzel und den Oberschwanz-
deckfedern und dem grauen Riicken ein viel besseres
Merkmal zu bieten umsomehr, da bei den Arten der
Untergattung Budntes die Oberschwanzdeckfedern niit
dem Rucken in der Farbe beinahe iibereinstimmen.
Unser Exemplar triigt das Sommerkleid.
50. Budytes citreola (Pall.).
Cat. B. Brit. Mus., V. pp. 459 (Key), 503; Dresser,
B. Eur., Ill, tab. 127.
a. $ adit. Karschi 3. IV.
h. $ adit,
c. 2 adit.
ibd.
ibd.
3. IV.
3. IV.
Beide Mannchcn unterscheiden sich von der Dres-
ser'schen Abbildung dadurch, dass bei ihnen der weiss-
lich-gelblichen
Farbung am Hinterkopfe sehr viel
Grauschwarz beigemischt ist. Auf dem Halse und dem
oberen Theile des Ruckens steht ein breiter schwarzer
Kragen, weiter nach hinten ist der Rucken dunkelgrau.
51. Budytes flava (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 459 (Key), 516, tab. VI.
fig. 5.
a. $ adit. Jange 7. IV (As 10100).
Dieses Exemplar ist der Fig. 5 auf der citirten Ta-
fel hochst iilmlich und kann nicht als B. bcema an-
gesprochen werden, da bei ihm die Ohrfedern und die
Gesichtstheile nicht wei slich gefiirbt sind.
IN
367
Bulletin de I'lcademie Imperial**
36**
52. Budytes melanocephala (Licht.).
Cat. B. Brit. Mus.. X, pp. 459 (Key), 527, tab. VIII,
fig. 3 (M. Feldeggi); Dresser, B. Eur., Ill, tab. 130.
a. $ adit. Karschi 3. IV.
Unser Balg stimmt mit Fig. 3 (1. c.) vollstandig
iiberein; das Kinn ist weiss, die schwarze Farbung
des Kopfes geht etwas auf den Hals, auf welchem
iibrigens die grime Farbung vorwaltet, iiber. -
etwas grosser und variirt bei ihr die Fittiglange zwi-
schen 3,6 und 3,3 und der Schwanz von 2,85 bis 2,55;
bei A. Blakistoni: Fitt. 3,4—3,1", Schw. 2,65
2,45".
Unser Exemplar tragt ein stark abgestossenes Som-
merkleid.
55. Oriolus kundoo, Sykes.
/
53. Anthus arboreus, Bechst.
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 535 (Key), 543 (A. trivialis);
Dresser, B. Eur., Ill, tab. 132, fig. 2.
a. 8 adit. Dscham 28. III.
b. S adit.
c. adit.
ibd.
Gusar
28. III.
10. IV.
d. 6 adit. Tuptschek 28. VI.
e. <3 adit.
■
$ adit.
ibd.
ibd.
30. VI (JIB 10101).
30. VI.
Da den mir vorliegenden Exemplaren der oliven-
griine Ton in der Farbung, welcher fur Anthus ma-
Cat. B. Brit. Mus., Ill, p. 189 (Key), 194; Hen-
derson and Hume, Lah. to Yark. pi. XI.
-
a. $ adit. Schir-Abad 17. IV.
b. $ adit. Kum- Kurgan 22. IV.
c. 2 adit
ibd.
22. IV.
culatus so charakteristisch ist,
vollstandig
felilt, so
sehe ich dieselben als zur westlichen Art geliorig an.
b
&
Das Kleid der Exemplare a und b ist nur wenig ab-
getragen und dem Herbstkleide dieser Art sehr ahn-
lich, dasjenige des Balges c ist schon viel mebr
abgenutzt; die Exemplare d und f tragen ein stark
abgestossenes Sommerkleid, baben jedoch noch nicht
zu mausern begonnen.
d. $ adit. Kurgan-Tjube 17. V.
e. $ adit. Baldscliuan 30. V.
Beim Exemplar c steht ein kleiner schwarzer Fleck
an der Basis der Aussenfahne der aussersten Steuer-
feder; beim Exemplar a sind an der Basis derselben
Feder nur die Schafte schwarz. Bei diesem letzten
Exemplar ist auch die schwarze Farbung hinter dem
Auge viel starker ausgesprochen als beim Exemplar b,
bei welchem auf den Steuerfedern das Schwarz voll-
standig fehlt.
•
56. Lanius minor, Gm.
Cat. B.Brit.Mus.,VIII,pp.232(Key),235; D
B. Eur.. Ill, tab
54. Anthus spinoletta Blakistoni, Swinhoe.
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 537 (Key), 592 (A. spi-
noletta, p. 595 — Blakistoni); Severtzow, Ibis 1883,
p. 62 (A. Goutelli).
a. $ adit. Sagri-Dascht-Pass, Fluss
a. $ adit.
Tengi-Charam
11. IV.
b. £ adit. Kara-Kuss (Engpass im Baba^dagh) 5. V
c. $ adit.
d. $ adit.
Chumbou, 10,000' 14.VI(^ 10119).
Unser Balg passt nach der Severtzow'schen Ta-
. c), in welcher iibrigens Anthus Blakistoni
belle
unter dem specifischen Namen A. Goutelli angefuhrt
wird, nach der Mehrzahl der Merkmale, wenn auch
nicht nach alien, eher zu dieser Form. Die Lunge des
Flugels betriigt bei unserem Exemplar 3,13", dieje-
nige des Schwanzes 2,55"; nach See b ohm (cit. im
Cat. ut supra p. 595) ist die westliche A. spinoletta
Baldscliuan
Lairan
Lagari- Murda-Pass
30. V.
24. VI.
27. VII
e. $ juv.
Die Exemplare a und b tragen ein prachtvolles,
vollstandig frisches Kleid, welches beim Balge c schon
etwas abgetragen erscheint. Am PIxemplar d zeigen
sich auf der Brust schon Kiele, wiihrend e noch im
Nestkleide ist.
5/. Otomela Romanowi, Bogd.
>
Bogdanow,Russ.Lan.,p. 14, tab.l,fig. 2; Dresser,
B. Eur., Ill, tab. 152 (L. isabellinus) .
a. $ adit.
Tengi-Charam
11. IV.
b. $ adlt.Tschaschma-Chafisdschanl2. IV.
c.
$ adit.
Ak-Kurgan
21. IV.
36!>
clcs Sciences tic Saint- l*€;<€»r*l>ourg.
370
d. $ adit.
e. 6 adit. .
f. $ adit.
g. 6 juv.
Tabi-dara
ibd.
ibd.
Sarym-Sakli
9. VI.
10. VI.
10. VI.
23. VII.
Alle Balge tragen ein nur wcnig abgeti
Kleid. Die Farbung der im
beutcten Kxcm
bei Junibal
58. Collurio erythronotus, Vigors.
-
Cat. B. Brit. Mus., VIII, pp. 234 (Key), 263; Gould,
Cent. Him. B., pi. 12, fig. 2.
a. $ adit. Tschaschma-Chafisdsclian 12. IV.
b. $ adit.
Schur-ab
13. IV
Die Exemplare sind im etwas abgestossenen Kleide.
59. Butalis grisola (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 150 (Key), 151; Dresser,
B. Eur., Ill, tab. 156.
a. $ adit. Karnak 8. VI.
In etwas abgestossenem Gefieder.
60. Erythrosterna parva (Bechst.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 151 (Key), 161; Dres-
ser, B. Eur., Ill, tab. 159.
a. 2 adit. Schir-Abad. 18. IV.
In etwas abgestossenem Gefieder.
61. Terpsiphone paradisi (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., IV, p. 344—346 (Key), 347—
348, obs.; Gould, B. Asia, II, tab. 1 8, fig. super, dextr.
a. 2 adit.
b. S imm., 3,a veste } Ost-Buchara, Dr. Regel.
c. 8 imm., 3ia veste)
Herr Dr
b
sandte in's Zoologische Mu
scum der Akademie drei Exemplare dieser Art, leidei
ohne naheren Fundort und Datum der Erbeutung, ein
Zwei von diesen Balgen sind Mannchen im 3. Kleide
wie dasselbe Sharpe annimmt; in diesem Kleide isi
der Schwanz sehr lang und rostfarben und die Schwin-
gen schwarz mit weissem Saume auf der Anssenfahne.
Bekanntlich ist diese Art schon von Dr. Severtzov
und V. Russow fiir das
Turkestan nach-
gewiesen und erstreckt sich demnach der Verbrei-
tnngsbezirk derselboii, so wie auch von M. Tcmmmdd,
weiter nach Nordcn, als derjenige von einigen andern
Himalaya- Arten , wie z. B. M. Scolder i, Trockaiopte-
rum lineatum, etc.
62. Lilliarufula(Tcmn).).
Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 125 (Key), 156; Dresser,
B. Eur., Ill, tab. 161.
a. & adit. Dschidda-Kach, am PI. Kahrnagan 10. V.
63. Carduelis caniceps. Vigors.
Carduelis caniceps Vigors, P. Z. S. 1831, p. 23;
Gould, Cent. Him. 1>., pi. 33, fig. 1.
Carduelis orientalis Kversmann, Add. Z. R.-As.,
II, p. 16, tab. 9; Gould, B. Asia, V, tab. 17.
a. $ adit.
b. 2 adit.
Karatag
ibd.
3.V.
3.V.
c. 6 adit. Kara-Kuss, Engpass im
£*.(<$) juv.
Baba-dagb 6.V.
Obi-Garm
11. VII (.V 10123).
Die Farbung aller Exemplare ist sehr blass und ge-
horen sie daber zu derjenigen Form, welcher Gould
den Namen G. orientalis Eversm. beilegen wollte.
Das junge Exemplar unterscheidet sich von den
jungen G. elegans durch dieselben Kennzeichen am
Schwanze, wie die Alten. Bei G. elegans steht nam-
■
lich auf der Innenfahne der aussersten Steuerfeder
Fleck
der Mitte der Feder
wahrend bei G. caniceps die ganze Innenfahne bis an
die Basis der Feder mit Ausnahme nur eines dunkkn
ftndsaumes weiss gefiirbt ist.
Die Exemplare a, b, c tragen ein ziemlich abge-
stossencs Kleid, das Exemplar d — das Nestkleid ohne
Anzeichen von Mauser.
64. Oraegithus pusillus (Pall.).
Pallas, Z. R.-As., II, p. 18; Dresser, B. Eur., Ill
a. 6 adit.
tab. 173.
Fluss Chingob
11. VI.
b. 6 adit. Sagri-Dascht-Pass, 10,000' 14. VI.
30. VI.
c. $ adit*.
<l. $ adit.
e. 2 adit.
Tuptschek
Lagari-Murda-Pass
ibd.
26. VII.
26.VII.
Das Exemplar d hat mit der Mauser bereits be-
gonnen und zeigen sich bei ihm auf der Brust Kiele
371
Bulletin de I* Icademio Imperial*'
372
der neuen Federu; das Weibchen (e) welches mit dem lis (L.) schwer nachzuweiseu sind, mit Ausnahme, tibri-
eben besprochenen Excmplare an einem Tage erlegt gens, der Schnabelliinge, die an unseremBalg 15,5 mm.
worden ist, hat noch nicht zu mausern angefangen.
65. Mycerobas carneipes (Hodgs.).
Hodgson, J. As. Soc. Bong., 1844, vol. XIII, pt. II,
p. 950; Asiat. Reas., XIX, p. 150 (1836); Gould,
B. Asia, V, tab. 21.
a. 6 adit. Lagari-Murda-Pass 29. VII.
b. 2 adit.
ibd.
29. VII.
Die Exemplare sind noch nicht der Mauser unter-
worfen.
i
66. Passer hispaniolensis, Terara.
Dresser, B. Europe, III, tab. 177
a. 2 adit.
Schir-abad
18, IV
b. S adit. Kaptugai, Kum-Kurgan 22. IV
c. 2 adit.
ibd.
22. IV
In einem nur wenig abgetragenen Kleide.
67. Petronia stulta (Brisson).
Dresser, B, Eur., Ill, tab. 180, fig. 2.
a. 6 adit. (?) Lailjakan 16. IV.
b. pull.
c- 2
ibd.
16. IV.
Sarym-Sakli 23. VII.
Das Exemplar a ist im abgetragenen Kleide; das
mit c bezeichnete hat zu mausern begonnen und stehen
bei ihm auf der Brust schon Kiele. Das junge Exem-
plar tragt das Nestkleid.
Bei diesem letzteren hat der Schwanz kaum 3/4
der Normallange erreicht, so dass man annehmen darf,
dass es das Nest im ersten Drittel des April ver-
lassen hat. .
s
68. Montifringilla nivalis alpicola (Pall.).
Pallas, Z. R.-As., II, p. 20; Blanford, East. Persia,
II, p. 248; Radde, Ornis Caucasica, p. 171 — 172,
tab. VIII, fig. 2.
a. 2 adit. Sagri-Dascht-Pass,
Fluss Chumbou 14, VI ($10102).
Leider ist unser Exemplar ein Weibchen, wesshalb
an demselben die charakteristischen Merkmale dieser
Ostlichen Form der im Westen verbreiteten M. nua-
betriigt, wall rend fur das Maimchcn von den europaischen
Alpen Radde eine solche von 12 mm. angiebt. Aus-
serdem tritt audi auf der grauen Grundfarbung des
Scheitels die braune Nuance ziemlich scharf hervor.
Das Exemplar zeigt ein recht abgetragenes Kleid.
69. Fringilla montifringilla, Linn.
Dresser, B. Eur., IV, tab. 184.
a. $ adit. Baldschuan, Fruhjahr 1884. Dr. A. Reg el.
Ein Exemplar dieser Art in einem nur wenig abge-
tragenen Kleide ist von Dr. Alb. Regel im Fruhlingc
1884, wahrscheinlich auf dem Zuge in Baldschuan
erbeutet worden.
70. Fringillauda altaica, Eversm.
Eversmann, Bull. Soc. Mosc. 1848, p. 219; Bp. et
Schl., Mon. Lox., pi. 47; Hume, Str. Feath., I, p. 43;
IX, p. 354 (F. sordida).
a. ($) adit. Fluss Chumbou 1 4. VI ($101 05).
b. $ adit, Sagri-Dascht-Pass 18. VI J6 10103).
Tuptschek 28. VI (JV» 10106)
ibd. 30.VI($ 10104)
c. 2 adit.
d. $ adit.
Synonyme dieser Art sind Passer pulverulentus, Se-
rtzow und Fringilla sordida, Stoliczka. Die Axil-
•federn sind weiss, wogegen bei Fringillauda nemo-
Vie
Hodgs. dieselben gelb gefarbt sind.
Exemplare sind in mehr oder weniger abg
em Kleide.
71. Cannabina cannabina bella (H. u. Ehr.).
m
Cabanis, Mus. Hein., I, p. 161; Bp. u. Schl. Mon.
Lox., pi. 49 (L. fringillirostris); Biddulph, Ibis 1881,
p. 87; BorAanoBT,, IIt. KaBK,, p. 65.
a. $ adit.
b. S adit.
c. $ adit.
d. 2 adit.
Tschaschma-Chafisdschau
Sser-ob'
Sagri-Dascht, 10,000'
ibd.
12. IV.
15. IV.
13. VI.
13. VI.
e. S adit. Nordl. Abhang Peter's I-Gebirge,
Fluss Kara-Saur 5. VII.
Obwohl man nicht umhin kann dieser ostlichen
Form unserer westlichen C. cannabina eine gewisse
Selbststandigkeit zuzuschreiben , so ist es dennoch
/
37;*
des* Sciences de Saiiit-lVtfcrslMHirg.
3M
recht schwierig die Unterscheidungsmerkmale anzu-
gcben. Weder die Grdsse des Spiegels (Biddulph),
uoch die Breite der Kanten auf den Schwingen und
den Steuerfedern , noch die Intcnsitat der rothen
Farbuug auf der Brust (Bogdanow), noch die Grdsse
des Schnabels und des Vogcls selbst liefern ein Cri-
terium fur dicse Art. Die jungen Vogel und die
Weibchen sind absolut nicht zn unterscheiden, und
wenn auch die Mannchen ein permanentes, wenn audi
recht feines Unterscheidungsnicrkmal besitzen, so
doch nur im ausgefarbten Sommerkleide. Dieses Mcrk-
mal besteht im Fehlen der schwarz-braunen Schaft-
flecken auf den Federn des Riickens, woraus die
einformig kastanien-braune Farbuug des letztercn
resultirt. In dieser Hinsicht gleichen die ostbuchari-
schen Balge den pcrsischen.
Was unsere Exemplare anbelangt, so nahern sich
die im April (a, b) erbeuteten in Fiirbung und Zeich-
nung des Riickens der gewohnlichen Form, nur sind
die Schaftflecken weniger scharf prononcirt; beim
Mannchen c, welches im Juni erlegt worden, sind nur
die Striche, die von den dunklen Schaftcn gcbildet
werden, nachgeblieben; beim Juli-Exemplar (e) endlich
sind aucli diese letztercn nicht mehr vorhanden.
73. Rhodopechys sanguinca (Gould).
Gould, P. Z. S. 1837, p. 127; id., B. Asut
tab. 28; Dresser, B. Kur., IV, tab. 107.
a. 6 adit. lNdrdlAbbang Peter's I- 5. VII (16 10107).
b. $ adit. (Gebirge, Fluss Kara-Saur 5. VI I (J& 1 0 108).
Die beiden Exemplare baben augenscheinlich zu
einem Paare gehort; ilir Gelieder ist abgctragen, aber
ohnc Anzeichcn von Mauser.
Unsere jetzige Kentniss iiber die Verbreitung die-
ses, wie es sclicint, iiberall seltenen Vogcls, deutet
darauf bin, dass zwei separate Verbreitungsbezirke
desselben bekannt sind: der cine reicht von Pal&stina
(Libanon) und Arabien bis nach Nordpersien (Elburs),
der andere umfasst Turkestan, wo Severtzow Rh. san-
guined fur alle seine vicr zoogeographischen Bezirkc
nachgewiesen hat. Das Auffinden unserer llxemplan
am nordlichen Abhange der Gcbirgskctten Peter's I
erweitert etwas den zweiten Verbreitungsbezirk nacli
Sudcn hin, verbindet densclben jedoch nocli nicht mit
dem ersten. Ks ist vorauszusetzen, dass man diesen
Bcwohner der mit Laubwald bedeckten Vorbcrgc in
deu noch vollstandig unerforschten Gebirgsketten des
nordwcstlichen Afghanistan auftinden wild.
Diese Art scheint iiberall Standvogel zu sein.
72. Carpodacus erythrinus (Pall.).
Dresser, B. Eur., IV, tab. 195.
a. 6 adit.
b. S adit.
c. (9) adit.
d. S adit.
c. ($) adit.
f. S adit.
Schir-Abad
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
Karatag
17. IV.
17. IV.
17. IV.
18. IV.
18. IV.
3. V.
8. V.
#.(($) semiadlt. Ak-Metschet
Ji. S adit. Kischlak Sagri-Dascht 1 3. VI.
2. VII
i. ($) adit.
Tuptschek
j. (S) semiadlt. Lagari-Murda-Pass 2 7. VII
Jc. $ adit.
ibd.
27. VII
Die Balge a, &, d, f, h sind im rothen Kleide. Alle
Exemplare tragen ein mehr oder weniger abgetragenes
Gefieder; keines steht in der Mauser, nicht einmal
die am 27. VII erbeuteten (j, k).
Tome XXXI.
74. Granativora luteola (Sparr.).
Gould, B. Asia, V, tab. 14.
a. 3 adit. Tschaschma-Cliatisdschan 12. IV
b. S adit.
c. S adit.
d. £ adit.
ibd.
ibd.
Schir-abad.
12. IV
12. IV
19. IV
Hier und da sind einzelne Federn noch mit deu
dem Herbstkleide eigenen grauen Spitzen versehen.
75. Cryptophaga miliaria (Linn.).
Dresser, B. Eur., IV, tab. 208.
a. $ adit. Dscham 28. III.
b. 2 adit.
c. i adit.
ibd
ibd
28. Ill
29. Ill
Der Grosse nach nahern sich die ostbucharischen
e den westeuropaischen und unterscheiden sich
S
scharf von der kleineren Form der vorderasiatischen;
25
375
Kiillctiii dc l'Acatlciiiie Impc'riale
370
diese letztere hat neulich von Radde (Ornis Cauca
p. 196) den
bekomraen
Liinge dcs Fliigels unserer Exemplare betr
102 mm., dcs Schwanzes
81.5
7
80; der Fliigel
dcr mir vorliegendcn Balge aus Nordpcrsien (Nik
sk
91—89, dcr Schw
63,5. Radd
fiihrt fiir var. minor die FliigelUingc von 98
die Schwanzlange von 73 — 70 mm. an.
und
Das Gefieder unserer Exemplare ist sclion zicmlich
abgestossen.
76. Glycispina hortulana (Linn.).
Dresser, B. Europe, IV, tab. 211.
a. $ adit. Tengi-Charam 11. IV.
Wedcr der Hals, noch die Brust unseres Vogels
liat irgend welche Striclie aufzuweisen; der graugelb-
lichgriine Kopf ist mit zarten schwarzen Schaftstreifen
versehcn. Einige nordpersische Exemplare sind mit
dcmjenigen von Ost-Buchara vollstiindig identisch, bei
andercn dagegen sind auf dem Halse und der Ober-
brust dunkle Striclie bemerkbar. Diese letztercn Exem-
plare konnen wohl kaum als selbststandige Form —
scheidet sich dasselbe, wie folgt: 1) durch seine gerin-
gere Grosse (der Fliigel misst 73, der Schwanz 71 mm.),
2) durch den Umstand, dass die dunklen Schaftflecken
auf dem obcren Theil des Kopfes keine mehr odcr
weniger deutlichen Langsstreifen bilden, 3) durch seine
gelblich-weissCjVom Schnabcl bis zu denUnterschwanz-
deckfedern langsgestreifte Unterseite.
Beim Exemplar d beginnen sich Kicle auf der Brust
zu zeigen und die 6. und 7. Schwingen sind der Mauser
untervvorfen.
E. sliah (cf. Blanford, Eastern Persia, II, p. 259)
angesehen werden.
Das Gefieder unserer Bulge ist sclion ziemlich abge-
stossen.
77. Glycispina Buchanani (Blyth.)
myth, J. As. S. Beng., XVI, p. 780 (1847); Hume,
Str. Feath., VII, p. 150; Gould, B. Asia, V, tab. 11
(E. Huttoni).
a. $ adit. Sser-ob 15. IV.
Ein
vollstiindig
typisches Exemplar im ziemlich
abgetragenen Kleide.
78. Hylaespiza Stewarti (Blyth).
Blyth, J. As. S. Beng., XXIII, p. 215; Gould, B.
Asia, V, tab. 6 (E. cankeps).
a. $ adit. \
Kara-Kuss
6.V.
&.$(<5)adlt./Engpass im Baba-dagh 6. Y(M 10122)
c. 6 adit.
&. S adit
Baldschuan
Sarym-Sakli
3
O.V.
2 3. VII.
Das zugleich mit dem Mannclien erbeutete "Weib-
chen dieser Art gleicht der Abbildung bei Gould.
Von den Weibchen der //. Stracheyi und II. da unter-
79. Hylaespiza cia Stracheyi (Moore).
Moore, P. Z. S. 1855, p. 215, pi. CXII; Dresser,
B. Eur., IV, art. E. cia, p. 3.
a. $ adit
6. $ adit.
c. $ adit,
Karnak
ibd.
ibd.
7. VI.
7. VI ($10121)
8. VI (M 10120)
d. $ adit. Lagari-Murda-Pass 27.VII.
Jcrdon (Birds Ind. II, p. 372) fiihrt beinahe als
einzigen Unterschied dieser Form von H. cia die weiss-
liche Fiirbung des Kinns und des liaises an. Dicsem
Mcrkmal fiigt Dresser (1. c.) noch cins hinzu, niim-
lich dass die der H. cia eigenthumlichen zwei Reihen
weisser Flecken, die von den Flugeldeckfcdern gcbildet
werden, bei H. Stracheyi weniger dcutlich ausgespro-
chen und fahlgclb (fulvous) gefiirbt sind. Dieses Mcrk-
mal soil von grossem Nutzen bei Unterscheidung der
Weibchen sein.
Ich habe nicht Gelegenheit gehabt typische ostlichc
//. Stracheyi zu sehen, bin jedoch der Meinung, dass
weder das eine
Merkmale geniigt, urn diese conspecifischen, wenn
nicht identischen, Formen zu trennen. Ubrigens bc-
sitzen unsere Exemplare diese beiden Unterscheidungs-
merkmale, weshalb ich sic audi vorliiufig unter dem
Namen H. Stracheyi anfiihre.
Scully (Str. Feath., X, p. 129) sagt, dass die Exem-
plare aus Gilgit einen tlbergang von H. Stracheyi aus
Simla zu den westlichen #. cia bilden. Dasselbe kann
ich hinsichtlich der von H. Nikolski aus dem nord-
Ostlichen Persien heimgebrachten Vogel sageu: sic
behaupten die Mitte zwischen den ostbucharischen
und den osteuropaischen. Es existirt auf diese Weise,
bei minimalen Unterschieden, vermuthlich noch eine
Reihe von Ubergangen zwischen den extremen Fnrmen.
?
noch das andere der angefiihrten
377
des Sciences de Saiiit-Pefersboursr.
:*?*
Die Schwanzliinge unserer Excmplarc schwankt
von 3,05 bis 3,25" (78—83 mm.), bei den //. cia
(nach Nikolski's Balgcn) betriigt dieselbe weniger
als 3'' (76 mm.).
Die Exemplare b und c weisen kcine Spur von
Mauser auf; beim Exemplar a mausert eine Steucr-
feder, wahrscheinlich zufallig, da die andere, symme-
trisch gelegene, der Mauser nicht unterworfen ist;
beim Balge d mausert sowolil das Kleingefieder, als
audi die Schwingen und die Steuerfedern stark; das
Mausern der letzteren, wahrend im Gefieder noch
viele abgestossene, nicht vermauserte Federn stelien,
weist darauf hin, dass dieses Exemplar kein junger
Vogel ist.
80. Alauda gulgula, Franklin.
Franklin, P. Z. S. 1831, p. 119; Jerdon, B.India,
II, p. 434; Seyertzow, Turk. Zev., p. 142 [Ah in-
conspicua)} Henderson and Hume, Lahore to Yar-
kand, p. 269, tab. XXIX.
Q adit. Karschi 3. IV (A
Lan«c des Fliigels 3,8
a
t>
Die zweite Sclnv
di<i
(d
erste
Abortiv
ist sehr
m
wenig cntwickclt), deshalb kann unser Vog
A. guttata, Brooks angesprochen werden
« Lahore to Yarkand» tab. XXVIII unter dcm Namen
A. triborhjncha abgebildet ist; die beste verglcichende
Diagnose dieser letzteren scheint Severtzow (Journ.
Orn. 1875, p. 193) gegeben zu haben: «
secunda (nraeter abortivam)
- • •
remige
14
) longissima....»
Unser Balg
hat nocli unbcdeutende Sp
des
Herbstkleides beibehalten
81. Otocorys penicillata. Gould.
Gould, P. Z. S. 1837, p. 126; Scully, Ibis, 1881,
p. 581, woodcuts; Dresser, B. Eur., IV, tab. 244.
a. $ adit. Sagri-Dascht-Pass, Fluss
Chumbou 14. VI (As 101 11).
Fluss
Bida-Abdschabar 18. VI (B 10110).
Das Schwarz der Backen vcrcinigt sich mil dcm.je-
b. $ adit.
ibd.
14) D. li. die dritte, wenu wir die Abortivscliwinge mittTclincii.
nigen der Brust; die Gesichtstheilc siud wciss. Die
Maasse sind folgende:
Schnabcl von der Bcfiederungslinie.
a.
mm.
12,5
10,5
Lange des Fliigels 1 12,0
Schwanzes 90,0
b.
))
))
» Stirn (culrnon) . , .
»
»
mm.
12,5
15,5
115,0
82,0.
Bei den Kxemplaren aus der Umgcgend von Ascha-
bad (N. Persien) ist die Sclmiibcllaug^ dicselbo wie
bei unseren Biilgen, die Liingc des Sclnvanzes und
des Fliigels weist cinen Unterschied von weniger als
5 mm. auf.
82. Sturnus purpuras cens. Gould.
Gould, B. Asia, V, tab. 44; Seebohm, Ibis, 1880,
p. 182; Hume, Str. F., VIII, p. 174.
a. $ adit. Karnak, Fluss Ak-Su 6.8.7. VI (J6 101 12).
Ungeachtct dessen, dass beim Benennen dieses
Exemplars die Angaben von Seebohm und Hume
(11. cc.) in Uetracht gezogen worden sind, so finde ich
es doch fur noting eine kurze Bcschreibung dcsselben
zu liefern, urn etwaigen Missverstandnissen vorzu-
beugen. Wenn zwei Farben sich vermengen, so gebo
ich die dominirendc in Cursivschrift an.
Die Lange des Fliigels, der an der Spitze ziemlich
abgestossen ist, betriigt circa 5,0j jedenfalls nicht we-
niger. Der Vorder-, wie der Hinterkopf ist purpur-
griin, ebenso Oberbrust; Ohrdeckfedern , Flugeldeck-
federn und Unterbrust rein purpurfarben ; Ober- und
Untcrriicken, Btirzel, Oberschwanzdeckfedern , metal-
lisch-glanzcnde Theile der Schwungfedern 2-ter Ord-
nung und Schulterfedern — purjmrfarben mit mehr
oder weniger bedeutender Beimischung von blaugrii-
ner, bliiulicher und grunlicher Farbung; Seiten des
Korpers bronze -purpurfarben; Bauch und Unter-
schwanzdeckfedern matt purpurfarben.
Der Vogel gleicht vollkommen dem As 2 Hume's
Tabelle (I.e.); nach Seebohm (I.e.) stellt er, folglich,
« extreme purple form of purpurascens» dar.
Wenn man, mit Seebohm, fur Asien (also ausser
St. unicolor) 3 Artcn Staare annimmt, so kann unser
Vogel weder S. vulgaris, noch «S.indicus» (apud See-
bohm) sein, da bei dicsen die Schultern, die Fliigeldeck-
federn und die Ohrgegend grun sind. Wenn man je-
25*
379
Bulletin de» IMcad^inic ■ ni|K;riaIt»
3§0
doch, Hume's Beispiel folgend, Anhanger von 5 For-
men ist, so unterscheidet sich unser Vogel von dem
ilim sehr nahe kommenden St. minor durch die Gr5sse
(die Fliigellange ist bei 8. minor
4,25
4,50") und
dadurch, dass die Fliigeldeckfedern und die Schwingen
2-ter Ordnung nicht grim, sondern purpurfarben sind.
Bei den ubrigen 3 Arten 15) sind Kopf und Oberbrust
nicht griin, sondern purpurfarben.
83. Pastor roseus (Linn.).
Dresser, B. Eur., tab. 250
a. $ adit. Karschi 6. IV.
h. S adit.
ibd.
6. IV.
84. Graculus graculus (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., Ill, pp. 146 (Key of Genera), 146;
Dresser, B. Eur., IV, tab. 251, fig. 1.
a. $ adit. Tuptschek 1 . VII.
Auf der Brust beginnen die Kiele sich zu zeigen.
85. Cypselus apus (Linn.).
Dresser, B. Eur., IV, tab. 266
a. $ adit. Kalai-Sabi-ob 4. VII.
86. Cypselus melba (Linn.).
Dresser, B. Eur., IV, tab. 269.
a. & adit. Kokaity-Kurgan 26. IV.
b. $ adit.
ibd.
26. IV.
87. Caprimulgus europaeus Unwini, Hume
Scully, Str. Feath., X, p. 101.
a. 6 adit. Kum-Kurean 22. IV.
b. S adit.
Karnak
8. VI
Unsere Exemplare zeigen eine ctwas hellere silber-
graue Farbung als die gewohnliche Form, wie Scully
sie, 1. c, angiebt. In allem Ubrigen, audi hinsichtlich
der Schwungfedern, unterscheidet sich diese Form
nicht vom europiiischen Ziegenmelker.
88. Picus leptorhynchus, Severtzow.
Severtzow, Ibis 1875, p. 487 — 489, woodcut on
p. 489, fig. 2.
a. $ adit. Gusar 8. IV (J6 10039).
89. Alcedo ispida, Linn.
A. ispida, Sliarpe, Mon. Alcedin., p. 1, pi. 1
A. bengalensis, id., ibd., p. 11, pi. 2.
a. $ adit. Sary-Dschuj 29. IV.
b. 2 adit.
ibd.
29. IV.
c. $ adit. Baldschuan 29. V.
d. $ adit.
e. <5 adit.
ibd.
ibd.
30. V.
30. V.
15) S. vulgaris mit var. indicits, S. ndbilior initl >S. nitens.
Sharpe's Diagnosen von A. ispida und A. benga-
lensis enthalten keine positiven Unterschiede dieser
beiden Formen. Hume (Str. F., I, p. 168) und See-
bohm (Ibis 1882, p. 424) suchen die Differenz in
der Grosse des Vogels. Als Criterium hierzu dient
ihnen absolute und relative Lange des Fliigels und
des Schnabels. Als extreme, conspecifischc Formen
werden von diesen Forschern einerseits die ostindi-
schen, andererseits die westeuropaischen hingestellt.
Eine endlose Reihe von Ubergangen, bekannt unter
dem Namen A. Pallasii Reich b., verbindet diese bei-
den Formen, die ohnehin nur einen Grossenunterschied
von bloss einigen Millimetern aufweisen und wobei
ausserdem noch das grosste indische Exemplar grosser
ist, als das kleinste westeuropiiische und umgekehrt.
p]s stellt sich auf diese Weise kein geniigend scharfer
Unterschied selbst zwischcn den «extremen Formen »
heraus. Auch in der Farbung liisst sich kein Merkmal
auffinden, wie ich mich nach Vergleich der buchari-
schen Vogel mit solchen a us Sud-Frankreicli, Deutsch-
land, Turkestan, Persien und von der Insel Formosa
durch Augenschein habe uberzeugen konnen. Murray
(Vertebr. Zool. Sind, p. Ill) giebt in seiner Beschrei-
bung differente Farbung des Unterkiefers an: bei A.
bengalensis sei derselbe schwarz, bei A. ispida
orange-roth. Selbst bei Durchsicht einer kleinen Suite
von Exemplaren kann man sich aber leicht uberzeugen,
•lass auch dieser Umstand keinen Unterschied dar-
bietet: ich gebe in Folgendem die Maasse und die
Farbung des Unterkiefers unserer 5 Exemplare.
a.
b.
c.
d.
e.
LSnge
des Fliigels.
2,80"
2,94
2,95
2,99
2,87
Schnabe] von
d. Stirn (Culmen)
1 , 4 5
1,60
1,55
1,47
1,4!)
v Unterkiefer.
ganz schwarz.
ganz orange-roth,
grosstentheils orange -roth .
ganz schwarz.
ganz schwarz.
3S1
den Sciences de Saiist-Pe^crsboiirff.
38*
Der Grosse nach miissen die Exemplare 6, c und d
als A. ispida angeseheu, der relativen Lange des Schna-
bels nach zu A. bengalensis gerechnet werden, der
Farbung des Unterkiefers nach jedoch wiederum zu
ispida. Man kann auf diese Weise beim Bcstimmcn
zuweilen nicht bloss sagen, dass dieses oder jenes
Exemplar dieser oder jener extremen oder mittleren
Form angehort, sondern es koramt audi haufig vor,
dass ein und dasselbe Exemplar gleichzeitig als hierher
und dorthin gehorig betrachtet werden kann.
Unter solchen Verhaltnissen konnte ich micli nicht
entschliessen, den mir vorliegenden Exemplaren einen
anderen als den Collectivnamen A. ispida beizulegen.
90. Coracias garrula, Linn.
Dresser, B. Eur., V, tab. 293
a. $ adit. Karschi 3. IV.
91. Merops apiaster, Linn.
Dresser, B. Eur., V, tab. 295.
a. adit. Jange am Wege von Karschi nach Gusar 7. I\
/>. 9 adit.
Kokaity-Kurgan
20. 1\
T
T
v 92. Merops persicus, Pall.
Dresser, B. Kur., V, tab. 296.
a. $ adit. Kokaity-Kurgan 26. IV
b. 9 adit.
ibd.
20. IV
93. Cuculus canorus, Linn.
Dresser, B. Eur., V, tab. 299
$ adit. Kokaity-Kurgan 24. IV
b. 9
Inl.
VI
Die Lange des Flugels betriigt 8,5", der V
folglich nicht C\himalayanusY'ig.(=striafus D
saturatusR o d g s.= Horsfieldi Moore
Cab
'
dessen Fliigellange, laut Seebohm (Hist. Brit. B
p. 379), von 7%— \
— 6%" variirt.
Das Exemplar b ist in braunem Kleide
94. Scops giu (Scop.).
Cat. B. Brit. Mus., II, p. 47; Dresser, B. Eur.. V,
tab. 314.
a. J adit. Ssor-ob 14. IV.
b. cf adit.
ibd.
14. IV.
Die Exemplare zeigcn folgende Maasse:
Fliisrellange. ajJjJJJ* Tarsus.
Itcilieiilolgc det Schwingcii.
a. 152 mm. 70 mm. 21 mm. 3=4>5>0 fast=2>7.
b. 159 »
77 »
24 » 3=4>5>6 fast=2>7.
95. Scops obsoleta, Cab.
Scops obsolda Cabanis, Journ. f. Ornith. 1875,
l>. 120.
Scops Strauchi Bogd., OiepKH iipnp(>,u»i XlBHHCKaro
oa:mca n ueCK0Bl> Kii;{[»i.n.-l»yM'h, TamKeini), 1882,
]). 70, 72, 82, 101 (sine descriptione).
a. $ adit. Karschi 6. IV (J6 10038).
Ilinsichtlich der Farbung des Geficders steht diese
Form in demselben Verhaltniss zu S. giu, wie Capri-
mulgus acgyptius, Licht. zu C. airopacus, L. Das Ge-
fiedor ist durch weg fabler. Grau ist im grosseren Maasse
vorhanden, als Braun, die rostfarbigen Fleckcn werden
durch isabellfarbene. die weissen durch fast eraue er-
5
b
setzt. Scops obsoleta scheint etwas grosser als 8. giu
zu sein, was wahrscheinlicb vom etwas langeren
Schwanz abhangt, denn die Maasse sind folgende:
Fliigellange 155, Schwanzlange 86, Tarsus 26 mm.;
Ueihenfolge der Scliwingen: 3
tend > 2 > 7.
1 ■ > 5 > 6 bedeo-
96. Athene bactriana, Hutton.
Cat. B. Brit. Mus., II, pp. 132 (Key), 137 (A ph-
mipcs); Seebohm, Ibis, 1882, p. 420.
a. <3 adit.
Karschi
0. I\
b. (5) adit. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV.
Diese Form, gewohnlich unter dem Names A. pin-
mipes, Swinhoe und J. orientalis, Sev. bekannt,
weist, laut Seebohm (1. c.) folgende Unterschiede
auf: 1) die Lange des Tarsus betriigt nicht mehr, wie
1,1", wiihrend bei A. nocttia und gJaux dieselbe gleicli
1,25 — 1,40" ist; 2)dieZeh(ii sind bis an die Nagel dicht
Bulletin d<* 1* Acacloinii' Imporlale
384
befiedert, im Gegensatze zu den beiden anderen Arten,
deren Zehen mit sparlichen Harchen bedeckt sind.
Unsere beiden Exemplare besitzen eine Tarsuslange
von circa 0,9"; die Oberseite der Zelien ist dicbt mit
abgestossenen Federn bestanden, an denen man den-
noch leicht die Fahnen wahrnehmen kann. Aus diesem
Grande sehe ich auch die mir vorliegenden Exem-
plare als zu dieser Art gelmrig an.
Nicht ganz so leicht sclieint mir die Bestimmung
der jungen Vogel zu sein, da einerseits die Maasse
hier von keinem oder geringerem "Werthe sind, und
andererseits die Vogel auf den Zehen statt der kleinen
Federn, wie es scheint, Harchen besitzen. So z. B.
scheint ein Exemplar von Nikolski aus Nordpersien
der Tarsuslange von 0,9" und der blassen Farbung
nach zu urtheilen zu Athene bactriana zu gehoren und
doch sind dessen Zehen mit dichten Harchen bedeckt.
Es ist jedoch die Moglichkeit nicht ausgeschlossen ,
dass dieses, so wie auch viele andere Exemplare aus
Achal-Teke, zu A. glaux, Savig. (= A. meridiomlis ,
Less., persica Bp.) gehoren und die geringe Li'inge
des Tarsus sich durch den Jugendzustand der Vogel
erkliiren Iiisst.
97. Gyps himalayensis. Hume.
Cat. B. Brit. Mus., T, pp. 4 (Key), 8.
Dr. A. Regel hat ein Exemplar dieser Art ohne
nahere Daten aus Ost-Buchara eingesandt.
98. Gypaetus barbatus (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., I, p. 288; Dresser, B. Eur.,
tabb. 322
O
25.
Stammt ebenfalls von Dr. A. Regel, leidcr auch
oline jegliche Daten.
99. Circus Swainsoni, Smith.
Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 50 (Key), 67 (macrwus, 6m.);
Dresser, B. Eur., V, tab. 330.
D sch am
h. $ adit. Karscl i i -Steppe, zwischen Dscham
und Ak-Kuduk 30. III.
$ adit
29. III.
100. Nisaetus pennatus (Brehm).
Men36HpT>, Opn. re*orp. EBp. Poccin, I, p. 40G;
Dresser, B. Eur., V, tab. 351, fig. 2.
a. $ adit. Kischlak Baljan 21. V ($ 1002G).
b. S adit.
ibd.
22. V ($ 10025).
Beide Exemplare gehoren der typischen Form die-
ser Art (die ich vorlaufig im Sinne Severtzow's attf-
fasse, indem ich N. minutus als selbstiindige Art
bctrachte) an, nicht aber der var. alUpedus.
101. Nisaeius fasciatus (Vie ill.).
Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 249 (Key), 250; Dresser,
B. Eur., V, tab. 351, fig. 1.
. a. adit. Baldschuan? Dr. A. Regel (jV 101G7).
Dr. A. Regel
sandte ein Exemplar dieses Vogels
ebenfalls ohne nahere Daten, aber glucklicherweise
in ertraglichem Zustande, aus Ost-Buchara (vermuth-
"
lich aus Baldschuan) ein; der Mangel der genauen
Fundortsangabe ist urn so mehr zu bedauern , als bis
jetzt niemand den fraglichen Adler in diesem Theile
Asiens gefunden hat. Er kommt in Persien, Afghani-
stan, Beludschistan , Sind, Pond jab und Indicn vor,
ist jedoch weder im russischen Turkestan, noch in
Gildt beobachtet worden.
102. Aquila imperialis, Bcchst.
Men-iGnp-L, Opn. Teorp. Enp. Poccin, p. 380; Dres-
ser, B. Eur., V, tab. 344 (adit.), u. tab. 343 (juv.).
a. $ adit.
Samarkand
22. III.
h. $ scmiadlt. Kokaity-Kurgan 24. IV (B 1 0024)
103. Accipiter nisus (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 131 (Key), 132.
a. $ adit. Schurjan-Tugai 7. V (& 10029).
Dieses Exemplar bietet einige Unterschiede von den
issischen Stiicken derselben Art dar. Was das Ver-
iltniss der Schnabelliinge zur Lange der Mittelzehe
ringer als die Halfte der Mittelzehe), die Grosse
3*5
des Sciences fie $ainf-P«Wer»iM»nrjj.
:**«
und die Farbung anbelangt, so ist unser Vogel ohne
Zweifel cin Accipiter nisiis, abcr das Vcrhiiltniss dcr
Schwingen ist ein andcrcs, als bei europiiisclien Kxein-
plarcn. Die letzteren (N. Russian d) weisen folgendes
Schwingen verhaltniss auf: 4>5>3>G>2>7>
unser Vogel dages en :
o
4 > 3 > 5 > 2 bedcutend
>(>>7>8. Die Aussclmitte an den Fahnen dcr
Schwingen sind cbenfalls andercr Art: die St. -Peters-
burger Exemplare haben Aussclmitte an der Aussen-
fahne dcr (2.) 16), 3., 4., 5. und 6. und an der Inncn-
fahne der 1. — 5. Schwinge; das ostbucharische Exem-
plar an der Aussenfahne der (2.) 16), 3., 4. und 5. und
an der Innenfahne der 1. — 4. Schwinge. Das letztere
nahert sich folglich in dieser Hinsicht dem A. badius,
entfernt sich von demselben aber endgultig durch die
Lange dcr Mittelzehe, die Farbung und die unten an-
gegebenen Dimensionen.
Ausmessungen: Flugelliinge 9,5", Tarsuslange 2,2",
Mittelzehe 1,5", Schnabe! 0,6". Der Schnabel (vom
Vorderrande der Wachshaut bis zur Spitzc) ist folg-
lich urn 0,15" (=4 mm.) kiirzer als die Hiilfte dcr
Lange der Zehe.
104.? Scelospizias badius cenchroides (Severtzow).
Blanford, E. Persia, II, p. 107 (footnote 2), 108
[A. (Micronisus) sp.]; Gurney, Ibis 1875, p. 360
361, 479—480; Biddulph, Ibis, 1881, p. 40; Se-
vertzow, Turk. Zevot., p. 113; id. Str. Feath., Ill,
p. 422; Gurney, List of Birds of Prey, p. 31.
a. 2 adit. Schir-abad 19. IV (JB 10028).
Die Bestimmung dieses Exem
hat manchc
Schwierigkeiten verursacht. Es stimmt vollstandig
der Beschreibung von Astur (Micronisus) sp. bei Bl
ford (I. c. p. 108)
uberein: der
Untei
besteht darin, dass die seitlichcn (jedoch nicht die
aussersten) Stcuerfedern nicht mit 5, sondern mit 6
Querbinden versehen sind; iibrigens befindet sich die
erste dieser Binden hart an der Basis der Steuerfedern,
ist undeutlich ausgesprochen und von den Unter-
schwanzdeckfedern verdeckt. Blanford konnte sein
p. ".61) halt dasselbe far 1. badiusi jedoch niclit mil
Bestimmtheit, da es sich in der Grosse zo schr dem
A. msus nahert. A us den folgenden Zeilen wird iibri-
gens klar her?orgehen, dass weder B Ian ford's, nocfa
unser Exemplar zu A. msus gehOren kann.
Die Dimensionen unscres Exemplars sind folgende:
Liinge des Fl Quels
&
8,80".
»
der Tarsus 1,97".
1,32"(
Mittelzehe uhnc Kralle . .
Lange des Schnabels ,T). . 0,00
33,5 mm.).
15,0 mm.).
Also der Schnabel ist um weniger als 2 mm.
Lange der
(1,75 mm.) kiirzer, wie die Halite der
Zehe.
Die langste Schwinge ist die 4>3
deutend >2>7; Aussclmitte an der Aussenfahne
5>6 unbe-
• A 18
\, 4 und
5, an dei
besitzen die Schwingen (i!)
Innenfahne: 1, 2, 3 und 4.
■
Der Farbung nach kommt unser Stink dem A. badius
sehr nahe und gleicht einem , unzwcifelhaft zu dieser
Art gchorigen Maunchcn, welches Herr Zarudnoi in
Persien erbeutet hat, nur hat die Unterseite unseres
Exemplars, wie audi diejenige des Blanford'schen,
breiterc Streifen aufzu weisen, namlich je vier weisser
und rostfarbener auf einen Zoll. Auf der Obcrseite
des Halses und auf (lessen Seitcn tritt der, von Bid-
dulph (1. c.) crwahnte, fahlrostfarbigc Fleck scharf
liervor .
Unser Exemplar kann nur eincr der folgenden
Formen angehoren :
Aceipiter nisus {L.),
Astur brevijns, Severtzow,
3) Scelospizias badius (Gm.)
Scelosp is las cench ro ides (Severtzow)
Exemplar nicht bestimmen
Gurney (lb
1875,
Die Unterschiede dieser 4 Formen crgeben sich
aus folgcnder Tabelle:
17) L;in<?s dem First von Vorderrande der Wachshaut bis zur
16) Sehr nahe an der Wvirzel.
Spitze gemessen.
18) Hart an der Basis der Feder.
any
■
Bulletin de rAcadomie liii|i<triak»
388
Form.
Liinge ties
Sclmabels,
Schwingenverhiiltniss.
o
.2
5
«5
bo
:C3
Ausschnitte
der Schwing.
Reihcnfolge
^4 I
L il n g e.
Des Flugels
$
2
Des Tarsus.
$
$
Der zusam-
mengelegte
Fliigel.
b recipes.
Ubertrifft
die Ilalfte
der Liinge
der Mittel-
zche.
msus.
Bedeutend
geringer.
O
4
badius.
cenchroides
Unser
Exemplar.
1st grosser,
gleich oder
etwas
geringer.
do.
Etwas
geringer
»
i
4
4
4>5>3><i>2>7
oder
o^5>2>6
7
4>3=5^2 kaum >G>7
do?
l>3=--5>6^2>7
3 u. 1
Aus dem Studium dieser Tabellc fol
6
Das Verhaltniss der Fliigel zu dem Scliw
der Umstand
Schwiiiire die 3.. und
die 4. ist und dass die. Ausschnitte auf der Aus
senfaluie nur bei den Schwingen 3 und
auf der
Inncnfah
bei 1
3
bemerken sind, trennt
Ast. brevipes von alien ubrigen Arten und kann unser
Exemplar mit ihm nicbt verwecbselt werden.
Die bedeutende Lange der Mittelzehe (im Ver-
ii zur Schnabellange), eine andere Farbung und
die bedeutende Grosse unterscheiden A. nisus von den
ubrigen Arten und unter anderen auch von unserem
Exemplar. Das Verhaltniss der Schwingen kann, wenn
man das schon oben erwahnte Variiren derselben bei
einzelnen Individuen von A. nisus in Betracht zieht,
allem Anscheine nach kein Criterium ablegen.
3) Wenn man endlieh unser Exemplar mit A. badius
vergleicht, so erweist sich, dass beide in alien Merk-
malen tibereinstimmen, mit Ausnahme der Grosse:
miser Weibchen ubertrifft urn %" die Maxim algrosse
(in der Fliigellange) des Weibchens von A. badius.
Dieser Umstand konnte uns einigermaassen abhalten
unser Exemplar mit A. badius zu identificiren , wenn
man nichts von der Existenz einer grossen Form dieser
Art wiisste, als welche sich walirscheinlich A. cen-
chroides Sev, erweisen wird. Bis jetzt ist diese Form
fur mich eine riithselhafte, da sich unsere Kenntnisse
3-6
3—5
1—3
1—5
1-4
3-5
do?
3—5
1—4
do?
1-4
9,1-8,2
9,8—9,3 2,1-1,8
7,5-8,1
8,1-7,
*>
7,4-7,0
10,0-8,75
8,3—7,8 1,8-2,0
2,1
1,8
2,2-2,5
Uberragt
die Mittc
des
Schwanzes
8,5—8,1
8,8
2,0-2,15
CLi
N3
CD
en
o>
1,9-2,2 2,15-2,2
1,97
^3
feJO
0 <V
bD
OS
S3
fl'S
sfl
■u
cc
liber dieselbe zur Zeit nur auf folgende Angaben be-
schranken.
In der urspriinglichen Beschreibung von A. cen-
chroides fiihrt Severtzow (Turkest. Zev. p. 113)
dessen Unterschiede von A. brevipes an und giebt uns
keine Aufklarungen hinsichtlich seiner Ahnlichkeit
oder Verschiedenheit von A. badius und selbst von
A. nisus. Im Ibis (1875, p. 104) wird dassclbe wieder-
holt, aber die Herausgeber dieses Journals fiigen in
einer Anmerkung (p. 480) hinzu, dass, laut Dresser,
Severtzow diese Art fiir eine grosse Form des A. ba-
dius halt. Etwas spater (Str. Feath. 1875, III, p. 422)
nennt auch Severtzow selbst seinen A. cenchroides
einfach othe pale Cabul and Punjab race of A.badius».
Severtzow's spiitere Ansicht ist mir unbekannt.
Blanford (East. P
II, p. 1
legt seinem
Exemplar den Namen A. cenchroides bei, jedoch mit
einem Fragezeichen, wiihrend Gurney, einige Monate
spater (Ibis 1875, p. 479 — 480) fortfahrt, Zweifel zu
liegen an der Moglichkeit denselben von A. nisus zu
trennen, und erst neuerdings (List of Birds of Prey,
1885, p. 31) erklart er ihn fur eine Subspecies von
A. badius. Biddulph endlieh (Ibis 1881, p. 40)
erklart denselben fur eine blasse Form derselben Art.
Nach allera Gesagten kann man, wie es mir scheint,
entgiiltig annehmen, dass A. cenchroides eine etwas
grossere blasse Form von A. badius ist. Ich weiss je-
;i§9
des Science's dc Saint ■P^tfcrslMHirg.
:i»0
doch nur nicht, in wieweit dieser Annahme das Vor
liandenseiu einer grOsseren Anzahl von Oucrbindeti an
d
Stcucrfed
des A. cenchroides wider
Severtzow (T
fede
d
. Zov. p. 113) haben di<
7 — 8, die iiusserstoa 9
Sei
10
aufz
105. Milvus migrans (Bodd.).
Cat. B. Brit. Mas., I, pp. 319 (Key), 322 (if. AV-
sckun ((Jul); Dresser, B. Eur., V, tab. 362.
a. 6 adit. Dscliam 2!). Ill
106. Hypotriorchis subbuteo (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 379.
$ scniiadlt. Lailjakan. Weg
abad 17. IV(.Y
27).
Von A. nisus ist A. badius (inclusive A. cenchroides)
auf den ersten Blick durcb die Farbung und dureh
die Kiirzc der Mittelzehe zu unterscheiden.
Alles Gesagte resumirend, kaun man folgcudc syn-
optische Tabelle fur die vier bespiochcncn Arten
zusammciistellen.
a. Lange des Schwanzcs geringer, als die Halftc der
Totallange;diezusammengelegtenFliigeluberragen|(le8 Kiunes una der Pederranfler auf der Umerseite
die Mitte des Schwanzes; die dritte Schwingc ist Lurch eine rostgelbliche ersetzt; die Flecken auf den
dielangste;AusschnitteanderAusscnfahnesindbei Halsseiten sind intensiv rostfarbig. Meiner Meinun-
der 3. und 4., an der Innenfahne bei der I., 2. und nach bictet wedcr dic Grossej noch die Differenz in
3. Schwinge vorhanden: die doppelte Lange des Ler Fftrbung geniigende Veranlassung, mm dieses Eiem-
Schnabels (litngs dem First vera Rande der Wachs- 1 piar ftir H. Eleotwrae zu erklaren.
haut gemessen) iibertrifft die Lange der Mittelzehe
Dieses Exemplar ist etwaa grosser, als der gewohn-
liche H. subbuteo y da die Lange d« is Fliigels 1 1,1" be-
triigt ''). Ausserdem wird dic weisse larbe des Halses,
ohne Nagel Scclospmas brevipes (Severtz.).
h
Liinge
des Schw
grosser
als d
Hiilfte dc
Totallange; die zusammengelegten Fliigel uberragen
nicht die Mitte des Schwanzes; die vierte Schwinge
ist die langste; Ausschnitte an der Aussenfahne zei-
gen die 3., 4. und 5., an der Innenfahne die 1., 2.,
3. und 4. Schwinge.
a, Lange der Mittelzehe, ohne Nagel gemessen,
ubertrifft die doppelte Lange, des Schnabels (uti
supra) beinahe urn die ganze letzte Phalange;
107. Cerchneis tinnuncula (Linn.).
Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 423 (Key), 425; Dresser,
B. Eur., VI, tab. 384.
a. & adit. Kum-Kurgan, Kaptugai 22. IV.
die
Na
Aussenzehe (an der Dorsalseite und ohne
3l) reicht kaum bis zum proximalen Ende
der dritten Phalange. Die Mittelzehe ist also
I/. Die dopf
Accipiter nisus (L
Lange des Schnabels (uti s
pra)
ubertrifft entweder die Lange der Mittelzehe, od
ist derselben gleich, und wenn sie geringer ist,
immer um ein viel geringeres Maass, als die letz
Phalange der Zehe betragt;
die Aussenzehe
der Dorsalseite und ohne Nagel gemessen) iiber
trifft das
Ende
der dritten Phalange
und reicht fast bis zu deren Mitte. Die Mittelzehe
ist also verhaltnissmassig kurz.
■
a". Kleine dunkle Form . . . Scelospizias badius (Gm.).
b". Grosse blasse Form . . .Scdosp.cenchroides($ev.).
Tome XXXI.
b. $ juv.
Lagari-Murda-Pass
28. VII.
108. Nycticorax griseus (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 402.
a. $ adlt. Lailjakan 16. IV.
Ik 6 adlt.
c. $ adlt.
ibd.
Regar
16. IV.
30. IV.
109. Platalea leucorodia. Linn.
Dresser, B. Eur., VI, tab. 497.
a. $ adlt. Kokaity-Kurgan 26. IV
110. Plegadis falcinellus (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 409.
23. IV.
b. $ adlt. | Garm-Kurgan 23. IV.
c. S adlt. (am FI. Surchan 23. IV.
d. S adlt. 23. IV.
a. cf adlt.
19) Mit dem Bande gemessen
26
301
Kiiili'liii fie r Academic Imperiale
3f>»
111. Tadorna casarca (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 421.
a. $ adit. Garra-Kurgan am Surchan 23. IV.
b. 9 adit. Ak-Kurgan am Surchan 23. IV.
112. Spatula clypeata (Linn.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 425.
a. 8 adit. Kokaity-Kurgan 25. IV
113. Nyroca ferruginea (Gin.).
Dresser, B. Eur., VI, tab. 438.
a. $ adit. Kabadian 12. V.
b. $ adit.
ibd.
12. IV
1 14. Palumbus casiotis, Bp.
Bonaparte, Comptes-rendus XXXIX, p. 1103. Bp
Icon. Pig., pi. 58.
a. S adit. Ak-Metschet 8. V.
115. Columba livia neglecta, Hume.
Henderson and Hume, Lahore to Yarkand, p. 272
and 273; Hume, Str. Feath., I, p. 208; Severtzow,
Journ. f.Orn. 1875, p. 194; id. Str. Feath., Ill, p. 430.
a. & adit. Tuptschek 2. VII (Ar 10030).
Der Btirzel dieses Exemplars ist in seiner vorderen
Halfte weiss-blaulich, hinten weiss mit einer hell-blau-
lichen Nuance; der Hinterriicken hat kein Weiss auf-
zuweisen; die Zeichnung des Fliigels ist dieselbe, wie
bei der typischen 0. livia. Das in Rede stehende Exem-
plar kann man als var. neglecta, Hume bestimmen,
wenn man diese Form uberhaupt unterscheidet. Hin-
sichtlich der Verbreitung der weissen Farbe auf dem
Rucken mid Biirzel habe ich als typische Form Dres-
ser's Abbildung (B. Eur., VII, tab. 457) gewahlt/
116. Turtur vulgaris, Eyton.
Dresser, B. Eur., VII, tab. 462
a. $ adit. Schurjan-Tugai 7. V.
117. Pterocles arenarius (Pallas).
Elliot, P. Z. Soc. 1878, p. 245; Dresser, B. Eur.,
VII, tab. 466.
a. $ adit. Karachi- Steppe, zwischen Dscham
und Ak-Kuduk 30. III.
Brunnen Ber-gamisch 1. IV.
18. V.
b. $ adit.
c. $ adit.
ibd.
Kurgan-Tjube
118.? Phasianus chrysomelas, Severtzow.
Severtzow, Journ. f. Ornith. 1875, p. 224; id., Ibis
1875, p. 493; Gould, B. Asia, VIII, tab. 36. ,
a. pull.Fl.Kafiniagan,Dschidda-bach 9.V($ 10034).
b. $ adit.
$ adit.
c.
ibd.
FIuss Wachsch
10.V (As 10032).
1 5. V ($ 10031).
6?. $ adit. Fl. Wachsch, Kurgan-Tjube 18.V(A° 10033).
Es war mir nicht moglich diesen Fasan endgiltig
bestimmen. A
beschriebenen
anderen auch von Ph. Komaroivi Bogd. 20), der, wahr-
scheinlich, sich als identisch mit Ph. principalis
Sclat.21) erweisen wird) gleicht er am meisten dem
Ph. chrysomelas, Sev. und zeigt nur folgende Unter-
schiede:
Die dunklen metallischgrun schimmernden Fe-
derrander am Kropf und auf der Brust sind bedeutend
breiter, als bei Ph. chrysomelas, die kupferrothe Mitte
der Feder jedoch kleiner, als beim letzteren; aus die-
sem Gruode erscheinen an unserem Vogel oben-
erwahnte Korpertheile viel dunkler.
Der kupferrothe metallische Glanz der Federn,
besonders derjenigen der oberen Partien, tritt bei un-
serem Exemplare nicht so prononcirt hervor.
Diese Unterschiede glaube ich dadurch erklaren zu
konnen, dass die Exemplare, die mir als Vergleichs-
r
material dienten, ein frisches Gefieder besassen, wah-
rend unser Vogel im abgetragenen Fruhlingskleide
ist. Ausserdem hat unser Exemplar kein Halsband
und nur beim Auseinanderbiegen der Federn kann man
auf einigen derselben (in der Mitte) weisse Flecken
entdecken; iibrigens bin ich selbst nacli Durchsicht
des geringen Materials, das mir zu Gebote stand,
zu dem Schluss gelangt, dass das Halsband bei Ph.
10) Bull, de l'Acad. Imp. des Sc. de St.-Petorsb., T. XXX, p. 356
_'l) P. Z. S. 1885, p. 322—324, pi. XXII.
303
des Sciences de Saint- Vet ersbourg.
:*!>!
chrysomclas stark variirt. "Wenn mir ein Exemplar
dieses letzteren im Friihlingskleide vorgelegen hatte,
ware ich wahrscheinlich nicht in die Lage gckommen,
ein Fragezeichen stellen zu musscn. Uberhaupt variirt
Ph. chrysomelas in hohem Grade, ein Factum, von
welchem mich schon Herr M. Menzbier freundlichst
benachrichtigt hatte.
119. Caccabis chukar (G. R. Gray).
Dresser, B. Eur., VII, tab. 470, fig. 2 (sinistra;
C. saxatilis).
a. S adit. Engpass Kara-Kuss im Baba-dagh 5. V.
b. 2 adit.
ibd.
5. V.
Weibchen, dessen Fliigel nur 4,52" lang ist; iiberdies
sind die Fusse dieses letzteren Exemplars nicht duukel
(cf. Gould, 1. c.), sondcrn
tibrig
iebt letzterer Umstand
nicht das Reeht. das
Exemplar von Nikolski zu A. Bern. T
zu
da die Farbunc der Fusse vom Austrocknen
&
js Balges abhiingen kann; Dresser bildet A.Bonhami
nfach mit gelben Fiissen ab und dasselbe behauptet
ich Hume (Str. Feath., I, p. 22G).
121. Coturnix communis, Bonnat.
Dresser, B. Eur., VII, tab. 476.
%. 2 adit. Kokaity-Kurgan 24. IV.
120. Ammoperdix Bonhami (G. R. Gray).
G. R. Gray, Ann. and Mag. Nat. Hist., XI, p. 372
122. Gallinula chloropus (Linn.).
Dresser, B. Eur., VII, tab. 503.
{Caccabis Bonhami) -t Brandt, Bull. Acad. Sc. St.- 1 a. 2 adit. Karschi-Steppe, lirunnen Tascbli 1. IV
Petersb., X, p. 27 (Perdix griseigularis) ; Gould, B.
Asia, VII, tab. 1; Dresser, B. Eur., VII, tab. 472.
a. $ adit.
b. $ adit.
Sser-ob
Lailjakan
14. V.
1G. IV.
c. $ adit. Engpass Kara-Kuss im
Baba-dagh
5
d. 2 adit.
e. 2 adit.
2 adit.
g. $ adit.
h. $ adit.
i. 2 adit.
k. Q adit.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
ibd.
V (1 1003G)
5. V (B 10035)
V.
V.
G. V.
6. V.
5
5
V(JV:
V.
6 adit. San-tuda, Fel
m. 9 adit
n. Q adit
ibd
ibd
am
Wachscli
V
V
V
Das Exemplar d zeigt eine aussergewohnliche rothi
Fiirbung und sticht daher sehr von den ubrigen ab
die isabellfarben-grau sind ; das Exemplar i halt etwj
die Mitte zwischen den
und dem Stuck d
ein; das Mannchen c (welches zugleich mit dem 2 d
erbeutet wurde) unterscheidet sich in Nichts von
den ubrigen.
5
Die Fltigellange der Mannchen schwanl
//
J
der Weibchen von 4,93
5,1
?
Exempla
bietet folglich eine so geringe Grosse d
Nik
aus der Tr
Aschabad mitgebrachtes
123. Fulica atra, Linn.
Dresser, B. Eur., VII, tab. 504, fig. 2
a. & adit. Karschi 6. IV.
b. 2 adit.
ibd.
G. IV
124. Houbara Macqueeni (J. E. Gray).
Dresser, B. Eur., VII, tab. 511.
a. (2) adit. Karschi-Steppe, zwischen Dscham
und Ak-Kuschuch 30. Ill
125. Oedicnemus crepitans, Temm.
Dresser, B. Eur., VII, tab. 512 (0. scolopax).
t
i. 6 adit. Garm-Kurgan am Fl. Surchan 23. IV
b. $ adit
Sari-dschuj
IV
126. Glareola pratincola. Linn.
Dresser, B. Eur., VII, tab. 513, fig. 1 (sinistra).
a. adit. Weg von Schir-abad zum Fl. Surchan 30. IV.
127. Aegialitis curonicus (Gm.).
Dresser, B. Eur. VII, tab. 524.
a. (<5) adit. Gusar 1 0. IV.
b. ($) adit.
c. (2) adit.
d. ($) adit.
ibd.
ibd.
ibd.
10. IV.
10. IV.
10. IV.
e. 2 adit. Schir-abad 18. IV.
26*
395
ltu9l< Hii de IMoadeinie Imperials
390
128. Himantopus candidus, Eonnat.
Dresser, B. Eur., VII, tabb. 535 u. 536
a. $ adit.
b. $ adit.
c. $ adit.
Karschi
ibd.
ibd.
3. IV.
6. IV.
6. IV.
d. 3 adit. Kurgan-Tjube 18. IV.
129. Gallinago gallinuia (Linn.).
Dresser, B. Eur., VII, tab. 544
a. $ adit. Samarkand 22. III.
130. Totanus ochropus (Linn.).
*
Dresser, B. Eur., VIII, tab. 564
a. $ adit. Samarkand 22. III.
b. 2 adit.
ibd.
22. III.
131. Totanus glareola (Linn.).
Dresser, B. Eur., VIII, tab. 565.
a. 3 adit. Kum-Kurgan am Surchan 23. IV
132. Totanus stagnatilis, Bechst.
Dresser, B. Eur., VIII, tab. 566
a. $ adit. Karschi 3. IV.
b. 3 adit.
ibd.
(>. IV.
133. Totanus calidris (Linn.).
Dresser, B. Eur., VIII, tab. 567, fig. 1
a. 3 adit. Samarkand 22. III.
b. $ adit.
ibd.
22. III.
134. Limosa aegocephala (Linn.).
Dresser, B. Eur., VIII, tab. 573, fig. 3 (dextra).
a. $ adit. Kokaity-Kurgan 24. IV.
135. Sterna anglica, Mont.
Dresser, B. Eur., VIII, tab. 585; Saunders, P. Z.
S. 1876, p. 644.
a. 3 adit. Garm-Kurgan am Surchan 23.V.
b. 3 adit.
ibd.
23.V.
136. Larus ichthyaetus, Pall.
Dresser, B. Eur., VIII, tab. 598; Saunders, P. Z.
S. 1878, p. 198.
a. 9 adit. Samarkand 15. IIT.
Schliesslich erlaube ich mir Herrn Akademiker Dr.
A. S
meinen
Dank fur die
Verfugung gestellte Sammlung auszusprechen. Fer
ich
Freundlichkeit und Rath
sehlage, mit welchen mir Herr Conservator Th. Pleske
bei meiner Bearbeitung entgegengekommen , und der
Hiilfe durch Rath und That von Seiten des Herrn
Conservators Eug
thun.
Biichner mit Dank Erwiihnung
BERICHTIGUNG.
-
1. Turdus viscivorus Hodgsoni, Jerd.
Die Bestimmung unserer Exemplare des T. visci-
vorus ist nicht ganz genau, da dieselben zur grossen
ostlichen Form dicser Art (var. Hodgsoni Jerd.) ge-
horen. Die Lange des Flugels variirt bei dieser Form
(nach Seebohm, History of British Birds, I, p. 217)
zwischen 6,7 und 6,0 Zoll; bei unseren Exemplaren
betragt diese Lange 6,6 und 6,4 Zoll ; bei der kleinen
westlichen Form dagegcn variirt die Lange des Flu-
gels zwischen 6,1 und 5,6 Zoll.
Zu Claudii Galeni Pergameni scripta minora, vol. I
(Lipsiae 1884). Von A, Nauck. (Lu le 14 octobre
1886.)
Die beiden umfangreichsten Griechischen Schrift-
steller die wir besitzen, sind Galenus und Libanius.
Eine kritische Gesammtausgabe des Libanius ist in
Aussicht gestellt von R. Forster: fur den bei weitem
wichtigeren und noch viel mehr vernachlassigten Ga-
lenus werden wir voraussichtlich noch lange uns be-
helfen mussen mit dem hochst unzulanglichen Abdruck
des Griechischen Textes und der Lateinischen Uber-
setzung, welchen C. G. Kiihn (Leipzig 1821—1833)
besorgt hat. Audi diese Ausgabe, die einzige welche
dem Privatbesitz noch zuganglich ist, hat eine geringe
Verbreitung gefunden, wie schon daraus hervorgeht,
dass der Verleger sich entschlossen hat den urspriing-
lichen Preis auf den zehnten Theil zu reduciren. Far
die heutige medicinische Wissenschaft ist aus Galenus
naturlich so gut wie nichts zu gewinnen: aber audi
dem Philologen, der eine so reiche Fundgrube des
Wissens nicht vernachlassigen sollte, ist es kaum zu
397
des Sciences de Saint - Pelershourg.
39*
verdenken, wenn er durcli den Urafang (nominell zwan-
zig, factisch zweiundzwanzig starke Bande) wie durch
die Beschaffenheit der Kiihnsehen Ausgabe, die einen
hdchst felilerhaften Text bietet mid eines kritischen
Apparates ermangelt, abgeschreckt wird dem Galenus
die gebiilirende Aufraerksamkeit zu widmen.
Um die Emendation einzelner Stellen des Galenus
haben sich wahrend der letzten Dccennicn besonders
Cobet und Kovco? verdient gemacht: aber audi die
besten Emendationen sind fur denjenigen, welclier ei-
nen Text des emendirten Schriftstellers nicht besitzt,
so gut wie verloren. Darum war es hochst dankens-
wertli, dass Joh. Marquardt, Iwan Miiller und G: Helm-
reich sich entschlossen eine audi weiteren Kreisen
zugangliehe Auswahl der Schriften des Galenus zu
^cov £v v/Avivj tys/r^ l$ito>v -attiov LO». Der auf die
Cod.
Vorrede folgeiule Index notarum lehrt, dass L
Laurentianus 74,3 und 0 = Omnes codices et cditio-
nes. Somit enthalt die Angabe LO einen Pleonasm 08;
es geniigte 0. In der Kiihnsclien Ausgabe lesen wir
jedoch rv\ll\OY KEPI AIArNQEEQE KM 0EPA-
IIE! \£ TON EN THi EKA2T0Y TVXHi IA1UN II \
OQN. Ich halte es fftr wahrsclieinlich, dass auch ini
cod. Law. nicht ocayv. x. depone/, sondern oixyvaxmo
xai depaTTsta;, nicht ev ixaarou '^'/y\, sondern ev rf\
I'AOLGIS
u tyjyri sich findet.
Zu £V£crry]a-(o p. 1, 2 wird bemerkt « £v£aTY]a-to LAI'.
Don», dies und weiter nichts. Wer nur den Mar-
quardtschen Text vor sich hat (in dieser Lage wer-
den sich aber die raeisten Leser befinden), kann den
veranstalten , von
bis ietzt das
Bandchen Sinn dieser Bemerkung unmoglich ergrfindcn. Das
J. Marauardt's Recognition de
Schriften
5! <|w% Tradwv
xoci a[JLapTY][JiaTcov, izizi
^ ^ y
QU OWL TY]C CT(J.tXp
■cpatpa; 'yuM-vaa'l0U> itporp
Ratlisel lost sich, wenn man die Kuhnsche Ausgabe
vergleicht, die nicht ivz<j~-i]<jco sondern svicrTYjo-a bietel
ac I Meiner Ansicht nach lohnte es sich nicht von dem
absurden iVzz-rpoL Notiz zu nehmen, das jeder Unter-
Wer den Marquardtschen Text mit dem Kiihn- richtete ohne weiteres durch sveoryjao) ersetzen konntt
Hielt es aber M. fiir nothwendig oder rathsam einem
schen vergleickt, wird einen sehr erheblichen Fort
schritt der neuen Ausgabe gern anerkennen. Freilich gleichgiiltigen Fehler der neueren Ausgaben die uu-
dass Marquardts verdiente Ehre einer Bezugnahme angedeihen zu
Wenn eranjlassen, so war es in der Ordnung, dass er neben
dem richtigen und allein beglaubigten ivis-r^io das
'e
iiberzeugt man sich auch bald
abe vieles zu wiinschen iibr
a.
Fehlern der tlberliefe
&
ubergegan
Vorwurf n
wird ihm niemand dar
falsche und unverburgte b/ivap* ausdriicklich cr-
wahnte.
digen dass zuweilen unsichere und entschieden falsche Die nlichste Note lautct (p. 1, 4) «£-> cote Ch K»,
..
Anderun
den Text gebracht worden
d. h. das im Text stehende i~l tote findet sich in den
Nothwendieres dagegen vielfach verschweigt
•»^o
bietet ,
und an einzelnen Stellen Genau
Zur Begrundung des Gesagten wird es geniigen d
* »
afAapTy)(jt.
aber ist zu missbilligen die Einrichtung der Ausgaben von Chartier und Kiihn. Was aber bietet
uberflussige Notizen in Masse | statt dessen der cod. Laur. 74,3? Um dies zu crfah-
ren, sind wir gezvvungen eine der vor Chartier er-
schienenen Ausgaben des Galenus nachzuschlagen, wie
etwa die Baseler Ausgabe vom J. 1538 oder die Al-
dina vom J. 1525. Unter hundert Benutzern des Mar-
quardtschen Textes werden kaum zehn dies konnen,
und auch wer es kann, wird wenig Lust verspiiren
Recherchen anzustellen, die keine weitere Ausbeute
versprochen als einen ziemlich irrelcvanten Schreib-
fehler. Marquardts an sich unbegreifliches Geheim-
halten der handschriftlichen Lesart erscheint hier als
um so befremdlicher, da man an der Bereehtigung
der aufgenommenen Conjectur zweifeln darf. Statt i~i
Anfang der Marquardtschen annotatio critica anzu-
fflhren. Der Titel der ersten Schrift lautet in der neuen
Ausgabe :
rAAHNOT 11EPI TQN IAION EK A2TQ 1 IA0QN KAI
AMAPTHMATQN THS AIArNQSEQS B'.
Dazu wird bemerkt: «De inscriptione vide Observ
n f
Gal. XIX, 4o Ttspt twv
totcov ixao-Tto Ttaftcov
_ "s
V
ota",'
XVI
yjfjuv xa&' £v tSta ^tpXcov wept twv fitfxafypjf*
(ov i9\q Wffi iTa^^Ypaf/.uivov' tttpi otayv. :
to?<; ist vote iibeiiiefert: ich moclite den Bachtitel nzoi
r"
Xffc to?? ioioiz tMitvj io£op£ta;, zumal b<'i einem p]pi-
390
Bulletin <le l'Acad^mie Imperial©
400
kureer, nicht beanstanden. Dass von ecpsBpsta ein Da- S', w; ola&a, xai aaacpaK Epp.Y)V£U(ov ia iroXXa iwv £tpY]
tivus ablmiigig gemacht wird , ist nicht befremdlicher
als Verbindungen wie imzuyj.au.bz vf[ /
coaa
Thucyd.
122, 1 und iuiSpotr/jv ia> Tci/jajxaTt irapao-rcov-
oov 4, 23, 1.
Es folgt zu oiwptaa (p. 2, 6) die Anmerkung «8tw-
f*
aaXXov la-ttv y] voYJarort <7a<p(o<; (p.
pta-a L». Den Schliissel bietet die Kiihnsclie Ausgabe,
wo wir Trpoctwpto-a lesen. — Weiter wird iiber xsxXyj-
cdflM (p. 2, 10) gesagt ((XExXyjadai LG xr/XsTo^ac A».
Der Druckfeliler der Aldina xexXaa^ai konnte fiiglich
unerwahnt bleiben, entbehrlich ist auch die Notiz iiber
G(oulstons Ausgabe): die Note ist iiberhaupt nur
bedingt durch die bei Eiihn sich findende Schreibung
xExXvpdw.
Nach diesen theils entbehrlichen theils unzureichen-
den Bemerkungen folgt endlich (zu p. 2, 18) eine
brauehbare Notiz «post xdyw plura excidisse censet R»
(der Recensent eines Marquardtschen Programmes).
Dagegen ist es wieder hochst unangenehm, zu erfahren
dass die Schreibung SoxoOjxev y^pXv abzcic. p. 2, 23 auf
einer Vermuthung des Herausgebers beruht, ohne
dass der handschriftlichen Lesart (3oxob]{/.£v au^oi) ge-
dacht wird.
Besser ergeht es uns p. 3,3: «iXtya toutou?* Pr.
Das xcd vor acctyCbz ist
wohl heissen Xtav aaacp
unverstandlich
Nachdem Galenus gesagt hat, der Epikureer Anto-
is scheine mitunter uns zu ermahnen darauf bedacht
zu sein otmc av it? iauidv . aicayot twv a^apTYi^aico
i
falirt or fort
2, 1): 6 Box£i \koi tou X6
tocvt<J<; elvai erxoiros' Ixaerrov yap Twy TTpo£tpyjfX£vco\
vpY](r:6v iara xai irepiTTov, £t u.r\ tzpoc zouiov avacpipo
9/
Statt
i.
fordert der Gedan
o
TO
kenzusammenliang vielmehr irpo^ toOto d. h. icp
iauicv airayetv twv ap.apTY)(j.aTwv .
Pag. 4 , 16: 6 §s nXehtov xai tyjv aktav a-ooiocoai
too ytyvo[i.£vou' Tu^Xouirac yap, ^yjat'v, 6 cptXwv ~zpi
id cptXo6^£vov. So der Herausgeber nach Plat. Leg. V
p. 731 E statt des iiberlieferten tuoXwttov yap, cp-^at,
id cptXouv r.toi to cpiXouuL£vov. Sollte auch bei Plato
6 oiX&v nothwendig sein, so durfte doch bei Galenus
XXXV oXiyGTOTo-j; L». Als befremdlich aber erscheint
es dass iiber die Lesart des Laur. Verschiedenes be-
richtet wird: bMfoioLiouc L bietet die ann. crit., «Laur.
die Lesart to ^tXouv nicht angefochten werden, zu tie-
ren Vertheidigung es geniigt an zwei Plutarchisch(
Stellen zu erinnern, de adulat. et amico c. 1 p. 48 F
T'JcpXouTai yap to cpiXouv ra.pt to cpiXo6(j.£vov, und de uti-
litate ex inimicis percipienda c. 7 p. 90 A: TucpXoC
* *i
oAiycoTaTcj^ praestatw heisst es in der Vorrede p.
XXXV. Welche Angabe die richtige ist (dieWahr-
scheinlichkeit spricht fur oXtycoToroi^), werden wir
vielleicht kiinftig erfahren *).
An den ersten Seiten der vorliegenden Ausgabe
glaube ich gezeigt zu haben, dass Marquardts anno-
tatio crit. weder ganz zuverlassig noch irgend wie
zweckmiissig ist. Es widerstrebt mir das unerquick-
liche Thema weiter zu verfolgen , und ich wende mich
dem Versuche zu, einzelne Stellen des vorliegenden
CplAOUV 7l£pt TO CpiX
llXaTtov ©V]
yap to
Dem entsprechend sagt Galenus p. 5,2: TucpXw
avayxaTov iau to cptXouv rcspi to <piXo6(ji£vov, wo Mar
quardt wiederum die unberechtigte Anderung tov o
XouvTa in den Text gebracht
Ftir das Neutrum
spricht auch p
19:
Oil 0
BXsicop.
:6 cpiXo
o9 yjuuov auT&v (jltjSsv, elvae veui^ecv icpocmxee woXotyit
IVZl TTSpt
(k
f
cpiXoujj.
Selbst w-
©Xcottov bei GaL p. 4, 17 in wpXotftai zu andern sind
wir nicht berechtigt, da tu©^awt«^ p. 5, 1 wieder-
kehrt.
Pag. 6,9: iav iot{q au^ov stti Ta; to>v Tzkoumwv T£
Textes zu berichtigen.
Galenus bedauert3 dass der Epikureer Antonius, der
-zoi zr^ tgT; ioioiQ iwdeotv i^ZzuoLz, geschrieben, das
Wort iozopuz nicht selbst erklart habe, so dass man
nur vermuthen konne, was damit gemeint sei: e^vcto
1) Auch p. 18,11 lasst uns Marquardt ttber die handscliriftliche
Lesart in Ungewissheit, soiVrn er in der Vorrede p. XLI ejxoife
^sXtjov sivou Sdxet citirt in Ubereinstimmung mit der Kuhnschen
Ausgabe (V p. 24,7), im Text dagegeb stillschweigend s\xcc(z ooxzX
fieXnov v7: bietet.
•Xu Suvaj
yj xoa Tac
imovxoL
/co^. Statt
erwartet man hier, wo
vom Antichambriren die Rede ist, vielmehr &Gpa<;. Vgl.
Galen. VI p. 758: vxl Tac ia>v r.oXb ouvau.£vcov £7rt£vat
ftupctc. X p. 6: oiibdc. toutwv cj-s. EtoJkv iut Ta? twv
TTAouo-twv £cpotr:a dusac; -coo-a
*/]c-6a£vo;. Diogen. Ep
vudou dupa? depaiceuEiv drp>ooQyc&;« Hor. Epod. 2, 8
forumque vitat et superba civiwn potentioruni limina
i
Kiesslin
&
b
i
IOI
cles Sciences de Saint -P^tersbourg.
4 OS
Alle Meiischen folilen tagtitglich ,
(OCT
6 (XYJ03
£ TU V0-
[xi^tj< ai>To^ aXXo ti fxaXXov yj avOpcoTro? elvaL So Mar-
quardt p. 7, 21 mit der Bemerkung «vojji£qc auToc*»,
welche lehrt dass die den Gesetzen der Grammatik
vvidcrstrebende Verbindung pj vcu^yjc (statt p vofxt^s
oder [j.y] vopiorYjc) auf einer Conjectur des Herausgebers
beruht. Bei Ktihn stelit <&cm (jiyjSe cru vouc£g aauTov
aXXo
tt (xaXXov yj avftpcoirov elvat, was mir tadellos
scheint. Ob Marquardts Schreibung yj &vdpwico? el-
• *
vat der Uberlieferung entspricht, weiss ich niclit.
Der von uns gerugte Verstoss gegen die Syntax kehrt
wieder an einigen anderen Stellen. So p. 17, 13: pj
toivuv vo\ki'Cr\c; ^povtaov . avdpcouov U7tap/£tv, wo niclit
gesagt wird welche Autoritat das unmogliche vo{j.£yj
fiir sich hat, wahrscheinlich aber voj«& (so Kiihns
Ausgabe) uberliefert ist. Ferner p. 58, 21 : o.yj toivuv
daup.a'(Yjc, wo in
der Lesart des Laur. i»aup.a'(ai
offenbar nichts anderes zu suchen ist als das bei Ktihn
stehende aauu.a'(£. Endlich verdankt ein unmoglicber
Conjunctly ohne Negation seine Existenz dera Belieben
des Herausgebers p. 20, 7: w:
Mar quardt p. XXXIII, wc o
Text) — TrposX^ovrs; Bt
<M
XXoc (so Ktihn
r,'
aXX
Marquardts
rr
^ TO 6YJ[AU**wr «.
iu'ottbv xoorptut., outw crO xaTa
* /
yjv wiav otxtav 7tpaT-
Kiihns Ausgabe wpafc«< bietet, wahrend der
fordert.
Zusannnenhang 7rpaTT£
Pag
io-wc ouv £p£?c, yjv ivavcioXoyixc? rfi,
yuan (ptX
{xoydYjp
V£T
rr
aXXo
kann nur derj
uaXXo
.-v
v
tou? aooouc avSpac
Als £vavT^Xoyr/.6;
bezeichnet
dei
ist das directe Gegentheil zu behaupten (von dem was
andere sagen). Bis zu dieseni Extrem aber pflegt der
Wid
sicli
steigern, und
das wirklich hie und da vorkommen, so ware doch fiir
den Zusamnienhang der
o
enden St
derB
griff evavTioXcyixo; durchaus unpassend. Darum habe
ich
J. 1880 zu der Lesart
Kiihnschen Au
gabe u (nicht yjv) £vavtioAOYtx6< r^ die C
av
{k
vtxo
Vfi
mir angemerkt. Marquardts Ausgabe
lehrt dass yjv oder ti im Laur. felilt. D
allein verburgte Lesart, tarn* ouv iczic
tXoYOti
T "
wird meine Emendation e&y avTiXoyrxdc tfi als rich-
tig erwiesen3). — Nach den Worten yj xpd epucrec cpiXo
xo; cov folgt bei Gal. p. 8, 5: foov vtd x&v vOv inc1 ejmQ
zpo<r'ycypafji[/.£V(ov Xoyiov, wo TipocysypauiuiEviov vom
HVrausgebcr gesetzt wordcn ist statt des iibeiiieferten
-rrpo<TX£/j»i(x£ v<o v , das icli iieber id TrpoevYjveYf-ivcov
iindern mochte.
Pag. 10, 14: 6 arj TrXoOaioc piyjtt ouvaToc. Viel-
melir ptYjSi ouvaTo:.
Pag. 11, 23: aya-^Tov ^tfiy yjv, ei xat fj.yj
.>
ou
llpaxXiou: (au>[xa), dXXa to ye too 'A/tXXicoc t/£lv, yj
Et fji y) os toO to, to ye TOO AlavToc yj Ato^oouc yj 5\ya-
fiiavovs; yj I laTpsxAou, et os u.r\ to6tcov? aXXcov y£ Ttvcov
ayadcov tcov yjpcocov. Statt yj d [rrfA toutj ist herzu-
stellen yj d jxyj to6tou: der Genitiv tojtou, wie i
nachher heisst ei 54 ayj toOtcov (niclit taOra), und si
ay) (nicht (xy)6i) to6tou; weil es sinnlos ist zu sagen
«nieht einmal den Leib des Achilleus», jenes lleros,
der an Korperkraft als nur dem Herakles nachstehend
bezeichnet wird. Anstossig sind, wie mir scheint, audi
die Worte aya^wv twv y-ptowv. Vielleicht ist ayaftoiv
verdorben aus rjfM^ewv, wozu cwv rjpwtuv als Erklii-
rung beigeschrieben scin mag.
Pag. 17, 2: Ta ptiv xaTappatietv, ta cs. Bebcvecv,
ta os XaxTtCsiv . Richtiger xaTapaccesv, obwold die Schrei-
bung x.aTappaTTetv hiiufig wiederkehrt.
Pag. 20, 20—24: XlXexTW o' eiti rXbv iv toI4 -ept
f,dwv UTO|/.VY)|xaflrtV, o-rrtoc aaiv-ry tic a'JTYjv ipyao-aiTO,
xai coc tyjv ijlev ia-yi/v cj ypif] xaTa^aXsTv ai>Tfjc, &ctkiq
ziioi twv t'-TTtov te xat xyvwv oic /pcoa£»)a, cyjv 8' &£nc£i
dctav wc st:' exerwiiv, outw xair' a^Ty]? aTX£tv. In den
Worten o-wc aptatjjv Tt; a-jT/jv ipyacratTo ist nach c~ok
die Partikel av einzuschalten, und auc/jv beruht auf
einer unwahrscheinlichen Vermuthung Kuhns: das
handschriftliche tyjv au-ryjv ist wohl aus tyjv 'I'j/y.v ent-
standen. Die let/ten Worte haben die obige, vom
Kiihnschen Text wcsentlich abweichende Gestalt erst
den Herausnebei
o
Nach der I
des L
mochte
8
TOUtKK GMTXSXv.
Die tm^uuiYjTixYj oOvao.sc der Seele gleicht, wie G
P
city iTZTZtp xai xvvi7 aXX' 0|3
TiVJ TWV [arpUOV] YJU.£0(Uv)YJV:
ouvauivwv. Das unniitze und storende kymcdv ist zu
if
tilgen.
2) Bei Demosth. 22, 44 bieteu die meisteu uud bestea Hand- j vgl. Cobet Misc. crit. p. 523.
schriften xxv [i.iv svavTtiz Xeyetv 9/5 statt x;iv jjlev a v t tXly $tv <py
loa
Bulletin de r Academic? Imperiale
MM
Wir sullen tyjv iv yjjxlv aXoycv Sui
vajxtv bci Zeiten
niederhaltcn , bevor sic wacbst und cine schwer zu
iiberwindende Kraft crlangt (p. 22, 10): 'UYjvixaura
£av deXfynqs lrt xaTacr/cTv ai>TY)v 8uvyj<xyj, xa-
nxfTflt ©YjdretSj (foextttp yjxouo-d two: ipcov^o^ XiyovTOS
yap ouo
sdsXetv ulv uaucraffdat, jxyj Suvawdea Se,
::ap
axaXe
a^t? is
xai to Tuado; rxxo^at. Das Participium XeYOVTO? hat
Marquardt liinzugefiigt- Dies Einschiebsel kann ich
wedcr fur nothwendig noch fiir wiinschenswerth er-
achten, ja bei der oben mitgetheilten Fassuug der
Stelle ist es geradezu sinnstorend. Dcnn was vvird mit
Marquardts Einschaltung erreicht? Offenbar dies, dass
die "Worte i&IXew (iiv Turixxour&at , ur\ ouvaardai 24,
niclit dem Angeredeten, sondern deia 4pwv in den Mund
gelegt werden, dass somit ovjo-st; des tinentbebrlichen
Objectes ermangelt. Ohne Zweifel sind von o-qvue, die
Worte ideXetv f*£v tc«6ora<rd«t f«] S6vaa#ai 54 abhangig:
durcb das eingeschaltete Xiyovto^ wird diese Abhangig-
keit aufgehoben, d. h. die Stelle verdorben bis zur Sinn-
Iosigkeit. Allerdings aber liegt ein Fehler in den Worten
a><T-c.p yjxoucre twos eswvcc;. Unmoglich kann Galenus
bebaupten, irgend ein verliebter Mensch habe ihm
mitgetheilt, was der Angeredete sagen werde. Katiir-
licli muss es heissen oics.p fpcouoa tivo^ ipcovrc;, du
wirst das namliche sagen was ich aus dem Munde
eines Verliebten horte, du mochtest zwar abstelien,
aber konntest nicht. Nachdem o~io bergestellt ist, er-
sclieint die Hinzufiigung des X4y©vtos zwar als moglicb,
aber durcbaus nicht als nothwendig. Die nachfolgen-
den Infinitive fyvrftrpax und bacajaw sind abhangig von
-acaxa/io-ct; : diese Beziehung wird verdunkelt durch
die Worte tw Seofxivco, die ich fiir einen fremdartigen
Zusatz halte, namentlich des Artikels wegen. Sollte
ixetvu niiher bestimmt werden, so war zu sagen exetva
tw icwvTt, nicht aber exetvqj cw ocofiivo), denn von ei-
ner Bitte des Verliebten ist im Vorhergehenden nichts
;esagt. Ubrigens bedarf Cobets Emendation (Joyj-
xYrpzi statt der friiheren Lesart {JoTidYjcracp&ai einer
kleinen Nachbesserung: da im Laur. $Qi$rpvzcti steht,
so istzu schreiben (Joyjdfjo-at T£ xat to irado; ixxajw-
Pag. 22, 17: cj o' i'axo; ouS' eitevorwra? tzoxz toOto.
psXi
iov ouv o-ot xat vuv ivvofjaai te xai 6iaaTcit|*aerdai
itotepdv aXr^c'jco )iywv — yj (j^uSojiati Wer diese Worte
aufmerksam liest, wird sich leicht iiberzeugen dass w.1
iXXa vuv oder xav vuv bedenken. Und xav vuv
dacbt, so kann man mich auffordern es xai vuv zu
bedenken; babe ich etwas friiher nicht bedacht, so
wird die Mahnung lauten , ich moge es vuv youv oder
(oder
xav vuvi) las man vor Marquardt: das unpassende
xod vuv hat er erst in den Text gebracht. Denselben
Fehler haben die Abschreiber zuweilen verschuldet,
vgl. Crates Epist. 32: hst ouv xat vuv (1. xav vuv)
£7TaV7]XE.
Pag, 23, 14: ob yap dpxcT p.6vov dopyyjamv ayetv,
aXXa xac Xi/vdccQ xat Xayvsia? oivo<fXuyta<; T£ xai w-
ptepyta? xai <j$6vou (xp*l) xfleddtpcutw.. Schon friiher
(IarabL dc vita Pytb. p. 227) habe ich bemerkt dass
es heissen muss dopyvjertav atrxsTv. Zur Unterstiitzung
dieser Emendation geniigt es anzufiihren GaL p. 8,
16: pi oi okou tou $iou dud^tav do-xyjaavTs;, und Eur.
Bacch. 641: irpog o-g^oD yap dvopo^ oca/Mv etovpev vj-
Pag. 25, 20 — 25: ooo; V iiz auTYjv (namlich sici
ty]v tfoxppooruvTQv) sa^t Sta T^^ syxpaTstag. outco (tgutco
Marq.) yap auio^ izXtovv/^zX aco^ppcov syxpaToO?, tco
viov sfto; yj St' iyxpaTSiav, xa-ftdirsp xat ai>To Touvo(Jia
auTT]? ivoetxvuirat, ysyovo; [oirsp scrrtv] Ix toO xpaieTv
xai vtxfiv Ta? &7ccdu[jita(;. Statt mit Marquardt ysyovo^
nach £7rtdu[jitac; zu stellen, mochtc ich die Worte orap
Itftiv tilgen. Aber nicht nur diese Worte scheinen ei-
ner spiiteren Einschaltung ihren Ursprung zu danken,
sondern der ganze Passus , outco ydp atno<; izkiovixtti
acoeppcov iyxpa^Gu; bis vtxfiv id; iirt^u|xia<; ist so be-
fremdlich, dass ich nicht umhin kann die Echtheit
desselben in Zweifel zu Ziehen, Der Gedanke 'zur o-co-
<ppoa6vY) gelangt man durch die h-pLpanw1 wird in sehr
wunderlicher Weise damit begrundet, dass der uwcppwv
vor dem syxpaf/jc; den Vorzug geniesse Xt/va ioia-jjiaTa
gar nicht einmal mehr zu begehren: als ob die iyxpa-
Tcta nicht empfohlen, sondern herabgesetzt werden
sollte. Vom Adiectivum Xt/vc; ist mir keine Anwen-
dung bekannt, durch welche die Verbindung Xt/va
l84or|wtTa sich rechtfertigen liesse. Und warum werden
gerade die sSSafjurw hier erwahnt? Wenn es sich han-
delt urn rppateta und <jwcppc<T6vii , spielen die Speisen
eine ziemlich untergeordnete Rolle, so dass sie zwar
erwahnt werden konnten, nimmermehr aber allein in
Betracht gezogen werden durften. Hochst anstossig ist
vvv unstatthaft ist. Habe ich etwas schon iruher be- fernerder Gegensatz, yj Sea ib icoXuvpovtov £3o; r\ St*
405
des Sciences de Saint- Pe^ersbourg.
406
£T
j
da
d
*"XP
schwerlich ! der Lesart des Laur., gOtco oi xat ir, :wv aowv — ov
anderes gemeint sein kann als die fortgesetzte
Ubung in der Selbstbeherrschung. Was endl
wird tiber das Wort iyxparaa, es
xpaiitv xai vtxav la; £~i&uuia<; ,
uberflussi
und
nieine Annahme
der Umstand. d
treffend. Entscheidend iedoch ist fur
2r umfangreicheren Interpolate
der bezeichnete Passus den Zu
sammenhang stort , der durch Bese
der fr
&
lichen Partie wiederhergestellt wird: 68
v
pcpatscoc' eitiicovo< S' tori xat Tpay
y£ xat OLZ/aLC,, uxrrap xat oti
aAAa
Traaat Ttov xaAcov
aA
Pag
24:
£*yto <ji£v ouv airavia
Xaovzcc AsydfjO-Ea-ftat toT: 3ouAyi#
Tau: £
Yj|A£
Statt Tau^' £tpy]U£va ist zu schreiben ia i' sipyjuiva. Das
voraufgehende obtavia wtirde, wie niir scheint, besser
fehlen.
Pag. 29, 18: £<rrtv toav £vta piv avatayuvra tcov
-rratotwv, Ivia 5' at2o6[j.cva? xat ia piv fjt,vy]{jt.ovrxa7 Ta 6
ajxvTjfjLova, Ttva 8' iTTtXvjauova. Dass die Kinder nach
ihreni Gedachtniss in drei Kategorieen zerfallen sollcn,
1. ^vyjfAOvixa, 2. a(JtvY)(xova, 3. &mX^qr{xovoc , erscheint
als wunderlich; es diirfte vielmehr zu schreiben sein
1 ?'
auvyjuova xat emX^ajAOva. Gedachtnisslose Men-
schen (ajjivYjfxovs;) sind eben vergesslich (imlrppovic).
Auch aiSouaeva halte ich fiir unrichtig. Als Gegensatz
zu ivaicr^uvca wird vielmehr atofjuova erwartet. Vgl.
Aristot. Eth. Nic. 3,9 p. 1115 a 14: 6 uev yap mofyoG-
a to"/] (i. tov, o
5 0£ (XY) ^o(3oO(J.EV
«<-
av-
pi£V04 £-ni£ixT(c xat
Galenus vergleicht die Erziehung der Kinder mit
der Pflege der Gewachse. Der Landraann kann freilich
nicht bewirken dass der Dornstrauch Trauben hervor-
brinee, andrerseits aber werden Weinstocke, auch wenn
falls
nur der Natur uberlasst, eine schlechte oder
Traube hervorbringen. Darauf heisst es p. 3:
8
r%
V
uky %au&zuQy\Q} tic ~oXk
X
^py)<T',[xov £$£tc, apxiro; h, xav r\\u
8
Jf
£<£tC, ..,
:/u ty]V £&V, £/tova 8i xat dxopma; w*^ ay pi toO
Soxetv %spoOad«t 7:po£pysTat. Die unmogliche Rede-
weise y]v ca>v &ocov ficicov piv icatScuayjc dera Galenus
zuzueignen wurde der Herausgeber veranlasst durch
die fehlerhaft uberlieferte Parallelstelle XVI
gGtoq Zk xat £t Twv Z,
Tome XXXI.
,8
Nach
!> /
pitv zatosjTa;, war es nicht eben schwer das Original
herzustellen: cuto oi xai i~ tcov £<pctiv I'-rcv fxiv itat-
Pag. 32, 3: ota it ayj a/okoiCiw «Gt£v tic -cAtTtxa;
aa/o>.ia; lXx6(UVOV utc twv rsAitiov. Den Pluralis -:-
Xtttxa; aa/cAta; mit Marquardt durch den Singularis
TwXtTtxTjv da/oAtav zu ersetzen halte ich fiir ? erf e bit,
Vgl. Iambi, de vita Pyth. c. 6 § 28 p. 21, 18: qpcw-
yov Ta: KoXiTUcde? do-y ^Atac, und zahlreiclic im Thes.
Gr. L. angefuhrte Belege (aus Plat. Xenoph. Lucian.
Plut. u. aj.
Pag. 33, 17: oW oOv d-rwX^d Ttvs; txavyj ~kj-rp%i
ce xat Ti[i.Y]^ 6 7iaTY]p eftkai [xs xaia^po velv . Unpassend
ist Ttovroccttc: vielleicht genufft zavd5 aTrXcoc.
Von seinera Vater sagt Gal. p. 34, 14: toOtov ya
ixibttO TrpoJTOV 8pOV £X£tVCOV XTY](XaT(t) V , COC (JLYJ Jtttv^v
Das nnpassende, aus den nachfolgenden Morten, cb:
xai itpd^ ^a; Towcura? itpa^tt? (p. 34, 18) heraufgenom-
mene xod ist auszuscheiden. Vorher erscheint becivftw
als sinnlos: es war zu schreiben IxeTvoc,
Pas. 35. 24: Svta ulev fnamlich xTTiuia^ oux co-
vuy£< af t' aXAat Xtdot tra<rai xoauov woncep at y
A
'
oiov it cpspo'jTat
?TY]
ysvouc ETTt Ta Ta ^puaou^pf] Ttov taa^tcov yj Ttva TOpiep-
yov Ipvov lywv y) uXyj? os6p.sva Itoppwdev xojju^ofiivY];,
*r
CO
> »
f
:cov 7
;^oa£vtov (
jedoch in ovofxa^ofiivwv von erster Hand corrigirh. So
lautet der heillos zerriittete
ferung. Ob
/.
tete Text nach der Iberlie
ofj, wie Marquardt will, ii
i ^ptwoufpY] oaer in Ta ^puffou^r]
ich nicht zu entscheiden, wie ich
lindern sei
»
lich anderer Schwierigkeiten rathlos bin. Fur den
Schluss, wo Marquardt zi
schrieben hat. mochte ich
ge
fyu.
Vorher vielleicht cd t* aXkcu /
a'.
xccrjAsv
I
Til
gung der Worte
t
at
Tj
x£c o!6v ti. die ur-
*iinglich toa-^p at yuvaTx£<; ofovwa oder atcrrap at yu-
:x£; r(oovTat gelautet haben diirften.
Manche dem Wohlleben huldigende verbrauchen ,
;t Galenus. nicht nur doppelt und dreimal so viel
*
407
Bulletin «Ie lMcad^mie Imp^rlale
408
als wir, sondern sogar das funf-, zehn- und dreissig-
fache. Darauf heisst es p. 37, 7: oi 8' 6[xotco<; sjjiot Siat-
£[XOt, xarcoi
coucevcv de&fAttt, Xtmo6[ii6Vov o' avojxotto^
CYJ5 puatac cjou dukftov eto; aul^avojjiEVY);;, iizd tcov <te-
autoO ~oocoocov avaXtaxETat f/iv aot to SsxaTOv faxo?
aipc;, at Xo«cal o' svvea [JioTpat toT? UTrap/jouai 7rpo<7Ti-
devrat. Die Lesart des Law. , T?j; ouata; ou/ gxacrrov
sts;? scheint auf tyj<; ouaiac <xou xa&' sxaarov eto? zu
deuten. Durchaus verfehlt ist Marquardts Anderung
ctov ccauTou itpocroScdv statt des handschriftlichen t6>v
s^auTiov TrpoaroScov, wofur ich
vermuthen mochte.
aiv Evtaua-icov upoaoStov
Pag. 38, 22: euprjaws aEauTov ocooExa uiuptaScov av-
ftparrrtov oux dpxoOpiEvov Etvai TrXoucruoTEpov, dXXd xat
TOUTW? (3ouX6aEvov OTrspPaXecrdat xat 7cd(/.7cXouTOv iv
ttXoOtco ysvicrda* cte arauSovTa. Seltsam dass der mehr
als wunderliche Pleonasmus 7rd(jt.7rXouTov ev ttXoutco
sich auch in der vorliegenden Ausgabe unangefochten
behauptet hat, wo die Emendation ^rdtxTrpcoTov ev
ttXouto) so nahe lag, zumal \venn man die folgenden
Worte dui&ivcv iv auTapxsta irpcSTov uitapvetv (p. 38,
24) in Betracht zog. Zahlreiche Beispiele almlicher
Verderbnisse habe ich Eurip. Stud. II p. 152 f. und
Melanges Greco- Romains III p. 37 if. 289 ff. gege-
ben3), Ein neues Beispiel bietet Galenas p. 42, 22:
ypy] yap EauT& iizio 'TaT^v Em<7T*?ja*at to ye xai' apya<;?
oo-rt? £©* &xdc<r?cj) tcov 7rpaTTO[jL£vcov avauivYjaet to irapopcb-
3) Auch sonst habe ich gelegentlich einzelne analoge Falle be-
sprochen, wie Nonnus Paraphr. 9, 87:
tto'.yjv fir^Ttv zyvA\ Tr.va \y.oi xtva [Ayjtiv evn]>£tc;;
wo das zweite pwjw vielmehr [xudov lauten sollte (vgl. Melanges
Greco-Rom. V p. J55). Auf dieselbe Quelle von Verderbnissen ist
meiner Ansicht nach zuriickzufuhren die (iberlieferte Schreibung
in Soph. Ant. 483:
ufipic; 6 , itzv. oeopaxsv, rfiz osuxepa,
ioutgk; ticaevyjuv xa\ SeBpaxutav ysXav.
Schon friiher habe ich erinnert, dass derartige durch ein benach-
bartes Wort veranlasste Schreibfehler nicht selten urkundlich sich
nachweisen lassen (wie wenn bei Aesch. Prom. 389 statt Ooocouvtc
7t(xyy.poLTtX(; eBpac; geringere Handschriften xpaxotivTi ratYxpaxsTc;
thpxc, bieten). Zur Erl&uterung mogen dienen vier Stellen aus der
Schrift des Iamblichus de vita Pyth. Statt ciXko yivoq |j.£Xo7rocta<;
(T
§
\kt\oTM%^ Nur auf Schreibfehler des ersten Herausgebers kann
§
TVJ
138 p. 101,6:
}XC
voice;) ttnu Einem Versehen des Setzers und Correctors haben wir
es endlich zu danken, wenn § 149 p. 109,5 aus Ttjxvjv t<Sv decSv in
Kiesslings Ausgabe xtpiyjv tu>v TtpiSv geworden ist, wofiir ein
Doppelganger sich findet bei Ephraem 3467: evda davcov Ctux*
tijayjs (statt ta^;) evxijxou.
fi.Evov, wo zu sehreiben ist stiotttyiv smaT^o-at nach
p. 26^ 17: £T£pouc toTc; ap^ojxsvotc; iTrtcnrrjcrofjiev STroitTai;,
und p. 41, 6: eraaTy)<ja<; sauTco, xa^a7rep EfXTrpoa-dsv
£tTuov7 £Tr6irTy]v
Ttva xai TratSaycoyov
i
Pag. 39, 5: aXXa a6 ye, xav <ryr\$, tb$ ^yj\} tcX£ov
tcjv 7toXwfflv auavTcov, OUX apxso-^yjo-yj , Trsptaxi^Y] 8' au-
Ttxa [jly] it; ev aXXyj uoXst uXoucnayuspo^ £tv]? xav U7ryj-
pEToOa-av cjoi ttyy\$ xat irpo^ toutol? tyjv vjyyv xte. Fiir
tRn xav
soil der Laur. i' av bieten: was darin zu su-
chen sei, wird sich schwerlich mit Sicherheit entschei-
den lassen; auf keinen Fall aber durfte der den Ge-
setzen der Grammatik widerstrebende Optativus eFiq
werd
Pag
aXXa TuoXXa SifjXO
xa! 7ravTa^ lizita-oc
re
TCOV
X
cocpsAstav aAryiaTou
6>
:pauT
UOOV
fi
,pov lyovzai.^ TY)X
xaOxa yap *}§*) Ta 7iady] t^c 4w^^ Yju^yjxao-tv ot t:oXX(
twv avdpcoTrcov coc avtaTa
Zusammenhang
.»t*
«PX
Offenb
fordei
Die Leidenschaften zu bekampfen ist im Anfang
schwer, wird aber leichter ira Laufe der Zeit, je mehr
das Denken in uns erstarkt bei solchen Ubungen, die
eine Abschwachung der Leidenschaften zur Folee haben*
&
yap (heisst es p. 43, 21) lit [Xcysa-ccov gvtcov expa-
Tyjo-sv
6|xvaa-Tcc; tov; s.'j3y;X
v
jxaXX
xpaiYjO-Ei otTTfj^ urapoj
£V toj /pova> zpoo-ytvop.
9 -s*
1
yap
J?
c (ov eyufjivao-aTo
rcoXO ysvvato-
•r
"ZtOOC, VJZOL\y
>
E
X
Tjcei (xtxporepot^ v
f*
Das Wdrtcben sit scheint
der
lichen Stelle verschlagen zu sein: man sollte wohl eh
erwarten o-jtou
yap p.
•JLOC £Ti
die letzten Woi
ricav ovtwv ixpaTYjcrev 6 Xoyto--
Durchaus unverstandlich sind
ytyv
XwmTeXyjcrti von Marquardt gesetzt worden
statt des handschriftlichen otaraA
Galenus arg
der >
wahrend er noch unge-
4
I
iibt war, die heftigen Leidenschaften uberwand, so
wird mit der Zeit der Sieg ihm leichter werden
nachdem er selbst erstarkt, die Leidenschaften dage
gen abgeschwacht sind. Somit ergibt sich ohne Sch
rigkeit die richtige Schreibung
^yuixvao-aTO r.okb
a-£t (juxporepoti; y
b
yap
y£vva[OT£poq £<7iat, xaxdvot; StaTtaX
4) Statt fiaXXov xpaxYjcsi ist vielmehr paov xpar^dEt zu sehreiben,
entsprechend dem voraufgehenden ewoouvTa? oi»x ojaoiw; auxo
(so durfte statt aito zu sehreiben sein) x«^£~ov luecrdai TtpotovTO?
tou xp°'v°'-> P- 43,17.
409
de» Science* de Saint - P£tersbourg>
IIO
[JLEV IviOt TCOV ^EUOsX
M
or\kov ex tou TrXyjd
av Sraedov toe aXyjdcoc, £t fxyj itc yjv £v tg?; Xoycic 6f*ot-
Etv« tyjv 6[tttoti)Ta' ^acrra yap av E<p(opa>S*r; tt< ou ifi
X^ovco ^acravt^ofiivyj -pd; avopwv a^oXoytov is xat ttgX-
Xaiv. Das sinnlose caOTa ovjXov ist in der neuen Ausgabe
beseitigt durcli die einleuchtende Emendation toOt' aoyj-
Xov. Seltsam aber ist was Marquardt unter dem Texte
bemerkt: rwQT'&OTjX.* TaOra SijXov LMO ou6e TauT aorr
Xov Cob. VIII, 244». Naturlich hat Cobet ouoe tout'
aoYjXsv als nothwendig bezeichnet, dasselbe was Mar-
quardt als seine eigene Emendation dem Cobetscben
Vorschlage gegenuberstellt. Auch die nachfolgenden
Worte sind nach meinemDafurhalten in bester Ordnung,
wenn wir Cobets Besserung ■
voovw acceptiren. Die von Marquardt p. XLIII
ofjolrzcp (statt etc ou T<j>)
fene Frage (quid
cogitandum
scheint
befremdlich. Bei Sophokles lesen wir Oed
u
U.7]
»c
pv^c y' sc totoutov
.Atuo
cov
3i3©tq$, und
kein Herausgeber hat es meines Wissens fur nothwendi
erachtet das tgctgutov zu erliiutern; wie die
kleischen Worte bedeuten &c totroOfov euoO (kj3
Sopl
ff
ccrsv
SBki
besagen die Worte des Galenus
r.-
Sacravi^ojjLevyj Bcrov £pa«r«vt£eT©. Ein ande
res von Marquardt gegen
Cobet geltend gemachtes
Bedenken (quem putas pronomine it; signifi
to
sgenstandslos, da durch dessen Schreibung, wrotmp
statt it?
o
P
beseitiet wird. Wah
rend Cobet in den Wrorten xat ou au-txpa
•r *
7E
XX
einen
to
Buchstaben
Aoytov
andern
gibt Marquardt folgenden Text
xai ~avu
fand ,
fffxixpav ye v;py) vofjuCov stvat tyjv 6fxowT>jta* §acrra yap
?
xat ou 7to
XX# ypovco 3
7tp6
X6ya>v. Ob andere mit diesem gew
Verfahren sich befreunden werden, weiss ich nicht: ich
gstens halte das
statt ou gesetzte Twavu fiir
moglich. Die nach dvSpwv folgenden Worte te xai -oA-
Xwv sind im Marquardtschen Text einfach weggelassen,
ohne dass die annot. crit. von dem wirkiichen oder
vermeintlichen Emblem irgend welche Notiz nimmt.
Vorher wird in der ahnot. crit. xat ou apxpav, in der
Vorrede dag
(p. XLII zu Ende) xat <xf/.
als
Lesart des Laur. bezeichnet.
Pag. 50, 18: ou toutouc eXt^wv wcpeXyj
gvSe
tov Xoyov yjxdv' ouSs yap v. (JouXyjdETEv o'i yi rXccouc au-
twv tocpEAyj&fjvat av ct Suvyjarovrat, f^yjOE tyjv yjXexiav
httTTjoetov TauiYjv Tyjv upec. rcat$Eu<xtv e/ovcic Dass
Galenus av mit dem Indicatives (oder Inf.) des Futu-
rum verbunden habe, halte ich fiir unglaublich, ob-
wohl ich nicht im Stande bin alle von Marquardt p.
XLV f. angefuhrten Belege derartiger Verbindungen
durch wahrscheinliche Emendationen zu beseitigen.
An der vorliegenden Stelle konnte man vermuthen
wosXyjOETEv av ti (mit Tilgung des Stmprovuat), aber ein
solches Vorgehen wiirde mit Recht als gewaltthatig
bezeichnet werden. Sicher glaube ich dagegen den sich
anschliessenden Passus herstellen zu konnen, wo die
vor Ttoic itatSeuwv stehenden Worte xcwnyv irp sich
als unmoglich erweisen. Statt der Marquardtschen
Vermuthung caur/;v cyjv bietet der Laur. atcETv, was
dem Original sehr nahe kommt. Man hat eben nur den
letzten Buchstaben in atrEtv zu tilgen und die nach-
bleibenden Elemente AITEI richtig zu deuten: pjSc
TyjV YJjXtxioV ETTtTyiOE'.OV ETt "TrpOC TTaiOEUCtV E/OVTEC5).
Pag. 50, 25: TtatoEtav TETpacpftat /pyio-Tyjv. Es han-
delt sich um eine Form von ipE^w, nicht von toe-u):
somit ist CEdpsb&a* zu schreiben.
Pag. 71, 12: oY ayuu-vao-iav xat (Jpaou
rff.a. <Jw%
Das ilberlieferte ayuuvaariav ist, wie ich glaube,
nicht zu beanstanden: vgl. Lobeck Phryn. p. 509 f.
Pag. 76, 7: olz &tov EutTtfxyjo-w, — ayavaxesuat Trpoc
c^c '^EuooAoyta; atTtot,
ixe xat c-ao-tv auTOt jjlev cux Etvat
TOo-TEUTat yap efacovT! toSe ttvt, to S* aaapTy;ut.a Ixecvou
yEyovivai. Sinn und Wortstellung fordern tSoe tivi,
womit zu vergleichen wyfyfka tovSe cva p. 76, 1. 16.
rEpt touoe tooe tt ctyjyyjaa^dat p. 76,
uOvde fxot Ttva
10. 11.
Das Buch ictpl ^ujrfj? ap.apTy3u.aTwv schliesst mit den
Worten (p. 81 , 17): Tca-au-ra xat Ttspt cwv afxapTy]|xa-
twv ^pd; to rapov apxEta^co. An der Richtigkeit des
letzten Wortes zweifle ich , da apxEicrdat meines Wis-
sens bedeutet «sich an etwas genugen lassen». Obenein
AITEI
Weise
Inschrift
XEPIN wiedergegeben (vgl. Melanges Greco-Rom. Ill p. 332). Auf
derselben Unsicherheit der Orthographie beruht es, dass aus dem
Spricbwort, to xuvo; xaxov ot« axettcsv (vielleicht urspriinglich
aze'ttua oder aitETtffa;), das vermeintliche Sprichwort
avTi xaxou xuvo? uv a7tatTst<;
ntsteben konnte {vgl. Melanges Greco-Rom. V p. 246 f.).
411
Bulletin de lMcad£mic Iinperiale
413
beruht apxdo-do) nur auf einer Vermuthung : da der
Laur. ypYjo-dai bietet, so mochteich vorziehen a-no/p^axi.
Von Karneades heisst es p. 86, 6: xat [/iv ouv X6-
you^, ot? £ra/£tp£t Xu£tv xa'ra TaOia xat aXXa Trafjt/iroXXa
twv svapyw^ ti £tvat act cpatvopivwv xat raofTEUopivcav,
£Ti xat u< to6£ o-a>£ofjt£Vou; £^ojx£V. Zu Aiifang ist wohl
tou? (A£v ouv Xoycu; zu schreiben, wie bei Kuhn, viel-
leicht auch in iLlteren Ausgaben stelit. Ob nachher
emyetps? xaTaX'j£tv Tauua (rait Goulston) oder mh%
itov.
•
XGav xat tau^a (mit Char tier) oder noch anders zu
schreiben sei, lasse ich dahingestellt. Statt ivapywc %i
avat hat Marquardt ivapycdc t'elvaH gesetzt: mir scheint
das Adi. nothwendig, also twv ivapywv elvae croc oatvo-
£VCOV.
Die Worte tyjv ao/Yjv p. 88, 24 sind nicht mit svap-
> ^ <> /
yaic otpiat SfiSwd^dai zu verbinden , sondern mit den
voraufgehenden Worten. Die richtige Interpunction,
Y] TOtOUtl] SwCKOXaXw OU [XOVOV GUX EtfttV dpKTHJ T&V
aXXcov, dXXa ouSs StSaixaXia tyjv apj^vjv, findet sich in
der Kiihnschen Ausgabe.
Pag. 97, 19:
^d; (/.sy tarmac a<xxYjo"ei?, dc
adX
i
terra
fjtemvat — oi tzoXzojc, (3acrtX£T^ vojxot xfiXsuoucriv. Ga-
lenus benutzt hier eine Platonische Stelle Sympos.
p. 196 C: a a av sxcov Ixovct SptoXoyfjarv] , qpacriv ot ttq-
Xecoc; Paa-tArj; vojxst Stxata elvai, wie Plato das beruhmte
Wort Pindars, vo^o? 6 irdvrojv [JacriXsu; (fr. 169, 1),
vor Augen gehabt zu haben scheint. Ein bisher un-
bemerkt gebliebenes Homerisches Citat (Od. co 249)
findet sich bei Galenus p. 109, 16: aurdv Se oi oux
ayadyj xcjxtoyj £)<£t.
Im Gegensatz zum Ballspiel setzt Galenus andere
korperliche Ubungen (yufxvdcna) herab: cd iroXXa yap
au":cov; sagt er (p. 98, 9), dpyou; xat bizvrikobc, xat ppa-
8a; trjv yvcbtxYiv epyd^Taf xat yap xat Saroc xatd ira-
Xdrartp
av TuovcuTtv
£t
t:o
aorxyjatv 0£p£t.
Xua-apxtav jxaXXov yj dp®TYJ£
Mit Kecht ist Marquardt den Hand-
schriften gefolgt, welche *>£p« statt des gangbaren
cpipouo-t bieten: nur war demgemass das mit cpspst durch-
aus unvertragliche foot zu beseitigen durch die Emen-
dation OCTCt.
Pag. 110, 5: t'Stov }x£v ouosv ayadov xsxTijf/ivoi, da
V foe' dXXocptot? [xat] tciC; irapa iffc ti%t)$ iitatpopsvot.
Unter den fremden Gtitern, von denen hier geredet
wird, sind ta yfyuezx d. h. die Gaben der Tyche zu
verstehen. Somit ist die Copula xat ungehorig.
Pag. 110, 1
Y) £uy
ft
£<p Y]
tgTc xaxd iroXiv vo[/.tcr{jLaa-iv lopcev, a icaoa 'zoic, d-£a£vot
io-yuovuat, Trap' aXXocc £o-tc xt'3or/a. Wahrscheinlich
beruht ta-^6ovTat statt des nothwendigen io-yyowx nur
auf einem Druckfehler, wie xopuxdai; p. 25, 1. uy]o'
p. 49,7. lyyudsv p. 74, 19. xaXs; (statt xaxiv) p.
110,14. PaSt^svp. 116, 18. eTOtyyeXofA&vav p. 116, 23.
Pag. Ill, 4: xat [x£v y£ xat xacaytyvcoa-xovTat fjiaX-
Xov ot dva^tot tou y£vou;. Sollte nicht xat [/.yjv xat zu
schreiben sein?
Pag. Ill, 23: (!\.va/apcrtc) Trpo: Ttvoc ov«oi£af/&vos
cm ^dp^af
OOC £tV]
xat SxudyjCj sfxcc (aiv7 E©TJ, yj TraTpt^
ovstooc, <ju §£ t?j :ra^pt8t; Trdvu xaX&c £7:tzXy]^a? t63 f«fjd£-
vi^; d^tco [Xoyou], ptovov o' £-t t^ icanjpiSi ffEfAvuvofilvcp. £t
yap £TrtTTyia-£tac ^oTc Kptey|Aaat tov voOy, ou Gtd Tac t:6-
Xst^ sOpotc av sv So^yj ^:ou; TCoXka^ ytyvojxivouc, dXX'
auTc oyj 'Touvovtiov otd touc ayadou^ £vopou; £v TaT; t£y-
vatc xal ui«; iwrptbas au^raiv pivy)[iioveuo(iivac. Ein ver-
achtlicher oder nichtswurdiger Mensch wird wohl rich-
tiger ouosvc:; d^to; heissen als Cjoevc: dHto^ Xoyou. Da-
rum halte ich es fiir wahrscheinlich dass das nach d^tco
stehende Xoyou zu streichen sei. Statt £v oo^yj ist wohl
herzustellen £v3o^o'j;7 obgleich wir lesen bei Iohannes
Sicel. Rhet. VI p. 229, 26: a -oXXot xat -wv iv oo^yj
^•/jTOptOV 7T£pt ZoXXcO TCOlOOVtat Xat T.ZO'A-yjfJl , Titd^XOt
Trt^Y)xtoa; (vielraehr ictdvpuSdS;) xorta tyjv -apotutav. Das
oben mitgetheilte Dictum des Anacharsis kehrt wieder
im Floril. Monac. 161 : aXX' cast u.£v yj -rcaTpi? ov£too;,
<7i> §£ CYJ; Trairptoo^, wo t?) Tia'ptot zu schreiben ist.
Von Diogenes wird erzahlt p. 115, 16: £TCtco[x£vo^
0LK~
rrapa Ttvt tcov [x£v eaurou savTcav axptpcoc 7rpov£Voy}^£V^>
>
pwvoo o' iauTou ^avTaTracrtv r|fji£Ay;xsTt7 Yp£|x^d(/XVO<; coc
^ «>
cjxX
J A
tttjgtcov^ tpu £v x'jxao) 7t£ptarxo*r3Qcra5 w? ouo£v ti£V tcov
tfj<; oixca^, dyavaxToOvTc; a owtqQ [xat c/jv ahtav £pco-
tSvto?] o'jo£v £<py)a-£v opav gOtcoc; yjpt^Xyjuivov t;wv xa'ca
TYjv otxtav co; £xsTvov. Nicht /p£UL'spdiu£VG^ co: irworiov
wrar zu sagen, sondern y<p£a^da£voc xat tutuo-cov, wie
Lucian Catapl. 12: TrXaTu /p£[jL^da£vsc xat xa^wtmucra^
[jlou? und entsprechend Laert. Diog. 2, 75: dva/pcu-
^dp.£vs; tcpocrim^wg t/j &j«{. Denn das wsbeaa ist eine
naturliche Folge des y^j^wj^oa. Nachher ist das un-
geschickte Einschiebsel xat t»jv ahtav eocotwvtoc zu
beseitigen, das nach dem dyavaxTouv^c; owrou als iiber-
flussig und unpassend erscheint. Es geniigte zu sagen
dass der Angespieene seinen Unwillen ausserte; nach
der Ursache des x\nspeiens fragen hiess voraussetzen
413
des Sciences de Saint- P^lerwbourj;
414
dass Diogenes im Stande war sein Verfahren zu recht-
fertigen, was der Angespieene unmOglich voraussetzen
konnte, wenngleich Diogenes sich fur befugt hielt so
und nicht anders zu handeln 6).
Pag. 123, 15: xdv ecptxtovTat 7tgt£ ti$ tgutg (nam-
lich yyjpat;), tcov 'Ofxvjptx&v guSsv a^oktiizovKxt XtT&v,
a/iiikoi is ^uaot te, 7capa(3Xa>7ri; t' G$daXuub» aTTOTsAou-
uL&voL Was den Herausgeber bewogen hat die Worte
/coXgi
a«xoT£Xo6(jL£voi als Interpolation zu bezeich-
6) Auch an zwei anderen Stellen, wo dieselbe Anekdote sich
findet, ist die echte Fassung, wir mir scheint, durch spatere Zuthaten
verdunkelt. Laertius Diog. 6,32: EldayayovToc; xtvic; auxiv (den Dio-
genes) £tg otxov Tto'kxjTekri [xat xa)Xuovxo<; 7rxuarat], £7T£i8yj e/pepL^aTO,
£1$ TV)V 0<{uV OCUXOU £7TXU(7£V, £17T€0V /etpova X07TGV JJLY] £Up/}X£Vat.
Dass die Worte xat xcoXuovxo? 7rxticrat durchaus ungehorig sind,
bedarf wohl kaum eines Nachweises: der Cyniker spie jenen Quidam
an, nicht aus Rache fur ein sehr wunderliches Verbot, sondern weil
ef seines Auswurfs sich entledigen musste und bei der glanzenden
Ausstattung des Zimmers einen geeigneteren Ort als das Gesicht
des Besitzers nicht fand. Diogenis Epist. 38,5: £7rt<>xiv ouv jJiot
km tyjv 9apuYTa, exP£IJ-4/c^JJL"/lv* rapteXaGaq Se xi op.|J.axa £t<; xi xuxXtp,
£7t£i o7cot 7txuaat[xi [xo7rov] oux £t/ov, £t$ auxov £7rxuaa xiv v£avi«jxov.
xou 81 |j.£|JL^apL£vou £7tt xouxo), «£txa», sfujv, « ouxo; », £i7rtov auxov &£
ovojxaxoc;, «£(Ji£ i1.ljj.9y) xou y£vo}j.£vou xat ou crsauxov xouc; jj.Iv xoixoui;
xat xa eSdupv} xoauv^cravxa xou av8pcovo<;, sauxov 81 u;ovov a7ioXt7rovTa
axd(7|JiY]xov] 6*k xo £{j.7rxu£<7dat [xcopiov] £7rtx^8£tov;i> Sicherlich ist
axocu-yjxov, wahrscheinlich auch xottov und x<*>piov zu tilgen.
nen, ist mir ein Rathsel. Sicherlich aber hat Galenus
nicht ecpixcovroci geschrieben, sondern dcptxcovrat. Stati
anderer Stellen vgl. Ar. Av. 606: -&; t? ' ~ ~ '
iror' acpt^GVTat.
Pag. 125, 20: to; svt xat Yttu&vt xat &£p£t axETTEadat
SipuaTt, co; dvu-rcGOETot StaTsXav. Der Deutlichkeit wird
gedient, wenn wir statt ^upuavt xat dipti den Genitivus
/£tpicovG; xat depou; herstellen. Nachher mOchte ich
dvuTiGGyjTGt vorziehen mit L. Dindorf im Thes. Gr. L.
I, 2 p. 1049 B. In gleicher Weise habe ich nach den
Handschriften avuuGorjTGv statt gcvutcogcitov geschrieben
bei Iamblichus de vita Pyth. c. 18 § 85 p. 63, 2.
Soil die begonnene Auswahl von Schriften des Ga-
lenus ihrem Zweck entsprechen, so werden die Her-
ausgeber zuvorderst und vorzugs weise auf zuverlassige
und relativ vollstandige Mittheilung der handschrift-
lichen Lesarten ihr Augenmerk zu richten haben. Uni
den Text des Galenus seiner urspriinglichen Gestalt
allmahlich naher zu bringen, bediirfen wir vor alien
Dingen einer festen diplomatischen Grundlage: erst
wenn diese gegeben ist, kann die Conjecturalkritik
mit einiger Aussicht auf Erfolg operiren .
Paru le 10 decenibre 1886.
\
27
T. XXXI, 1° 4 et dernier
BULLETIN
IMPERI/1LE
ST.-PITEIiSBOORC.
TOME XXX I.
(Feuilks 2S -*U3G)
COITEHC.
Page.
C. Salemann. fitudes sur le moyen-persan. I t 417—450
IV. de Kokcharoil. Mursinskit , nouvcau mineral 450 — 464
v •
C. Zahalka. Sur les Phymatelles des couches cretacees en Boheme. (Avec une planche) 464 — 473
A, Karpinsky. Contributions a la connaissance geologique du gouvernement de Pskow. (Avec une planche). 473—484
Sur quelques roches metamorphiques de l'Oural contenant le graphite et le grenat. (Avec
une planche)
484—490
B. Rizza et A. Bontleroff. Sur Pasarone 496—508
Dr. Carl Schmidt. Recherches hydrologiques. XLIX 508—532
Imeheoetzky et Bouniakowsky. Sur un nouveau norabre premier, annonce par le pere Pervouchine.
Extrait d'un rapport a PAcademie
R. Warpachowsky. Notices sur les especes du genre Phoxinus qui se rencontrent en Russie
C. Salemann, Rapport sur les materiaux pour la dialectologie persane recueillis par M. V. ^oukovski .
0, Strove. La nebuleuse pres de c Orionis. (Avec une planche)
W. Radloff. Rapport prealable sur un voyage en Crimee en 1886/
Rapport sur deux notices de M. N. Katanof f contenant des materiaux pour Pctude du Sagai. . .
532-
-533
533-
-536
537-
-540
540-
-544
544-
-550
'.50-
-554 .
Ci-joint le titre et les tables des matieres du tome XXXI du Bulletin
Imprim6 par ordrc de PAcademie Imperial e des sciences
Avril 1887.
C. Vessel of ski, Secretaire perpetuel
Imprimerie de PAcademie Imperial e des sciences
(Vass.-Ostr., 9e ligne, A6 12.)
BULLETIN
UIPERUU
I
ST-PETEKSBODRG
Mittelpersische Studien. Von C. Salemann. (Lu le 28
octobre 1886.)
ERSTES STUK.
■
Ganjeshayagan, Andarze Atrepat Maraspandan, Madigane Chat-
rang, and Andarze Khusroe Kavatan. The original Pehlvi text; the
same transliterated in Zend characters and translated into the Gu-
jarati and English languages; a commentary and a glossary of select
words. By Peshutan Dastur Behramji Sanjana. Bombay
1254 = 1885. 8°.
Lange jare hindurch ruhte ein dichter nebel von
raisverstandnissen und falschen hypotheseii auf der
wunderlichen sprache, welche wir mit dem namen
Pehlevi zu bezeichnen gewbnt sind, und verhulte
dem forschenden geiste das ware wesen der selben,
bifi audi hier das licht der erkentnis durch drang.
Das sonderbare conglonierat auB iranischen, semiti-
schen und ganz unbestimbaren elementen, welches
einer der vildeutigsten scliriftcliaraktere noch geheim-
nisvoller erscheinen HeB, diser Proteus von sprache,
entpupte sich endlich, dank der
des
lb
Muqaffa', als echt iranisch, ind
iranischen bestandteile in den texten in irem waren
werte — als ideogramme
W
urden. Dise schon
i Olshausen auB
iiber
©
des
des ratsels hat No Id eke in seiner
Karnamak» (auf dessen text wir
noch immer warten) mit glanzendem erfolge weiter
von im *) und
gefiirt, und ich
nicht. daB die
Darmesteter verfochtene ansicht auf irgend
lichen widerspruch gestoBen ware.
Das Pehlevi bildet somit wirklich das lange g
mittelglid zwischen dem Neupersischen Firi
und dem Altpersischen der keilinschriften, so
mit vollem rechte den namen «Mittelpersisch» ver-
dient. Es verlonte sich darum , deucht mich , wol der
mtihe den versuch zu wagen, ob man nicht, vom Neu-
persischen als dem best bekanten reprasentanten der
daB
1) Vgl. auch GGA. 1882 st. 31 s. 961—980 seine anzeige des phi.
«Mindk i xrad» ed. Andreas und seinen artikel «Pahlavi» in der
Encyclopaedia Britannica 9th ed. vol. XVIII (1885) p. 134—136.
Tome XXXI.
neueren iranischen spraclibildung auB gehcnd, in die
lautliche gestaltung, den grammatischen und syntakti-
schen bau seiner alteren schwester, oder vihner mut-
ter, tiefer ein zu dringen vermochte, als es biBher ge-
schehen ist. Zwei vorbedingungen aber sind dazu un-
crlaBlich: eine gruudliche kentnis des Neupersischen,
besonders des alteren, und eine transcription des Peh-
levi, welche den anforderungen an consequenz und ge-
nauigkeit beBer entspricht, als die von versehen und
nachlaBigkeiten aller art wimmelnden umschreibungs-
versuche der Parsen, das so genante Pazend. Noch
weniger kan ich mich in i t der von Haug und West
ein gefurten umschreibungswcise befreundcn ; zwar
auch von anderen gclertcn an gewant, treibt sie doch
vorzugsweise in Indien ire tauben bliiten, und als bei-
spil davon muB ich leider auch das vor ligende buch
an fiiren. Dise art zu transcribieren beruht teilweise
auf der neueren traditionellen lesung der Parsen, sie
hat aber den geringen liistorischen wert, welchcn man
jener noch zu erkennen konte, giinzlich ein gebiiBt,
dank der einfiirung einer ganzen anzal unsicherer ety-
mologien, wobei das streben liberal semitisches sprach-
gut auf zu klauben zu den kostlichsten unformen fiirt.
Besonders fiir zusammen hangende texte ist dise um-
schreibung vollig ungeniigeud : sie gibt nichts weniger
als ein klares bild der originalschriftzuge, geschweige
denn der ursprunglichen sprache, in welcher die ver-
faBer dachten.
Feme sei es von mir den nutzen leugnen zu wollen,
welchen die iiberliferten Pazendtexte gebracht haben
und noch immer bringen konnen; man solte aber dabei
nicht vergeBen, daB das Pehlevi als lebende sprache
den verfaBern diser uraschreibungen, welche alle in
die zeit der herschaft des Neupersisclien fallen, vil zu
fern lag, als daB ir Neupersisch in Awestaschrift von
uns als je gesprochene sprache diirfte an gesehen wer-
den. Anderseits aber hat das conventionelle Pazend
gewis auf die Pehlevitexte zuriik gewirkt , und jene
buntscheckigkeit der biichersprache hervor gerufen,
bei welcher — ab gesehen von den ideograramatischen
28
419
Bulletin de 1* %ca<l<'ain> Imporiale
420
elementen — uralte und ganz moderne wortformen frid- 1 <jl£»Lj:>!, fxtfasfo) ne^Vn^adurxvarsed, iQoKafJaov]?
lich neben und durch einander gehen konten; ja ich i. DSIS m. ^ kavad, wv lo-Si^p^is i. YTD1P
fiirchte, selbst mancher man der Pehlevi zu schreiben m. wyo usw. Ferner findet sicji im «Farhang» ein gutes
two sapr = ^j sahr; 68, 10 y?*<?) rotastak
rostak; 84,7 »?£ mipr
gedachte hat sich dem einflufte der neueren sprache
nicht ganzlich entziehen konnen.
Dises nebeneinander von altem und neuem ists nun
gerade, waft die frage nach dem wirklichen lautwerte
des geschribenen Pehlevi nur noeh mer verwirt, und
mr werden, so scheint es, gut tun verschidene schich-
ten des iranischen sprachgutes in unseren texten vor-
auft zu setzen, ja die iiberliferten denkmaler auch
sprachlich in zwei kategorien zu sondern. Denn eine
vergleichung der sprache der inschriften mit dem
biicher- Pehlevi ergibt meines erachtens die tatsache,
daft erstere noch auf einer alteren lautstufe steht; und
soweit das mangelhafte material ein urteil erlaubt, ist
das die jenige lautstufe, welche sich auft der ortho-
graphic der biichersprache zum teil, sowie auft den zu
Arsakidischer zeit ins Armenische ein gedrungenen
lehnwortern ergibt. Als beispile fur die erstere behaup-
tung fiire ich an: inschr. riairPK mscr. *A», i. *tflK
m. w&, i. ifOl m. moo, i. /1KB1Q m. vrfe mit verdun- I spiranten Ovg^ auft phi.
kelung des wurzelvocals , i. fNTiQ m. 4»eo (Darme-
teil soldier echt persischer worter in alterer schreib-
weise mit irer neueren lesung auf geftirt, z. b. 68,9
mihr; 82, 12 ^w
steter's erklarung £tudes iran. I, 69 ist mir zu ktinst-
lich), i. wrw m. (-^), i. |*W«n m. iwj^iay . Ebenso zei-
gen die lehnworter im Armenischen noch keine spur der
erweichung; man vergleiche z. b. u,ufu,tn <&&, uiuih%[,uj^
uiuiin-
-<?e>, tupw«> vA», Xw[*u{ e>^, und vile andere, welche das
auftsehen haben als seien sie buchstablieh umschriben.
Nennen wir dises die Arsakidische lautstufe des Mit-
telpersischen , so ist auch die jtingere, Sasanidische ,
nicht weniger gut bezeugt, und zwar durch die syri-
schen und griechisclien schriftsteller sowol, als durch
die lesungen des «Farhang i pahlavi»
2
Man vgl.
yA&jz] ^*e>» awistak, _«»»*£>5o^ 'Aosp(Jiyavov ir^oN^e)1
atinak
(geschrieben ^kt s. u.) = <w ayenak usw. Naturgemaft
erweist sich hier der lautbestand des alteren Mittel-
persischen noch fast ganz frei von dem einflufte jener
lautschwachungen, welche, wol schon vor der zeit der
Sasaniden beginnend und immer weiter um sich grei-
fend , so zersetzend auf die neueren dialekte ein ge-
wirkt haben. Die aufterst mangelhafte schrift konte
disen lautlichen veranderungen in nur ser geringem
mafte auftdruk verleihen, und daher miiften wir die
rechtschreibung des Pehlevi eine vorherschend histo-
rische nennen. Einen weiteren beweis fur dise laut-
lichen vorgange im jiingeren Pehlevi gibt wis die
Awestaschrift3) an die hand, deren spate entstehung
wol von keinem mer an gezweifelt wird. Wenn die aw.
entstanden durch an-
fugung des aspirationsstriches , und auf anliche weise
? e>
<Teb auft 3 (?<«) Qj^ oder andere zeichen auft ligaturen:
ny auft -^ , eM~ auft e», £ auft « (?), ts> auft p in, —
so
konte dift ja nur geschehen zu einer zeit, wo der ur-
sprungliche lautwert der grundzeichen sich in verschi-
dene verwante laute gespalten hatte. Keinem Englan-
der wiirde es je ein fallen die gruppe ch fur *, oder
keinem Deutschen
die gruppe sch fur J^ zu verwen-
2) Ich citiere nach dem abdrucke in meiner «Parsenhandschrift»,
and mag bei erwanung dises schriftchens die gelegenheit nicht vor-
tiber gehen lafien, wenn anch etwa(3 spat, zwei versehen zu ver-
befiern. welche ich mir in dem selben habe lafien zu schulden kom-
men. Zuerst sei coastatiert, daB schon Spiegel das von mir behan-
delte manuscript in handen gehabt hatte (Commentar iiber das Avesta
II 478); ta*ner. daB ich nicht umhin kan Justi's berichtigung meiner
falschen angabe uber die von im benuzten handschriften des «Far-
hang» (GGA. 1882 s. 1083 N) als vol berechtigt an zu erkennen: da
ich aber zur zal der «eingeweihten» mich rechnen zu diirfen nicht
die ere habe, so wird der geerte herr professor es mir schon zu gute
haltenmii Ben. wenn mir der freundliche sin seiner sch lufibemerkung
noch bifi dato dunkel gebliben ist.
den, wenn nicht ire schreibung hinter der lautent-
wickelung zuriik gebliben d. h. eine historische ge-
worden ware.
Bei diser sachlage diirfen wir kaum hoffen, auf den
ersten anlauf eine lautliche form des Mittelpersischen
reconstruieren zu konnen, welche, al den unendlichen
variationen und den mannichfachen eben auft einander
gesezten bedingungen rechnung tragend , ganz con-
sequent durch geftirt und in sich ab geschloBen ware.
Wir muBen uns bescheiden, sie etwa fur die zeit der
lezten Sasaniden zu fixieren, und zwar in der weise,
daB unsere widergabe den tibergang des Mittelpersi-
3) Warum ich in den obigen auftfiirungen von tie La garde's neu-
esten «Bemerkungen zur Awestaschrift » (Gottg. Nachr. 1886 M» 4
p. 158—168) in wesentlichen punkten ab weichen muste, sol in eincm
folgenden stucke diser Studien dar gelegt werden.
, \
421
des Sciences de Saint -Pc'tersbourg.
422
mm
Neupersische nicht al zu schrof
schen ins
laBt. DaB dabei dem individuellen gutdiinken cin nur
zu weiter spilraum bleibt, ligt in der natur der sache;
doch mit geeinten kraften rauB sich das zil wenigstens
an nahernd erreichen laften: und so sei denn der ver
such einer solchen uinschreibung, wie icli in weiter
unten zu geben wage, der strengsten kritik der sacli-
verstiindigen empfohlen.
Nach diser etwaB weitlaufigen einleitung scheint es
wol an der zeit zur besprechung des am kopfe genan-
ten buches iiber.zu gehen, welches wir als die neueste
bereicherung der an gedrukten texten so armen Peh-
leviliteratur mit der grosten freude begruBen konnen4).
Wenn in den folgenden zeilen ich hie oder da einen
widerspruch gegen die ansichten und die methode des
gelerten herauBgebers laut werden laBen muB, so sei
er versichert, daft es lediglich im interesse der uns
beiden teuren sache geschah. Mogen die einheimischen
gelerten, welche die so lange unzuganglich geblibenen
schatze irer alten schriften zu huten berufen sind, auf
dem gliiklich betretenen wege fort schreiten, und uns
nur immer weiter mit neuen texten beschenken. Es ist
gewisser maften die nachste pflicht, welche sie, auch
in irem eigenen interesse, zu erfullen haben, — an uns
anderen aber ligt es, daB das freundlich mit geteilte
material dankbare benutzer und freudige bearbciter
finde.
Der als herauBgeber des «DtJnkard» schon riimlichst
bekante dastur Pe§6tan Behramji Sanjana be-
schenkt uns in disem bande mit vier wertvollen texten,
von welchen drei biBher nur dem namen nach bekant
waren, warend einer in neuer verbeBe/ter gestalt er-
scheint. Der band zerfalt, nach je zwei blat titel und
dedication in englischer und guzeratischer sprache, in
lauter einzelne teile in verschidenen sprachen, welche
alle leider besonders paginiert sind. Zuniichst in Gu-
zerati: Vorrede 17 pp., Ubersetzung des (I) «Ganj i
sayakan» 31 pp., des (II) «Andarz i Adurwiu]» 10 pp.,
des (III) «Madikan i catrang» 5 pp., des (IV) «Andarz
4) Diser aufaaz war schon langst geschriben (zu weihnachten
1885) und der redaction eiuer fachzeitschrift ein gesant, als mir
Darmesteter's anzeige des bucbes in der Revue critique, N. S. XXI
(1886) A? 1 p. 1—8, zu gesicbte karo. Da doit die beiden ersten stiicke
ein gehender behandelt sind, so geniigt es auf disen artikel zu ver-
weisen. welchem der meinige zur ergauzung dicnon mag.
i Xusrov i Kava<Jan» 3 pp.; Drukfeler 1 p.; — in
englischer sprache: Preface XXI pp., Preface to the
English translation 1 p.; Translation I 34 pp. II 1 1
pp. Ill 5 pp. IV 3 pp.; Errata 1 p.; — dann folgt ein
pehlevi-guzerati-cnglisches glossar 22 pp.; — feruer
von rechts gezalt, in Pehlevi: Titel 1 p. I n pp. II 1
pp. Ill o pp. IV r" pp. Errata r" pp.; — zulezt die
transcription in Awestaschrift : I r"A pp. II IP pp. Ill
v pp. IV r pp. Errata r* p.
Die vorrede berichtet iiber die abfaBungszeit und
den inhalt der edierten texte, gibt notizen iiber Chus-
rov Anosirvan und seincn vezir Buzurgmihr, und iiber
die benuzten handschriften; wir werden ir weiterhin
einiges zu entnemen haben.
b
Die erste und umfangreichste schrift «Ganj
i sa-
yakan», deren abfaBung wol vil zu friih, in die zeit
Chusrov's I (reg. 531 — 579 A. D.), gesezt ist, ent-
0 0 1 »
halt die weisheitsleren des Vazurgmihr (^*jJjI), ein
in der orientalischen literatur ser beliebtes und oft
behandeltes thema. Haggi Xalfa IV p. 175 nr. 8015
berichtet, ein phi. buch des gleichen inhalts, welches
<uijji>L betitelt war, sei unter dem Samaniden Nuh b.
Mansur (365—387 A. H. 976—997 A. D.) von Ibn
Sina ins Persische ubersezt worden. Doch scheint es
fraglich, ob diB das selbe <uU>k ist, welches Schefer
ini ersten bande seiner Chrestomathie persane5) ab
gedrukt hat, wo sich auch p. 4 notizen iiber zwei tiir-
kische ubersetzungen des biichleins finden. Auf mich
macht Sehefer's text den eindruk eines auBzuges,
besonders da ich eine volstandigere redaction in des
H'amdullah i Qazvini CAj y fij L" 6) nach weisen kan
{ji^jjyi Jj\ V^ j' fij* J-**)* Disc redaction stimt,
5) Es findet sich auch im British Museum Add. 8994, vgl. Rieu
I 52b. Sachau Coutributions to the knowledge of Parsee literature
JRAS 1870 n. s. IV, p. 278 (50).
6) Der anfang dises werkes (biB 11,2 ^LpLi^Lj y's j*
/jLjLj incl.) im grundtexte und ruBischer ttbersetzung, nebst ei-
ner fleiBigen biograpbisch-bibliographischen einleitung, ist als hie-
sige doctordissertation gedrukt worden unter dem titel: ccHcropHie-
CKia n3B.ieHeHifl» aBTopa KaM^y-ow Ka3BHHCKaro. Ci> npe^HCJiOBieifb
o6t> HCTopn*iecKHX'& HCTOHHiiKax-b h npn6aBjieHieMi» TeKCTa e& ne-
peBOAOMi, T. Mejibry,HOBa. CII6. 1873. 8°. tit. ind. LXXXI. |F* u.
106 pp. Der tod Melgunow's verzogerte die herauBgabe seines
werkes, welche villeicht doch noch bewerkstelligt werden kan. Mem
exemplar verdanke ich der liebenswirdigkeit eines fruheren zu-
horers, hrn. mag. S. Oldenburg, der mich auch auf die uber-
sehenen notizen bei Sachau und Anquetil aufmerksam ge-
mftcht hat.
28*
433
Bulletin de l'Acade^mie Iiii|>c*riale
424
so vil ich sehe, mit unserem texte fast gar nicht fiber
ein, eben so wenig wie die dem selben weisen be
t A.
Masudi II 206 zu geschribenen zwolf sentenzen.
V
Ganz anders stehts mit dem «Sahnama». worauf der
herauBgeber schon selbst
ffirt (VI, 291 der kleim
merere siitze fast wurtlich
I
Mohl'schen
&
daB
mu ten mochte, im habe, wenn nicht das original selbst,
so doch eine gcnaue ubersetzung des selben vor ge-
legen7). Ferner entneme ich der vorrede, daB eine
zimlich getreue widergabe unseres textes enthalten sei
im s
Ji,L («printed and
U'^j
Yezdezardi year 1246 by Mr. Manekji Limj
Rieu II 441 kent dise auBsabe
©
Hataria»8)p. 49— 66:
nicht). Das vor ligende werk, auch «Kurnamak i Va
zurgmihr i B6xtakan» benant, ist zuerst von Hau{
Essa}
«Pahl
worden (nach der handschrift
S
A. Y. 691
1322 A. D. in
der bucherei des dasturs Jamaspji zu Bombay, deren
inhalt ib. p. 1
111 auf gezalt wird), und
sich auch unter seinen handschriften in Munch
As 16,1) unter dem titel «Pandnamak i Vazurgmihm
Dem herauBgeber stand en drei and ere handschriften
zu gebote: eine datiert Samvat 1067, die andere da-
tiert A. Y. 1131, beide im besitze des dasturs Edalji
Dorabji Rustamji Sanjana, die dritte datiert A. Y.
1148 in einem sammelbande der bibliothek des «Parsi
PanchayaU zu Bombay. Alle drei handschriften sind
der reihe nach von einander copiert.
Der zweite text ist hier «Andarz u frahang i ano-
akroviin Adurwad i Marspandan» betitelt. Es ist die
selbe schrift, welche Sheriarjee Dadabhoy 1869
in Bombay als Haug's Prize Essay berauB gab, und
von welcher im jare darauf bei Triibner & Co. in Lon-
don eine englische ubersetzung erschin (vgl. de La-
garde GGA. 1870 p. 1441 ff.=Symmicta I 24
50).
Eine fliichtige vergleichung beider texte zeigt, daB der
7) Darin e st eter, 1. c, zieht auB einer genauen vergleichung
beider texte den schluB, Firdausi habe noch Pehlevi verstanden.
8) I ber disen verdienten vertreter des Parsen turns in Teheran
vgl. W. Zukowski im HtypH. lira. Hap. IIpoeB. 1885, «r. CCXXXVII
ota. 2 CTp. 77 — 94: «0 nojioHieniii Te6pom> bt> IlepciH«, wo er
MaHTKiu genant wird.
9) Villeicht ist die «R(''ptjnse d'Aderbad Mahrespand au roi des
Perses» cod. Anq. VII pag. 254 (Anquetil ZA. I, 2 p. xx = Kleu-
ker ZA. I p. xxvij und Spiegel Einleitung II p. 135) ein fragment
des Pandnamak; Miiller's abschrift discs textes findet sich in der
K. Hof- n. Statsbibliothek zu Miincben als Cod. or. mixt. 8 (Cat. I, 4
p. 130).
neuere wol beBer ist, besonders, waB die saztrennung
an geht; doch werden noch andere handschriften
hinzu gezogen werden miiBen, um einen lesbaren text
her zu stellen. Haug 1. c. weist das werk in dem oben
erwanten samraelcodex nach, und in seiner eigenen
samlung befinden sich zwei abschriften: JV?. 16, 2) und
JVs 17, 1). Wenn er ebenda 110, 111 die meinung auB
A
spricht das andere dem Adurwad i Marspandan zu
geschribene schriftchen «Madikan i si roz» bilde vil-
leicht die fortsetzung unseres « Pandnamak », so wird
diser gedanke auch durch die neue auBgabe nicht be-
statigt. Welche und wie vile handschriften der herauB-
geber benuzt habe, das hat er zu melden unterlaBen.
Die beiden folgenden stticke sind bedeutend kiirzer.
Das «Madikan i catrangw behandelt die einfiirung des
schachspiles auB Indien und die erfindung des nard-
spiles durch den schon oben genanten Vazurgmihr,
und bietet einen recht guten text. Auch dise erzalung
findet sich bei Firdausi VI 306 ff. und im J*s?
A>)yJl JAs3XIVp,119 und 139. Zwei handschriften
dises traktates wies Haug 1. c. Ill nach; der herauB-
geber konte drei benutzen, zwei auB seiner eigenen
samlung, datiert A. Y. 627 und 1131, und eine in
der bibliothek des erwanten Parsi Panchayat, datiert
A. Y. 1148. Wie er uns ferner mit teilt, ist seine
Guzeratiubersetzung diser erzalung zuerst 1854 im
augusthefte eines journals «Jagatpremi» erschinen.
BiBher auch noch nicht in den bibliotheken Europas
nach gewisen ist das lezte schriftchen «Andarz i Xus-
rov i Kavadan» d. i. Anosiravan. Obgleich in diser
recension der konig, als er zu sterben kam, seine guten
leren den «leuten» («gehdnikan», die ubersetzung hat
« minister noblemen ») vor tragt, so findet sich doch
manches an klingende in den ermanungen des selben
an seinen son Hurmuz IV bei Firdausi VI 391 ff.
und Mas udi II 208. Haug kante disen traktat nur
auB der unter I erwanten alten handschrift, der her-
auBgeber benuzte zwei undatierte copien, deren eine
im selbst gehort.
Der Guzeratisprache nicht machtig, kan ich mich
fiber die vom herauBgeber verfaBte ubersetzung nicht
auB sprechen; bei der beurteilung der englischen fiber-
setzung aber, welche Hirji Pestonji Wadia zu ver-
danken ist, darf nicht vergeBen werden, daB sie nicht
auf dem originaltexte beruht, und daher mer einer
425
des Sciences «le Saint- Petcribourg.
426
paraphrase anlich siht, als einer von streng philolo-
gischem standpunkte auB unternommenen reproduc-
tion der urschrift. Fiir schwirigere stellen ists mir
daher kaum moglich zu entscheiden, wie der herauB-
geber selbst den grundtext construiert und auf faBt.
Eine gute hilfe in solchen fallen konte das bei gege-
bene worterverzeichnis leisten, wenn es nicht bloB ein
«glossary of select words» ware. Es ist aufrichtig zu
bedauern, daB der gelerte herauBgeber nicht dera bei-
spile seines oben erwanten vorgangers Sheriarjee
D ad a b hoy gefolgt ist, und kein volstandiges ver-
zeichnis aller in den texten vor kommenden worter
mit stellenangabe gelifert hat, sondern nur ein supple-
ment zu seinen worterlisten beim «Denkard». Hier so-
wol wie dort ist mir das bei der auBwal befolgte prin-
cip nicht ganz klar. denn wortern wie V»ys>*i», &*<\
<?-><?ej, W* u. dgl. erwartet man nicht gerade hier zu
begegnen. Ferner kan ich auch nicht umhin gegen
manche der gebotenen erklarungen und etymologien
einspruch zu erheben, da sie wol geeignet sein diirften
schwache gemiiter irre zu furen. Fiir leztere behaup-
tung nur ein beispil. Unter ?\j$$r lesen wir: this
word is composed of the Chald. j"TC {jjc (sic), very
precious and persian ^j a stone and means «a precious
stone» i e a diamond or a gem. Dergleichen erkliirun-
gen, auch gut persischer worter, finden sich nicht
selten, wobei die in quadratschrift wider gegebenen
semitischen worter meistens so ser durch drukfeler
entstelt sind, daB erst die nebenan stehende arabische
transcription auf die richtige lesung fiirt. Bei einer
kunftigen iinlichen arbeit wiirde es sich als zwekdien-
©
licher empfehlen das etymologisieren ganz bei seite zu
laBen, und lieber anstat dessen die notigen belegstellen
auf zu furen.
Es ligt mir nun ob, ein specimen von der art und
weise zu geben, wie ich mir nach den obigen auB-
furungen die transcription eines Pehlevi-textes denke.
Ich wale dazu die beiden lezten der in der eben be-
sprochenen auBgabe enthaltenen texte, teils ires gerin-
geren umfanges wegen, teils aber weil sie der recon-
struction und iibersetzung keine al zu groBen schwi-
rigkeiten entgegen stellen. In betref der im folgenden
an gewanten umschreibung bitte ich aber beachten zu
wollen, daB bei der auBwal der zeichen docli wol ei-
nige ruksicht auf die urspningliche schreibweise zu
nemen war; denn wie eine tote sprache gelautet habe,
laftt sich ja doch nur annahernd bestimmen.
Das vocalsystem des Mittelpersischen konnen wir
getrost als mit dem des alteren Neupersischen identisch
an setzen. Fur die grammatik genugt es a 10), i, u nebst
iren liingen, e und 6 zu unterscheiden; der diphthong
ai ist iiberauB selten, und fiir np. ^1 (noch jezt ow ge-
sprochen) finden wir_j> ov und e» ow11), welche ich wie
an gegeben umschreibe. Endlich habe ich in der 1 sg.
praes. nach dem vorgange des Pazendom belaBen 12). Bei
den consonanten: k (k) x g y, 6 j, t d (d) d n, p f b w
(vgl. jiidisch-persisch 5 alt j) in, j r 1 v, s z § 2, h ge-
niigt es zu bemerken, daB d dem paz. e^ np. S (nach
vocalen) entspricht, und k d (nach consonanten) w z
y
die erweichten ^aay auB drucken sollen. Z fiir o^
schreibe ich aber nur da, wo im Neupersischen j (nicht
entspricht: schon im inschriftlichen f&O1?!"! z. b.
muB e^ einen mittellaut zwischen j und J, oder lezte-
res selbst bezeichnet haben, denn wie solte ap. vaz-
raka fiber *vajrak oder gar *vacrak zu np. JJJj
geworden sein? Auch g fiir erweichtes altes k zu
schreiben mochte ich mich nicht entschlieBen , eines
umstandes wegen , dessen erkliirung uns die herren
Arabisten werden geben konnen. Warum namlich er-
scheint pers. g (J = ^ , im auBlaute 0) in arabischen
schriftwerken bald als j (il) bald als <>? Es scheint
einmal, als ob wir an nemen mtisten, daB solche worter
auf mundartliche verschidenheiten des Persischen hin
deuten, wie noch zu classischer zeit sowol v£li) als
JilJ, S^yj und aj*j u. dgl. geschriben und gesprochen
wurde (vgl. ^j^-^j 0^>J> I, 8 und Blochmann's Con-
tributions to the Persian lexicography JASB. 38 I
(1869) p. 34); andererseits kan man sich aber auch
dem gedanken nicht verschliefien, daB villeicht das
arabische » selbst zu einer gewissen zeit oder bei ge-
10) DaB die Armenier in einigen wurtern far im Mpers. vorauO
zu setzendes a £ schreiben, zeigte Hiibschmann ZDMG. XXXV
174; doch sind der beispile vil zu wenige, als dafi wir bei der lesung
des Phi. darauf ruksicht nemen diirften.
11) Ich verwende die zeichen v tp und w £>faltem herkommen
gemali in urn gekertem sinne wie Lepsius. Dagegen habe ich das
j wider in seine alten rechte als consonant zu i ein setzen zu mtiBen
geglanbt.
12) Fur altes ahmi lese ich aber ham, denn $$?> wechselt mit ».
497
Bulletin de 1' Academic Imperiale
wissen stammen noch wie g habe lauten konnen , also
volkommen dem pers. J entsprach. Dazu lialte man
sich vor, daB pers. ? im Arabischen durch
U°
wider
gegeben wird, nicht durch * j, welches nach der land-
laufigen auBsprache im doch bedeutend naher steht.
Spater nattirlich trat die analogie und die an genom-
mene schreibweise in ire rechte, und jedes pers. J (0)
wurde mit » umschriben; ja die lezten consequenzen
diser sitte haben die Perser selbst gezogen, in iren
oUi-iyJ u. dgl. Zur entscheidung der
misbildungen
oben auf geworfenen frage bedarf es aber einer ge-
nauen und volstandigen samlung der ins Arabische auf
genommenen persischen worter, mit bestimmung des
alters und der heimat der schriftsteller ,
die selben sich zuerst nach weisen laBen
zwreifel durchauB dankenswerte aufgabe.
bei
erne one
Wie nun auch das urteil uber den hier vor gelegten
versuch auB fallen moge einen Pehlevi-text in der form
dar zu stellen, wie er gesprochen, nicht geschriben
wurde, eines hoffe ich wird mein wagesttik zur geniige
sowol die textkritik als
*
das grammatische und lexikalische verstandnis der
sprache auB solchem tun nutzen zu ziehen vermOgen.
Die folgende iibersetzung ist moglichst wortlich ge-
halten.
zeigen konnen, namlich daB
A.
Madikan1) i Catrang
Die geschichte vom schachspil.
Im namen Gottes.
rai, catrang e" juxt7) sanzdah tak8) az uzumbrud9) u
10
Pa nam i jazdan. 1. fidun govend ku: andar xvada- 1. Also erzalt man, daB unter derherschaft desChus-
jih i Xusrov2) i Anosakrovan, ka3) Dewsarm4) i va- row An6scharuwan,alsbewsarm, der groBe beherscher
zurg sahrjar5) i Hindukaniha 6) , awar ozmudan i xrad der Inder, um den verstand und die weisheit der Ira-
u danakih i £lran§ahrikan , u sud-ic i xves nikiridan nier zu prlifen und auch der waning seines eigenen
vorteiles wegen, ein spil schach, sechzehn (steine) auB
Sanzdah tak az jakand10) i suxr kard, fristad11) — smaragd und sechzehn auB rotem rubin geraach
awak an catrang haziir u du sad usturbar zarr u asim sante, — er mit jenem schachspile tausend zwei hun-
u gohar u murvarid u jamak, nuvac] pil, vas12) cisi dert kamellasten gold und silber und edelsteine und
madiki13) kard, awak fristad; u Taxtaritus u), cun andar perlen und gewander, neunzig elephanten, fiir welche
Hindukan pa-vi2in 15) bud, awak fristad. U pa *parva- dinge ein register gemacht worden(?), mit schikte; und
v
nak16) edun niwist estad ku: awajM 17), cun suma nam da Tachtaritus unter den Indern der auBgezeichnetste
pa sahansahih [dared
r
18) pa ama hamak sahan sah war, sante er in mit. Im begleitbriefe aber stand also
hed, awajed 17) ku danakan 19) i suma az an i ama, da- geschriben : da ir den namen konig der konige ftirt
naktar b^nd: agar cim 20) i in catrang [ne]21) vizarM, und iiber uns konige alle konig seit, so zimt sichs,
angasas sak u baz fristed. daB eure weisen weiser als die unsrigen seien: wenn
ir nun den sin dises schachspiles nicht herauB bringet,,
so schikt dafur tribut und zol.
.2. Der grofikonig erbat sich drei tage zeit, doch es
&
SaMnsah si roz zaman xvast, u eci kas ne bud
danakan i £
ki
&
ijist
3. Sidigar rbZ Vazurgmihr i B6xtakan22) awar 6
j estad, vas guft ku: anosak bed! man cim i in cat-
ig tak im 2S) r62 az an cim raj be ne vizard, tak suma
lar ki pa firilnsahr hed be daned, ku 24) andar £ran-
sahr mard man dan
baz a/ D
irdan war niemand unter den weisen Irans, welcher den sin
jenes schachspiles herauB zu bringen vermochte.
3. Am dritten tage erhob sich Wazurgmihr auB der
familie Bochtak und sprach: seit unsterblich! ich habe
den sin dises schachspiles bifi auf den heutigen tag
auB dem grunde nicht erkliirt, damit ir und ein jeder
der in Iran ist wiBet, daB unter den leuten Irans ich
der weiseste bin; ich wil den sin dises schachspiles
420
des Sciences de Saint - Petersbourg
430
u han 26) eci cis e 27) kunom, 6 Dewsarm fristom i as28) leichtlich losen unci tribut und zol von Dewsarm nc-
vizardan ne tovan, azas du barak sak u baz girom; u men; und wil noch ein anderes ding machen und dera
pa in aweguman bed ku suraa pa saMnsahih arzanik Dewsarm senden, welches er niclit herauB bringen
lied, u danakan i suma28 ) az an i Dewsarm danaktar kan, und von im doppelten tribut und zol nemen.
hand.
Und dessen seit sonder zweifcl, dafi ir des groBkonig-
tumes wirdig seit, und daB eure weisen weiser sind als
jene des Dewsarm.
4. Sahansah si bar guft ku: zihi29) Vazurgmihr i 4. Der groBkonig sprach: heil Wazurgmihr unserem
Taxtaritus i ama; vas duazdah hazar diram 6 Vazurg- Taxtaritus ! und befahl zwolf tausend dirhems dem Wa-
mihr framud dadan.
Roz i dudigar30) Vazurgmihr Taxtaritus
A V
pes
guft
31
zurgmihr zu geben.
5. Des anderen tages berief Wazurgmihr denTach-
taritus vor sich und sprach: Dewsarm hatdisesschach-
daj kard, spil anlich der ordnung des krieges gemacht, und dem
dasnak humanak, fra- anlich zwei oberherren gemacht, den konig anlich dem
k, u asp 6 asovaran mitteltreffen(?) zur linken und rechten, die konigin an-
sardar humanak, pijadak 6 an i ham pijadak humanak lich dem hauptmanne der wagenkampfer, und den
springer anlich dem hauptmanne der reiter, die bauern
sah
ku: Dewsarm in catrang pa cim i k
kard, vas humanak du
zin 6 artestaran sardar hu
Azas
33
Taxtaritus catrane nihad
Va^ur
u Va
duazdah dast
anlich jenem selben fuBvolke, (das) das vordertreffen
mad.
Taxtaritus burd: padas vazurg rami§n 6 hamak kisvar [bildet: laufer und turm felen]. Danach stelte Tachta-
ritus das schachspil auf und spilte mit Wazurgmihr,
und Wazurgmihr gewan dem Tachtaritus zwolf spile
ab: darob kam groBe freude uber das ganze land.
6. Pas Taxtaritus awar 6 paj estad, vas guft ku: 6. Darauf erhob sich Tachtaritus und sprach: Seit
ano§ak bed! jizad34) in varz35) u farr u amavandih u unsterblich! Gott hat solche herlichkeit und majestat
perozkarih 6 §uma dad, £ran u Aneran xvadaj hed. und macht und sighaftigkeit euch gegeben, ir seit
(warlich) herr iiber Iran und Aniran.
7. Merere weise der Inder haben dises schachspil
zusammen gestelt mit viler rauh und sorgen, hielier
gesant und auf gestelt (?), und niemand war im stande
es zu erklaren; (nur) euer Wazurgmihr hat es dank
V
Cand tak danakan i Hindu!
had
30
) u ranj, 6 in jak87) fristac] **) nihad,
vizardan ne tovan bud; Vazurgmihr i §
A 39) i xves edun xvariha. u sawukiha be
and xvastak 6 ganj i sahansah ves kard. seiner angeborenen weisheit so leicht und rasch her-
auB gebracht, und so vile reichtumer dem scbatze
des groBkOniges hinzu gefiigt.
8. Der groBkonig berief am anderen tage den Wa-
8. Sahansah dudigar roz Vazurgmihr 6 p£s xvast,
vas 6 Vazurgmihr guft ku: Vazurgmihr i ama,
V A
ci
zurgmihr, und sprach zu Wazurgmihr: 0 unser Wa-
hast an ci§ i am guft ku kunom u 6 Dewsarm fristom? zurgmihr, waB ist jenes ding, wovon du mir sagtest:
ich wils machen und dem Dewsarm senden?
9. Vazurgmihr guft ku: az dahjowadan i andar in 9. Wazurgmihr sprach: Unter den herschern in
hazarak Ardasir40) kardartar u danaktar bud, u Nev- disem jartausende war Ardaschir der tatigste und wei-
Anlasir41) e juxt7) pa nam i Ardasir nihom: taxtak i seste, und (daher) setze ich ein spiel New- Ardaschir
Nev-Ardasir 6 Spandarmad zamik42) humanak kunom; auf nacli dem namen des Ardaschir: das bret des New-
u sih muhrak 6 sih roz u sawan43) humanak kunom, Ardaschir [nard oder trictrac] mache ich gleich der
panzdah i sped 6 roz humanak kunom u panzdah i sjah erde Spandarmadh; und die dreiBig steine mache icli
6 saw humanak kunom; gardanak 44) i e tak 6 vardisn gleich den dreiBig tag und nachten, die fiinfzehn wei-
i axtaran u gardisn 45) i spihr 46) humanak kunom.
Ben mache ich dem tage gleich, und die fiinfzehn
schwarzen mache ich der nacht gleich ; die bewegung(?)
431
Bulletin de l'Academle Impcriale
432
jede
gleich der bewegung der
10. Kvak awar gardanak edun humanak kunom ku
Ohrmazd evak hast; har nevakih 6i daij.
le und gleich der umdrehung des firmament es.
0. Einen (stein) an bewegung (?) mache ich dem
zh, wie Ormazd einer ist; alles gute hat er er-
schaffen
11. Dii edim humanak kunom cun minok u getik
47
1 1 . Zwei mache ich dem gleich , wie himmel und
erde.
12. Drei mache ich dem gleich, wie gute gedanken
worte werke und denken reden handeln.
13. Cahar ec]un humanak kunom cun cahar ame- 13. Vier mache ich dem gleich, wie die vier tem-
12. Si edun humanak kunom cun humat huxt hu-
varst u minisn govisn kunisn.
zisn 48
ki mardum azas, as 49) cahar suk i gehan: peramente, auB welchen der mensch (besteht), und die
vier seiten der welt: ost und west und sud und nord.
14. Fiinf mache ich dem gleich, wie die fiinf lichter,
cun xvarsed u mah u starak u ataxs u varzak i az as- wie sonne und mond und sterne und feuer und der
xvarasan u xvarbaran50) u nemroz u awaxtar..
14. Panj edun humanak kunom cun panj rosanih,
man ajed, u panj gas i roz u saw
51
glanz, welcher vom himmel komt, und die fiinf zeiten
von tag und nacht.
15. Sas &Juu humanak kunom cun dadan i dam pa 15. Sechs mache ich dem gleich, wie das erschaf-
sas gas i gasanbar.
fen der schopfung in den sechs zeiten der Gahanbare.
16. Nihadak i Nev-Ardasir awar taxtak 5-) edun 16. Die aufstellung des New-Ardaschir auf dem
humanak kunom, cun Ohrmazd xvadaj kas dam 6 brette mache ich dem gleich, wie als Ormazd der herr
getik dad.
die geschopfe auf die welt sezte.
17. Vardisn u gardisn i muhrak pa gardanaki edun 17. Die hin- und herbewegung der steine imlaufe(?)
humanak kunom cun marduraan i andar
getik
boj 6 mache ich dem gleich, wie der menschen auf der welt
minokAn padvast ested, i53) pa haft 6 duazdah hamaj lebenskraft an die himlischen (korper) gekniipft ist,
vardend u *nisewend M) , u ka hast evak 6 dudigar za- welche zu siben (planeten) nach zwolf (bildern) bestan-
n£nd u awar cinehd55), cun marduman i andar getik dig kreifien und unter gehen(?), und wenns (zeit) ist,
evak 6 i dudigar zanend u awar cinend.
18. U ka
gardanaki
'')
end. «ans6sidak
eines das andere schlagen und beseitigen, gleichwie
die menschen auf der welt einer den anderen schlagen
und beseitigen.
awar 18. Und wenn man alle (?) beseitigt, (so
hamak az getik ists) als wie die menschen, welche alle auB der welt
vidirisn bend; u ka dudigar be nihend, «angosidak» i davon gehen miiiien; und wenn man sie widerum auf
marduman ki pa ristaxez hamak zivandak awaz kunend. stelt, (so ists) als wie die menschen, welche man bei
der auferstehung alle wider lebendig macht.
19. Sahansah kas an saxvan asnud ramisnik bud u 19. Als der grofikonig diserede horte, ward er er-
fraraud duazdah hazar asp i tazik i az ham moj, ki freut und befalil zwolf tausend arabische rosse von
pasaxttar 58) pa zarr u murvarid; u duazdah hazar gleicher farbe, welche am meisten mit gold und perlen
mard i jovan59), ki pa-vizin i a2 f>an§ahr; duazdah geschmiikt waren; und zwolf tausend junge leute,
ha^ar zrih i ha§tgarcl60); u duazdah hazar §am§er i welche die auBerlesensten in Iran; zwolf tausend pan-
pulaftin i virast i hinduk; u duazdah hazar kamar i zer mit acht ; und zwolf tausend stalerne
haftcasmak; u awarik har ci andar duazdah hazar mard damascierte (?) indische schwerter; und zwolf tausend
u asp awajist har ci awurnakihatar 61) perajinid, u62) giirtel mit sieben schnallen (?buckeln? auB zu suchen),
Vazurgmihr i Boxtakan awar 6§an sardar kard; rozkar und lieB alles andere waB ftir zwolf tausend man und
i vizidak pa nevakdahisn u jazdan ajarih 6 Hindukan rosse notig war aufs treflichste bereiten, und sezte den
amad63). Wazurgmihr auB der familie Bochtak iiber sie zum
anfurer; zu einer (nach den regeln der sternkunde)
*
433
des Sciences de Saint-Petersboiirg
134
auB erwalten zeit, in wolbefinden und mit Gottes hilfe,
kara or in Indien an.
20. Dewsarm i vazurg salirjar i Hindukaniha kasan 20. Als Dewsarm der groBe beherscber dcr Lnder
pa an ayenak64)did az Vazurgmilir i Boxtakan cahal65) in in diser vveise (oder in discm aufznge?) suli , erbat
■
roz zaman xvast; eci kas ne bud az danakan i Hindu- er sich von Wazurgmihr auB dor familie Bochtak vier-
kan ki cim i an Nev-Ardasir danist: Vazurgmilir du- zig tage (bedenk-) zcit; (doch) os war nicraand von don
digar ham cand an sak u baz az Dewsarm istad, u weisen der lnder, welcher den sin jencs New-Ardaschir
pa vihdahisn u vazurg awrang awaz 6 firansahr amad. erkaute: Wazurgmihr nam (also) dem Dewsarm noch
einmal so vilen tribut und zol ab, und kam mit wolbe-
finden und groftem pompe zurtik nach Iran.
— pa 21. Die losung des shines des schachspiles ist die,
21. Vizarisn i cim i catrang in ku: ci as66) —
nerok i az an cun danakan ci67) guft ested ku «pero- daB man dazu — in kraftdessen wie etliche weise gosagt
zih68) pa xrad barend69)» — az hos zen i xradik 70) haben «den sig tragt man davon durch vcrstand» —
madakvariha danistan. Vazidan i catrang in ku: niki- die vernunft als geistige waffe in sonderheit erkenne.
risn u tuxsisn i pa nikas dastan i awzar i xvad; ves Das spilen des schachs ist dises: auf passen und be-
tuxsisn, cun 6 burdan sajistan i awzar i 6 i dudigar; u strebt sein zum.bewaren dereigenen hilfsmittel; groBes
pa urned i awzar i 6 i dudigar burdan sajistan raj bemiihen, wie in betref des weg nemen koiinens der
dast i vad ne vazisn. Hamvar awzar i evak i pa kar hilfsmittel des anderen; und in der hofnung (absicht)
vazanik71) pa pahre2 darisn; nikirisn i62) bundakmi- auf die hilfsmittel des anderen, wegen des weg nemen
nisniha vazanik, edun cun andar ayenak dahraak fraz konnens (der selbcn) unerliches spil nicht spilen. Im-
6 ested72).
mer sol man das eine ruittel, welches am passendsten
ist zum zuge(?), in hut halten; acht haben auf erliches
Ziehen (?), so daB man der sittc gemiiB untadelig da
stehe (?).
Anmerkungen.
pl)^ ist villeicht mit dem arm. iTiumtru/L zu-
sainmen zu stellen.
2) Hier immer *$»r geschriben; ich habe mich an
die gewoulichere schreibung jj)*r gehalten.
3) Anstat $ lese ich tf, welches wie so oft felerhaft
fiir ?T steht; uberhaupt werden tf ki «welcher» ?T ka
«als» und t-j ku «daB» nur zu haufig mit einander
verwecbselt.
4) Im syr. Kalilag u Damuag ^Opt^j Debascherim,
im arab. u. s. w. .J^o, skr.^FR^, phi. ^>e» (ob in
&w Dewsarm zu corrigieren, wegen 5T = ■« J£).
5) Bei der in inoo «<?£ Vsy erhaltenen iiltesten schrei-
bung bezeichnete ? von anfa^ig an die spirans p, welche
aber im Mpers. langst in
im Paz. wird freilich z.
wird. nach analoaie des Awestischen
b. noch >j<^vj geschrieben
Man beachte die pluralform, welche noch
20
wider vor kommt
Tome XXXI.
7) Ich habe wr jr vgl. § 7. 9 var. (wo im texte
h©»»t steht, waB man
jj| lesen konte, wenn das
einen sin ergabe) vor ziehen miiBen, und erklare oL>
«ein par» d. h. ein saz spilsteine in zwei ver-
schidenen farben; doch ist das nur ein notbehelf.
8) v<? np. alt und vulgar (audi in den dialekten) b
nach zalwdrtern; vgl. § 7 h *w^. Somit dttrfte man fur
h iiberall «tak» (stat des unmoglichen paz. wa»j<m)
zu lesen wagen, wie ichs in disem stiicke getan; denn
audi das beliebte np. -SlL" oder oTU fur einfaches L"
ist moglicher weise gar nicht mit der conjunction *f
zusammen gesezt; doch vgl. L of.
9) lis *$\4?r fiir ?}yf5r, ruB. imyMpyjrb.
10) vgl.Noldeke in Bezz.Btr.IV 62 N; in den np.
farhangen jJlTL oder jJ^TL neben dem richtigen J^\,
vgl. meine aufigabe des ,JL» jLt« p. rv, 6.
11) Man verbeBere <?if«jo fur^iwo hier und weiter
noch einige male ; die drei verba »<?»too amadan «kom-
men» »<w«)o fristadan «schicken» und ww* awurdan
«bringen» werden bestandig mit einander vertauscht.
29
w
435
Bulletin de l'Acad&nle Imparl a It*
436
So ist Arda V. N.
1,8 gewis
<?»«jo zu lesen: u 6
patijurak i vadbaxt i ahrmok i darvand i anakkardar
Araksidar i Hrumajik i Mujrajik-manisn awar mad u
be soxt — «und dank der unglukseligen feindschaft
dcs schlimmen iibeltatigen Bosen kam Alexander von
Rum der bei den Agyptern wonende dariiber (Uber
die hciligen schriften) und verbrante sie.» Haug siht
das subject falschlich in ^W?e>.
1 2) -tv u. s.w. wird im paz. mit *h>o£ u. s.w. umschri-
ben; ich erlaube mir aber auch a§, wo das v nicht in
die construction zu passen scheint.
13) Dise beiden worte weiB ich weder zu lesen noch
zu construieren, ich folge also in der ubersetzung dem
dastur, welcher ubrigens . ^d^'cs^G . ^jga.<»^u.»g list:
«and an inventory of the articles ».
14) Das ist villeicht gar kein eigenname, sondern
4
ein titel, dessen ersten teil il>s* «thron» bildet:
wird Vazurgmihr so genant, und bei Mas Mi II 225
heiftt der zweite vezir des Chusrov Parvez iJ^J\
(die varianten p. 451). Vgl. jezt noch Darmesteter
Rev. cr. 1. c. 7 N.
1 5) »o in composition rait einem substantive bildet
adjectiva, wie <u und L z. b. zjs> JyL u. dgl.
16) d.i. <uL jj> deLagarde Ges.abh. 76. Noldeke
Mand. Gramra. xxxj, 12. 418 N. Ich coniciere etwafi
kun <)r)ej fur das mir verdbrben scheinende ^)a, im
glossary: «a letter, an epistle, an account», eine be-
deutung, welche diser form doch wol kaum zu kom-
men diirfte.
17) Eines der beiden w-o* muB wol gestrichen
werden, wenn wir nicht eine al zu verschrankte con-
struction zu laBen wollen; an rJietorische widerholung
ist meines erachtens in einem phi. texte nicht zu
denken. Das folgende ntoa^ habe ich nach der tran-
scription des dasturs hinzu gesezt.
18) Von mir der construction wegen hinzu gesezt.
19) So muB man fur ^--hj lesen, wie das verb zeigt.
20) Ich habe das wort mit «sin» tibersezt, vgl. Bdh.
49,7. 60,18 DK. 1 3,2i; eigentlich heiBt es wol «urgrund,
ursache»: ^<j^ £ »e «deshalb» ib. 17,4. 45,9 $q_^ fi $
ib. 63,io az an cim rai § 3 unseres textes (^ — £ jezt
L$b*'jJ)i nara cim ra peda ku ^f?j ^T: sra£ OFT MX.
l,u u ham cim ra <fa m^li ^J{m: ib. 13,n pa hama
im flHHFRif l,4i; |o«y, «one grund» AV. 2,u be cim
Aog.- 31; dazu cimi-varzisnan sfinrm^nRi MX. 1,7.
An den ubrigen mir bekanten stellen steht ^<»_pder C^
fur tf «warum» oder «denn» mit dem enclit. prono-
menBdh. 60,17.72,4. 73,8 AV. 68,19; an beiden lezteren
stellen konte es auch die, von Justi an genommene,
fragepartikel «warum» sein, deren existenz wegen DK.
p.l 1,8.14.13,6.15 etc. Aog.48 cim f^^zugegeben werden
muB. Die np. farhange kennen ein J> (>uJIj), welches
sie durch ^J**
durch dlJjJ^ <uiL (Inju)
erklliren (Halimi, Sururi, Inju), oder
r
Ikj, tfjj (Rasidi), und be-
?
legen es allesamt mit einem verse der j**a /^*J ^J:
dj
j
■s,
tU
'J
dJ
y jp- j*
Fur die andere bedeutung fttren Inju und Rasidi eiuen
vers des ^j^**^ an, den ich so her stelle:
cr
_^o <U jcl dj SJ\ jfj
^°^1
*f" f Cf~* J^9 \J~*?* y J\
*>
21) Ne ist unumganglich, vgl. § 3. 6.
22) BiBher sprach man wol falschlich <jlUie mit a,
Sacy Cal. Dimn. 26. Mas Mi II 206. Ndldeke Ta-
bari 251 N.
i
23) fjA ist nach dem Farhang 82,5 *:£» (lis #?),
worin ich den alten stam ima (Darmest. fitudes I
172) zu erkennen vermeine; vgl. den folgenden text
2 d) e).
24) ** lis £».
25) Xvar und dusxv
]y
(jezt
und
01
oder j l^o = «u?Gau£> und ^OG^Mzh>A : Geld
K. Z. XXV 478. Studien z. Avesta I, 17 ff.; zur bil
dung des zweiten wortes vgl. vlnuei? (ppuor* wo^jihxj^
26) w paz. w; der einzige neue dialekt, in wel-
chem das alte anya (Dmst. fitudes I 171) seine
ursprungliche bedeutung bewart hat, ist das Jaghnobi
(Tomaschek Pamir-Dialekte 14): in den texten
A. Kuhn's, welche ich augenbliklich bcarbeite. kom-
raen
anderen tage», ani Adam
anderer mensch», anjakai «andersw
27) f] «einer» wird oft mit dem
schriben, anstat mit dem lang gezoj
28) lis ^S fur ^S.
ge
') Ich denke so (fy5) miiBen wir fur f> der auB
gabe lesen, vgl
ende
437
des Sciences de Saint -Petersboiirg.
43*
29) So mochte ich fur «zis» lesen, doch vgl. die for-
men auf -w AVN gloss. 344, yazis Parsenhds. 35
(yt. 1,9), deren entstehung auB dem medialen -aesa
doch noch nicht ganz fest steht.
30) Zu Dm st. fitudes 1, 150, dessen erklarung von
j\>z yuj»~ noch dadurch bestatigt wird , daB von den
iibrigen zalen, deren ordinalia eben nicht mit -tija
gebildet werden, anliche formen nicht nach zu weisen
sind, mochte ich zu bedenken geben, ob wir nicht
noch dem Firdausi die altere form
Xjis:>
vindicieren
kfinnen? Es ist einfach das so Mufig am versanfange
stehende
die form
\j^j in
in _/*j^
wo hat Dmst. 1. c. 183
oV
xs (sic) gefunden? — zu verandern: denn
die conjunction _, ist bei den persischen dichtern immer
enklitisch und lautet u, auBer vof vocalen z. b..^
v-agar L_j v-aya (alte form LI phi. any paz. vAmssm
S^ii^') u. dgl., und darf sonst den regeln der metrik
gemaB niemals zu anfang des verses stehen. Bei den
spateren dichtern ist naturlich das auf falscher mo-
dernisierung beruhende J^Sj volstandig berechtigt.
31) Wer hier redet, ist nicht ganz klar; mdglicher
weise ists der abgesante des Inderkonigs, da -t>ey felt
und die selbe person weiter unten handelnd auf tritt.
32) Worauf beruht die angabe im glossary:
« ?fcv»v«jk>i5(2v»jug adj. regulating, keeping within bounds;
V ma»? Trozdem daB das wort ser plene >j*W<e>>-£ ge-
schriben ist, mochte ich doch lieber an mairjja denken.
Auch habe ich die izafat hinzu gesezt.
Ob
u~l~
oJ.«j
)too iji'i ^as * i^ schwer zu erklaren
Das wort bedeutet nach der tradition «
vgl. Yd
20,2 varecahhat
varjomandan, d
iiin Kajus (Lrt
Jt. 7j
j
varecanhantem vw> 5^> (bei Dmst. Etudes II
ijJ^ j> 1 J I; b Jju jS> (ib. 2 9 7) fe^H ^TTOT^FTcW.
(ib. 300); doch vorzuglicher ist die erklarung der per-
sichen lexikographen oj&, ^jji vgl. Fird., wo wir
die selbe zusammenstellung mit^i finden:
(die stelle habe ich leider nicht auf finden kOnnen).
3
tJbrigens bitte ich im texte varj zu lesen; audi
hatte ich arjanik schreiben konnen, wegen ^
I
jj
).
36) Zu &* arg «effort» im glossary vgl. «alag trouble»
West Pahl. Texts III 146. Im Jaghnobi heiBt ark
«werk, arbeit».
37) Die etymologie von ?-»ro jak (?) ^U ist unbe-
kant. Da das an lautende np. » fast iiberall auf illteres
j zurtik geht (nur ^W 'po aw. gaja? und <jl^
haben » auB g), und da ferner im Mp. kein wort sicher
mit j begint, es auch fiir disen laut kein eigenes zei-
chen gibt, indem in und auB lautendes j durch ©^ auB
gedriikt wird, — so trauscribiere ich mit j die worter
9 wo jaduk, ^ jam, ^o jamak u. s. w.; dagegen r6 gan
und 9-»^V gurdak (?Dmst. II 65 vergleicht «hordeum»).
Worter wie jo «jeh» aw. jahi, «jiv» (West 1. c. I
lxxiij) aw. gaus jivja sind erst auB der kirchen-
sprache entlent, wiirend jasn (ib. 208)
cr*
hochst
warscheinlich altes *jasna reflectiert, nach ap. laut-
gesetzen=aw. jasna (vgl. ap. vasna aw. vasna), und
das einzige fur die aiteste zeit maB gebende wort, der
eigenname
ul
aw. jamjispa, auf den miinzen
mit ? zu beginnen scheint (ZDMG. XIX 439. XXI 161.
Noldeke Tab. 142) wie syr. ^m v>fo , arm. OjuAmmj,
38) Corrigiert auB ww-rs.
39) Corrigiert auB A-k>*- vgl. die variante ^t©-",
widerum ein beispil fur die verwechselung der liga-
turen *© und kj, wie im bekanten ?«'•»£ fur *k>jj»£ fb*nt3.
40) Nach Noldeke in Bezz. Btr. IV 35 N ist die
lezte silbe beBer mit i (nicht e) zu lesen ; auch die Ar-
zh-
menier schreiben IV"""
41) So las schon Haug, der herauBgeber hat die
unformliche umschreibung Vinearthsadar ; uber das
erste element des composi turns vgl. Nold. Tab. 59 N
und Dmst. Rev. cr. 1. c. 7 N.
42) Die traditionellen lesungen «damik» und «da-
man» haben fur die lautverschiebung h-z-d absolut
absolut keinen wert; ir t ist graphisch das selbe wie
in *(rr TO-imK xoo tit*.
43) Vgl. das adverbiale «-oc Cr AVN. 2, 35; auch
iin np. j^M* ^an *cn die s^De *an n^cu^ als das
alte thematische -an- auf faBen, wie Dmst. I 28 N.
262 an zu nemen geneigt ist.
44) Ein troz merfachen vor kommens (§ 10. 17. 18)
in bildung und bedeutung mir unerklarliches wort.
45) Dise nebeneinanderstellung der alteren und
jiingeren form des selben wortes, welche sich § 17
widerholt, weist wol auf die spate abfaBung unseres
29*'
430
Bulletin de l'Academie Imp^riale
440
vgl. auch ]»^j) nr (eigentlich
schriftchens hin; doch
«xvas u xvas»!) AVN. 3, 18; im Bund, finden sich
beide worter.
46) -h™* Vd. 19, 44 ist wol verschriben, Justi las
spas; ser an zu zvveifeln ist die zusaramenstellung
von pwiisa — spihr mit TBep^b: Hiibschmann Zor.
Lied 76. 77.
47) Die verschidenen sclireibungen Farh. 68,7 trad,
staya sta staha konnen eben so gut geti(k) gelesen
werden; solten sie wirklich das aw. sti auB driicken,
so gehort dises wort sowol wie . Juf der theologischen
terminologie
an; lezteres hat sich im np. gegen alle
lautgesetze erhalten (wie ^1), ersteres ist ganz ver-
schollen.
48) In der ubersetzung «the four elements)) ; doch
vgl.
uzs?
) temperies, temperamentum s. constitutio
corporis Vull. ex C; JL ^L r>j> >>L
u
J
• I
»•
»j Jtj *s~j pJ i^J Abu Muvaffaq ed. Se-
ligmann 5, 14.
49) sic, man erwartet > u.
50) Im Bundehesch fS^r vgl. naTKaiioBi>, Apamn-
CKaa reorpa<i>i« VII b., p. 58 N. Das etymon fiir <jL)
findet sich im Baluci: as-ay, as-ta «to rise», asan «ri-
smg)),
rdsasan
«sunrise»; s. Dames A sketch of the
Northern Balochi language. (Extra nr. JASB. 1 880, 1).
Calc. 1881 p. 41. 80.
51) Wilson Parsi Religion 115 N. Haug Essays2
159 N.
52) Corrigiert auB ?*«o«<?. \
53) Felt im texte, die transcription hat *v£ zu ge-
sezt.
54) ^o^) vgl.
• •
i
doch gibts im Np. kein zeitwort
♦^jj.s^iiJ; unhaltbar ist «nehipend» von «nehipitan to
proceed retro gressively (said of a planet)», welches
doch zu belegen war. Das simplex sehe ich in
<1aJuJ-
°Xr"
u. s. w.
/
55)
Vgl.
U*h? _tf
«auf pflucken, weg raumen»;
U^.Jr der varr- passt durchauB nicht.
56) Villeicht ist hier und weiterhin ■»$ zu lesen.
57) Traditionelle auBsprache; West Pahl. Texts
I 25 hat mit recht im ersten teile rr = edun erkant
der rest bleibt aber noch dunkel.
58) Corrigiert ^(^)«*v*o au^ ^«w*o «pesidtar». Es
ist hier warscheinlich zusammen gesezt auB pa und
i
d. i.
I \L und
j
I
\
JiJ
j
also ccgesattelt,
auf gezaumt»; doch lieBe es sich auch als particip
eines verbs pasaxtan (volbringen) auf fassen: «vol-
an getan, geschmukt». AuB der bedeutung
stiindig
« volbringen» entwickelte sich die andere «eine wun-
dertat volbringen, sich einem ordal unterziehen»,
*
welche ich an folgenden stellen glaube an nemen zu
muBen. In der ubersetzung des AVN. 145 furt Haug
ein citat auB dem «Denkard» an, wo drei und dreiBig
verschidene arten von gottesurteilen erwant werden;
dann heiBt es weiter: vas ayenak evak an i vidaxtak
rod (gedr. jf>>) awar kas rextan, cun hufravard Adur-
wad i Marspandan pa pasaxtak i awar den, pada§
b6xtan akasih andar gehan (vi)stardak, waB wir etwa
so iibersetzen konnen: «Und die eine art davon ist
geschmolzenes erz auf jemand gieBen, wie (es mit dem)
hochseligen A. M. (geschah) beim ordal fiber die lere,
durch seine erlosung (wurde) die kunde (von der lere)
in der welt verbreitet» ; ein par zeilen holier stent
var pasaxtak «var performance)). An einer anderen
ebenda 144 an gefurten stelle des selben buches heiBt
es: u pa vidaxtak rod pasaxtan i hufravard Adurwad
i Marspandan [u] boxtan «und durch des hochseligen
A. M. sich dem ordal des geschmolzenen erzes unter-
ziehen (und) seine erlosung (darauB)». Danach ist nun
auch AVN. 1,16 zu verbefiern: tak an ka zad hufra-
vard
vrovan Adurwad i Marspandan, ki padas,
pa [pajsaxt i pa den karcl, rod i vidaxtak awar var
rext «biB daB geboren ward der hochselige unsterb-
liche A. M., welchem beim ordal, dem er sich fur
die lere unterzog, geschmolzenes erz auf die brust
gegoBen ward»: von «the tale (das miiste von V sanh
ja sast heiBen!) which is in the Dinkard» kan hier
also nicht mer die rede sein. Der selbe auBdruck muB
sich noch finden im urtexte von Bahman Jast 2,199,
wo West ubersezt «with the prepared brass»; zur
sache vgl. noch Sajist ne sajist 15, 16. Skandgumanik
Vizar 10, 70.
uJiJr* (V sac) sein?
Solte nicht -^l
(jL) caussativ zu
r
59) Man konte ebenso gut gusn lesen, doch passte
das nicht zur uberliferung (vgl. zu Farh. 72,13 note v),
und ich ziehe es vor hier ein verschlungenes_j (fur >r \r)
zu sehen, wie in ^ pa und um gekert_j fur > in ^l> 0UT
Farh. 70,7. _, fiir 3 Pahl. Paz. 61. 21,7 ist fraglich,
da der St.-Petersburger codex -F_jr mit #r «avam»
441
des Sciences de Saiiit-Pctersboiirs;.
442
fur w>) gewesen d. i. adenak,
vcel
v0i.
Jlp. JL^ ^
I
od. ,-h^'j welche doch gewis mit a^jI od. <u>) ver-
want sind, ebenso wie mit <UoJ (tat. a^J).
65) Oder cihil, oder cihal? die vocale sind jezt
nicht mer zu bestitnmen: np. J^* und J*.
66) So diirfen wir, denke ich, das -^a^ (fur ^)
des textes auf losen.
67) Es gibt im Mp. zwei partikeln ^, eine dem
alten ^ «und» entstammend, die andere dem ap. cij
aw. ^p,
welche sich noch reclit gut unterscheiden
lassen. Nur wenige der neueren dialekte liaben dise par-
tikel erhalten, so die mundart der 0m~, eines dorfer-
complexes bei Ispahan, iiber welche wir genauere
nachrichten von lira. mag. V. ^ukowski erwarten
(s. den vorlaufigen bericht in 3anucKH BocTOHnaro Or-
A'fejiema H.P. ApxeojionreecKaro 06m,ecTBa 1, 1 (1886)
—29). In seinen materialien findet sich die phrase:
mun ji vada bum «auch ich bin da gewesen », vgl. gu-
p.23
ram:
U «ich auch», gij «er auch» Rieu Cat. Pers.
Mss. Brit. Mus. II 7326. Im Jaghnobi habcn wir «cu»:
umschreibt (Farh. 85,7), ebenso wie die ser gute lids.
K25 fol. 73 r zeile 1, indem sie __j> fur » nemen.
60) In der transcription «haft-gerte octuple ar-
mours)); die bedeutung von gard kenne ich nicht.
61) Vooy^xxs^) Spiegel Einl. II 311 § 11 ist ein
zweites beispil dafur, daB das suffix des comparativs
ans adverb an treten darf.
62) Mein zusaz.
63) Selbstverstandlich fur ^wo.
64) Die convention elle schreibung ww, welche ge-
wonlich -pTN gelesen wird, ist ursprunglich 9y<e>» (io-
ta vangar avav: ajab axmaki ist, tu V it suxanit vaxtim
xus akuni, man cu tau xuac akunim, ki *yala cu 'tifa-
rim «der reiche man sprach: du bist merkwirdig dum,
du erfreutest mich mit disem deinem worte, ich audi
erfreute dich, darauf korn warum gabe ich» (Rosen
Narrat. pers. nr. 42 =Hmo6cKie 9TK>Abi 75,6—8). Im
Npers. hat sich die partikel ci(d) nur in einigcn weni-
gen zusammensetzungen erhalten: ^S ap. kascij,
V * V V • •
iff od.
I
aiva
-t-cl (nicht aita wie
ci; auch jJ nez (die altera
glaube ich
ap. ciscij,
*
Dm st. wil), jf^ff *hakara
form ist im judisch-pers. pjfct erhalten)
hieher ziehen zu diirfen, indem ich es fur auB *an-
*
jada-ci (vgl. ^J auB *kada) «irgend wie anders» ent-
standen an sehe; Darmesteter's ableitung von einem
vorauB gesezten *anyaii6, *ani£ wird dem sin und ge-
brauche der partikel nicht gerecht, auBerdem lautet
die einzige uns bekante schwachste form soldier stamme
nicht, wie im Indischen, -ic- vgl. aw. havayaca. Am
lebendigsten aber fiilt sich ci(d) noch herauB in a*J>\
«wenn auch», und villeicht in verbindungen wie ^ _/>
vd.
? '&
19 zeile 8.
^0.
68) So lese ich nach der var. -e<»Jta fur
69) "Wie die endung der 3 pi. w oder ^ eigentlich
zu lesen sei, bleibt noch fraglich; docli wol eher and
als «yen»!
70) Auch die transcription hat das «i», fiigt aber
noch «va» hinzu. '
71) Eine sonderbare bildung, u awarik gibt sovil
wir?.
ich sehe keinen sin.
72) Corrigiert nach der transcription auB
Meine iibersetzung dises schwirigen absatzes ist ganz
conjectural.
B.
Andarz i an6§akrovan Xusrov i Kavadan
73
Testament des unsterblichen Chusrow
son Kawadhs.
Pa nam i jizad i 62) dadar Ohrmazd. 1. fidiin govend Im namen Gottes, des schopfers Ormazd. 1. Also er-
anosakrovan Xusrov 3) i Kavadan, andar an han- zalt man, daB der unsterbliche Chusrow son Kawadhs,
ku __.
gam 74) ka purgas bud, pe§ az an ka
bud, pa andarz 6 gehanikan guft
r75
ku: cun ka in gan az tan i man judak baved
, man awar dared, u pa Aspahan76) man bared
zu jener stunde als seine zeit vol war, ehe die sele voni
leibe sich trente, in unterweisung zu den leuten also
sprach:
2(a). Wenn dise sele sich von meinem leibe trent,
auf, und traget in nach
so hebet disen meinen thron
443
Bulletin de l'Academie Imperlale
444
u pa Aspahan man be nihed; pa sar i gehanikan vang Ispahan, und in Ispahan bestattet mich; (dann) rufet
kuned ku:
iiber die leute auB:
(b). Marduman! az vinas kardan be pahrezed, u pa (b). 0 menschen! vor dem sundigen liutet euch, und
kirfak varzisn tuxsak bed; u hir i getik pa xvar dared.
zum tun guter werke seit eifrig; und die giiter der
welt verachtet!
(c). Denn diB ist jener leib, welcher gestern (noch)
in79) mardum pa si gam80) nazdektar bud, pa bar gas nicht solch ein leib war, und disen menschen um (die)
(e). Ci77) in an tan hast, ki dek78) be in tan bud, u
u zaman ahrajih u hir i getik be awzud;
drei schritte naher war, (und dessen) reinheit und welt-
liches gut an jedem orte (oder zu jeder stunde) und
jeder zeit zu nam;
(d). u im r62 bahr i rimanih raj81) har ki dast awar (d) und heute, — (seiner) unreinheit wegen — wer
nihed, angasas pa barasnum awajed sustan, ajow pa nur immer die hand daran legt, der muB sich durch
jazisn i 62) jazdan 0 hampursakih i vihan ne hilend
82
. das Barascbnom reinigen, oder man laBt in nicht in
die gemeinschaft der guten um Gotte zu dienen.
(e). Dek sukoh (^-e) i xvadajih rai dast 6 kas ne (e). Gestern reichte (dieser leib), von wegen der
dad ^X im ro£ bahr i rimanih raj kas dast awar ne nihed. majestat des ko'nigtuins, niemanden die hand, heute
legt, von wegen der unreinheit, niemand die hand
an (in).
(f). Marduman igehan! durudomand rawed, rajinisn (f). Ir menschen auf der welt! wandelt mit preiB,
pa minisn i rast u62) kar-varzikarih, u pa kar i geha- man sol fordern mit gerechtem sinne und tatigkeit,
nikan tuxsak u zenavand bed. und in den angelegenheiten der leute seit eifrig und
wachsam.
(g). Ayen u padman pa kur dared, u pa kar i da- (g). Sitte und vertrag bringet in auBfiirung, und in
distan rad u rastan hamsaxvan bed.
den werken der gercchtigkcit seit
&
&
freigebig und der
e
gerechten genoBen.
(10
(h). Andarz guftaran i gan andarz i njoxsidar84) pa
andiizak 6 kar u padman kuned (sic).
(i). Pa bahr i xve§ xvarsand bed, u bahr i han kas (i). Mit eurem teile seit zufriden, und das teil der
ma avared ; pa dahisn i darjosan spoz 85) u vistarih ma anderen leute traget nicht davon ; im beschenken der
kuned, be nikired ku, cun «apar» 86) bed, xvadajih u armen treibet keinen aufschub und liiBigkeit, sondern
xvastak be saved, hir i stawr u dusarm 687) dusxvarih haltet im auge, daB wenn ir davon gehet, herschaft
u darjosih be vidired.
■N
und reichtum vergehen, mSchtiges vermogen und ere
sich in bedrangnis und armut wandeln.
(k). Edar zivandakih andak, u and ras i dur u ha- (k). Hier ist das leben wenig, und dort ein weiter
memal i Skaft u dadovar i rast; u kirfak pa awam ne weg und ein strenger widersacher (anklager) und ein
vindend88). gerechter richter; und gute werke erlangt man nicht
auf borg.
(1). DruJ u parak kar ne kuned, u tan rovan raj ne (1). Ltige und schulden (oder: bestechung) machet
padired, be ka vas kirfak kard ested, ajow B9) pa ein- nicht zu eurem tun, und den leib erwerbet nicht
vad puhl vidardan ne tovan: ano dadovar edun cun um die sele, sondern wenn vile gute werke volbracht
Mihru61)Rasn90).
sind,
oder man kan die brucke Tschinwad nicht
uberschreiten : dort (gibts) richter als wie Mithra und
Raschnu.
(m). Vihdenan bed, tak garodmanik 91) bed; awsos92) (m). Seit bekenner der guten lere, auf daB ir des
ma kun&d, tak farrumand bed.